--Mahault_
La servante de Xanthi, sortit, alla rejoindre les gens de son rang et leur demanda d'apporter le chaudron fumant dans l'église, non loin de l'autel.
Elle les suivit, remarqua, sa maitresse en conversation avec le Dauphin, passa sans rien dire, son chien n'était pas loin, il suffirait qu'elle crie pour qu'il accourt, il devait avoir suivie la jeune femme d'ailleurs. Où était-il ?
Arrivée de nouveau près de la Cyr de Kro, elle sortit de son grand sac un cul de poule qu'elle posa sur un braséro y versa de l'eau de vie de prune qu'elle laissa chauffer le temps de prendre un linge doux et fin et de l'y tremper et faire s'enflammer le liquide.
C'était spectaculaire, le temps que l'alcool flambe mais non dangereux dans un endroit aussi haut de plafond. Elle retira le bassin du dessus du braséro, les mais protégées. Quand il n'y eut plus de flamme, elle se lava les mains dans le jus, essora le linge et vint le poser doucement sur le ventre tendu.
V'là ma fill', l' petiot va v'nir, mais 'l faut l'aider, l'écouter, l''ccompagner comm' tu s'ras l' fair' tout au long d' ta vie.
Les mains de Mahault massent doucement le ventre, elle ne fait pas attention à la main broyée du Kro ni aux grimaces de Cyr, elle continue lentement, caresse ce ventre de vie.
Allez D'chesse, respireeeeeeeeeeeeeeeez, souffleeeeeeeeeeez,
sentez l' p'tiot, am'nez-le vers la lumière ......
en douceur.....
Elle les suivit, remarqua, sa maitresse en conversation avec le Dauphin, passa sans rien dire, son chien n'était pas loin, il suffirait qu'elle crie pour qu'il accourt, il devait avoir suivie la jeune femme d'ailleurs. Où était-il ?
Arrivée de nouveau près de la Cyr de Kro, elle sortit de son grand sac un cul de poule qu'elle posa sur un braséro y versa de l'eau de vie de prune qu'elle laissa chauffer le temps de prendre un linge doux et fin et de l'y tremper et faire s'enflammer le liquide.
C'était spectaculaire, le temps que l'alcool flambe mais non dangereux dans un endroit aussi haut de plafond. Elle retira le bassin du dessus du braséro, les mais protégées. Quand il n'y eut plus de flamme, elle se lava les mains dans le jus, essora le linge et vint le poser doucement sur le ventre tendu.
V'là ma fill', l' petiot va v'nir, mais 'l faut l'aider, l'écouter, l''ccompagner comm' tu s'ras l' fair' tout au long d' ta vie.
Les mains de Mahault massent doucement le ventre, elle ne fait pas attention à la main broyée du Kro ni aux grimaces de Cyr, elle continue lentement, caresse ce ventre de vie.
Allez D'chesse, respireeeeeeeeeeeeeeeez, souffleeeeeeeeeeez,
sentez l' p'tiot, am'nez-le vers la lumière ......
en douceur.....