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[RP] Le repos angevin

Medso
Arrivé dans un état pas des plus en forme, Medso devait trouver de quoi subvenir aux besoins les plus élémentaires pour Labaronne et lui même!
De la nourriture!

En effet, la veille au soir dans la pénombre de la nuit et juste à l'entrée de la ville de Saumur, deux personnes malveillantes leurs étaient tombées dessus, les dépouillant à la faveur de la fatigue accumulée tout au long de leur voyage depuis Orthez.

Dès lors, la journée s'annonca très éprouvante mais aussi très instructive!

Medso alla au contact des gens de la ville pour sonder leur bonté!
Et pour accompagner cette bonté angevine légendaire, quoi de plus normal de la part du peintre de la récompenser, voir l'appater en échangeant des toiles peinte par lui même!

C'est ainsi que Medso, le "voyageur guerrier" qui voulait en finir avec les armées du royaume de France et surtout le Faux-Roy, redevint le peintre volubile créateur de fresques et de bannières!

Il entra dans la première taverne de la ville et tomba sur une dénommée Neolonie. Une femme assez froide. Mais aprés quelques échanges, cette dernière l'aida. En échange de quoi le peintre lui fit une bannière en suivant ses indications:


Peu de temps après, c'est Einar_ qui l'aida, une bannière fut de nouveau créée:


Pour finir une rencontre avec Amphore, où cette fois il pria Medso d'accepter quelques victuailles sans rien en échange!

En toute fin de journée, un porteur amena un pli contenant le necessaire pour ne plus avoir à chercher le minimum vital!


"De la part de Dyvina..."
Les pigeons allaient très vites assurément! La probable future Comtesse du Béarn pour laquelle Medso avait peint une fresque lui avait envoyé ce cadeau!

Medso partagea tout ce qu'il avait récupéré avec Labaronne.

Merveilleuse journée au final si ce n'est cette petite note négative auprès des Lycans, qu'on devrait plutot qualifier de Lycons...

Le lendemain, Medso envoya un courrier au Fou dont il avait entendu parler afin de lui indiquer ses objectifs...

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Labaronne
Une larve. Ecoeurée, désabusée le derrière dans la poussière Labaronne jouait avec une brindille. Elle écrasait les fourmis, catapultait des cailloux. Medso s'afférait près d'elle, et elle, rien. Un pain arrivait, un autre, quelques écus, quelques ordres simples.

Mange, bois ... tu as mangé ? Tiens prends ça... Va acheter ça sur la marché ... on va là ...

Elle levait un oeil vide vers lui qui s'occupait d'elle comme une mère l'aurait fait.

Il était la seule personne qu'elle supportait. Loin du monde depuis tant de temps, elle avait appris à hair son prochain comme le morpion sur le pubis infidèle. Plus d'amis, plus de force, plus rien, seul le dégout et le gout de métal dans la bouche auquel elle ne prétait plus attention. Seul Medso arrivait encore à en tirer quelque chose.

Labaronne avala un morceau de pain du bout des lèvres et se perdit dans sa haine. Le peu qu'elle avait vu et entendu avait confirmé ses pires craintes : Ai-je ressemblé à cela un jour ? Une profonde envie de vomir lui souleva les tripes. La rage soudaine la fit se mettre debout.

Ils avaient été dépouillés. Bon pour toutes les fois où elle l'avait fait, à la limite c'était de bonne guerre. Rien à foutre, comme on disait. Et puis forcément un autre allait payer l'addition.


Medso s'affairait à ses peintures, fresques, pinceaux ... elle s'approcha de lui et posa sa main sur son épaule.

Medso ?!! ... Je suis à deux doigts de me retirer du monde à jamais, quand je vois et j'entends ces tas d'immondices ouvrir la bouche, nan franchement, tout est perdu, on pourra jamais rien en tirer ! Je propose une mission de stérilisation, d'extermination totale du monde. Bref, si on organisait une fin du monde, juste toi et moi ? Sexy comme idée non ?
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Victorine
[Et plus que la brigande, la douceur angevine.]

Pour la mission de stérilisation, c'eût été avant qu'il eût fallu s'y prendre. Les Piques attendaient un petit. La mère porteuse était Vic. Ces salopards, la pire engeance que les royaumes eurent jamais porté en leur sein, ces brigands sans loi, sans respect pour personne ni pour aucun duché, attendaient un tout petit, et l'espéraient beau, blond et prestidigitatruc comme sa mère, fripon et baratineur comme son père, et libre comme les Piques.

Cela dit, la mission de stérilisation pouvait quand même commencer pour les lycaonnes.


Bon, mon piaf, on reste ou on rentre voter pour le poète aux élections d'Saumur ?

Le piaf n'était pas très éloquent mais Vic comprit ...

Bon d'accord, une dernière nuit les pieds dans la neige et on retourne au chaud.

C'est ainsi qu'ils grossirent une fortune déjà bien rondelette. Tactiquement pas très malin, comme le fit remarquer plus tard l'intéressée. Mais si les Piques avaient la tactique dans le sang ça se saurait. Non, ils étaient naturellement fonceurs. Les petites entreprises en sous-main, ça ne les connaissait pas. Et surtout, ça ne les intéressait pas. Ils ne voyaient pas plus loin que leur gros nez morveux, pas plus loin que le fumet infâme qui les devançait (et qui était déjà fort bien propagé pourtant), pas plus loin que leurs longues poulaines d'artistes.
De la haute voltige que c'était.


De quoi nourrir notre troupe blessée par les orléanais. Merci m'ssieur dame !

Oui parce que si l'Anjou payait grassement ses mercenaires d'un soir, ça se saurait aussi. Finalement, le coup énorme à Orléans, le pillage de caisses hors normes, le casse du siècle, s'était soldé par un taclage en règle. Alors bon, faut bien bouffer ma bonne dame !
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*C'est à la gorge que l'Ysengrin mord.
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