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[RP] 2 hommes, 1 femme, plein de possibilités, UN MARIAGE !

Lglvh
La Rencontre

A toi Ma Colombe et toi mon Gaucher
Et un jour un homme
dont le regard vous frôle
Vous porte sur ses épaules
Comme il porte le monde
Et jusqu'à bout de force
Recouvre de son écorce
Vos plaies les plus profondes

Et un jour une femme
Dont le regard vous touche
Met sa main dans la votre
Parce qu'elle porte le monde
Et jusqu'au bout d'elle même
Vous prouve qu'elle vous aime
Par l'amour qu'elle inonde
*


L'impression d'être dans un navire à la dérive, d'avoir plus de gouvernail ni de rames, et que le courant vous entraîne, vous connaissez ? Bah c'est l'impression qu'il a, pile poil à ce moment là, le Gaucher. Déa fait son apparition, encadrée par ses témoins, et il sourit, ravi de la voir. Cette robe est merveilleuse et lui va à la perfection. Tentant de se tenir à peu près droit, ce qui n'est pas facile quand vous avez le fion qui vous démange, l'envie de courir pour aller vous soulager, même si bon, depuis quatre ou cinq arrêts, il n'y a plus rien qui sort, vidé, lessivé le Gaucher la regarde. En prime, il sert de pseudo gouvernail à son cousin/amant/témoin qui s'appuie sur lui, et donc on vous laisse imaginer le magnifique tableau qu'ELLE peut avoir en voyant ses deux L.

Whaou ! Tu es magnifique !

La voix éraillée de Lest, les vapeurs de chanvre, et le reste, ils sont frais, les gaillards.



A travers de son brouillard, il crût a un mirage éthylique quand un troupeau de donzelles aux courbes autant voluptueuses les unes des autres s’approchèrent. Mais la première sortait du lot, somptueusement belle, faisant l'effet d'un coquelicot dans un champ d'orties lui tapa a l’œil, l’ému, le bouleversa au point qu'il faillit ne pas la reconnaitre. Mais c'était bien elle, malgré son sourire chiassique moins prononcé qu'a l'ordinaire, Déa était la devant eux, merveilleusement divine. Bouche bée, le rouquin l'accueillit.

oh déa Ptééé que t'es bonn uhm charmante,merveilleuse,sssssplendide!!! ca t'dit une glace a la men..uhm t'vas bien?

Il sourit d’admiration, subjugué par tant de grâce et de beauté. Il envoya une éructation de tous les saints, par les burnes du sans nom, il lâcha et louis et la bouteille pour aller crépir le mur latéral de l'église. Il s'en revint, vert, mais plus léger.


Ah ça, ils sont là. Un peu trop peut être ?!
Elle les observe de haut en bas. Beaux. Oui ils sont beaux, en même temps elle a fait en sorte qu'ils soient habillés pareil donc forcément qu'elle les trouve beau. Elle en resterait bien sans voix s'ils avaient l'air en pleine forme, ce qui est... loin d'être le cas.
Louis a l'air d'avoir un baton dans l'séant et Lest est verdâtre. D'ailleurs il lâc
D'ailleurs il lâche une phrase quasi en même temps que Louis et file... Oui vous ne rêvez pas, il part recouvrir le mur de l'église d'un magnifique jet fumant.
Et y a pas que le dégueuli qui fume, la Chiasse aussi. Elle fulmine
.


 Vous aussi, z'êtes... beaux...   

    Elle s'approche de Louis, l'embrasse -pour les papillons dans les yeux on repassera- et lui souffle, une main glissant contre ses reins.     


 Je rêve où vous êtes beurrés ? L'aut' on l'entend beugler d'l'autre côté d'la rue et toi t'as l'air d'avoir pris la cuite de ta vie, Lou' tu déconnes ? Vous buvez sans moi pendant que j'me troue la cervelle sur mes voeux ? C't'une blague, Lou' tu vas désaouler tout d'suite et m'changer cet air d'haridelle en un futur époux resplendissant. Tout d'suite !  

    Un petit regard noir pour le futur époux et un sourire pour les invités. La belle se penche vers Lestat, chacun son tour de morfler.    

   Et ton thé à la menthe tu t'le carres bien profond, t'aurais mieux fait d'boire du thé ouais, j'vais t'faire bouffer tes...Tôôôôoooniiiiic, comme j'suis contente de t'voir ici...

  Berdol, tout, ils lui auront tout fait.Sourire de façade pour les invités... C'est r'parti !     

* florent pagny revisité

post écrit a 6 main


Louis
Andréa
Lestat
_________________
Andrea_
Ma Déesse et mon Dieu
Vous me rendez heureux
Sans vous, je survis
Avec vous, je revis.


Il la regarde, abasourdi, le rendant le baiser. Nan mais nan mais qu’est-ce qu’elle croit ? Il est pas bourré ! ‘fin si, mais de bonne volonté ! Il tente de garder bonne figure, mais il doit de nouveau filer, alors qu’elle s’occupe de donner une avoinée à Lest.

Comment qu’elle les enguirlande ! C’est pourtant pas encore Noël… Bon d’accord, ça approche, mais tout de même ! Après avoir une nouvelle fois été dans un buisson, cette fois, c’lui du presbytère, on fait avec les moyens du bord, il revient et regarde sa Chiasse, comprenez par là, sa colombe, Andréa quoi, pas, la filante qui le fait courir toutes les trois minutes.


Hum, j’suis… un peu barbouillé, mais c’va aller hein !

Il déglutit, attrape le bras de son cousin d’un côté, celui de sa future femme de l’autre, cherchant des yeux son frangin, qui devait le mener à l’autel.


J’vois pas mon frangin, on peut l’attendre un peu ?




Barbouillé. Cette fois, elle en est sûre, il la prend pour la dernière des connes. Pourtant...
Pourtant elle le regarde son Louis. Son homme. Le premier. Là tout de suite, alors que ses bulles d'acier se fondent dans les ambrés du Brun, elle ne sait pas où elle est. N'a aucun de souvenirs de ce qu'elle a fait, d'où elle a été. Elle n'est sûre que d'une chose. C'est Lui. Lui qui lui a rendu la vue, Lui qui lui a sauvé la vie. Il est son présent, il sera son futur, qu'importe le passé. C'est Lui. Lui. Elle vient de se réveiller. Tout n'était que brouillard et elle voit clair. Il est la première chose qu'elle voit à son réveil et elle sait qu'elle ne veut plus rien voir d'autre que Lui.
Madame tombe sous le charme de Monsieur. Madame ne veut plus lui courir après. Madame veut Monsieur. Là, ici et tout de suite.

Les doigts opalins se glissent et s'entrelaçent à ceux du Brun et tant que son coeur s'affolera à sa vue, elle ne les quittera pas.

Un regard vers Lest, et un sourire.

Lui. Elle. Eux. Un trio étrange se forme sur le parvis de l'église. Une caresse sur la joue du Rouquin, un baiser sur les lèvres du Brun.
Lui. Elle. Eux. Bientôt unis, à jamais.


Attendre ne fera pas de mal...

Attendre. On s'est attendu toute notre vie, savourons ce dernier instant.



La brune et le brun se tiennent devant lui.Ils s'observent, les yeux dans les yeux, les mains entrelacées. La temps est suspendu comme si la clepsydre se serait solidifiée sur place. Si son cousin ne lui serrait pas les bras avec autant de force, il se serait contenté d'être spectateur de ce tableau. Il essaie de reprendre ses esprits, de comprendre..Tout s'est passé si vite, la demande surprenante et inattendue de Louis, faites la veille. Il avait dit oui.

Bien sûr qu'il le voulait,mais en même temps, il aurait bien pris la fuite, vers l'Espagne, vers la bretagne ou pourquoi pas , retourner a Targoviste, chez lui en Valachie. Mias il était resté la, fêtant la nouvelle et buvant plus que de raison..Et la, dans l'immédiat, la seule chose qui le faisait galoper était sa nausée bien encrée ou ses reins surmenés. Il aurait voulu déacamper plus loin que le bout de la rue, il se serait sûrement étalé dans le caniveau.

Une douce caresse sur sa joue et il se secoua. Il leur sourit le plus sincèrement possible,pour faire bonne figure malgré la gueule de bois et malgré la trouille qui commenceait a lui serrer la gorge.

_________________
--Kamy.
Un coup de peigne à la hâte dans la roulotte, une paire de braies troquée contre la moins abîmée de ses deux robes, et la voilà prête. C'est pas la grande classe, mais ils s'en contenteront.
Surtout que cette fois, elle a une excuse.

Parce qu'il sont à la bourre. Encore. La faute de son brun qui a décidé de pimenter le voyage par quelques jours en prison.
Mouais... Sûrement un de ses stratagèmes pour être tranquille quelques jours, et ne pas avoir à l'écouter parler pendant des heures.

Kamy, et son sens légendaire de l'orientation, déambule dans la ville en cherchant l'église. Suivie par son 'Gnace hilare de la voir se perdre une nouvelle fois, et ses deux grenouilles.

Elle est déçue de ne pas avoir pu croiser le trio infernal avant le mariage, pour voir ce que donne cette rocambolesque vie de couple à trois. Et surtout parce qu'elle s'inquiète un peu pour le roux avec toute cette histoire. Même si elle préférerait boire de la tisane jusqu'à la fin de sa vie plutôt que de l'avouer.

Perdue dans ses pensées, elle est partie pour faire trois fois le tour du bled avant de réfléchir à l'endroit ou elle va. Heureusement, son brun la ramène sur terre en lui montrant qu'ils sont devant, d'un geste de la main.

Elle entre en grimaçant, c'est qu'elle aime ni les églises, ni les gens qu'elle connaît pas. Alors là, elle est servie. La main agrippée à celle de son 'Gnace, elle jette un œil autour d'elle. Elle aperçoit les fiancés, en grande conversation. Se disant qu'elle va attendre un peu pour aller les saluer, elle poursuit son inspection des invités. Et voit Ixia à l'entrée de l'église, une petite qu'elle avait croisée à Espalion, ou ailleurs. Quelque part ou elle avait beaucoup bu en tout cas. Elle fait un sourire à la gamine, en se demandant si elle se rappelle d'elle, et reste sur place en réfléchissant à un moyen d'esquiver la cérémonie sans se faire remarquer.
Swan.



Et bien et bien ! En voilà un spectacle un peu plus intéressant que celui que leur avaient offert Tonic et Yelena en taverne. Dommage, elle n'avait pas les « Papes corn » de Muse pour en profiter pleinement. En parlant de Tonic, voilà Dréa qui hurlait quasiment son nom et la rouquine de chercher où pouvait bien être cet « inquisiteur » bruleur de rouquin ... Pour le coup, il allait être servi ici avec tous les rouquins présents. Elle se mit à ricaner en imaginant sa tête, de voir cette couleur tout autour de lui !

Bien caché dans le recoin sombre de sa rue, elle regardait le spectacle qui lui était offert et pour être honnête, elle plaindrait presque cette pauvre Dréa à ce moment précis. Elle grimaça de dégout en voyant le rouquin laisser ses tripes sur un mur de l'église. Et le respect du lieu saint alors ? Tsss. Et Louis ce n'était pas mieux. Oui décidément, elle plaignait bien Dréa à ce moment précis, même si elle savait certainement ce qu'elle faisait.

En les voyant à peine tenir debout, elle comprenait mieux pourquoi son père l'avait menacé de lui foutre une rouste comme jamais en lui mettant sa botte dans son joli postérieur à lui faire remonter le tout jusque dans la gorge si elle continuait à picoler. C'était vrai que ce n'était pas vraiment beau à voir quelqu'un qui était ivre, ne tenant pas le choc et pour le coup, elle n'était pas mécontente d'avoir promis à son père de ne plus toucher à une bouteille !

Son regard fut attiré par du mouvement qui approchait de l'église et elle lâcha le groupe de ses iris clairs. Un sourire, encore un, étira ses lèvres. Kamy venait d'arriver avec son père et les jumeaux. Enfin ils étaient là et même si elle ne pouvait pas aller les voir et se blottir dans les bras paternel, elle était contente de pouvoir ne serait-ce que les entrevoir. Diantre qu'elle aimait son père. Il était tout pour elle et même si elle se montrait toujours grognon et râleuse, il était le seul qui avait une quelconque influence sur elle et il le savait bien.

Si elle était là, c'était bien parce qu'il lui avait dit que ce serait bien d'y être, même si elle ne s'y prenait pas du tout de la bonne façon, il fallait bien avouer. Mais là, elle n'en démordait pas, elle ne se montrerait pas !

Encore quelques minutes de patiences, ils allaient entrer et elle aussi ...
__guilhem__
Le petit Guilhem, novice à l'archevêché et fidèle enfant de Choeur de son père d'adoption, ne pouvait rêver meilleur guide parfois rude et parfois grand coeur, son guide il écouta et à son guide il acquiesça.
Bien mon père,
je vais de ce pas me rendre au parvis.


Inclinaison de la tête et remontée de l'allée centrale, humble signe de tête à ceux qui avaient osés s'aventurer dans la cathédrale, quelques pas vifs et ... le parvis...

Sur le parvis, il reconnu trois des protagonistes du baptême aussi les laissant finir de bavasser et de s'arranger car hum enfin pas sur.


Le bonjour Frère Louis et Soeur Andréa,
le frère Arthur est fin prêt à vous recevoir pour votre grand jour de mariage.

Quand prêts à me suivre vous serez, je serez votre obligée pour vous guider jusqu'aux places qui seront votre pendant cette cérémonie.


Inclinaison de la tête face à Louis qui l'impressionnait depuis son baptême, lui qui trouvait parfois certaines punitions dures, n'avait jamais eu à subir pareil assauts, son dos était... Inclinaison ensuite devant Andréa, et d'attendre le signe de l'un ou de l'autre pour les guider.
Le_g.
Il esquisse un sourire, salue sa belle-soeur et son frangin, heureux de les voir là, et abandonne lâchement ses Tiers pour aller l'embrasser sur la joue, et serrer la main de l'As.

Frangin, Kam', contents qu'vous soyez là...

Il se penche vers les petiots, et retire la fleur qu'il a à sa boutonnière, se penchant vers Lena.


Dis, princesse, tu veux bien être la petite reine aujourd'hui ? j'voudrais te d'mander de nous guider vers l'autel, en suivant...

Et pile poil, à ce moment là, arrive le serviteur qui va bien. Le hasard fait parfois bien les choses.

En suivant Guilhem ? On arrive tout de suite.


Petit à petit, il reprend des couleurs, pas le moment de flancher, même s'il partirait bien en courant là, genre aller saluer les helvètes bretonnant du côté de là où on construit des châteaux pour les Senhoritas, en haut à droite près de l'Artois. Ouaip, cherchez pas à comprendre, pour une fois, la boussole qu'il a avalé quand il était petit est déréglée.

Il se relève et regarde ses Tiers, sa femme et son amant, allant les voir, glissant une main au creux des reins de sa chiasse, entendez par là, sa femme, pas la courante qu'il a d'puis quelques heures, et l'embrasse avec passion, lui caressant la joue de son autre main, avant de regarder Lest, et de lui filer une feuille d'menthe. Ouaip, faut pas déconner non plus hein. Il a une haleine à faire crever toute une armée, rien qu'en ouvrant la bouche là...


On y va ? Heu, Tonic ? T'veux bien conduire Andréa ? Et heu... Sam ? L'est où Samaelle ? j'crois qu'Lest aurait b'soin d'bras pour l'aider à marcher droit.

Ouaip, on le ref'ra pas, mais bon, il impose pas non plus, il fait qu'demander puis il se dirige vers son couronné d'frangin.


Prêt à conduire ton p'tit frère à l'échaffaud ?

Esquissant un sourire en coin, il regarde l'As, plus qu'à voir si les "acteurs" de la cérémonie se mettent en place ou si ça leur convient pas et qu'il faut trouver un autre plan d'attaque pour entrer dans c'te fichue cathédrale.

_________________
Samael..
Les idées saugrenues ou les plans foireux de son frère, elle en avait l’habitude. Le rouquin ne débordait point d’imagination et s’emberlicotait inlassablement dans des beaux draps.

Cette fois par contre, il s’agissait d’un mariage. La jeune fille avait d’abord écarquillé ses mirettes, s’était nettoyé l’oreille gauche puis la droite, avait prononcé d’une étrange petite voix…


Pardon ?

Et la phrase avait été répétée…lestat allait se marier…et avec qui ? Andréa, oui d’accord et ? Louis ? Oui oui elle ne rêvait pas, Louis, leur cousin, tout se qu’il y a de plus couillu. Un mariage a trois, comme si a deux, les choses n’étaient pas déjà assez compliquées. Donc nous avions là une union effrontément mixte et incestueuse.si se n’est pas merveilleux !!!
En bonne et pieuse aristotélicienne, elle avait commencé par se signer. Bien heureusement, elle savait que les deux autres protagonistes étaient sains d’esprit et suite à une conversation entre cousins, elle avait été rassurée. Louis et Andréa étaient se qui pouvait arriver de mieux dans la vie du rouquin frappa-dingo-dégenté. Samaelle avait donc hâte d'assister au bonheur de son frère

Elle s’était donc rendue à Narbonne sans se faire prier, accompagnant par la même occasion, un sanglier a la dérive, mais ca, c’est une autre histoire.

Elle avait passé la matinée à se pomponner, se bichonner, troquant ses habits de paysanne contre une robe de satin. Elle peigna sa longue chevelure rousse, prépara ses trois rejetons et les regarda fièrement.

Toute la troupe enrubannée et parfumée se mit en route. Ils avaient failli être en retard et terminèrent les derniers mètres au trot.


Et heu... Sam ? L'est où Samaelle ? j'crois qu'Lest aurait b'soin d'bras pour l'aider à marcher droit.

Essoufflée, un petit roux sous le bras droit, un sous le bras gauche et une devant, elle cria

Présente !!!

Un sourire a la cantonade, quelques courbettes, quelques bras pour confier ses jumeaux et voila la jeune femme auprès d’un…comment dire ca…un ruminant sentant la menthe et les vapeurs de distillerie, l’œil de travers et le sourire émerveillé.Non mais non mais non…un regard vers Louis qui semblait plus pâle qu’un tas de neige, un sourire de compassion a Andréa

Ma chérie, sais tu au moins se que tu fais ?

Un taquet au rouquin pour qu’il se reprenne. Non mais dîtes moi.j’ai été adoptée c’est ca ?

Bras dessus-dessous, elle entraîna, Lestat vers l’entrée de la cathédrale.
Arthurcano
Le frère Arthur était aux derniers préparatifs pendant qu'il attendait que son novice et fils adoptif fasse l'accueil de Louis et de sa petite famille afin de les guider jusqu'au Maître Autel.

Lui était retourné à la sacristie, un petit godet de calva dans le gosier pour... Bah se chauffer la voix... il faut même par les temps qui cours un second pour éviter la tourista ou de se
casser la voix !

Quelle tenue ce jour, un mariage et une nouvelle année c'était plutôt festif et en même temps solennel donc hum ... Pas la noir pas la noir lui chanter une douce voix aimée dans sa tête elle gratte et elle est moche... Sourire en pensant à sa douce Zabelle pas la noire donc alors va pour ce bonnet qui tient chaud et pour cette aube colorée.



Ainsi paraît et la gorge réchauffée, il se rendit donc au coeur de la cathédrale et illuminé des rayons de l'hiver qui filtraient à travers les vitraux enfin réparer suite à l'intervention des artisans de Narbonne avec qui il avait eu contact depuis l'incident, sur le lutrin il l'ouvrit à une page bien précise concernant la cérémonie du mariage et alors que la cathédrale se remplissait, il ne restait plus qu'à son fillot comme à Andréa de prendre une autre route celle qui mène de la porte à l'Autel, puis de l'Autel à l'Anneau et enfin de l'Anneau à une vie scellée pour le meilleur et pour le pire.

Bras ouverts, mains posées sur l'Autel, il ne restait qu'à poser son regard sur les futurs mariés qui ne devraient plus tarder.

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Djazia
Djazy entra à son tour.. restant là ou elle sera le plus utile............... au font à coté de la porte pour pouvoir s'éclipser des qu'on l'aura vus.
Acte de présence, vous connaissez ?
Nan, elle compte bien jouer le pot de colle jusqu'à la fin ! surtout qu'elle à une ptite surprise pour eux .. c'est que. les mariages c'est pas ça tasse de thé..... mais si y a un mariage à n'pas rapper.. c'est celui là !!!
Elle chercha du regard trois petites têtes famillière et sourit à la vus des trois principaux concernés..
Vlà qu'un des futur marié embrasse la dmoiselle.. l'a pas dis oui !
naaaaaan une feuille de menthe ?
Ralala.. prend note pour pouvoir critiquer, sinon c'est pas drôle.
le p'tit groupe se sépare..
Djazy sourit de les voir ........ toutes choses ........ , aah c'est beau c'est beau l'amouuuuuuuuuur..
Gypsi
    [Un peu plus tôt]


Tandis que la bohémienne fait un bordel monstre pour trouver la mariée, une rouquine veut rentrer dans la cahute des deux hommes, et la colombe sort et beugle un bon coup. Au moins, elle est réveillée, et c'est déjà une bonne chose. Et la brune sourit. Oui... elle a mis une robe pour son mariage. Elle s'était promis de ne pas y aller dans sa tenue habituelle, parce qu'on lui avait dit qu'à l'église ça faisait désordre. Et même si le Très-Haut était censé tout voir, et tout savoir... Bref, elle avait fait un effort. Et puis, sa robe lui plaisait énormément aussi. Offerte par l'homme qui la connaissait sans doute le plus au monde... C'était pas peu dire. Bref... Seulement si elle avait su que la voir en robe provoquerait larme et étouffage dans les bras de la 3C elle aurait peut-être réfléchit à deux fois... Mais bon, c'est son mariage, et elle est sa témouine. Donc elle sera adorablement gentille aujourd'hui. Qu'elle en profite seulement, ça ne durera pas. Donc, elle la serre un instant dans ses bras, la recule gentillement mais avec force tout de même, lui essuie ses larmes d'un revers de pouce.

Et puis, tout s'enchaine, l'enfilage de robe par la chataigne, coifage, décisionnage. Bref, la colombe prend les choses en main. Et se dépêche. Et parle parle et reparle ! Elle débite à une vitesse folle. Et pose des questions à laquelle la brune n'a pas le temps de répondre, même si elle s'y essaie et ça donne ça :


Il est... Parc'qu'... Oui ! Nan.. J'sais pas ! Euh, ah bon ? Bin bizarre... Euh oui, j'peux t'lasser ça... Tendue ? si ça s'voit ?! Naaaaaan ! si peu !!!

Ouf ! respire... et en même temps qu'elle. T'as tout compris Gyps ? Non pas vraiment, mais ce n'est pas le plus important ! Bon quand même, la brune mâte sans vergogne le résultat et la tenue de sa colombe. Un petit sifflement s'échappe de ses lèvres, pour signifier : "t'es MA-GNI-FIQ' ma belle !' Et là, c'est le drame. La bohémienne se retrouve avec une miocharde dans les bras. Et... Elle déteste ça les gosses ! Même ceux de la 3C. Les gosses, très peu pour elle. Par chance tout de même, elle sait les tenir dans ses bras, ayant vécu l'expérience de mère un tout petit moment dans sa vie, et ça, ça ne s'oublie pas. Alors elle tient la gamine braillarde dans ses bras, malgré une légère grimace. Oh oui Andrea, un jour, je te le ferais payer ça ! Contente de goûter à mes bras ! tu parles ! Et la brune marmonne. Bon, le sourire revient quand elle entend le mot "refiler". Ah oui ! c'est juste pour le trajet. Bon bah, parfait, elle fera un effort alors ! Surtout pour les régurgitations. Et la brune de murmurer à la miocharde qui ne doit pas bien comprendre encore :

Tu r'tiens tes régurgitations jusqu'à l'église ! sinon tu vas pas faire long feu dans c'monde !

Un sourire à la brune, et en avant marche. Une, deux. Berdol Andrea ! marche pas en crabe comme ça. Une deux, une deux... Enfin l'église ! miracle de la vie !

    [Devant l'église]


Voilà la gitane qui furette pour trouver à qui refiler le paquet cadeau pleurnichard, régurgitateur et empesteur à ses heures, à quelqu'un d'autre. Quelqu'un du groupe, de la troupe... Et la voilà qui parle :


Dis, c'qui Ignace machin chose ?!

Mais elle parle dans le vide, la colombe a déjà rejoint son/ses futur(s). Léger soupir de la bohémienne, avant de se reprendre. De se murmurer intérieurement : "je vais bien, tout va bien, je suis gaie tout me plaît !", et de regarder autour d'elle. Alors... Ignace Lise ou Nicolas lui avait-on dit... Et Tonic ? Elle n'avait pas le droit de confier la gamine au dit brun qu'elle apercevait de loin ? Parce qu'au fond, elle ne connaissait pas grand monde dans le flot d'invité qu'elle voyait là. Oh, et puis, embêter un peu le brun ne serait pas si mal que ça. Elle n'était pas bien heureuse de sa présence, alors si elle pouvait trouver dans cette présence un attrait quelconque, il ne fallait pas refuser non ? Elle s'approchait vers lui quand... Parce que tout se passe bien trop vite lors d'un mariage pour le petit cerveau d'une brebis un peu perdue faut l'avouer... C'est qu'elle n'a pas bien l'habitude de ce genre de cérémonie. Donc, nous disions - elle se dirigeait vers Tonic quand Guilhem se présente et invite tout le monde à entrer. Et bien sûr, tout le monde se tourne vers les mariés et témoins, pour suivre leur entrée dans l'église... Et... débandade. La brune se retrouve larguée devant la porte de l'église, seule - ou presque avec un ou deux petits retardataires . Ils sont tous rentrés. Et Gypsi qui a toujours la môme dans les bras.

Légère panique à l'horizon. Inspiration expiration, et la brune se précipite à l'intérieur. Regard sur les bancs de droites, regards sur les bancs de gauche. Quelques pas en avant, et elle aperçoit Tonic, elle s'approche, murmure un rapide : "bonjour" et lui refile la petite dans les bras alors qu'elle commençait à régurgiter, laissant une petite trace sur la robe de la brebis. Qui ne râle pas parce qu'elle en s'en aperçoit pas tout de suite...


Tiens moi ça. Et garde la bien, c'celle des malheureux du jour.

Puis, sans attendre de réponse, elle file vite vers l'avant, quelques pas pour ne pas se faire rattraper ou arrêter par le dit Tonic. Et là, groos mais alors gros moment d'hésitation. Elle n'a pas réviser correctement. Et alors qu'elle reste debout, comme une nouille entre les deux rangées de bancs, à fixer le vide de ses prunelles, elle réfléchit... Où est la place des témoins dans tout ça ? Un coup d'oeil vers Lestat, tellement bourré qu'elle ne sait pas bien si elle doit lui faire confiance ou non, même s'il est accompagné... Et la rouquine qui Couine qui n'est pas là... Léger soupir, et puis, de nouveau marche, après un grand instant de solitude et de ridicule, elle va vers le premier rang pour prendre place aux côtés du rouquin... Comme ça, si jamais trop bourré il dégueule, une régurgitation de plus ou de moins... On ne sera pas à ça prêt !
_________________
Tonic


Au terme de la traversée jusqu'à l'église, la masse des invités se faisait plus distincte et il fit signe à ses quelques compagnons qu'ils pouvaient rester en retrait, bien qu'un peu inquiet de la présence des amis des mariés qui n'étaient pas les siens. A peine quelque pas de plus et Louis, accompagné de son cousin vint le saluer.

Bonjour Tonic ! Merci d’être venu. Ca m’fait plaisir de te voir. Tu connais Lest, et notre belle va pas tarder à arriver.

Lui rendant son geste amical, il le salua également.

Comment vas-tu ? Pas de soucis, je n'allais pas trahir ma promesse, j'espère pour toi que ça ira !

Sans avoir le temps de lui demander pourquoi il semblait mal en point, Andrea vint embrasser son futur mari. Tonic souriait, écoutant distraitement leur conversation, il s’apprêtait à se rapprocher de l'église avant d'être interrompu.

Tôôôôoooniiiiic, comme j'suis contente de t'voir ici...

Ne sachant pas vraiment si son enthousiasme était forcée ou sincère, il sourit, la saluant également. Les connaissances des futurs mariés arrivaient un à un et le lieu de réunion près de l'église était de plus en plus bruyant. Tonic observait les personnes présentes, connaissant tout juste de près ou de loin la moitié d'entre elles. Quelques minutes s'écoulèrent avant que Louis ne lui demande d'accompagner sa future épouse jusqu'à l’Église. Acceptant, mais n'ayant pas le temps de s’exécuter jusqu'au bout qu'une brune qui ne lui était pas inconnue vint lui poser une gamine dans les bras avant de filer en vitesse sans le laisser en placer une.
Quelque peu hésitant, et n'ayant rien entendu de ce que Gypsi lui avait rapidement dit, il ne savait pas exactement qui il tenait maladroitement. Dans le doute, et ne voulant pas faire d'erreur au cas où l'enfant appartiendrait à la famille de Louis ou de Lestat, il se retourna vers l'un de ses compagnons resté en retrait et lui confia rapidement le nourrisson, lui conseillant de le remettre à ceux à qui il appartient. Il n'eut pour réponse qu'un regard surpris et quelque peu perdu, soulignant toute la difficulté qu'il aurait pour ce faire. Un léger haussement d'épaule pour lui faire comprendre qu'il ne savait pas lui même comment s'y prendre, il le laissa là à sa tâche avant de se rediriger vers l'église.


______________
Ixia.
La mioche attendait sur le parvis... pis entre quand même dans l'église, et furte un tit peu... Elle connaissait bien les églises du Rouergue mais pas ici... Rhaa d'habitude elle sonne les cloches, et ça elle aime plus que tout au monde.. Mais aujourd'hui non, elle peux pas... Un long soupir en regardant le clocher.. Pis elle ressort, elle voulait pas rater l'arrivée de sa magicienne.

Elle voit trois personnes arriver, et quelles personnes héhé!!! Alors elle sautille de joie sur place, oh oui là elle était heureuse la mioche, parce que y'avait enfin sa magicienne qui était magnifique, vraiment trop trop belle, alors elle fonce pour lui faire un poutou géant et un câlin.


T'esss trop belleeeee, je t'aime de tout mon coeur.. Dis tu crois que je pourrai sonner les cloches après la cérémonie?

Bah oui elle a cinq ans... alors forcément que ses petites pensées sont bien autres que celle des grands, pis en plus les trucs conventionnel toussa, bah elle comprend pas... bref.. c'est notre Ixia quoi...

Ensuite un gros et énorme bisou à Lestat, elle l'aimait beaucoup et y'avait de quoi... il lui avait fait un cadeau magique, c'était d'ailleurs ainsi qu'elle avait connu sa magicienne.. Mais bon c'est une autre histoire.. Lui aussi était super beau dis donc...

Waouhh t'es trop beau aussi toi.. Ca va?

Pis elle regarde le marié, bah oui elle le connait pas encore lui... mais la gamine est pas farouche pour un sou, alors hop un poutou aussi, elle est pas comme ça hein.

Moi je suis Ixia et j'ai cinq ans.

La mioche était super contente d'être là, même si elle connaissait pas grand monde, elle s'en fichait, elle adorait les mariages, et pis elle aimait beaucoup trop sa magicienne et Lestat pour manquer ça.
Pis c'était l'heure de rentrer, alors go elle rentre dans l'église... et là pas de chance, elle avait pas son petit fauteuil sur l'autel, vu qu'aujourd'hui bah elle était pas enfant de coeur.. seulement elle voulait quand même tout voir et rien raté.. donc oui elle ose.. elle va s'assoir sur le banc tout devant.. elle a pas le droit? Non sans blague, bah allez donc lui dire...

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Queen_
    Tu sais petit, la vie n’est pas toujours simple
    Y’a des grands moments
    Et des petits moments
    –Logique-
    Pis y’a des moyens moments aussi….
    Des moments joyeux
    Des tristes


    Elle aurait pu continuer un long moment à débattre sur la taille et la proportion de la vie avec le petit garçon qui était face à elle, jusqu’à ce qu’elle se rende compte que quelqu’un venait de le traverser, et qu’il était parti en fumée. Olé, tendre petite Queen, ne pousse pas trop sur la bouteille, tu parles à un banc là.

    Mine de rien, elle se racla la gorge, et se rendit compte que certaines personnes la regardaient. Faut dire que ça faisait un moment qu’elle lui causait, à ce banc. Elle était tellement concentrée qu’elle en avait oublié ce qu’elle fichait là. Mais bizarrement, elle entendait un bruit au loin, et des gens se dirigeaient en nombre vers le même endroit.


      Et merdeuuuuuuuh ! J’ai encore oubliée !


    Comme marraine/témoin, on aura vu mieux hein. Et c’était une Queen qui ne s’était pas changée et donc toujours dans sa tenue de ville qui s’élança en direction de l’église. C’est une image hein, parce que elle en tenait une bonne et le fait de courir était exclu.

    Arrivant devant, essoufflée comme si elle venait de faire huit fois le tour de la ville, elle grimpa les quelques marches qui menaient à l’édifice, ouvrit la porte -Qui grinçait moins qu’à Espalion- et s’écria


      Je suis là ! Vous *hips* en faites pas !


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Le.gaucher
Près de sa belle-soeur, il sourit à Kamy.

C'va aller.

Lorsque la petite vient lui parler, il s'accroupit.

Bonjour Ixia, moi, c'est Louis. Ravi de te rencontrer, jolie damoiselle. Tu es plus jolie qu'une princesse !

Il lui prend la main et y dépose un baiser, en réponse à son poutou, lui souriant.

Tu vois le messire qui est là ? La fille près de lui, elle a ton âge, Lena... Tu peux aller près d'elle, et tout à l'heure, je danserai avec vous, quand les gadjé seront partis se coucher, d'accord ?

Il se redresse, respire un bon coup, vérifie pour la énième fois la présence des anneaux dans sa poche, et entre dans la cathédrale pour rejoindre son parrain, sa marraine, leurs invités, saluant Titi d'un signe de tête, regardant Toto que gyspi vient de charger d'un paquet cadeau : sa fille Victoire, et sourit, amusé de la scène.

Passant près de Titi, il lui murmure :


S'lut Titi, merci d'être venu.

Sacré rassemblement en cette cathédrale. Son frangin l'As, Titi et Tonic... sans compter d'autres sous des capuches et à qui il fait des petits signes de tête pour certains.

C'est donc ça le bonheur ? Si simple... Partager un moment de joie avec ses amis, ceux d'avant, ceux de maintenant, simplement profiter d'une journée de paix, ensemble.

Arrivant près de Tonic, accompagné par son frangin, il murmure :


Gaffe Toto, c'est ma gosse que t'avais là... Essaye d'pas la perdre, c's'rait plutôt bien... R'file là à Kamy, ou à Lena, C'est une grande maintenant, ma filleule... Elle s'est fait sa première mairie il y a peu. Une grande fille, digne de son papa.

Et il accompagne sa phrase d'un clin d'oeil parce qu'il taquine Tonic, sachant très bien qu'il aime pas qu'il l'appelle comme ça, mais bon, il l'a murmuré, personne ne peut donc savoir, hormis les plus proches, qu'il compte les doigts d'une main.

Et enfin, ils sont là, tous les trois, devant l'autel, un peu perdu... Il a bien assisté à quelques mariages, mais ça date !


Se redressant, il regarde son parrain, genre : bon, on fait quoi maintenant qu'on est là ? J'sors les anneaux et hop, on va picoler ? T'aurais pas un coup à boire avant ? Et il déglutit, parce que bon, quand on sait comment s'est passé le baptême, on peut craindre pour le mariage...
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Arthurcano
Regard du fillot, entre les deux un fil d'Ariane, un sourcil qui se lève puis l'autre...

Et bien mon fillot, apparemment tous son présent et nous allons pouvoir entamer votre cérémonie de mariage selon les rites de notre Sainte Eglise érigés par le droit Canon.

Si au baptême quelques surprises il fut, pour ce jour de gloire qui est votre, j'espère un peu plus de solennité.

Un regard à Andréa puis un autre à Louis... Son regard se fit circulaire auprès de l'assemblée réunie pour ce grand jour qui célébrera une union faite d'amour comme il avait pu en apercevoir quelques extraits par les regards ou les mains effleurantes lors de leur baptême.

Puis à l'assemblée et faisant face aux futurs époux qui s'unisseront devant le Très Haut, la cérémonie débuta en ces mots...


Mes frères et soeurs,
Croyants et Fidèles,


Se tournant vers son fillot...
Louis,

puis vers Déa...
Andréa,

Nous sommes ici aujourd'hui réunis pour célébrer l'amour, celui entre deux êtres, vous, l'amour de la vie pour ne pas dire celui d'une vie et ce bien après moult péripéties de couples.

Aujourd'hui, nous allons célébrer votre union avec vos témoins et amis ci réunis, par cette cérémonie du mariage vous aller lier vos deux destinées pour la Vie, une vie qui je vous l'espère sera d'éternité ici bas et qui se poursuivra dans la lueur du Soleil par delà un trepas qui un jour viendra.

Puisse l'amour universel vous faire triompher de l'adversité, des quand dira t on, puisse cet amour vous guider tous les deux sur la voie de la Lumière du Très Haut.

Prions ensemble pour l'amour en pensant à nos deux amis, Louis et Andréa, en récitant maintenant le crédo !

Credo a écrit:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen

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