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[RP] Le Noël des Nobles...

Amarante.
Diantre ! Que de monde d'un seul coup ... Des va et vient, des cris et des rires, des têtes qu'elle ne connait pas et d'autres qu'elle connait bien au contraire ... Marine et Kory tout proche assise au pieds du sapin à écouter les histoires qui étaient raconté ...

Elle alla leur chercher de quoi jouer les gourmandes avec du gâteau et des macarons qu'elle ramena dans un petit plat. Elle n'auraient que y piocher dedans et tant pis pour les tâches qui viendraient forcement ...


Tenez mes chéries, régalez-vous avec ses friandises ...

Elle salua d'un signe de tête le Duc actuel qui entra puis fixa son regard sur un blond qui venait d'entrer ... Elle le connaissait mais d'où ?? Elle réfléchit un moment jusqu'à se rappeler que c'était un de ses clients de l'atelier ...

Elle le salua d'un simple signe de tête aussi puis regarda les filles qui se régalaient ...


"- A Brest ? Mon frère y vit depuis quelques temps ! Si vous croisez un grand jeune homme avec un aigle sur son épaule, c'est lui. Il se nomme Phoemerrion mais je l'appelle toujours Merry..."

Un aigle ? Elle regarda en direction de la voix qui avait prononcé ça et plissa légèrement son nez. C’était Roxanne … Peut-être était-il temps d’enterrer définitivement la hache de guerre entre elles deux ?! Elle laissa les filles et fit quelques pas vers les deux jeunes femmes qui devisaient en buvant …

Je ne suis pas loin mes chéries, je reviens vite ...

Elle s'approcha en jouant presque des coudes tellement il y avait de monde maintenant ...

Demat Roxanne, demat dame … Je suis Amy, enchantée …

Elle sourit à la jeune femme et regardant Roxanne elle ne peut s’empêcher de lui demander …

Roxanne ? Je vous ai entendu parler d’un ... Aigle ? … Est-ce que part hasard vous connaissez quelqu’un qui saurait s’occuper de ses animaux ?
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Couleur Brocéliande
Roxannemontfortlaval
Roxanne devisait avec plaisir, auprès de la jeune rouquine Brestoise. Elles avaient entamé un sujet sur la magie de Noël et du coin de ses gris, elle gardait un oeil attentif et empreint d'amour sur son fils, toujours sagement assis près du sapin, piochant sagement dans son assiette à gâteaux.

Et elle sursaute presque alors qu'une voix qu'elle connait bien, même très bien, se fait entendre auprès d'elles. La jeune blonde se retourne vers l'arrivante et lui offre un sourire amical et sincère. Lueur fugitive d'antan qui traversent les prunelles embrumées, plaisir que de retrouver celle qui avant quelques temps troublés, fut l'une de ses excellentes amies et couturière personnelle.

Comme quoi, la magie de Noël existe vraiment. Roxanne va commencer à y croire.


Demat Roxanne, demat dame … Je suis Amy, enchantée …Roxanne ? Je vous ai entendu parler d’un ... Aigle ? … Est-ce que part hasard vous connaissez quelqu’un qui saurait s’occuper de ses animaux ?

"- Demat dit Amy. J'en connais deux. Mon frère et moi-même. Pourquoi ?"

Elle ne s'avance tout de même pas trop encore à lui confier qu'elle est fauconnière, avant que de savoir le pourquoi de la question.
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En deuil de ma Pelote, Dame de Concoret & de Naël d'Artignac, Duc du Tregor et Chevalier de Pontekroaz.
Missanges
Sa bouche s’ouvre il baille ? Il rumine ? La pyramide repasse devant mon nez se voulant l’espace d’un instant protectrice. Petits yeux qui guettent sa réaction au travers des macarons… Avec tout ce monde même pas un qui vint t’aider, tu parles de la terre à la mer solidaire, mon rêve t’es en galère et tu y restes …quoiqu’il sourit, Oui c’est ça au travers des macarons je vois son sourire, ouf !!

Y a quoi à gagner ? De quoi nourrir le bétail ?

Heu ! Vous cherchez la bagarre vous hein !! Non messire il y a les plus somptueux des lots et…Arf il me coupe la parole,

Je dirais que le 73 c’était pour mon côté ironique donc je choisirais plus le 37 si vous me dites où aller.

Mon pied se pose sur le sien le plus naturellement du monde et tandis que mes iris le regardent et que se dessine un joli sourire sur mon visage, mon pied fait une forte pression sur le sien. Va lui apprendre le côté ironique…

C’est noté messire Grannass le numéro 37 et pour les lots je vais vous épater il y a :

Une somme de 3200 écus qui sera divisée afin de faire plusieurs gagnants

Une panoplie, une toilette confectionnée par une couturière renommée, deux robes à 1000 écus

Le privilège d’une audience en salle du trône avec sa majesté Riwan de Brocéliance.

Un billet aller-retour sur un navire pour une croisière

Une croisière pour deux personnes à bord d'un bateau tout confort dès le début de 1461.

Un mantel, une barque, une charrette, 20 livres de raisins, une houppelande, une rame, trois boucliers, cinq épées, quatre bannières, une houppelande

Pour 20 jours, vous aurez votre place réservée dans le plus beau fauteuil et le prêt d’un cheval
Un cours d'escrime à la Cour, un autre cours d'escrime par un grand maître,
Une journée en compagnie d’une charmante dame
36 pains…


Le regardant, alors elle est pas belle la vie !!

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Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie
Esmica
Un numéro et puis un autre numéro encore un autre, la grille commençait à bien se remplir.

Le 39 pour moi s'il vous plait !!!

Bien le 39 pour vous est noté.

Elle aperçoit de loin une jeune femme, avec une superbe robe. Lorsqu'elle s'approcha d'Esmica, elle reconnut Alienor, elle lui sourit.

Demat Esmica ! Comme je suis soulagée de vous voir là. Toute cette foule m’effraie totalement. Je viens pour jouer et participer à la loterie. C’est pas trop tard ? Mais j’espère vraiment gagner quelque chose qui plaira à toute la maisonnée, aussi bien en vêtements, en nourriture ou je ne sais quoi. Est-ce que le numéro 5 est libre ? C’est mon chiffre fétiche !

Demat Alienor, je suis ravie aussi de vous voir ici, et très contente que vous soyez venu. Bien sur il n'est pas trop tard, les personnes ont jusqu'à Noël pour choisir un numéro, et ensuite on annoncera les gagnants. Vous n'êtes pas venu avec vos filles, pour qu'elles choisisse le numéro. Le 5 est libre oui, je vous le note?


Non, non, je suis Louiza, Louiza tout court !!!
Je suis ravie de vous rencontrer et je vous remercie tous de votre accueil.
Dites, faut-il attendre que toute la grille soit remplie?


Pardonnez moi, je vous appellerais Louiza alors, je suis ravie aussi de vous rencontrer. Non on attendra pas que toute la grille soit remplie, on laisse jusqu'à Noël pour choisir un numéro et après on annonce les gagnants.


Elle sourit.

Je dirais que le 73 c’était pour mon côté ironique donc je choisirais plus le 37 si vous me dites où aller.

La jeune femme avait entendu le Messire, pas très loin parler à Missanges, elle se permit de lui répondre.

Je note pour vous le 37.

Pour la loterie, je prendrais bien le numéro 32 s'il vous plait.

Demat Messire, c'est bien noté pour vous le 32.

Airina: 29
Xhena: 9
Liocea: 19
David le Charretier: 15
Myssycat: 13
Korydwen.: 55
Eve_de_saintem: 33
Jean_le_cayeux: 49
Secate: 16
Steph46: 46
Amarante.: 24
Haelig: 6
Marineblanche: 36
Marinea.: 17
Brynhild: 3
Heol: 73
Maellia_de_kerroch: 50
Louiza: 54
Macsen_pedr: 67
Seloute.: 39
Alienor.: 5
Grannass: 37
Theoden35: 32

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_tuatha_




Citation:
Demat Roxanne, demat dame … Je suis Amy, enchantée …


Toute à sa conversation elle n'a pas vu approcher la nouvelle arrivante !
Encore une dame à la mise bien elegante ... Décidement elle va finir par se sentir génée avec sa houppelande défraichie qui en a vu bien d'autres !!
Enfin il ne faut pas toujours s'attarder sur les questions vestimentaires , elle en sait quelque chose la rouquine ...

Elle fait donc un sourire de circonstance à la jeune brune et se présente


Demat Dame Amy , je me nomme Tuatha et je suis enchantée egalement de faire vostre connaissance ..

La conversation devie alors sur l'art de soigner les animaux ...
Elle laisse les deux amies parler tranquillement , ne voulant pas s'immiscer dans leur conversation et en profite pour regarder les nouveaux arrivants et la rectrice au prise avec une pyramide de macarons de toutes les couleurs !

Pas l'envie qui lui manque d'aller en chercher un ou deux , son diner est loin derriere elle et son estomac commence à crier famine !
En plus son verre de vin chaud est vide et ma foi elle y a prit goût la rouquine !!

Mais bon la bienséance ne le permet pas et ce n'est pas dans ses habitudes de laisser les gens pour d'aussi futiles raisons

Son oreille se tend quand même un peu , elle aime les animaux egalement et n'a t'elle pas un epervier qui lui sert de pigeon ^^
Amarante.
Demat Dame Amy , je me nomme Tuatha et je suis enchantée egalement de faire vostre connaissance ..

Elle sourit à la jeune femme et hocha la tête quand elle se présenta. Bien qu'il n'était pas dans son intention de couper une éventuelle conversation, c'était bien ce qu'elle avait fait ...

"- Demat dit Amy. J'en connais deux. Mon frère et moi-même. Pourquoi ?"

Elle releva ses fins sourcils, légèrement étonné quand même ...

Vous ?
Et bien voyez-vous mon frère m'a offert un couple de petit faucon émerillon, il y a peu ... J'ai bien eu une leçon avec Maître Gérault de Gaudemar, mais cela remonte à longtemps, quand j'avais quitté la Bretagne et il ne m'a montré que les bases. Ses faucons je les ai maintenant et il faut bien que je m'en occupe et que je les fasse voler sinon ce n'est pas bon pour eux ... Seulement, je ne veux pas faire n'importe quoi non plus alors si je pouvais trouver quelqu'un pour m'aider un peu ...


Et oui, elle avait toujours aimé ses petits faucons. Certes ils n'avaient rien d'aussi majestueux que certains rapaces, mais elle aimait ses petits oiseaux qui chassaient simplement des souris ou autre mulots. Quand elle était à Sant Brieg, elle avait fait construire une volière qui n'avait finalement jamais servi et avait même été détruit avec le temps ...
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Couleur Brocéliande
Grannass
Nan mais pourquoi est-ce qu'elle lui écrasait le pied ? Elle avait trop peur qu'il se plante dans son arrière train ? Le jeune homme se retint de riere pour l'écouter commencer son énumération.

Trop, ça fait beaucoup trop ! Elle se fichait de lui et sévèrement. Et ça il ne le tolérerait pas ! Il continua à l'écouter en préparant une réplique des plus cinglantes. Le tout étant de soigner sa sortie. Il comptait adopter la stratégie typiquement Grannassienne qui consistait à manquer de respect pour ouvrir une brèche puis à humilier parce qu'il faut pas se moquer du monde.

Il continuait à la fixer dans les yeux, le visage impassible. Mais, à un moment, il se rendit compte qu'elle ne mentait pas, ou alors elle mentait vraiment très bien mais il avait des doutes là dessus. Il avait quand même un minimum d'expérience avec les femmes et aucun signe ne trahissait le mensonge. Le menteur expérimenté et talentueux qu'il était venait-il de trouver son maître ?

Au pire, si elle se foutait de lui, il aurait l'air bête. Il décida donc de la croire, choix extrêmement facile pour le naïf qu'il pouvait être à ses heures. En fait, elle était peut être pas si méchante, peut être même qu'il y avait tout pleins de nobles gentils...


La vie en ce Bas Monde n'est que tourment pour Son Éminence mais quand j'entends ce genre de choses, je ne peux penser que la nature humaine n'est pas aussi portée à l'égoïsme qu'on voudrait le croire. Je suis tout bonnement ravi que la noblesse sache se montrer aussi généreuse. Votre action est louable et change radicalement la vision que j'ai de...

Gagner une rame ? Vous pensez que c'est pour moi ?

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Douchka
Elle arriva son petit conte dans la tête, regarda autour d'elle, souriante aux personnes présentes.



Un bonjour, un comment allez vous, une bise ici, l'autre là.

Elle n'avait que peu de temps, pressée par le travail mais elle faisait partie de la noblesse depuis peu et espérait se montrer à la hauteur au milieu des bretons de tous horizons, de tous milieux et se rapprocha du coin des enfants.


J'ai un conte moi aussi pour vous et pour les plus grands qui ont gardé un cœur d'enfant. C'est triste et beau aussi, j'espère que vous aimerez à le redécouvrir.

Elle s'installa donc sur les coussins, repliant ses jambes et captura un instant l'attention des enfants.

La petite fille aux allumettes

Il faisait effroyablement froid; il neigeait depuis le matin; il faisait déjà sombre; le soir approchait, le soir du dernier jour de l'année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue: elle n'avait rien sur la tête, elle était pieds nus. Lorsqu'elle était sortie de chez elle le matin, elle avait eu de vieilles pantoufles beaucoup trop grandes pour elle. Aussi les perdit-elle lorsqu'elle eut à se sauver devant une file de carrioles ; les charrettes passées, elle chercha après ses chaussures; un méchant gamin s'enfuyait emportant en riant l'une des pantoufles; l'autre avait été entièrement écrasée.

Voilà la malheureuse enfant n'ayant plus rien pour abriter ses pauvres petits petons. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes: elle en tenait à la main un paquet. Mais, ce jour, la veille du nouvel an, tout le monde était affairé; par cet affreux temps, personne ne s'arrêtait pour considérer l'air suppliant de la petite qui faisait pitié. La journée finissait, et elle n'avait pas encore vendu un seul paquet d'allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se traînait de rue en rue.

Des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières: de presque toutes les maisons sortait une délicieuse odeur, celle de l'oie, qu'on rôtissait pour le festin du soir: c'était la Saint-Sylvestre. Cela, oui, cela lui faisait arrêter ses pas errants.

Enfin, après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d'allumettes, l'enfant aperçoit une encoignure entre deux maisons, dont l'une dépassait un peu l'autre. Harassée, elle s'y assied et s'y blottit, tirant à elle ses petits pieds: mais elle grelotte et frissonne encore plus qu'avant et cependant elle n'ose rentrer chez elle. Elle n'y rapporterait pas la plus petite monnaie, et son père la battrait.
L'enfant avait ses petites menottes toutes transies. «Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts? » C'est ce qu'elle fit. Quelle flamme merveilleuse c'était! Il sembla tout à coup à la petite fille qu'elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d'ornements en cuivre. La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s'éteignit brusquement: le poêle disparut, et l'enfant restait là, tenant en main un petit morceau de bois à moitié brûlé.

Elle frotta une seconde allumette: la lueur se projetait sur la muraille qui devint transparente. Derrière, la table était mise: elle était couverte d'une belle nappe blanche, sur laquelle brillait une superbe vaisselle de porcelaine. Au milieu, s'étalait une magnifique oie rôtie, entourée de compote de pommes: et voilà que la bête se met en mouvement et, avec un couteau et une fourchette fixés dans sa poitrine, vient se présenter devant la pauvre petite. Et puis plus rien: la flamme s'éteint.

L'enfant prend une troisième allumette, et elle se voit transportée près d'un arbre de Noël, splendide. Sur ses branches vertes, brillaient mille bougies de couleurs: de tous côtés, pendait une foule de merveilles. La petite étendit la main pour saisir la moins belle: l'allumette s'éteint. L'arbre semble monter vers le ciel et ses bougies deviennent des étoiles: il y en a une qui se détache et qui redescend vers la terre, laissant une trainée de feu.
«Voilà quelqu'un qui va mourir » se dit la petite. Sa vieille grand-mère, le seul être qui l'avait aimée et chérie, et qui était morte il n'y avait pas longtemps, lui avait dit que lorsqu'on voit une étoile qui file, d'un autre côté une âme monte vers le paradis. Elle frotta encore une allumette: une grande clarté se répandit et, devant l'enfant, se tenait la vieille grand-mère.

- Grand-mère, s'écria la petite, grand-mère, emmène-moi. Oh! tu vas me quitter quand l'allumette sera éteinte: tu t'évanouiras comme le poêle si chaud, le superbe rôti d'oie, le splendide arbre de Noël. Reste, je te prie, ou emporte-moi.

Et l'enfant alluma une nouvelle allumette, et puis une autre, et enfin tout le paquet, pour voir la bonne grand-mère le plus longtemps possible. La grand-mère prit la petite dans ses bras et elle la porta bien haut, en un lieu où il n'y avait plus ni de froid, ni de faim, ni de chagrin: c'était devant le trône de Dieu.
Le lendemain matin, cependant, les passants trouvèrent dans l'encoignure le corps de la petite ; ses joues étaient rouges, elle semblait sourire ; elle était morte de froid, pendant la nuit qui avait apporté à tant d'autres des joies et des plaisirs. Elle tenait dans sa petite main, toute raidie, les restes brûlés d'un paquet d'allumettes.

- Quelle sottise ! dit un sans-coeur. Comment a-t-elle pu croire que cela la réchaufferait ? D'autres versèrent des larmes sur l'enfant; c'est qu'ils ne savaient pas toutes les belles choses qu'elle avait vues pendant la nuit du nouvel an, c'est qu'ils ignoraient que, si elle avait bien souffert, elle goûtait maintenant dans les bras de sa grand-mère la plus douce félicité.






Elle s'arrêta à présent et les regarda un long moment.

Il faut profiter de tout ce qu'il y a pour festoyer ce soir et bien se rapprocher de la cheminée.
Nous sommes des chanceux de pouvoir fêter Noël ensemble.

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Maewenn
Un sourire à sa filleule et un murmure.

Chui juge, alors il va falloir encore attendre quelques semaines pour peut être te débarasser de moi.

Puis les yeux balaient la salle, lentement. Un sourire se dessine, large. Cette fête est une réussite, l'occasion de réunir des gens qui jamais ne se cotoieraient. Pourtant, elle ne se sent guère à l'aise en ce lieu. Trop de monde, trop de bruit. Elle ne sait ou se mettre, ni que faire. Du regard, elle cherche une échappatoire, une porte de sortie, une bouée. Le nez se plisse lentement. Help ...
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Douchka
Un signe à Maewenn qui a l'oeil humide, sensible la petite aux histoires tristes sans doute.

Elle a l'air toute perdue la pauvre et son regard appelle au secours.

Un clin d'oeil raté des deux yeux et un signe du menton vers le buffet.

Sure qu'elle a compris qu'elle a soif ...

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Maewenn
[Du rhum, des femmes et d'la bière nom de dieu
Un accordéon pour valser tant qu'on veut
Du rhum des femmes c'est ça qui rend heureux
Le diable nous emporte on n'a rien trouvé de mieux
Oh oh oh oh on n'a rien trouvé de mieux*]


Une Cahouète qui lui fait signe. Elle se retourne pour être sure que c'est à elle. Nan parce qu'un malentendu est si vite arrivé. Faut mieux être prévoyante. Elle la regarde alors que ses yeux partent en Cahouète. Les yeux de cahouète en cahouète, ca sentirait pas le paté ca ? Du coup, la môme elle se met à loucher sur son nez à elle. 'Tain, qu'elle doit avoir l'air ridicule franchement. Puis le menton cahouètal indique une source. Et la d'un coup, la Guérande se sent tout de suite mieux. A Boaaaaaaaaaaaare. Petits pas rapides vers la source de toutes les convoitises. Un sourire.

Bonjour M'dame super Cahouète.

Sourire amusé.

Chloinnnnnnnnnng.

Bon, elle l'a un peu foiré son entrée en matière pour le coup la. Mais on lui pardonne la pauvre hein, l'était paumée y'a pas longtemps la.

*Soldat Louis
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Douchka
Elle lui sourit et lui glisse dans le tuyau de l'oreille

Madame la jugeote, combien de fois, devrais je te dire que c'est SchBoiiiing et pas Schloiiiing!
Va falloir quand même que ça te rentre dans la tête hein? Parce que Schloiiiing ça fait plutôt slammmm ou pouuuuuuuff, tu comprends?


Faut dire que ces deux là avaient fait connaissance en se heurtant dans un couloir et que les dossiers économiques et Tribunalesques s'étaient répandu au sol du château, mêlant mots et chiffres dans un grand éclat de rire.

Schboiiiing, ça avait fait.

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Missanges
change radicalement la vision que j'ai de...
La noblesse ? …Tsss préjugé quand tu nous tiens.

Un sourire étire mes lèvres

Gagner une rame ? Vous pensez que c'est pour moi ?

Eclate de rire

Ah non alors ! Vous seriez capable de vous en servir contre les nobles…Un macaron ?

Il faut bien que je continue ma distribution, je tends le plateau avant de dire

Au plaisir messire Grannass portez-vous bien et bonne chance dans votre numéro...

La salle s’emplit toujours un peu plus de personnes et j’écoute la voix de Douchka suivant l’échange de clin d’œil et amusée je leur souris. Mon regard se porte vers une personne seule récemment Breton et je me dirige vers lui

Demat messire Ghell, un macaron ?

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Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie
Korydwen.
{Oui, j'suis Marine et pis j'suis une chasseuse de trésor !}

Marine ? Etrange ce nom lui disait quelque chose, mais quoi ? Bin oui, ça remontait à 3 ans maintenant qu’elle avait vu la fillette dans cette boutique de jouet des rues parisiennes. Elle ne se souvenait plus qu’elles avaient pris un ours toutes les deux et que la dame du magasin avait brodé les noms des ours sur leur ventre tout doux.

Avec un grand sourire et bien qu’elle ne s’adressait pas à elle, elle ajouta :

Ko’y aussi chasse les t’eso’s !

Tout sourire et toute contente, sa maman l’amena vers le sapin et elle s’installa sur un des coussins. Il y avait un petit garçon et elle le montra à Marine.

‘ega’de Ma’ine le ga’çon ! Tu c’ois qu’il fait aussi la chasse au t’éso’ ?

Un plat rempli de bonne chose que sa maman leur amena, la coupa dans son élan. Kory n’avait pas trop fait attention à la première histoire, mais écouta avec attention celle que la belle dame avec une jupe rouge et qui était assise devant eux venait de raconter.

Dans son petit esprit de fillette de 5 ans, elle comprit que la petite était morte parce qu’elle avait froid et que personne n’avait fait attention à elle. Du coup, elle regarda son gâteau et se leva avec sa part dans la main pour aller voir sa mère qui parlait avec une belle dame blonde.


Mâma !
Mâma !!


Pff, elle parlait à la dame alors elle tira sur sa jupe.

Mâmaaaaa !!!

Enfin elle avait son attention et elle lui donna son gâteau en le tendant vers elle.

Ko’y veut pas du gâteau mâma. Faut ga’der pou’ n’enfant pauv’e.

Elle se tourna et fit signe au garçon et à Marine et à tout les enfants qui étaient près du sapin de faire comme elle.
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Roselalie
Rose se glisse dans la foule, Ma doué que de monde à la loterie de Noël des noble. La vieille bigote se mare en se disant que c'est ici qu'elle devrait faire la messe... ou demander à Missange et Esmica de tenir leur stand à l'église... à voir...

Demat Esmica, Demat Missange,

félicitation pour l’événement... tout ça me semble réussit et décoré avec goût.


Elle regarde le sapin qui est vraiment impressionnant. puis elle se dirige vers la grille de numéro.... "le 5 !.... le 5 est mon numéro fétiche et là toujours été.... pitié qu'il soit.... " Al... Aliénor !?... Mamie Rose rit de stupéfaction... décidément les points communs qu'elle avait avec sa jeune pensionnaire ne cesseront pas de l'amusée. Bon... bah part dépit misons sur l'âge...

Je vais prendre le 77 ma chérie s'il te plait...

Puis Rose se met en chasse de son "mini-moi" en jupon. La cible repéré, elle lui tapote sur l'épaule.

Ali mon enfant, je ne savais pas que tu venais aussi.... alors comme ça... tu as pris le 5 ?... Lui adresse un grand sourire très amusée.
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Mère Roselalie de Nauériels, Prêtre, Abesse de Reoz.
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