Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3   >   >>

[ RP ] ********** les počtes d'Auch *********

Melodiejade
Celui qui craint les eaux qu'il demeure au rivage,
Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,
Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer,
Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage.

La mère de l'amour eut la mer pour berceau,
Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau,
Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes.

Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux,
Ton amour qui me brûle est si fort douloureux,
Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes.

Suite de : Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage . Pierre de Marbeuf

_________________
Cerrydwenn




A l'orée d'un jour nouveau s'invite l'astre diurne ,
Doucement il se déplace de mon minois à la rondeur
d'une hanche laiteuse ..

Oui il se joue des courbes encore endormie tout en
distillant sa douce chaleur mais perfide aussi
car maintes fois je m'y suis brulée pour me rendre heureuse ..

Le corps se tend afin de dissiper les dernières brumes
de ce monde onirique ou je puis faire et défaire à ma guise ,
revivre nos souvenirs sans que tu vois les larmes versées .. malheureuse .


Non poinct de rime spéciale pour une fois juste l'envie de coucher quelques mots sur un vélin et sans les destinés à un souvenir particulier ... une simple envie , une simple inspiration sans brouillon ... peut être une tranche de sa vie mais ça elle ne l'admettra poinct ... et de disparaitre l'air de rien l'air de tout en distillant ses fragrances de jasmin dans les notes de ce matin pluvieux ...
_________________
Berenger
"Houlà demoiselles,
Pourquoi tant de larmes
La vie est si belle
Cessez vos alarmes
Le bonheur est là
Quand l’astre du jour
Montre son minois
Brillant pour toujours
Vivez ! l’amour passe
Laissant l’aventure
Reprendre sa place
Fuyez la torture…"

_________________
Cerrydwenn




Mon amour attise-moi.
Aime-moi cette nuit comme tu ne m'as jamais aimée.
Fais ressortir la femme passionnée qui sommeil en moi
Pour que je puisse t'aimer comme une damnée.

Je deviendrai celle que tu veux trouver.
Une femme caline et aimante,
Ou une femme passionnée et enflammée,
Répondant à toutes tes attentes.

Embrase-moi de toute ton âme.
Enfièvre-moi à me rendre malade de toi.
Je veux scintiller entre tes bras comme une flamme.
Je veux que cette nuit soit à toi.

Alors mon amour attise-moi ...



C' est un vieux vélin qu'elle eu retrouvé dans un petit coffre de bois,
son coeur avait battu chamade en tombant dessus persuadé qu'il avait
disparu dans l'incendie qui avait eu lieu sur les dépendances de son domaine...
Elle en avait dénouer le ruban vermeil ..il y avait même encore une
légère fragrance de fleur d'oranger ...
Ses émeraudes s'étaient voiler de larmes , nostalgie ..elle écrivait tellement avant ...

_________________
Mado


Comme certain ont besoin de l'autre ,
en un miroir se voir, se trouver meilleur .
Mon bonheur n'est pas le votre
je n'ai goût que de l' ailleurs

Sentir son âme tanguer , d'un grain de peau doré
d'un souffle chaud qu'on attend ,qu'on connaît .
Se transcender,se détester , s'attendre...
et voir son cœur aller se pendre

Comme certain ont besoin de l'autre
moi j'ai juste besoin d'ailleurs
tout en moi , nul besoin d’apôtres
la richesse de chacun vient de l’intérieur

Se rassurer constamment de tendre serment
ne savoir exister que parce que l'autre est !
En sentiment , chacun à son aptitude
moi je dis ,ce n'est beau qu'en prélude

Moi ,dés qu'arrive un jour ,
c'est à demain déjà que je pense .
Pardon si cupidon le prend en offense,
j'ai pas de rime avec toujours.... j'aime pas l'amour



ce ne sont les maux que d'une simple voyageuse ,qui a aimé l'endroit....
Sephoria
La Sésé de retour... et voui paix et tranquillité envolée ...s'attarda au coin des poèmes...

Voui, messieurs et mesdames, Sésé est poète à ses heures ou plutôt copiste, si l'on préfère.
Bref, elle commença d'une voix de Stentor ...



Je l'aime pas,
Mon panier à chaussettes
Que je guette à l'aveuglette
En baillant aux alouettes
Suis encore en chemisette

Je l'aime pas,
Mon panier à chaussettes
A prendre avec des pincettes
Tellement elles sont brunettes
sans compter qu'elles attirent les mouchettes

Je l'aime pas,
Mon panier à chaussettes
Je tire même la bobinette
Tellement elles fouettent
Elles feraient fuir une mouflette

Je l'aime pas,
Mon panier à chaussettes
Marre de les pendre à la cordelette
Je les jetterai bien aux oubliettes
Suis pas d'humeur à faire risette

Je l'aime pas,
Mon panier à chaussettes
J'prendrai bien la poudre d'escampette
Pour aller faire des emplettes
Des chaussettes, ça vaut pas tripette!



Poème de Sarang

_________________
Juliodosconto


Joli mois de mai,

Tu nous offres ,ton brin de muguet

Fleurs délicates formées de petites clochettes blanches et parfumées



Annonciatrice du printemps ,

On t'offre le premier mai pour exprimer nos sentiments



Symbolise l'espoir et le bonheur

Brin de muguet ,mets de la couleur dans tous les coeurs

Offrons,offrons les clochettes du bonheur,



A tous ceux que nous aimons ,un petit geste qui rend heureux

Un sourire radieux se dessine sur le visage, c'est merveilleux



Offrons ,offrons un petit brin de bonheur

_________________
Donjovani62

Joli, joli, joli mois de mai,
même si ça me fait quelque chose,
il faut que je soie content,
c'est la fête du printemps.
Joli, joli, joli mois de mai,
c'est tes premiers jours,
ça s'arrose.
Je veux voir la vie en rose,
joli, joli mois de mai.

Arrosons le muguet,
je veux être gai
et vaille que vaille.
Joli, joli, joli mois de mai,
ô toi qui connait
tant de chose,
toi qui fait naître les roses,
fais qu'elle vienne vers moi

Joli , joli , joli mois de mai
M'apportera-tu ma dulcinée
Celle qui hantera mes nuits d'insomnies
Celle qui dans mes bras saura s'abandonner
Joli , joli mois de mai
N'oublies pas l'homme qui t'implore le coeur enflammé

Joli, joli, joli mois de mai
Me feras tu découvrir ces formes dénudées
Douces courbures, belles cambrures,
la femme dans sa nature en joue sans une rature.
Joli, joli, joli mois de mai .


Berenger
"Je me suis endormi l’espace d’un instant
Ma muse est partie suivant le vent, aérienne
Ah ! Mais bien heureusement voilà le printemps
Il est temps donc aujourd’hui qu’elle me revienne
Dans l’encre noire alors je vais tremper ma plume
Partager ces vers sans que pensée ne s’embrume."

_________________
Maka_sitomni
Solitude


Lointaine est l'âme qui vogue à l'horizon, sereine, retiré.
Elle erre parfois, distante, s'éloigne puis repasse, exhale, se confond.
Laisse parfois un vide, une absence qui se souligne.
Qui laisse comme une amertume et une déception.

Il est des instants d'oubli parfois, parce que l'âme se laisse aller,
portée par les courants qui dérivent sur des eaux de trouble.
Exubérance, folie absurde parfois, délivrance des sens qui estourbissent
et vous laissent un sourire aux lèvres, joie débordante qui vous saisit.
Ou encore parce que la peine se lit dans les visages, que le cœur pleure
quelques larmes sanguines, absence qui se laisse emporter dans un
soupir de lassitude.

Douceur d’une brise qui satisfait l’âme dans ses sens qui exultent,
douce euphorie qui empoigne l’être de l’insouciance retrouvée,
folies absurdes et moments insensés qui ravissent et émeuvent parfois,
pour se retrouver devant son visage dans une glace,
au détour d’une pièce, montrant le burlesque de la chose,
quand la folie se lit vaguement au fond du regard,
créant angoisses vaines et obsolètes pour ce qui n’est qu’un moment inattention.

_________________

Maka Sitomni© on FB
Ecrits divers, poèmes, essais.
Torless
Aujourd'hui ma vache préférée
Est décédée dans son pré.
Son petit nom douillet
Etait Marguerite IV C.
Elle aimait bien me donner
Des litres et des litres de lait,
Que je parvenais à tirer
En pressant sur ses gros nénés.
Ma Chère Marguerite IV C
Plut au ciel que je ne t'oubliasse jamais!
Cassandres


Ses premiers pas dans Auch l'ont conduite au coin des poétes , les écrits sont magnifiques et elle décide d'en laisser un avant de poursuivre sa route

Faits divers...

Nous ne sommes que des faits divers…
Des pâquerettes dans un pré vert,
Des grains de sel dans la mer,
Des gouttelettes dans l’univers…

Nous ne sommes que des faits d’hiver…
Et ce froid qui nous enlace,
Quand la vie se fait sévère,
Que lentement le cœur se glace…

Nous ne sommes que des faits dits verts…
Verts de peur, verts de rage,
Verts de colère, verts de passage
Quand la douleur persévère…

Nous ne sommes que des faits dits vers…
Vers le néant qui nous appelle,
Vers ce chagrin qui s’amoncelle,
Et nous laisse un goût amer…

Nous ne sommes que des faits divers…
Parfois il faut vivre un enfer,
Sans pouvoir croire ce que l’on nous dit :
Qu’après, ce sera le paradis…

Nous ne sommes que des faits divers…
Mais qu’est-ce que la diversité ?
Une différence dont on est fier,
Ou une dissonance raillée ?

Oublie que nous sommes faits divers…
Laisses - moi te donner des ailes,
Ailes d’ange, ailes de dentelle,
Neige blanche, neige douce-amère…
Laisse-moi être ta… fée d’hiver…

_________________

Compagnon d'Aristote
Milandor


Prière d'un soir

Observe tes enfants
Au chevet de ma plume
Qui voyagent vers l'infini
Juste d'un regard

Ils te cherchent, te désirent
Toi, le désincarné
Tant de lumière sous leurs pieds
Qu'ils n'oseront saisir

La passion qui s'ignore
Un Roi s'en saisit
Qui voit fleurir si près
Une chimère endormie

D'une douceur sans pareille
Nait la Terre tremblante
Fragile mais palpitante
C'est la vie qui jaillit

_________________
--Bocador
Bocador l'envoyée du vieux bohémien, continuait son tour des maisons de poètes comme convenu avec Sandino son maître qui de son Italie lointaine lui faisait parvenir des textes pour qu'elle les accroche à sa place, participant de fait à la survivance de la poésie plus menacée que jamais.

Vies solaires

Dans la chaleur de l’été
Sur la mer de pierre ensoleillée
Je marche sous les frondaisons.

Quand le vent change les nuages
Et dans le ciel révèle la montagne sage
j’arrête mes pas et regarde le vaste horizon.

Je regarde la nuit tomber
Telle une vague immobile
Sur le bleu noir des cyprès.

Alors quand tout autour devient obscur

Je vois…

Je vois l’ailleurs, la ville se transformer en navire
qui s’éloigne du port et nous…

Nous…

Nous n’existons plus, nous rêvons !
En songe nous traversons la frontière des terres sacrées
Où la porte de lumière passée,
Il y aura de l’âme, seule la vérité éternelle
Dans le parfum des fleurs calmes et fidèles…


(Version originale)

Vite solare

Nella calore dell’ estate
Sulla mare di pietra assolata
Cammino soto i rami
Quando il vento transmuta le nubi
E rivela nel cielo il monte
Allora mi fermo e guardo

Guardo la notte cadere
Come un’onda immobile
Sul l’azzuro-neri dei cipressi

Quando tuto intorno è oscuro
Ora io vedo…

Io vedo l’altrove
La citta diventa un nave
Che del porto si allontana

Noi…

noi non siamo, sogniamo
Sogniamo che attraversiamo dietro
L’orrizonte di terre sacra
Dovè passata la porta della luce
Ci sara soltanto l’eterna verita del’anima
Nel profumo delli fiori calme e fedeli…


(Sandino)
Christabella.jauzac.
Citation:


elle aimait les observer,
les yeux des voyageurs
de si loin sont-ils arrivés,
existe cette lueur
Outre les bleus, outre les verts
de chaque nuance gardant souvenir
Outre les ocres, outre les ébènes,
de l'aquarelle vécue, ont pu saisir

See the RP information <<   <   1, 2, 3   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)