Lglvh
La Rencontre
A toi Ma Colombe et toi mon Gaucher
Et un jour un homme
dont le regard vous frôle
Vous porte sur ses épaules
Comme il porte le monde
Et jusqu'à bout de force
Recouvre de son écorce
Vos plaies les plus profondes
Et un jour une femme
Dont le regard vous touche
Met sa main dans la votre
Parce qu'elle porte le monde
Et jusqu'au bout d'elle même
Vous prouve qu'elle vous aime
Par l'amour qu'elle inonde*
L'impression d'être dans un navire à la dérive, d'avoir plus de gouvernail ni de rames, et que le courant vous entraîne, vous connaissez ? Bah c'est l'impression qu'il a, pile poil à ce moment là, le Gaucher. Déa fait son apparition, encadrée par ses témoins, et il sourit, ravi de la voir. Cette robe est merveilleuse et lui va à la perfection. Tentant de se tenir à peu près droit, ce qui n'est pas facile quand vous avez le fion qui vous démange, l'envie de courir pour aller vous soulager, même si bon, depuis quatre ou cinq arrêts, il n'y a plus rien qui sort, vidé, lessivé le Gaucher la regarde. En prime, il sert de pseudo gouvernail à son cousin/amant/témoin qui s'appuie sur lui, et donc on vous laisse imaginer le magnifique tableau qu'ELLE peut avoir en voyant ses deux L.
Whaou ! Tu es magnifique !
La voix éraillée de Lest, les vapeurs de chanvre, et le reste, ils sont frais, les gaillards.
A travers de son brouillard, il crût a un mirage éthylique quand un troupeau de donzelles aux courbes autant voluptueuses les unes des autres sapprochèrent. Mais la première sortait du lot, somptueusement belle, faisant l'effet d'un coquelicot dans un champ d'orties lui tapa a lil, lému, le bouleversa au point qu'il faillit ne pas la reconnaitre. Mais c'était bien elle, malgré son sourire chiassique moins prononcé qu'a l'ordinaire, Déa était la devant eux, merveilleusement divine. Bouche bée, le rouquin l'accueillit.
oh déa Ptééé que t'es bonn uhm charmante,merveilleuse,sssssplendide!!! ca t'dit une glace a la men..uhm t'vas bien?
Il sourit dadmiration, subjugué par tant de grâce et de beauté. Il envoya une éructation de tous les saints, par les burnes du sans nom, il lâcha et louis et la bouteille pour aller crépir le mur latéral de l'église. Il s'en revint, vert, mais plus léger.
Ah ça, ils sont là. Un peu trop peut être ?!
Elle les observe de haut en bas. Beaux. Oui ils sont beaux, en même temps elle a fait en sorte qu'ils soient habillés pareil donc forcément qu'elle les trouve beau. Elle en resterait bien sans voix s'ils avaient l'air en pleine forme, ce qui est... loin d'être le cas.
Louis a l'air d'avoir un baton dans l'séant et Lest est verdâtre. D'ailleurs il lâc
D'ailleurs il lâche une phrase quasi en même temps que Louis et file... Oui vous ne rêvez pas, il part recouvrir le mur de l'église d'un magnifique jet fumant.
Et y a pas que le dégueuli qui fume, la Chiasse aussi. Elle fulmine.
Vous aussi, z'êtes... beaux...
Elle s'approche de Louis, l'embrasse -pour les papillons dans les yeux on repassera- et lui souffle, une main glissant contre ses reins.
Je rêve où vous êtes beurrés ? L'aut' on l'entend beugler d'l'autre côté d'la rue et toi t'as l'air d'avoir pris la cuite de ta vie, Lou' tu déconnes ? Vous buvez sans moi pendant que j'me troue la cervelle sur mes voeux ? C't'une blague, Lou' tu vas désaouler tout d'suite et m'changer cet air d'haridelle en un futur époux resplendissant. Tout d'suite !
Un petit regard noir pour le futur époux et un sourire pour les invités. La belle se penche vers Lestat, chacun son tour de morfler.
Et ton thé à la menthe tu t'le carres bien profond, t'aurais mieux fait d'boire du thé ouais, j'vais t'faire bouffer tes...Tôôôôoooniiiiic, comme j'suis contente de t'voir ici...
Berdol, tout, ils lui auront tout fait.Sourire de façade pour les invités... C'est r'parti !
Louis
Andréa
Lestat
_________________
A toi Ma Colombe et toi mon Gaucher
Et un jour un homme
dont le regard vous frôle
Vous porte sur ses épaules
Comme il porte le monde
Et jusqu'à bout de force
Recouvre de son écorce
Vos plaies les plus profondes
Et un jour une femme
Dont le regard vous touche
Met sa main dans la votre
Parce qu'elle porte le monde
Et jusqu'au bout d'elle même
Vous prouve qu'elle vous aime
Par l'amour qu'elle inonde*
L'impression d'être dans un navire à la dérive, d'avoir plus de gouvernail ni de rames, et que le courant vous entraîne, vous connaissez ? Bah c'est l'impression qu'il a, pile poil à ce moment là, le Gaucher. Déa fait son apparition, encadrée par ses témoins, et il sourit, ravi de la voir. Cette robe est merveilleuse et lui va à la perfection. Tentant de se tenir à peu près droit, ce qui n'est pas facile quand vous avez le fion qui vous démange, l'envie de courir pour aller vous soulager, même si bon, depuis quatre ou cinq arrêts, il n'y a plus rien qui sort, vidé, lessivé le Gaucher la regarde. En prime, il sert de pseudo gouvernail à son cousin/amant/témoin qui s'appuie sur lui, et donc on vous laisse imaginer le magnifique tableau qu'ELLE peut avoir en voyant ses deux L.
Whaou ! Tu es magnifique !
La voix éraillée de Lest, les vapeurs de chanvre, et le reste, ils sont frais, les gaillards.
A travers de son brouillard, il crût a un mirage éthylique quand un troupeau de donzelles aux courbes autant voluptueuses les unes des autres sapprochèrent. Mais la première sortait du lot, somptueusement belle, faisant l'effet d'un coquelicot dans un champ d'orties lui tapa a lil, lému, le bouleversa au point qu'il faillit ne pas la reconnaitre. Mais c'était bien elle, malgré son sourire chiassique moins prononcé qu'a l'ordinaire, Déa était la devant eux, merveilleusement divine. Bouche bée, le rouquin l'accueillit.
oh déa Ptééé que t'es bonn uhm charmante,merveilleuse,sssssplendide!!! ca t'dit une glace a la men..uhm t'vas bien?
Il sourit dadmiration, subjugué par tant de grâce et de beauté. Il envoya une éructation de tous les saints, par les burnes du sans nom, il lâcha et louis et la bouteille pour aller crépir le mur latéral de l'église. Il s'en revint, vert, mais plus léger.
Ah ça, ils sont là. Un peu trop peut être ?!
Elle les observe de haut en bas. Beaux. Oui ils sont beaux, en même temps elle a fait en sorte qu'ils soient habillés pareil donc forcément qu'elle les trouve beau. Elle en resterait bien sans voix s'ils avaient l'air en pleine forme, ce qui est... loin d'être le cas.
Louis a l'air d'avoir un baton dans l'séant et Lest est verdâtre. D'ailleurs il lâc
D'ailleurs il lâche une phrase quasi en même temps que Louis et file... Oui vous ne rêvez pas, il part recouvrir le mur de l'église d'un magnifique jet fumant.
Et y a pas que le dégueuli qui fume, la Chiasse aussi. Elle fulmine.
Vous aussi, z'êtes... beaux...
Elle s'approche de Louis, l'embrasse -pour les papillons dans les yeux on repassera- et lui souffle, une main glissant contre ses reins.
Je rêve où vous êtes beurrés ? L'aut' on l'entend beugler d'l'autre côté d'la rue et toi t'as l'air d'avoir pris la cuite de ta vie, Lou' tu déconnes ? Vous buvez sans moi pendant que j'me troue la cervelle sur mes voeux ? C't'une blague, Lou' tu vas désaouler tout d'suite et m'changer cet air d'haridelle en un futur époux resplendissant. Tout d'suite !
Un petit regard noir pour le futur époux et un sourire pour les invités. La belle se penche vers Lestat, chacun son tour de morfler.
Et ton thé à la menthe tu t'le carres bien profond, t'aurais mieux fait d'boire du thé ouais, j'vais t'faire bouffer tes...Tôôôôoooniiiiic, comme j'suis contente de t'voir ici...
Berdol, tout, ils lui auront tout fait.Sourire de façade pour les invités... C'est r'parti !
* florent pagny revisité
post écrit a 6 main
post écrit a 6 main
Louis
Andréa
Lestat
_________________