Sujet de brouille ! Il ne voulait pas y aller, arguant quil navait pas le temps, quil y avait encore des choses à faire et à préparer pour la chasse avant lhiver mais rien à faire, elle tempêta et vociféra, pleura et chouina tant et si bien quil capitula en marchandant deux robes sur les vingt et une quelle voulait commander pour sa chancellerie
après tout, il considérait que vingt et une robes était largement exagéré.
Prochaine étape, en marchander encore deux, et on arrivera à une garde robe cohérente. Cest en pensant à cela quil plaça sa main dans le dos de sa belle pour la faire galamment passer devant lui en entrant dans la salle des hommages.
Était-- ce un domestique là à lentrée ? Pour le reste, peu de monde, mais qui valait le détour. Et la Duchesse qui se languissait sur son trône
sourire amical à Adeline dun air de dire, « courage » et un aimable bonjour à sa supérieure, Normandie.
Salut à Akane et son époux
Duchesse
Excellence Sindbad, décidemment, ces temps ci, les festivités battent leur plein.
On continue, la blanche, peu connue, peu fréquentée
Bonjour Duchesse
encore une
Ah, lui yavait un sacré moment
Julien ! Heu, Marquis, quel plaisir de te revoir, quest ce qui ta tenu éloigné de la vie Normande et militaire royale si longtemps ?
Il lui avait manqué, aucun doute, mais tout passe
Un signe de tête sans sarrêter au perroquet malfaisant, un bonjour poli au capitaine larmoyant et de continuer, gardant les meilleurs pour la fin.
Dame Matouminou, voilà un bon moment que je ne tai vu ! Comment vas-tu ? et les enfants ?
Inutile de dire que la dernière fois, cétait sur lHéméra alors quil avait été la chercher, elle et son
comment dire, amant ? Homme ? Bref, il se souvenait encore quil navait pas aimé que le capitaine dicte la loi sur son bateau, ce que bien sur, ledit capitaine apprécia fort peu.
Et de poursuivre en saluant et en faisant une bise amicale à sa vassale, la jeune mariée et fraiche baronne dil et ne savait plus trop quoi.
Puis daller se mettre aux cotés de son lige, un sourire heureux et une franche poignée de main à lami.
Tancarville, mon ami. Bon sang que je suis content de voir que tu as eu le fin mot sur tes blessures !
Adeline qui semblait attendre, il était peut être le moment den profiter, il sera bien temps plus tard de tailler le bout de gras avec les autres. Un regard à tous comme pour s'excuser de laisser en plan les conservations et les rassurer, il y reviendra, puis de déclarer en avançant vers le trône.
Personne pour dire quil sera là pour taider et tassurer de son soutien ? Alors, jy vais. Voilà qui tombe plutôt bien, jai une chasse à organiser et
Inutile den ajouter
Droit comme un I, le regard franc mais debout sur ses deux pieds
Moi, Asti de St Aubin Routot, Vicomte du Mont Canisy, présente ce jour mon hommage
petit gratouillement de gorge, bon sang quest ce quil ne fallait pas faire
au Roy de France, Vonafred, représenté ici même par la Duchesse de Normandie, Adeline de Courcy .
Par ailleurs, je mengage à lui prodiguer respect, aide et conseils en plus de mon amitié qui lui est acquise.