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[RP] Quartier des Poternes-Est / Nord / Sud…

Cornelia


En écoutant Azzaz', Cornélia comprit rapidement de quoi il s'agissait.
Le petit allait naître bientôt.

Tu as besoin de prendre des affaires ?

Hmm… pas grand chose mais j'ai ce qu'il faut, je vais me laver les mains, j'arrive tout de suite, reste-là…

Comme si il allait repartir sans elle… Mais ni une ni deux, elle alla se laver soigneusement les mains et une fois fait,
prit une besace dans laquelle elle fourra quelques linges, un couteau et une couverture propres qu'elle gardait toujours de côté.
Elle revint ensuite vers Azzaz' qui semblait impatient et, se couvrant d'un bon manteau, rouvrit la porte…

Je suis prête, allons-y je te suis

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Azzazelo
[retour au 160 quartier des Poternes]

Ils avaient parcouru rapidement le quartier des Poternes, étaient entré dans la maison et se trouvaient maintenant dans la chambre.

Tout va bien, mon Amour, Co est avec moi. Comment ça va, toi ?

Il l'examina un instant puis s'adressa à Cornélia.

Si tu as besoin que je fasse quelque chose, dis-le moi. Je te laisse la direction des opérations.
Margaux..
Le bruit de la porte au rez de chaussée, des pas précipités dans les escaliers, des voix presque murmurées, Margaux sait qu'ils sont arrivés.

Oh Dieu tout puissant ! merci, ils sont là

Azza franchit la porte de leur chambre et la brunette s'éfforce de sourire malgré la peur qui la tenaille.
Citation:
Tout va bien, mon Amour, Co est avec moi. Comment ça va, toi ?

Je vais bien, ne t'en fais pas. Merci Cornélia d'être là.

Elle tend les mains vers les siennes, les saisit et les serre très fort. Elle sait qu'il va devoir quitter leur chambre dans quelques secondes, mais avant de le voir sortir, elle a besoin de puiser sa force, de vampiriser son amour.
Puis il s'adresse à Cornélia, elle ne le quitte pas des yeux mais elle garde le sourire.


Tout ira bien mon amour, je te le promets, je suis entre deux bonnes mains. Tu peux sortir de la chambre, nous allons nous mettre au travail.

Elle voudrait l'embrasser encore, mais elle n'en a plus la force. Elle le regarde sortir .... Puis elle se tourne vers Cornélia.

Je crois que nous sommes prêts bébé et moi.
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Cornelia
Au 160, chez Margaux et Azzaz'


Suivant Azzazelo de près, ils étaient arrivés dans leur nouvelle demeure.
Elle réalisa par la même occasion que c'était la première fois qu'elle la voyait.
Rapidement, Azzaz' et Cornélia montèrent à l'étage où se trouvait apparemment la chambre où s'était mise la future maman.

Bonjour Margaux, ça va aller ?

Elle laissa un instant au couple pour se rassurer et pendant ce court laps de temps, Cornélia commençait à sortir ce qu'elle avait amené, puis…

Si tu as besoin que je fasse quelque chose, dis-le moi. Je te laisse la direction des opérations.

Oui Azzaz', en attendant, je veux bien que tu ailles faire bouillir de l'eau, s'il te plait.

Je crois que nous sommes prêts bébé et moi.
Azzaz' sortit de la chambre et une fois la porte refermée, Cornélia s'occupa de la naissance qui allait avoir lieu…


Quelques heures passèrent avant que la délivrance fut effective. Le travail avait déjà bien commencé avant l'arrivée de Cornélia et le travail de poussée restait à faire, ce à quoi elle l'aida.
Tout se passa bien et une jolie petite fille vit le jour pour la première fois.
L'eau bouillante qu'avait amené Azzaz', mêlé à un peu d'eau froide servit à nettoyer le bébé avant qu'il soit rendu au sein de sa mère.
Une fois les choses à peu près remises en ordre, elle regarda un instant la mère et son enfant puis alla appeler le nouveau papa…

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Margaux..
Quelques heures qui lui parurent une éternité. Mais Cornélia était rassurante et savait ce qu'elle faisait. Elle était professionnelle et Margaux s'était sentie en confiance. Finalement tout s'était bien passé et au premier cri d'enfant, Margaux avait éclaté en sanglots. Des larmes de joie, des larmes dépuisement.

C'est une fille, lui avait dit Cornélia en la lui mettant au sein. Et Margaux n'avait de cesse de regarder ce petit ange qui tétait, plongeant son regard dans le sien. Elles se découvraient l'une et l'autre. Dieu qu'elle était magnifique, mais si petite. Elle avait le regard noir de son géniteur. Cornélia partit chercher Azza, alors Margaux faisait connaissance avec leur fille.

Bonjour Jeanne ! Bienvenue dans notre monde. Je suis ta maman et je t'aime. Tu vas faire la connaissance de ton Papa, le voila.

Elle avait glissé son index dans la main du bébé qui le serrait très fort. Puis Margaux leva la tête et sourit à Azza, qui s'approchait timidement.
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Azzazelo
Il s'approchait timidement, mais heureux que tout se soit bien passé. Il sourit à Cornélia

Mon amie, je ne pourrai jamais assez te remercier pour tout ce que tu as fait !

Puis il se pencha vers sa belle et l'embrassa sur le front

Tout va bien ? Tu es heureuse ?

et regardant la petite Jeanne

Elle est magnifique, comme toi....je vais être comblé !

s'approchant de la petite, il passa délicatement sa main sur sa joue et murmura

Bonjour toi...et bienvenue !
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Cornelia
Du 160 au 101


Terminant de ranger ses affaires après s'être lavé les mains, elle sourit à Azzaz' qui la remerciait et, n'ajoutant rien de plus,
elle s'éclipsa discrètement pour les laisser profiter de ce moment ensemble.
Sur le pas de la porte de la chambre, elle se retourna pour regarder le nouveau trio, un léger sourire planant sur ses lèvres
avant de refermer la porte derrière elle pour ensuite rentrer chez elle.
Un enfant était né, une petite fille. Une petite Jeanne apparemment. Sur le chemin du retour, elle ne pouvait pas s'empêcher de repenser à cet évènement.
La vie naissait d'une étrange façon mais jamais elle n'en ferait l'expérience personnelle si ce n'est par sa propre naissance dont elle ne se rappelait évidemment pas.
Arrivée chez elle, épuisée, elle monta finalement se reposer plutôt que de reprendre la peinture qu'elle pensait terminer à son retour.

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Margaux..
[au 160 quartier des Poternes]

Les débuts avec Jeanne avaient été compliquées. Azza avait du s'absenter quelques jours, et cela avait ébranlé l'équilibre fragile de la jeune maman. Mais il était de retour, et Margaux se sentait à nouveau, pleinement heureuse, pleinement sereine.

En ce dimanche matin, bébé avait décidé de dormir mettant la brunette en retard pour la messe. Mais qu'importe, ce petit être était devenu dans leur vie, leur priorité.
Margaux l'avait nourrie et était partie en toute hâte pour l'église, laissant Jeanne dans les bras de son papa. Azza s'acquittait de cette tâche à la perfection.
Une fois l'office terminé, elle était rentrée chez eux toujours à fond de train. Car s'il pouvait la remplacer en tout, il n'avait pas la possibilité de lui donner le sein.

Mais quelle ne fut pas sa surprise en arrivant de constater, que non seulement Jeanne gazouillait, mais Azza lui avait donné le bain et l'avait emmaillotée aussi bien que si elle l'avait fait elle même.




Margaux émue s'approcha de cet homme, aux multiples resonsabilités importantes, mais qui savait cependant prendre le temps qu'il fallait pour gâter ses deux femmes. Elle riait doucement se souvenant de sa phrase :

"Elle est magnifique, comme toi, je vais être comblé."

Comblé ? n'était-ce pas elles qui l'étaient ?
Elle lui entoura la taille de son bras, posa la tête sur son épaule pour admirer leur bambin, et leur souffla à tous deux des mots tendres.
Si le bonheur absolu existe, la brune en cet instant, le touchait du doigt.

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--Lounna


[Dans les rues]

Elle avait commencé par ce quartier, un peu au hasard, elle errait dans les rues finalement, elle la cherchait, mais ne savait pas qui! Dure tache, elle tourne dans cette rue, regarde les maison, se demande si? Et puis non, tourne a droite, elle? Non sans doute que non!
Lounna devait faire autrement, trouver une personne qu'elle ne connait pas dans toute une ville! Il fallait s'organiser.
Margaux..
[au 160 quartier des Poternes]

La brunette était allée faire son marché de bon matin. Elle avait pris l'habitude de caler sa vie sur celle de Jeanne et savait qu'elle ne pouvait plus s'absenter que lorsqu'elle dormait repue. Elle avait pris également l'habitude de faire ses provisions au pas de course.
Mais ce matin elle avait pris le temps de passer par la sénéchaussée. Les résultats y étaient affichés. Elle prit un morceau de parchemin et, le sourire aux lèvres, recopia les scores. Puis elle revint vers leur maison, toujours en courant.
Azza dormait encore, il avait été épuisé par le bucheronnage de cette semaine. Elle entra, posa négligement le panier sur la table de la cuisine, et son châle par dessus, puis elle grimpa les escaliers quatre à quatre.
Arrivée dans leur chambre elle s'assit doucement près du corps de cet homme qui était l'accomplissement de ses rêves et se pencha pour glisser ses lèvres sur son cou et lui murmurer :


Félicitations mon amour !

Le voyant se réveiller doucement, elle se glissa auprès de lui.
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Margaux..
[au 160 quartier des Poternes]

Depuis son départ du P.A. Margaux avait repris ses esquisses, pour tromper son ennui et y hurler ses peines. Les dessins qu'elle avait faits à cette époque révélaient ses déchirures profondes et son desespoir. Elle les avaient depuis longtemps arrachés de son recueil et brulés dans la cheminée. Elle était aujourd'hui une autre femme, heureuse et comblée et ne voulait plus garder aucun souvenir de ces temps qui l'avaient dévastée.

L'envie de terminer le dessin qu'elle avait commencé et qui representait Jeanne et Azza, lui faisait chercher son carnet de partout. Elle le trouva bizarement sur le bureau de son ange. Il était ouvert à une page sur laquelle elle avait griffoné un couple d'amoureux. Mais un poème avait été rajouté.




Elle prit le livre, lut ce qu'Azza avait composé et en fut vraiment touchée. Elle porta son reccueil sur sa poitrine, puis aux lèvres. Elle resta un moment immobile, réfléchissant à tout son parcours. Finalement elle ne regrettait rien, toutes ses épreuves préparaient un grand amour, un immense amour. Azza était l'homme qu'elle attendait depuis toujours.
Elle alla s'installer dans leur pièce à vivre, et attendant que Jeanne se réveille pour la tetée, elle termina ce qu'elle avait commencé, un sourire permanent aux lèvres. Dieu qu'il la rendait heureuse.

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Margaux..
[au 160 quartier des Poternes]

Le Baptème était enfin programmé. Il ne manquait plus que la réponse de Poil Dru mais il aurait lieu de toute façon ce lundi 1er avril. Margaux espérait de toutes ses forces que son ami fut présent.
Cette après midi elle s'occuperait d'envoyer les invitations et de rédiger l'affiche qu'elle apposera sur la porte de l'église.
Mais pour l'heure il lui fallait se rendre chez Cornélia afin de réajuster sa robe, la brunette ayant ces derniers temps, perdu le reste des petites formes que Jeanne lui avait laissé en souvenir.

Azza et elle avait pris à leur service une jeune adolescente qui venait d'accoucher sans compagnon mais qui avait du confier son bébé à des parents plus vieux, plus riches aussi. Obligée de quitter sa famille pour ne pas jeter sur eux l'opprobre, elle avait accepter d'être la nourrice de Jeanne.

Margaux s'en trouvait donc un peu plus libre de ses mouvements sans pour autant renoncer à allaiter son bébé.




Elle l'a trouva dans la cuisine donnant le sein à Jeanne.

- Louison ! je dois m'absenter, je vais juste chez Dame Cornélia, je ne pense pas être absente longtemps

- Entendu Dame Margaux ! mais prenez tout votre temps, tout ira bien et quand Jeanne sera repue, je m'occuperai de faire cuire la soupe

- Parfait Louison, mais s'il vous plait, ne m'appelle pas Dame.


Elle s'était penchée sur le petite visage de sa fille pour y déposer les plus tendres des baisers. Un sourire à Louison et Margaux était déjà partie, revêtue de son châle.




[au 101 quartier des Poternes]

Arrivée devant la porte de son amie, Margaux toqua à la porte, assez fort, excitée par l'impatience de revêtir le robe que Cornélia lui avait confectionnée. Et comme si ça ne suffisait pas elle haussa un peu la voix.

Cornélia ? es-tu là ? C'est Margaux. Je viens comme convenu pour retoucher ma robe de baptème.
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Cornelia


Après la discussion en taverne avec Margaux concernant son baptême qui approchait, Cornélia avait ressortie la robe qu'elle avait,
un temps, rangée soigneusement en attente du bon jour.

Cornélia ? es-tu là ? C'est Margaux. Je viens comme convenu pour retoucher ma robe de baptème.

Refermant tout juste la malle, elle entendit au dehors la voix familière de son amie.
Souriante elle descendit l'étage où elle se trouvait et alla ouvrir la porte avant de l'accueillir en lui faisant la bise.

Bonjour Margaux, comment vas-tu ? Je viens tout juste de ressortir ta robe justement. Entre donc !

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Margaux..
Des pas qui descendent un escalier, Margaux sourit soulagée, Cornélia est chez elle.
Citation:
Bonjour Margaux, comment vas-tu ? Je viens tout juste de ressortir ta robe justement. Entre donc !

Elle la bise en souriant.

Waouh ! je vais pouvoir l'essayer de ce fait. J'ai perdu de la taille, du ventre et ... enfin tu verras bien. C'est dommage, j'aimais bien avoir un peu de forme, mais je suis faite ainsi.

Un haussement d'épaule. Puis elle commença à oter ses vêtements superflus afin de procéder à l'essayage tout en papotant.

Alors mon amie, comment te sens tu avant le grand plongeon ? sans doute aussi impressionnée que je le suis.
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Azzazelo
[160 quartier des Poternes]

Azza arrive devant la porte de chez lui, ouvre d'un geste vif, il a hâte d'embrasser sa belle. Pénétrant dans la cuisine, il est assailli par une délicieuse odeur de soupe et voit une forme féminine penché sur le réchaud.

Cher Amour, je suis rentré ! Ca sent diablement bon, que nous prépares tu ?

La femme sursaute, se retourne vivement, et un récipient en terre vient se briser sur le sol. Azza sursaute, écarquille les yeux. Ca, c'est pas Margounette, mais qui ? Par le diable,la nourrice qui vient d'arriver ? Il l'avait oublié. Brusque rougeur qui lui envahit le visage, puis il la regarde plus attentivement. Si lui a rougi, elle est devenu pâle de surprise et de frayeur à cause de son arrivée en trombe. Un type habillé comme un Porte Parole, mais échevelé, les yeux toujours allumés d'une lueur bizarre, le visage parsemé de petites cicatrices et le cheveu rebelle, ça peut surprendre, surtout dans une cuisine sombre. Et la voici qui bégaie

Messire....je....ne suis pas....je suis Louison....pour la petite....je suis désolé pour le pot en terre...je....

elle tente de s'incliner maladroitement et ne dit plus rien en roulant des yeux affolés.

Hop on respire un coup, on reprend une contenance et on répond.

Ha, Louison. Par tous les diables, suis je stupide j'avais oublié que c'est aujourd'hui que vous deviez venir ! Donc, je suis Azzazelo, compagnon de Margaux. Mais pas de Messire s'il vous plait, je ne suis pas noble.

La regarde attentivement

Hum, si je puis me permettre de vous donner un conseil, vous devriez vous détendre et reprendre votre respiration, là, sinon il va vous arriver des problèmes. Vous étiez en train de faire mijoter la soupe, continuez donc. Et ne vous inquiétez pas pour le pot en terre, je vais m'en occuper.

Joignant le geste à la parole, il se baisse et ramasse les débris du pot.

Et voilà, c'est fait, je vais les jeter dehors.

Et il s'enfuit de la cuisine. Arrivé dehors, il pousse un soupir et s'éponge le front. Puis décide de trouver refuge dans son bureau.
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