Alix_ann
L'Hiver, c'était bien la saison des marmots. Et Alix ne se soustrait pas à la règle qui voulait que les enfants soient complètement ébahit et prit d'une poussée d'adrénaline le matin en surélevant -non sans peine- les paupières, cherchant déjà l'ouverture de la fenêtre sur un extérieur tout blanc. Ses orteils sont gelés, mais elle n'en à que faire, ce n'est qu'une sombre broutille sur le moment. Elle n'a presque pas dormit de la nuit, tellement elle était euphorique à l'idée de tout les flocons qui venaient petit à petit s'aplatir contre le sol du jardin de Château-Gontier et pour matérialiser un tapis neigeux idéals pour les après-midi à ne rien faire. Après il faut une bonne dose de courage, s'extraire du lit, faire une nouvelle fois fît de ce malencontreux froid de la température. On avait bien essayé de protéger les cheminées comme on a pu... Et puis aller constater par soit même en collant son nez contre la fenêtre à quoi ça ressemblait, en dehors, en restant bien au chaud. Là encore, la fenêtre souffre sûrement de cette exposition par moins huit-milles.
Bref, c'était des geste qui la mettait de bonne humeur ce petit bon hors des lourdes couvertures de laine grisâtre pour l'extérieur. Et encore, c'était pas le plus. De filer chercher de quoi se couvrir rapidement. Cette ambiance poudreuse qui venait les prendre au dépourvu tout les ans, ça la mettait dans tous ses états. Une atmosphère apaisante, presque silencieuse.
Elle laisse Alix, sa comparse de chambre et homonyme dormir dans la couchette. La Fadette choppe JB précieusement. Elle enjambe le couple de mâtins en tachant de ne pas les réveiller du mieux possible, et de ne pas par inadvertance croisé la bave qu'ils émettaient. S'extirper de la chambre devenait un véritable parcours dobstacle. Furtivité, discrétion, tout était mis en oeuvre alors. Votre niveau d'acrobatie à augmenté, retourner au lit pour passer au niveau supérieur... ou plutôt le vif du sujet : Délicatement elle tourne la poignée de la porte, elle se faufile dans les couloirs du château qui émergeait, petit à petit. Rien de tel pour démarrer la journée qu'une escapade dans les cuisines pour se mettre les idées au clair en prenant des madeleines au citron.
Juste pour améliorer la satiété par ces temps de guerre, juste sans que personne la voit.
Seulement érafler le sol, voilà, comme les fées!
Un réveil normal, en somme, à cette période. Il vient ensuite le temps de revêtir le deuil et des habits de saison. Ce serait dommage qu'elle tombe malade et qu'elle prenne le même chemin qu'Alesius et Maman. Le blanc lui allait bien, et puis il avait le réel avantage de l'assortir à la saison. On bâcla un peu la coiffure, c'est que les cheveux de mademoiselle avaient tendance à se rassembler en petits groupes soudés.
Toute la matinée fut occupée à lire le livre des vertus, ou encore à dorloter la ménagerie dont elle s'était elle même entouré dans le digne exemple que lui donnait Yolanda. Jean-Baptiste le lapin, Ar'charz le chat, Titania et Obéron les mâtins. Elle rencontrait aussi les filles, au détour des couloir ou des leçons. C'était Alix qu'elle actionnait sûrement le plus, sûrement par son aptitude de korrigan, mais p't'être aussi le clivage total avec ses us et coutumes personnels. Dans un univers où elles doivent devenir des Dames... Parce que c'était pour ça qu'elles étaient toutes ici, c'était pour devenir des Dames. La Baccard était drôle, elle faisait pleins de trucs, genre grimper partout, ou parler de combats, la ravitailler en nourriture en pleine nuit. Elle la poussait en dehors de son habituelle docilité et sa célèbre soumission aux règles. Alix se souvient avec nostalgie du temps pas si lointain où elles avaient eut à combattre un monstre en taverne, un véritable colosse. Alienor & Alix & Alix. Les trois gamines coatchées par Anaon qui essayaient de terrasser le colosse... Et à quel prix! Son premier baiser! La Fadette se souvient sur le chemin vers le jardin, en dévalant les escaliers.
-« Obéron ! Non ! » D'un geste de la main elle empêche le chien d'aller détruire toutes les plantations de fleur. Elle ne connaissait pas le nom de celles qui parsemait le domaine du château, à part les myosotis les fleurs était très loin de l'émerveiller. C'est Titania, qui fut plus dur à contenir, mais les chiens n'étaient pas encore bien gros et sous l'emprise de la buze ils se laissaient aussi bien fait que des chatons. C'est pourtant de puissants chiens de guerre à l'état foetal qu'elle détenait!
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« Nous étions mardi cétait le seul fait réel. »
- Brett Easton Ellis
Bref, c'était des geste qui la mettait de bonne humeur ce petit bon hors des lourdes couvertures de laine grisâtre pour l'extérieur. Et encore, c'était pas le plus. De filer chercher de quoi se couvrir rapidement. Cette ambiance poudreuse qui venait les prendre au dépourvu tout les ans, ça la mettait dans tous ses états. Une atmosphère apaisante, presque silencieuse.
Elle laisse Alix, sa comparse de chambre et homonyme dormir dans la couchette. La Fadette choppe JB précieusement. Elle enjambe le couple de mâtins en tachant de ne pas les réveiller du mieux possible, et de ne pas par inadvertance croisé la bave qu'ils émettaient. S'extirper de la chambre devenait un véritable parcours dobstacle. Furtivité, discrétion, tout était mis en oeuvre alors. Votre niveau d'acrobatie à augmenté, retourner au lit pour passer au niveau supérieur... ou plutôt le vif du sujet : Délicatement elle tourne la poignée de la porte, elle se faufile dans les couloirs du château qui émergeait, petit à petit. Rien de tel pour démarrer la journée qu'une escapade dans les cuisines pour se mettre les idées au clair en prenant des madeleines au citron.
Juste pour améliorer la satiété par ces temps de guerre, juste sans que personne la voit.
Seulement érafler le sol, voilà, comme les fées!
Un réveil normal, en somme, à cette période. Il vient ensuite le temps de revêtir le deuil et des habits de saison. Ce serait dommage qu'elle tombe malade et qu'elle prenne le même chemin qu'Alesius et Maman. Le blanc lui allait bien, et puis il avait le réel avantage de l'assortir à la saison. On bâcla un peu la coiffure, c'est que les cheveux de mademoiselle avaient tendance à se rassembler en petits groupes soudés.
Toute la matinée fut occupée à lire le livre des vertus, ou encore à dorloter la ménagerie dont elle s'était elle même entouré dans le digne exemple que lui donnait Yolanda. Jean-Baptiste le lapin, Ar'charz le chat, Titania et Obéron les mâtins. Elle rencontrait aussi les filles, au détour des couloir ou des leçons. C'était Alix qu'elle actionnait sûrement le plus, sûrement par son aptitude de korrigan, mais p't'être aussi le clivage total avec ses us et coutumes personnels. Dans un univers où elles doivent devenir des Dames... Parce que c'était pour ça qu'elles étaient toutes ici, c'était pour devenir des Dames. La Baccard était drôle, elle faisait pleins de trucs, genre grimper partout, ou parler de combats, la ravitailler en nourriture en pleine nuit. Elle la poussait en dehors de son habituelle docilité et sa célèbre soumission aux règles. Alix se souvient avec nostalgie du temps pas si lointain où elles avaient eut à combattre un monstre en taverne, un véritable colosse. Alienor & Alix & Alix. Les trois gamines coatchées par Anaon qui essayaient de terrasser le colosse... Et à quel prix! Son premier baiser! La Fadette se souvient sur le chemin vers le jardin, en dévalant les escaliers.
-« Obéron ! Non ! » D'un geste de la main elle empêche le chien d'aller détruire toutes les plantations de fleur. Elle ne connaissait pas le nom de celles qui parsemait le domaine du château, à part les myosotis les fleurs était très loin de l'émerveiller. C'est Titania, qui fut plus dur à contenir, mais les chiens n'étaient pas encore bien gros et sous l'emprise de la buze ils se laissaient aussi bien fait que des chatons. C'est pourtant de puissants chiens de guerre à l'état foetal qu'elle détenait!
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« Nous étions mardi cétait le seul fait réel. »
- Brett Easton Ellis