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[RP] Quartier des Poternes-Est / Nord / Sud…

Animos
Animos de comme son habitude rentra en passant par la cuisine, histoire de grignoter un brin... Une grande journée l'attendait car en plus de son travail de boulanger, il devait partir pour l'université pour donner un cours de de stratégie militaire...
Il apercu un petit mot et le regarda... il changea plusieurs fois de couleur... et cria


MAIS C'EST PAS VRAI!

Il sortit en trombe enfin de pouvoir la retrouver avant qu'elle ne soit trop loin...
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Cornelia


Eh voilà ! L'escapade ne fut que de courte durée.
Au fond d'elle, elle le savait, Ani ne l'aurait pas laissée partir seule mais avec les tensions des derniers jours, elle en avait ressentie le besoin.
Après avoir réçue missive comme quoi il venait la chercher, finalement elle se décida à rentrer directement à Niort.
Il ne servait à rien d'attendre à La Rochelle qu'il arrive. Elle ne s'était trouvé là que pour un passage provisoire qui se trouva rallongé par un risque de brigands sur les routes prochaines.
Soupirant, il était évident que cette virée ne devait pas se faire.
En entrant de nouveau chez elle, elle laissa lourdement tomber sa besace près de la porte, la porte restée encore ouverte sur quelques rayons de soleil qui pénétraient les lieux.
Elle s'affala presque sur une des chaise de la cuisine, soupirant de l'inutilité de son précédent acte, et perdue dans ses pensées,
elle caresse distraitement Ulysse qui ronronne allongé sur ses genoux.
Elle le ressentait de mal en pis ; l'ennuie et, elle ne savait quoi d'autre, la tenaillaient sans cesse, n'éprouvant plus de goût à rien.
Tout ce qu'elle s'était évertuée à construire dans sa vie avec envie et dévouement inintéressé, la tenait à présent prisonnière de chaines trop lourdes pour elle.
Et c'est cette goute d'eau de trop, faisant ressortir son côté rebelle, qui lui avait donné l'élan de s'en débattre. Mais en vain.
A présent, elle devait bien se rendre à l'évidence qu'à l'instar de sa ville, elle s'était aussi calmée de cette douce folie qui habitait autrefois Niort et
qui lui manquait beaucoup alors que malgré elle, elle ne s'en sentait plus capable.
Lasse de ses réflexions plutôt amères, elle monta à la chambre sans même fermer la porte toujours ouverte, Ulysse sur les talons, et s'allongea un moment avant de s'endormir…

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Cornelia


Retour au bercail après une petite virée au profit tant de la mairie que pour elle-même, Cornélia rouvrait la maisonnée qui avait besoin de prendre un peu l'air.
Ulysse était déjà parti à l'affut de ses bonnes habitudes de félin avisé, allant chasser le campagnol, la souris, le mulot ou quelconques autres rongeurs des champs.
La journée était belle et promettait d'être chaude alors autant se mettre à l'ouvrage en profitant encore de la fraicheur matinale qui ne durerait pas longtemps.
Chaises, tapis et draps se retrouvèrent dehors, frappés vigoureusement pour en extraire toute la poussière.
Certes, elle n'était pas partie très longtemps mais Cornélia avait toujours besoin de faire quelque chose et s'occuper de sa maison en était une bonne excuse.
Ani était déjà parti tôt travailler et après avoir fini son petit ménage, elle irait réveiller le feu de sa forge qui en avait bien besoin,
des commandes se faisant souvent pour les éleveurs de la ville…

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Cornelia


Un passage au vieux chêne sacré lui avait un tant soit peu permis de se calmer suite à certains événements appris plus tôt.
Ce n'était ni de la peur, ni de la peine mais bel et bien de la déception couverte de colère et le vieil arbre lui avait au moins permis d'apaiser un peu ses sentiments de passionnée.
Après quoi, un retour chez elle s'imposait mais pas seulement pour le côté pratique de la chose.
Elle espérait voir Ani bientôt après son travail quitte à veiller plutôt que de l'attendre dans leur chambre comme souvent lors de ses lourdes journées.
Pour ça, elle avait comme d'habitude, rallumer le feu pour le soir dans le foyer central, juste un petit feu qui permettait de se reposer et de se détendre.
Après quoi ce fut toute la préparation du repas qui fut mise à contribution pour passer le temps autant que se calmer et pour le coup, les quantités avaient été plus importantes que d'habitude.
Il y avait moult entrées différentes, plats en sauce et grillades accompagnés de divers légumes appétissants.
Et pour clore le tout, des desserts bien sure. Comme elle ne savait pas ce qu'il préférerait, question qu'elle s'était posée à chaque fois qu'elle avait fait un plat,
elle en fit plusieurs également, de la tarte aux cerises en passant par le gâteau d'angélique ou même un fromage blanc au miel.
Il faut dire qu'elle avait eu pas mal de temps devant elle et elle en profita, presque trop.
Une fois qu'elle jugea la quantité, et surtout le choix, suffisant, elle décida de s'arrêter là.
Un dernier ménage qui faisait naturellement suite à toute cette cuisine réalisée plus tôt et elle put enfin se poser un peu, devant le feu, assise sur une peau d'ours,
Ulysse vint ensuite la rejoindre en s'installant sur ses genoux après avoir jugé que sa maîtresse ne bougerait sans doute plus avant un bon moment.
C'est qu'il commençait à la connaître depuis le temps et la savait hyperactive comme encore quelques minutes plus tôt mais savait aussi reconnaître quand elle était arrivée au bout de son élan zéphirien.
Le félin noir confortablement installé, ronronnait sous les caresses de la celte qui attendait patiemment le retour de son beau brun…

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Cornelia


Les jours, les semaines et fatalement les mois s'écoulaient tranquillement, du moins dans un rythme plus confortable que ce qu'elle avait pu connaître dans un autre temps.
Sa vie devenait gentiment réglée entre la mairie, le dispensaire et son chez elle qui comprenait ses champs et sa forge.
Des reproches d'un côtés, des remerciements et des félicitations de l'autre. Au final, elle apprenait d'autant plus à se détacher de tout ça bien qu'elle appréciait bien sûre les compliments. Qui ne les aimeraient pas après-tout ? Les apprécier oui mais à condition qu'elle les sentent justifiés.
Toujours est-il que Niort revivait. Simplement, en douceur mais la ville avait retrouvé ce côté serein et sain qu'elle avait pu connaitre. Il y avait bien sure toujours de petites choses qui venaient troubler l'eau claire et tranquille mais finalement, comment apprécier les joies quand on n'a pas de peines ? Même si elles ne sont pas agréables, elles sont tout de même nécessaires.
Toujours est-il que la vie de Cornélia prenait petit à petit une autre dimension, plus calme et pourtant agréable, surtout aux côtés d'Ani qu'elle ne cessait d'aimer malgré les quelques épreuves qu'ils avaient ensemble traversées.
Ce jour pourtant, elle soupirait de savoir Ani devoir partir pour quelques jours. Elle avait pourtant connu la distance entre eux auparavant mais depuis le temps qu'ils vivaient réellement ensemble les séparations avaient été plutôt brèves et rares.
Cette nouvelle séparation bien que temporaire ne lui avait pas donné le moral pour ce jour-là et elle tâchait de faire bonne figure mais il la connaissait si bien qu'elle ne pouvait finalement rien lui cacher.
Le serrant dans ses bras et l'embrassant, elle le laissa ensuite partir pour ce qu'il avait à faire, le regardant encore au loin jusqu'à ce que ce ne soit plus possible.
Lachant un franc soupire, elle se ressaisit, se disant qu'il reviendrait très bientôt et partie de son côté vers ses responsabilités municipales…

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Cornelia


Son mandat municipal terminé au bout de trois mois difficiles, elle ne put que profiter avec plaisir de ces nouvelles grasses matinées, néanmoins raisonnables.
Du travail restait à faire, notamment avec la nouvelle acquisition de ses moutons en remplacement de ses vaches ingrates.
Tout ça en attendant de pouvoir profiter de nouveau d'un peu de mobilité avec une petite escapade en amoureux.
Bientôt, ils iraient se dégourdir un peu les jambes, surtout elle, et elle se dit qu'il faudrait peut-être prévenir ses bons amis de là-bas de leur visite prochaine.
La maisonnée était calmement bercée dans la matinée humide et fraiche de ce début de mois de décembre où la cheminée crépitait et fumait joyeusement.
La celte quant à elle était tranquillement assise à sa table pour écrire ses missives, son chat Ulysse, noir dont les yeux verts ressortaient d'autant plus,
était couché devant elle à observer la plume s'agiter sur le vélin, non sans une certaine envie de jouer avec mais sachant qu'il devrait se retenir sous peine de devoir aller voir ailleurs si il y était.
Ceci étant fait elle se dirigea vers le pigeonnier et envoya ses deux messages, l'un à l'attention de son collègue et ami herboriste et l'autre pour un collègue d'une autre sorte pour avoir été maire et se côtoyer également au château.
Les deux pigeons partis, elle alla s'apprêter pour terminer ce qu'elle avait à faire avant de partir pour quelques jours…

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Margaux..
[au 160 quartier des Poternes]

Ils avaient longuement hésité entre Niort et La Rochelle. Mais elle était tombée sous le charme de cette cité Niortaise. Cela faisait plusieurs jours qu'ils déambulaient dans les rues de la ville à la recherche d'une maison qui aurait pu accueillir leur amour, abriter leur couple et y élever le bébé qui n'allait plus tarder à pointer son petit sourire.
Et la voila, la maison de leur rêve était devant eux. Ils stoppérent, se regardèrent et eurent un sourir commun et entendu.

Celle ci dit Azza !.
Je suis d'accord répondit Margaux. Je vais aller dès demain nous faire inscrire au cadastre.



Puis ils scélèrent leur accord d'un doux baiser.
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Poildru
[au 160 quartier des Poternes]

Poil dru arriva au petit matin devant la demeure de Margaux.

-HEY OH! MARGAUX! C'EST MOI POIL DRU, J'AI QUE'CHOSE POUR TOI!

Il aurait sans doute été beaucoup moins bruyant de frapper à la porte, mais comme les propriétaires n'avaient pas la clé de leur demeure la porte devait être toujours verrouillée.

-V'SAUREZ PLUS À PASSER PAR LA F'NÊTRE TOI ET LE PROCAP!
Margaux..
[au 160 quartier des Poternes]

La nuit n'avait pas été de tout repos. Margaux était malade depuis la veille et se levait plusieurs fois par nuit pour aller rendre ce qu'elle n'avait pas mangé. Mais voila qu'Azza se réveilla aussi, s'asseyant sur le bord de leur couche en attendant le retour de sa brune.
Le voyant ainsi elle s'excusa de l'avoir réveillé, mais il l'inquiéta encore plus, en lui annonçant que la douleur irradiait tout son corps.
Bien que l'un et l'autre désolés, ils se consolèrent rapidement en trouvant, à cette situation, quelques compensations.

C'est donc encore dans son sommeil que Margaux crut, au prime abord, entendre des voix :
Citation:
-HEY OH! MARGAUX! C'EST MOI POIL DRU, J'AI QUE'CHOSE POUR TOI!

Elle ouvrit péniblement les yeux, hésitante entre rêve ou réalité.
Citation:
V'SAUREZ PLUS À PASSER PAR LA F'NÊTRE TOI ET LE PROCAP!

Ah mais non, elle ne rêvait pas. Elle se leva rapidement, tira le rideau qui maintenait la pièce dans la pénombre, ouvrit la fenêtre et s'y pencha.

Bonjour Poildru ! ça y est tu l'as ? Ne bouge pas je descends. Mais entre, puisque tu as la clé.

Elle referma la fenêtre en riant, enfila une robe de chambre bien chaude et confortable et descendit les escaliers lentement malgré qu'elle fut pressée de prendre possession du trousseau et encore plus de remercier son ami. Mais, ces dernières semaines, la future maman avait appris à s'accommoder du handicap de ses rondeurs.
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Margaux..
[au 160 quartier des Poternes]
Quelques jours plus tard ...

Elle n'était pas partie travailler ce jour. Elle s'était juste contentée de passer à la caserne se renseigner des dernières consignes, espérant, sans se l'avouer, voir son Capitaine, ce qui ne fut pas le cas. Vrai qu'il était très occupé ces derniers temps. Occupé, préoccupé aussi, mais avec toujours du temps à lui consacrer.
Margaux était donc rentrée chez elle, bien décidée à partir pour les champs. Mais, elle n'en avait pas trouvé le courage. Elle s'était préparée un peu de crêpes dont elle avait eu la subite envie et qu'elle n'avait finalement pas mangé. Elle s'était ensuite préparé un baquet d'eau chaude pour s'y baigner, mais n'y était pas restée longtemps. Elle avait ensuite choisi une jolie houppelande qu'elle n'avait finalement pas enfilée, lui préferant une vieille chemise d'Azza, trop grande pour elle, mais qui lui semblait plus confortable. Elle savait ce que ces signes avant courreurs voulaient dire.
Installée sur le banc de leur cuisine, elle caressait son ventre bien arrondi et se mit à lui parler.


Tu te prépares à sortir petit d'homme ? reste encore un peu, tu es si bien au chaud. Prend tout ton temps. Mais quand tu sortiras, ton papa sera le plus heureux des hommes et moi ta maman je serai émerveillée devant ton petit minois. Tu vas voir mon bébé, ce monde n'est pas idéal, mais je te promets que nous allons essayer de le rendre beau pour que tu t'y sentes bien.

Elle continua de le caresser en chantonnant, puis se décida à aller s'allonger un peu. La délivrance était proche, elle le sentait. Mais elle n'en parlait pas à Azza, pas encore. Trop tôt pour l'inquiéter déjà.
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Margaux..
[au 160 quartier des Poternes]

Rien ne va plus ce jour, mais rien ne va mal non plus. Que lui arrive t il. Elle ne supporte rien. Elle n'est pas parti travailler, n'en n'a pas eu le courage. Elle a commencé des tartes aux pommes pour son ange mais les a terminées péniblement.
Et cette douleur qui lui prend les reins.
Elle serait sans doute mieux au lit, mais ne sait pas rester couchée.
Alors elle marche, de long en large dans leur cuisine, les deux mains câlées dans le bas de son dos. Le mal s'estompe, elle s'asseoit, mais la douleur la reprend, elle se lève et marche, se massant le dos comme elle peut. Elle ne veut pas encore y croire, mais au fond d'elle même elle sait, elle sent ce qui se passe.
Elle va mettre son bébé au monde !
Mais Azza n'est pas là, il rentrera dans la nuit, elle doit tenir jusque là. Alors elle s'occupe l'esprit, elle chante comme pour calmer son enfant, elle lui parle lui demandant de patienter, elle le rassure, lui promettant que tout allait bien se passer.


Papa va arriver ! Il ira chercher Cornélia, elle saura que faire, tout va bien aller mon bébé. Quelques heures à patienter, juste quelques heures ...

Et ça marche ! les contractions se calment. Elle monte se coucher, mais avant elle pose un parchemin sur la table sur lequel elle a écrit :



Mon ange.
Je suis à l'étage.
Bébé a décidé de faire notre connaissance.
Va chercher Cornélia, s'il te plaît.
Tout va bien, ne t'en fais pas, je profite juste d'un moment de répit pour dormir un peu.
Je t'aime.
Margaux

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Azzazelo
[devant chez Cornélia]


Cornélia ! Cooooooo !Ouvre !

Il tambourine à la porte, son coeur cogne dans sa poitrine. Cette fois les choses se précisent.
Quand il est entré il a vu le mot de Margaux et a filé la rejoindre dans la chambre. Quelques questions ont confirmé son intuition. La mère d'Azza en avait fait naître, des enfants, et lui avait toujours dit : quand ça prend aux reins , c'est le travail qui commence, bientôt la délivrance. Il avait tenté de garder son calme, de rester rassurant, puis avait couru chez Cornélia.


Cornélia, c'est Azza ! Margaux a besoin de toi !

Puis il se dit pour lui même

Par tous les Saints, j'espère qu'elle est chez elle...
Cornelia
Au 101


Cornélia qui sortait très peu de chez elle ces derniers temps, avait souvent pour occupation de répondre à des commandes de bannières.
Et de ce fait, la celte était, ces temps-ci, quasi enfermée dans son atelier à l'étage en train de peindre.
Le geste précis tenait le pinceau avec finesse sur un détail de son œuvre quand un bruit fit faire une embardée au porteur de poils de porc,
et zébrer, par la même occasion, la fresque inachevée.

Cornélia ! Cooooooo !Ouvre !

Quelqu'un tambourinait en bas et elle n'attendait personne en particulier.
Sa curiosité piquée au vif, elle se leva en posant préalablement son pinceau puis, se dirigeant vers la fenêtre, l'ouvrit pour voir de quel visiteur il s'agissait, même si elle en avait déjà une idée…

Cornélia, c'est Azza ! Margaux a besoin de toi !

Cette fois c'était confirmé et elle lui répondit, penchée à sa fenêtre…

Bonjour Azzaz' ? Qu'est-ce qu'il y a ? Puis ne voulant pas non plus ameuter tout le quartier elle ajouta… Entre, c'est ouvert ! Je descends de suite !

Refermant sa fenêtre, elle descendit donc l'étage qui la séparait du rez-de-chaussée et trouva Azzaz' qui venait d'entrer, apparemment un peu affolé.
Qu'est-ce qu'il se passe Azzaz' ?

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Azzazelo
[Au 110]

Les Saints soient loués, elle était chez elle.

Co, je crois que le petit va arriver.Margaux a des douleurs, ce ne sont pas les mêmes que d'habitude. Je crois qu'on va avoir besoin de ton aide.

Il s'efforçait de rester calme, mais il sentait tout de même une trouille glacée lui prendre la poitrine.

Tu as besoin de prendre des affaires ?
Margaux..
[au 160 quartier des Poternes]

Azza était rentré tard et avait su la rassurer. En fait, c'est elle qui l'avait rassuré en lui promettant que tout allait bien, afin qu'il aille au plus vite chercher Cornélia.
Ils allaient revenir, vite, ça n'était plus qu'une question de minutes. Elle s'était levée, faisait les cent pas dans leur chambre, elle gémissait à chaque contraction. Puis celles ci terminées, elle se mettait à l'aise avant qu'une autre n'arrive. Puis elle murmurait :
vite, faites vite ....
Elle avait beau être courageuse, elle commençait à avoir peur.
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