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[RP] Cérémonie d'allégeance et annoblissements à Bourges

Georgepoilu
George avait attendu que le duc thierry ait été faire allégeance pour se lever à son tour

Duc

je vous confirme mon allégeance ainsi que celle de mon épouse la duchesse Jazzette pour les terres de Aigurande, Saint Achartier et noihan Vic, à la couronne du Berry et m'engage à apporter aide, conseil et assistance au 8e duc légitime du Berry, sa grace Valatar.

Mon épée est à votre service et celui de notre pays.



D'un ton moins solennel et à voix plus basse, george termine en disant

Fillot,

Je suis fier de toi, t'es un bon souverain pour nos terres. Je prie saint arnvald pour qu'il te guide dans tes décisions et ma porte t'est toujours ouverte si tu en as besoin.



George retourne ensuite s'assoir.
_________________
Anonymous
Valatar remercia avec sincérité le Duc Thierry pour ses félicitations, et lorsque celui-ci lui prêta allégeance, il prit ses mains dans les siennes et dit

Votre Seigneurie le Duc d'Argenton, nous recevons avec honneur votre serment en notre qualité de huitième duc de Berry, et vous assurons que vous pourrez trouver en nous un protecteur, un justicier et une aide.

Puis un pachemin de Messire Awacks fut transmis. C'était un homme que Valatar n'avait jamais vu, mais dont il avait plusieurs fois entendu parler. Il dicta à son copiste:

Citation:
Votre Magnificience,

Par la présente, nous vous confirmons la réception de votre serment d'allégeance. En notre qualité de huitième Duc de Berry, nous vous assurons l'aide, la protection, et la justice que nous vous devons pour vos terres de Saint-Amand Montrond.

Faict à Bourges, le trentième jour du mois de janvier en l'an de pasques mil quatre cent cinquante-cinq,

Par Valatar Cornedrue
Duc de Berry.


C'est avec émotion qu'il vit la personne suivant s'avancer. George avait été son Duc, mais il était surtout son parrain. Lorsqu'il le vit s'agenouiller et prêter serment d'allégeance pour ses terres et celles de sa femme, il fut grandement ému, et lui prit les mains en disant, un grand sourire lui éclairant le visage

Votre Grâce George, Duc d'Aigurande, vicomte de St-Chartier, baron de Nohant-Vic, en notre qualité de 8è Duc de Berry, nous recevons votre serment d'allégeance ainsi que celui de votre ducale épouse, et nous vous promettons l'aide, la subsistance, et la protection dont vous pourrez avoir besoin.

Puis il se pencha vers lui, qui semblait vouloir lui parler plus bas. Entendant ce qu'il disait, il répondit, avec fierté

Je te remercie, parrain. Sincèrement.
Gilberg
Alors que le duc recevait son allégeance, Gilberg sourit en entendant qu'il était vicomte "par la grâce de l'hérauderie". Ce n'est qu'en se relevant qu'il ui glissa à l'oreille :

Messire, vous avez oublié la duchesse Josybabas dans votre longue énumération...
_________________
Vicomte de Bretagne - Recteur de l'Université du Berry
Claudelle
Un pigeon arrive au Château avec deux parchemins à sa patte.


---fromFRShaïgan
Shaïgan s'avança alors, et, pliant le genou devant le duc :

Moi, Shaïgan, par la grâce d'Aristote vicomte de Graçay, preste allégeance au duc du Berry, sa grâce Valatar.
Mon épée et mon âme sont à son service ainsi qu'au Berry.
_________________
Vicomte de Graçay - Sénéchal du Berry
La confiance se gagne goutte à goutte, mais se perds à grands flots.

Anonymous
Le duc sourit en entendant la réflexion de Gilberg. Il ne pouvait pas nier qu'il avait attendu quelque réaction de sa part en lançant cette énummération. Dans sa spontanéité, il dut reconnaître qu'il avait oublié la Duchesse Josybabas. Aussi répondit il tout bas au vicomte qui le lui avait signalé

Vous dites vrai, messire. Il faut ajouter son nom à la liste.

Puis un messager apporta deux beaux parchemins. Valatar les lut, puis dicta une seule réponse pour les deux

Citation:
Messire et Madame le couple d'Issoudun et de Le Blanc, nous reconnaissons, par cette missive, que nous avons reçu votre serment d'allégeance, et nous vous prions de croire qu'en tant que huitième duc de Berry, nous vous assurons aide, protection, et justice. Ceci vaut pour vous deux, votre famille, vos terres et vos gens.

Faict à Bourges, ce deuxième de février mil quatre cent cinquante-cinq

Par Valatar
Duc de Berry.


Puis le vicomte de Graçay s'agenouilla devant lui pour lui prêter allégeance, ce à quoi il répondit, lui prenant les mains.


Vicomte de Gracay, nous recevons avec honneur votre serment en notre qualité de huitième duc de Berry, et vous assurons que vous pourrez trouver en nous un protecteur, un justicier et une aide.

Vous avez toujours témoigné de votre promptitude à défendre le Berry, puisse le Très-Haut vous en être reconnaissant.
Icyblue
Isidore s'avança à son tour. Il s'était fait discret depuis le début de cette cérémonie, ayant été appelé à d'autres charges. Il s'avança à son tour devant le Duc Valatar et, posant un genou à terre, il déclara à voix haute.

Moi, Isidore Bluette, représentant la Vicomté de Meillant, réaffirme aujourd'hui mon allégeance au Berry et à son Duc. Qu'ils trouvent en ma personne aide, conseil et protection.

Isidore attendit la réponse du Duc pour pouvoir reprendre sa place parmi l'assemblée.
_________________
Isidore Bluette
Vicomte de Meillant
Vicomte de Jussy-Champagne


Anonymous
Le Duc prit les mains de son prédécesseur, et, avec respect, lui dit

Monsieur le vicomte de Meillant, en notre qualité de huitième Duc de Berry, nous recevons votre serment d'allégeance et nous vous promettons l'aide, la subsistance, la justice et la protection dont vous pourrez avoir besoin.

Puisse St-Arnvald vous protéger, messire Bluette.


Valatar se demandait s'il avait vu tous les nobles. Il songeait à un marquis qui n'était pas encore passé, mais n'arrivait pas à voir qui d'autre manquait. Peut-être n'y avait-il qu'un seul retardataire...
Turenne
Une missive, qui s'était perdue en route et avoit fait le tour du Royaume en passant par l'Artois, la Bretagne et la Languedoc avant de finir chez les Sarrasins et d'être renvoyée à l'expéditeur par pigeon voyageur neurasthénique (donc lent), finit par atterir entre les mains du Duc de Berry, qui ne fut nullement étonné de reconnaître l'écriture d'un vieux marquis définitivement retardataire, mais toujours fidèle.

Citation:
Nous, Turenne de la Tour Saint-Arnault, Marquis d'Aubigny et Baron d'Aps par la grâce de Dieu, prêtons par la présente serment d'indéfectible allégeance à Monseigneur Valatar, Duc de Berry.

Puisse son règne se dérouler sous les meilleurs auspices.

Fait à Aubigny, le Septième Jour du Mois de Février de l'An de Grâce Mil Quatre Cent Cinquante-Six.


[HRP] Avec mes très sincères excuses pour ce retard, et mes tout aussi sincères remerciements à votre héraut pour ses mises en garde ^^"[/HRP]
Anonymous
Lorsque l'allégeance de Turenne arriva entre les mains du Duc, elle semblait en bien mauvais état, comme si elle venait de très loin. Finalement, qu'importait l'heure, pourvu qu'elle fut là. Valatar dicta une dernière fois à son copiste.

Citation:
Votre Magnificience,

Par la présente, nous vous confirmons la réception de votre serment d'allégeance. En notre qualité de huitième Duc de Berry, nous vous assurons l'aide, la protection, et la justice que nous vous devons pour vos terres d'Aubigny et Aps.

Que Votre Magnificience soit assurée de toute notre amitié, et que St Arnvald la guide.

Faict à Bourges, le septième jour du mois de février en l'an de pasques mil quatre cent cinquante-cinq,

Par Valatar Cornedrue
Duc de Berry.


[HRP]Pour ma part, le retard ne me pose aucun problème. Je remercie aussi Arator pour son bon travail [/HRP]
Aratornailon
Le héraut avait terminé de prendre en note les nobles ayant presté serment et annonça à l'assemblée:

Medames et messires, le comptes est bon je déclare donc cette cérémonie fermée.

[HRP: Turenne à ta place je presterais serment le plus tôt possible^^ il serrait bête de perdre un marquisat pour un serment en retard^^]
_________________
Frereroger
Le vieux moine fit porter sa missive le plus rapidement possible

Citation:
Abbaye Cistercienne Saint-Arnvald de Noirlac
Duché du Berry, France



Nous, Mgr. Frère Roger, Recteur de facto de l'Ordre Cistercien et Premier Protonotaire Apostolique déclarons au nom du chapitre général de l'Ordo Cisterciensis se qui suit :

Cher Duc du Berry,

Je suis depuis peu le nouveau Recteur de l'Ordre Cistercien et de ce fait, abbé de l'abbaye cistercienne Saint Arnvald de Noirlac. Suite à l'incertitude juridique concernant la suzeraineté de Noirlac sur les terres de la vicomté de Vierzon, j'ai pris quelques conseils juridiques qui semblent conforter nostre propriété seigneuriale.

je vous affirme donc, à titre conservatoire, mon allégeance en tant qu'abbé de Noirlac ainsi que celle de la communauté monastique cistercienne berrichonne pour les terres de la Vicomté de Vierzon, à la couronne du Berry et m'engage à apporter soutien spirituel, conseil et assistance au 8e duc légitime du Berry, sa grâce Valatar.


Par la grâce d'Aristote et de Christos, puissent Foi et Raison nous guider et que Saint Arnvald le justicier, nous protége. salutations ludiques et bénédictions aristotéliciennes

Signé et scellé en ce 26 février 1456, par moi, Monseigneur Frère Roger, au sein de l'Abbaye cistercienne St-Arnvald de Noirlac.



_________________
Anonymous
Le duc dicta à son copiste une missive à envoyer à l'abbaye de Noirlac.

Citation:
Monseigneur,

J'ai bien reçu votre missive d'allégeance, et j'ai d'ailleurs suivi avec intérêts les rapports qui m'ont été faits de votre conversation en place publique avec mon cousin de Baron d'Ainay-le-Vieil. Tout d'abord, je suis parfaitement d'accord avec ses conclusions: je crains que la vicomté soit perdue, mais cependant les terres restent bien à votre abbaye.

A ce titre, je prends acte de votre serment d'allégeance, et en ma qualité de huitième duc de Berry, vous assure de vous apporter l'aide, la protection, et la justice que je vous dois pour vos terres de Vierzon.

Puisse St-Arnvald vous protéger à tout jamais, Monseigneur.

Faict à Bourges, le vingt-sixième de février en l'an de pasques mil quatre cent cinquante-cinq,

Par Valatar Cornedrue
Duc de Berry.
---fromFRSexy tacot
Les nuits Berrichonnes étaient longues et chaudes entre négociations et vénération de Sainte Boulasse.
Les tacots ne perdaient pas leurs temps et une fois de plus la Sexy se vit confier le privilège de se rendre au château.
Pas question de s'inquieter comme à Dijon elle s'avait ce qui au pire pouvait l'attendre et cela ne lui faisait pas peur.

Depuis son arrivée à Saint Aignan, elle avait mis pas mal d'écus de côté et elle alla choisir une jolie tenue chez le tisserand.
Certes il essaya bien de lui vendre de quoi se couvrir un peu plus mais même si elle en avait les moyens, elle se trouvait très bien ainsi...
Sexy un jour... Sexy toujours!

En rentrant à l'auberge où ils avaient elu domicile, Sexy tacot passa dans une ruelle peu fréquentée.
Son regard fut attirée par une enseigne colorée qui claquait contre le mur au grés du vent... "Etuves aux mains d'ébénes"
Elle sourit, voilà ce qui lui manquait... un moment de détente et de plaisir.

Sans hésitation elle y pénétra et fut immédiatement accueuillie et conduite dans les vestiaires où elle se dévetit.
Elle rejoignit la salle des vapeurs nue, ses longs cheveux lachés ondulant sur sa peau.
Elle s'allongea sur un banc et laissa son corps sveltes s'imprégner de la chaleur et de l'humidité ambiante.
Une jeune mulatre vint la frictionner entièrement, l'épiler et lui laver les cheveux avant de la rincer à l'eau chaude.
Sexy se dirigea ensuite dans la salle des bains où une cuve remplie d'eau parfumée d'essences rares composées de roses d'Ispahan, de gardénia et de gingseng l'attendait.
Elle se glissa dans l'eau chaude avec délice et se prélassa un moment sentant tous son corps se détendre et laissant sa peau s'impregner de l'odeur délicate du bain.
Elle sorti ensuite de l'eau s'enroula dans un grand linge et alla s'allonger à la table de massage. Là de grandes mains douces, huilées et expertes vinrent denouer ses muscles et glissèrent lentement sur son corps nu et en manque de caresses.Elle ne pût reprimer de multiples frissons de plaisir et dût bien admettre que c'etait délicieusement bon et que le contact d'une autre peau sur la sienne lui manquait terriblement...

Une fois propre et détendue elle passa ses nouveau vetements peigna ses cheveux et y mela quelques plumes et prit la direction du château.

Nul doute que cette fois encore on ne l'attendrait vraisemblablement pas,
Nul doute qu'une fois encore elle entrerait sans aucun problème.

Arrivée à Bourges, Sexy tacot alla louer un carosse, elle choisi celui tiré par des chevaux immaculé et paya grassement pour avoir un cocher et trois laquais vétus d'habits somptueux.
Elle prit place à bord du véhicule, remit en place sa tenue, se mordilla ses jolies lèvres bien dessinées pour leur donner une couleur plus appétissante et se pinça un peu les joues pour se rosir le teint et se laissa conduire au chateau.

Elle s'amusait à regarder par la fenêtre souriant aux personnes qui se retournaient sur son passage, nul doute qu'avec un tel équipage elle ne passait pas inapperçue.
Elle remarqua plusieurs personne qui lui lancèrent des regards noirs, voir d'autres qui crachèrent suite a son passage et sourit de plus belle pensant que tout se passait comme prévu.

Arrivée devant les grilles du chateau, le carosse s'arreta, le cocher se pencha vers les gardes, et leur dit ce qui était convenu...
Ils s'écartèrent hochant même un peu la tête en signe de respect, Sexy tacot les gratifia de son plus joli sourire, portat ses jolies mains fines à ses lèvres et y déposa un baiser sensuel, puis sans quitter les soldats du regard elle dirigea sa petite main dans leur direction et souffla sur le bout de ses doigt en leur faisant un petit clin d'oeil.
Tant pis pour les convenances protocolaires elle n'avait pas pus resister et puis après tout s'ils devinaient qu'ils avaient étés bernés ils n'avaient plus qu'une chose a faire...courir derrière eux.

Mais rien ne se passa et Sexy arriva sans soucis au pied des marches du chateau.
Elle posa la main toute douce sur celle tendu par son laquais d'un jour et descendit du carosse.

Sans se pressé elle prit le chemin de la grande salle de reception.
Elle était remplie de monde une corde rouge séparait le peuple de la noblesse, elle la passa et s'avança au devant du Duc Berrichon.
Sa démarche était lente légere, ses hanches chalouppaient régulièrement au rythme de ses pas, elle sentait le tissus de sa robe et les regards glisser sur sa peau, autours d'elle se répendait une émanation de senteurs fleuries et ennivrantes.
La tête haute le regard fier elle fixait le beau Duc de son regard velouté et s'arreta face à lui.




Elle cligna légerement des yeux en souriant et ne baissa son regard qu'au moment de lui faire une charmante réverence qui mit en valeur le galbe de ses cuisses...
Elle s'éclaircit la gorge, sourit se mordilla la lèvre supérieure à la façon Sexy et prit la parole....


Très cher Duc, je me présente devant vous ... Sexy tacot guêpe de la RUSE...
C'est un grand honneur pour moi d'être ce jour icelieux...
Je tiens tout d'abord à vous remercier pour l'autorisation que vous avez accordé à la fratrie des tacots de créer une armée légitime à Saint Aignan.
Soyez certains qu'elle n'effectuera jamais d'action à l'encontre de votre beau duché, et même qu'elle sera prête à soutenir les intérêts Cheris bons comme par le passé.

Au nom de Messir Pignon, notre chef de Paix de la 5è armée rusée, et au nom du moulin des dignes et de la R.U.S.E,
Nous prêtons serment d'allégeance au peuple Cheri bon et a cette terre de cocagne ou fleur bon la culture norf.
Nous promettons de protéger son peuple et le Duché, fût ce au prix de nos vies, de soutenir loyalement et d'être au besoin oreille attentive à votre service.
Moi même ainsi que toute la tacoterie sommes désormais dévoués et acquis à la cause Cherie Bonne et à son peuple.

Par ailleurs pour la sécurité supplémentaire que nous apporterons au berry à chaque instant de notre présence en ce duché,
ainsi que pour notre implication absolue dans le soutien militaire en cas d'attaque extérieure,
sachez que nous accepterons tout naturellement toutes les aides financières et autre que vous pourrez nous fournir
afin que notre armée retrouve sa puissance passée et perdue, ainsi que ces moyens d'agir .

Vive le Berry et longue vie à son nouveau Duc


Sexy sourit au Duc remit machinalement une petite méche de cheveux en place du bout de son index et laissa glisser celui sur ses lèvres entrouvertes faisant mine d'avoir oublié quelquechose.
Un sourire malicieuse, un regard brillant elle glissa sa main dans son décoletté pour en retirer un parchemin roulé et cacheté qu'elle tendit au Duc gracieusement en lui effleurant le bout des doigts.


Citation:



Messir Pignon
Chef de Paix de la 5ème de paix de la Ruse

Cher Duc Valatar,

Comme convenu nous voila donc liés de fait a nos engagements respectifs.

Par ce serment reçu, le Berry a assurance que nous serons toujours à ses côtés comme par le passé. Lors de sa libération d'abord et lors de sa renaissance ensuite nous étions déjà là, agissant dans l'ombre pour lui.

Grâce à ce geste fort et à votre volonté sans faille de nous amener au grand jour vous nous honorez comme peu l'ont fait, duc Valatar.

Soyez remercié de ce geste honnête et franc. Peu aurait osé reconnaitre les liens qui nous unissent...

Vous prouvez ce jour que vous êtes de l'étoffe des Rusés, je suis heureux et ému de vivre à vos cotés, dans la paix comme dans la bataille.


Bien à vous

Bourges le 4.fev 1456
Bon pour faire valoir ce que de droit


Messir Pignon
Chef de Paix de la 5ème

Ps: Concernant le dédommagement promis, vu notre situation actuelle je suis preneur n'ayant pas les moyens de faire autrement... Tadek nous ayant tout prit, ne voulant pas exagérer et n'étant pas attiré par un quelconque profit je pense qu'une enveloppe de 2000 écus sera amplement suffisante. Bien entendu si cela pèse trop dans la balance financière de notre duché, nous prendrons ce que vous et votre CAC pourrez nous offrir.

_________________
Anonymous
Fort surpris de cette visite inattendue, Valatar sourit à la jolie femme qui se présenta à lui. Il saurait répondre au courrier qu'elle lui avait transmis. Un sourcil levé, il la remercia avant de la saluer. C'était la fin de son mandat, et de voir une créature si attirante mettre le point final n'était pas une si mauvaise chose.
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