Thomas_sauveur
La début de la journée ce déroulait parfaitement normalement dans le château des Belrupt, Thomas fut réveil par les premiers rayons du soleil plutôt faible par ce temps grisâtre et après avoir rapidement choisi une tenue en compagnie de son valet, l'homme avait rejoint la salle à manger vide de toute vie. Il ne savait pas ou était sa cadette, mais une chose était certain avec aussi peu de vie dans l'endroit, lui allait devenir fou ou sénile. Une fois la tasse vidé, il monta dans son bureau afin d'étudier quelques dossiers et termina sans travailler à observer la neige tomber par la fenêtre dans un sourire emplit de souvenir. Lorsque l'heure fut légèrement avancée, il quitta le château pour rejoindre les écuries ou son étalon attendait déjà sellé. Le temps de tendre la main pour attraper son arc de chasse quelques flèches et le Ténébreux quitta les lieux en accordant cependant un sourire entendu à Sebastian son domestique qui répondit par un secouement de sa tignasse.
Si Sebastian offrait ce geste à son maître ce fut pour deux raisons, la première il savait que la chasse sous la neige n'était absolument pas la passion du Ténébreux et la deuxième des raisons était qu'il n'allait sans doute pas écouter les recommandations de son domestique et outre-passer les règles imposé. Mais Sebastian était bien placé pour savoir que le Belrupt était ainsi et que seule une tête de mule pourrait rivaliser avec son caractère de cochon. Que quoi même la mule risquait de mourir sans obtenir le moindre résulta.
Thomas Sauveur aimait la neige, ce manteau blanc recouvrait les terres et offrait à l'homme la beauté de la pureté et alors que la nature était en train de mourir le froid caressait la peau des hommes. Sur le dos de son étalon il s'offrit un instant de plaisir et lorsqu'il arriva au point de rendez-vous, ce fut légèrement essoufflé, mais heureux. L'endroit ce trouvait loin des regards curieux, à la naissance de la forêt, sur un petit sentier fort peu fréquenté sauf au moment ou les bûcherons décidaient que couper un peu de bois. Sinon le risque d'être déranger ou remarqué était proche de zéro, ignorant lorsque la jeune damoiselle arriverait. Le Ténébreux glissa de son étalon pour poser ses bottes fourrés dans la neige fraîche et caressa le museau de danimal qui comme reprenait doucement un souffle régulier et serein.
Lorsque sa main plongea dans la poche de son manteau, il offrit à l'étalon un bout de légume et attendit sagement de voir apparaître son élève de la journée à moins qu'arrive un messager indiquant qu'elle n'avait point trouvé de chaperon.
*de Charles de Bovelles
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Si Sebastian offrait ce geste à son maître ce fut pour deux raisons, la première il savait que la chasse sous la neige n'était absolument pas la passion du Ténébreux et la deuxième des raisons était qu'il n'allait sans doute pas écouter les recommandations de son domestique et outre-passer les règles imposé. Mais Sebastian était bien placé pour savoir que le Belrupt était ainsi et que seule une tête de mule pourrait rivaliser avec son caractère de cochon. Que quoi même la mule risquait de mourir sans obtenir le moindre résulta.
Thomas Sauveur aimait la neige, ce manteau blanc recouvrait les terres et offrait à l'homme la beauté de la pureté et alors que la nature était en train de mourir le froid caressait la peau des hommes. Sur le dos de son étalon il s'offrit un instant de plaisir et lorsqu'il arriva au point de rendez-vous, ce fut légèrement essoufflé, mais heureux. L'endroit ce trouvait loin des regards curieux, à la naissance de la forêt, sur un petit sentier fort peu fréquenté sauf au moment ou les bûcherons décidaient que couper un peu de bois. Sinon le risque d'être déranger ou remarqué était proche de zéro, ignorant lorsque la jeune damoiselle arriverait. Le Ténébreux glissa de son étalon pour poser ses bottes fourrés dans la neige fraîche et caressa le museau de danimal qui comme reprenait doucement un souffle régulier et serein.
Lorsque sa main plongea dans la poche de son manteau, il offrit à l'étalon un bout de légume et attendit sagement de voir apparaître son élève de la journée à moins qu'arrive un messager indiquant qu'elle n'avait point trouvé de chaperon.
*de Charles de Bovelles
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