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[RP] Des enchères pour Labrit.

--Le_com_priseur
Le com essaye de suivre impossible sa vole dans tout les sens demande par ci demande par la il ne sait plus ou il en est...

110 écus pour la fourmi! pour Bethany 1 fois!

Il regarde la foule si personne répond et se laisse aller

110 écus pour la fourmi! pour Bethany 2 fois!
--Bethany


110 écus pour la fourmi! pour Bethany 1 fois!
110 écus pour la fourmi! pour Bethany 2 fois!


Trois fois adjugé vendu !

Si c'est pas encore dit c'est tout comme, et ainsi, elle s'avance vers le côté de l'estrade, traversant la foule assemblée, un petit sourire narquois bien accroché aux lèvres.

Il n'est pas dit qu'on puisse encore lui enlever ce qu'elle est bien décidée à obtenir.
Décidée, elle l'est. Aucun doute là dessus, la greluche finira chez elle.
Ils pourront payer puisqu'ils sont déjà prêts à le faire là.

Arrivée en bordure d'estrade, elle invite d'un geste de la main la conseillère aux yeux vides à en descendre et à la suivre.
La regardant avec un rictus sardonique, la pauvrette rougissante va en voir de toutes les couleurs...

Et tandis qu'elle l'entraine déjà au loin, elle lui glisse :


Fourmi...
C'est pas un nom ça, va falloir trouver autre chose de plus... racoleur !


Dans quelques instants elles seront arrivées à "La chaleur de Labrit" et elle pourra disposer à loisir de la conseillère municipale.
Cesaire_h
Tain pour du rapide, c'est du rapide.. Seulement, quand une paluche s'abbat sur votre épaule, avec assez de poigne pour vous couper l'élan, y a juste une seule chose à foutre..C'est de se retourner bon gré, mal gré.
Il sait faire aussi.


Tu permets ?

En fait il ne permet rien, c'est assez froidement dit, le jeu est fini, plutôt agréable pour ce qu'il a duré...Césaire la regarde de haut, puisque comme la fourmi il n'est pas dépourvu.

Je récupère ce qui m'appartient.


Il est evident que la fin de non recevoir s'impose, il relache l'étreinte ferme sur l'épaule plutôt fine, pour se tourner vers Cymoril.

On a de la route..

Evidément elle peut insister la maquerelle, il est quasi certain qu'elle aura trop d'orgueil pour ne pas tenter.
Un rictus sous le hâle, qui n'atteint pas les yeux.

A ses risques et périls. Elle est assez versée dans la compagnie des hommes pour renifler l'os ou la tuile et appréhender ce que dégagent les présences.
La prostitution a sa part de savoir dans la nature humaine.
Suffit de ne pas se tromper, une erreur de jugement peut couter cher.
Ni colère, ni précipitation, tranquille et déterminé.
Le bras possessif déjà passé à la taille d'une fourmi.
Celui du propriétaire sûr de son bon droit et de lui.
Il la toise froidement la putain, n'ayant pas toujours boudé leur compagnie.

_________________
Cymoril
Il n'y a plus d'abonnée au numéro que vous avez demandé...

Regard vide depuis un moment déjà, elle n'est plus là.
Elle n'a même pas suivi les dernières enchères, n'a prêté aucune attention aux derniers rebondissements.
Ailleurs.
Même les feuilles de chanvre n'avaient réussi à la désincarner à ce point, c'est dire.

Terrorisée, tétanisée, elle se laisse entrainer par le bras. Son pas est mal assuré, elle trébuche même par moment.
Elle n'est même plus en état de raisonner, de réagir.

Un jeu anodin vient de virer au cauchemar, et quand elle en aura enfin conscience peut-être alors songera-t-elle à la fiole qu'elle a dans la poche...


Pourtant, quand elle est stoppée net, suite à l'arrêt de Bethany, lentement son esprit revient à la surface...
La voix du spadassin résonne à ses oreilles...


Tu permets ?
...
Je récupère ce qui m'appartient.
...
On a de la route..


Salvatrice...
Et lorsque son bras protecteur vient la cueillir, alors la brunette redevient elle. Et l'esprit reprend son bon droit.

Encore une leçon, durement apprise, peur au ventre.
Peut-être la plus dure au vu de tout ce que cela impliquait.
Il est là, c'est tout ce qui compte.

Quoi que...

Elle lui écrase le pied du talon de sa botte avant d'enfouir son visage contre lui et de lui murmurer :


Ca c'est pour avoir acheté une autre...
Et m'avoir foutu les glandes...

Et si tu t'avises de ramener la Lulu, j'te tue et elle avec !


Là, elle en oublie la Bethany qui doit ruminer. Elle va éviter de foutre les pieds dans le coin des Bains pendant un moment la Fourmi.
Blottie à l'abri, elle savoure, le respire et reprend le dessus, avant de poursuivre toujours à l'attention unique de son oreille :


Alors j'suis ton esclave pour trois jours...

Mutine, elle affiche un sourire presque radieux...
Foutu Césaire...

_________________

Juliuz a écrit: Cymoril, toujours franche et ironique mais qui a drôlement perdu de son charme en changeant d'avatar.
--Bethany



Muffle imbu de lui-même.

Elle finit par penser que même dans une p'tite ville pépère de Gascogne il faut songer à embaucher quelques hommes d'armes pour surveiller ses arrières.

Il espère s'en tirer comme ça...

Bethany sait pertinemment qu'elle n'est pas physiquement de taille à lui résister. Mais elle connait d'autres moyens de lui nuire, plus discrets et sournois...

Comme elle a bien compris qu'il s'agissait là du fâmeux compagnon dont la Fourmi était venue parler quelques temps auparavant...

Pas qu'elle soit méchante, mais loin d'être une gentille fille elle.

Une seule phrase devrait suffire :


Alors c'est lui...

T'avais raison la Fourmi, il a pas l'air très satisfait avec toi...


Une pour chacun :

D'ailleurs c'est bien pour ça que t'as acheté l'autre d'abord, pas vrai mon gaillard !

Elle a le regard froid et le sourire satisfait de ceux qui savent qu'ils viennent de faire mouche et de taper là où ça fait mal. Le doute persistera chez la petite brune, s'insinuant dans chaque pore de sa peau.
Cesaire_h
Il soupire, Césaire, sans être imbu de lui même, juste fidèle à ce qu'il est et las de tant de prévisible.. C'est d'un ennui...
L'Envie et l'Orgueil plaqués au visage de la putain, lui confèrent cette expression renfrognée qui l'enlaidit.
Jusque dans le pli amer et revanchard de sa bouche, il écoute ses propos.
Une mouche aussi bruyante qu'insignifiante passe, qu'il se contente de chasser négligement d'un revers de main gantée..Sans l'écraser, quel interêt. Pas que desosser de façon méticuleuse une putain de cet acabit lui poserai le moindre scrupule ou souci d'éthique. Il a déjà fait bien pire sans se cacher et les petits noms affectueux dont on l'affuble parfois le laisse froid..

Il reconnait bien là le dépit et la mégère. Il sourit, resserant l'étreinte de son bras autour d'une taille gracile, la fourmi se blottit et il lui murmure:



Tu vois que tu n'as rien à apprendre d'elle. Surtout pas... Si.. Pathétique..Elle pique sans faire mouche. N'aie pas même pitié d'elle.


Il se redresse ayant glissé tout ceci d'un ton bas et trainant en creux d'oreille, capté un battement qui s'apaise..La tempète semble se calmer, à peine une grimace au talon qui lui écrase la botte. Ferrée. Songeant qu'elle a la reconnaissance cruelle dans l'intention. Est ce ainsi que l'on traite son..Il interrompt le tour facétieux que prennent ses pensées...Il reprend pour la maquerelle, sussurant de cette façon agaçante il le sait...


Silence femme, au lieu de cracher ton venin, va donc cracher au basssinet du Com..Tu es la dernière enchérisseuse et tu dois à la ville 110 écus...
Et si je gagne la Lulu pour 15 écus, tu me l'enverras sans délai. Puisqu'elle cuisine..La fourmi sera trop occupée pour vaquer aux fourneaux..


Doucereux, detestable il sait l'être, ou alors il l'est vraiment. Saisissant la bride de son cheval il conclut :

Belle journée pour moi et la ville.
15 écus c'est pas même le prix d'un repas en taverne..110 écus la poignée de vent..
Héhé, quelle bonne affaire. Pas à dire tu as le sens du commerce, j'imagine que ton bordel prospère..


Il s'interrompt un instant pour hisser Cymoril en selle et de la rejoindre. Il doute qu'on vienne lui chercher querelle pour avoir dérobé, à une maquerelle assez stupide pour croire s'offrir ce qui n'était pas à vendre. Une talonnade solicite la monture mais songeant à une dernière chose, il amorce l 'arrêt d'une pression ferme sur les rènes.

Ah oui.. Evite dêtre rancunière..
C'est un vil péché et il pourrait te coûter encore plus cher..
Et pour te mettre à l'aise...Je ne menace jamais..



Un baiser dans le cou de la fourmi, calée devant lui, assez belle même de dos, ou surtout de dos pour ne pas le laisser indifférent..Elle n'est plus assez innocente pour l'ignorer d'ailleurs

N'est ce pas ma douce esclave ? J'ai hâte de voir ça..
Tu ne vas pas la croire j'espère, regarde dans l'état où je suis..


Le reste sera vite oublié, comme toujours. Mais ce léger détail n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd..Pressé de rentrer à demeure du coup, voir comment une fourmi s'y prendra pour servir son maitre. Il a un sourire plus détendu et taquin cette fois. Vite..Le départ est prit, lui goguenard, ayant déjà chassé cet insignifiant aléas loin derrière ce qui l'accapare vraiment.
La seule chose qu'il pourrait regretter, c'est de ne pas être de face pour voir la fourmi rougir.
Le vert lui allait trop mal..

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Stargate07
Star arrive ,regarde un peu les donnation et se marre

Oulà messir bal,vous faites une affaire pour quelques écus avoir une main d'oeuvre pour trois jour,j'espère que vous savez ce que vous faite

Puis rétorque de plus belle

Hi!hi!hi! préparez vous a débourser pas mal d'argent pour réparer toutes ces castatrophe

Puis star regarda sa belle gitane

Alors ma douce,pourras tu faire conrectement le travail qu'on te donnera

Star posa un baisé sur les lèvres de sa belle,puis s'écroula de rire
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http://i38.servimg.com/u/f38/12/28/57/58/bannie10&u=12285758
Cymoril
Ou si j’avais su qu’on ferait du cheval j’aurai mis mes braies…


Mauvaise la taulière des Bains…

Elle sait taper dans le mille pour faire mal à une fourmi fébrile.
Pourtant elle voudrait ne pas douter, se dire qu’elle lui suffit… Qu’est-ce qu’elle en sait après tout ? Il a bien acheté l’autre en premier choix.

D’ailleurs le choix n’était pas innocent, il aurait pu s’offrir Ardath, ou Cérénia… si c’était pour s’amuser et faire gagner de l’argent à la ville.
Une légère apnée quand son souffle vient lui glisser quelques mots rassurants à l’oreille et que son bras la serre plus fort encore. Elle se relâche…

Que Bethany s’insurge ou pas, elle s’en fiche. Elle a retrouvé la place qui est la sienne. Et que quiconque vienne crier au scandale et il risque fort d’être reçu par la Fourmi en pleine possession de ses moyens.

Tandis qu’il assassine en douceur la mère maquerelle, Cymoril sourit. Là où les autres verraient une ordure sans cœur elle voit son héros… Chacun ses références. Il a sa préférence, depuis longtemps acquise. S’étonnant même qu’il supporte toutes ses bêtises avec tant de patience.

La Fourmi apprend, pas à pas. D'ailleurs elle aurait pu, maintenant que ses neurones sont à nouveau en état de fonctionner, ajouter aux propos de son "maître", que Bethany a été pésée, qu'elle a été évaluée, et jugée insuffisante...

Là, c’est en selle qu’elle est. Houppelande retroussée pour mieux y tenir… C’est bien la peine de cacher tout ça si c’est pour l’exposer pour faire quelques mètres et rejoindre la maison. L’air fine la Fourmi maintenant.
Surtout quand il la rejoint sur la selle.

Est-ce son souffle dans le creux de son cou, les propos qu’il lui murmure ou plus simplement cette envie grandissante qu’elle sent naître en son dos qui achève de lui faire monter le rouge aux joues. Ou bien tout en même temps…

Et si et si…
Et s’ils n’étaient pas en plein milieu d’une rue au grand jour…
Et s’ils étaient chevauchant sur une route déserte sous la lumière voilée de la lune…

Peut-être bien que l’amazone légère se risquerait à un audacieux jeu de jambes, afin de renverser la donne. Restant en selle, ça peut se faire aussi. Et une houppelande peut bien être retroussée plus haut que le genou.
Pas que la pose initiale la gêne ou lui déplaise, simplement pour qu’il puisse profiter de ce reflet cornaline que prennent ses yeux noisettes si ordinaire, cette teinte particulière que lui seul sait faire naitre.

Pour l’instant, elle se recule légèrement, histoire de bien le faire rager, s’appuyant complètement contre lui. Et d’une voix étrangement rauque :


J’suis à tes ordres… Ô mon maître…

On rentre ?


Après tout elle peut bien lui faire plaisir après ce qu’il a encore été obligé de faire pour la sortir du merdier dans lequel elle s’était fourrée.
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Juliuz a écrit: Cymoril, toujours franche et ironique mais qui a drôlement perdu de son charme en changeant d'avatar.
Arzock
75 écus pour la Fourmi !

Et gardez donc vos menaces pour les pauvres loqueteux !


‘tain ! C’est pas possible ! Elle ose le défier ! L’Arzock fulmine, force un passage parmi les curieux, et se dirige tout droit en direction de l’imprudente. Il est bien décidé à lui donner une p’tite leçon à cette effrontée d’enchérisseuse…

Un coup d’coude par ci…une bousculée par là…l’géant en rage avance…Il capte une voix en bruit de fond « 5 de plus sur La Lulu » s’en moque d’la Lulu aux lèvres de feu…seul compte la marâtre qui serra tout soudain à portée d’baffe ! Mais l’Arzock peine…à croire que tous les villageois ce sont donnés l’mot pour freiner son parcours.

POUSSEZ-VOUS !!!

Blang !!! Son bras s’est tendu tout seul pour s’écraser sur la tronche du malchanceux qui r’fusait d’faire un effort d’accommodement pour le laisser passer…

100 pour la fourmi.

Arrêt net ! Hein ! L’Géant en rogne se renfrogne…se retourne, et de son point d’vue dominant cherche du regard l’inconscient surenchérisseur…et le trouve. Demi-tour rapide, changement de cap…son sang bouillonne, l’Arzock revient sur ses pas…curieusement la voie se libère avec une grande rapidité…sont pas si bête par ici…

110 écus pour la fourmi ! Et activez donc... comme elle vous l'a dit !

Là, c’en est trop ! Il va en tuer un ! N’importe lequel f’ra l’affaire ! Il serre les poings, redresse ses larges épaules et inspire une grande bouffée d’air qu’il expire bruyamment par le nez. Et une interruption…

110 écus pour la fourmi! pour Bethany 1 fois!

110 écus pour la fourmi! pour Bethany 2 fois!


Alors elle se nomme Bethany…c’est donc elle la taulière du bordel du coin…et l’autre, qui est-ce ?

Arzock est suspendu dans son élan par l’attente de l’adjudication…mais bizarrement le perdant s’avance en direction de l’estrade, le pas assuré, l’arrogance en cape. Avec une assurance hors du commun, il enlève l’acquisition de la maquerelle…

L’Géant les observe, leurs conversation et couverte par le brouhaha incessant de la foule, mais il comprend…de mise sur la fourmi, point il n’y aura…Cymo est la Fourmi de l’homme inconnu…pour preuve, le v’là qu’il l’emmène sur l’dos d’son destrier.

Ça ne s’passera pas comme ça ! Quel malotru ! One ne dispose pas de se qui ne vous appartient pas ! La Fourmi est pour trois jours la possession d’la taulière ! Soudain, il trouve un infime élan de sympathie pour la lésée…et la rage retenue n’attendait que cet instant pour éclater.

Comme un taureau déchainé, l’Arzock fonce en direction du couple, sa main puissante agrippe fermement le ceinturon de l’homme, l’arrache de sa monture comme un simple sac de blé du dos d’une mule, et le jette à terre de toute ses forces. L’homme roule au sol entouré d’un petit nuage de poussière.

La Fourmi n’a pas bougé. L’Géant s’en empare et la ramène à qui de droit…

L’Arzock jette un regard assassin au Com....

Allez-y ! Et de trois ! C’est compris !

Et il jette à l’attention de Cymo.
Nous avons un contrat ! Je veux ma dague !

L’Géant se méfie pas de l’homme désarçonné…il devrait peut-être…
Cesaire_h
Sérieux y a des jours...En fait y a carrément des semaines où faudrait pas se lever, surtout quand on partage la vie d'une fourmi. Rester au pieu ouaip.. Epuisant mais moins dangereux que de la laisser se ballader en ville...
Il a trouvé c'est pas une fourmi c'est un fléau, une calamité, il pleut des emmerdes à quand les criquets, planquez vous!
Il pensait l'affaire cloturée et se voyait en haut de Labrit, avec SA fourmi.
Le détail non négociable va bien falloir que ça rentre dans les espritts. Parcequ'il faut pas déconner, il connait pas un seul abruti qui laisserait vendre sa femme en place publique. Et s'ils y croient tant mieux pour eux, faudra juste qu'on lui donne le nom du machin..

Moquette, herbes, champignons, au choix.

En même temps il s'en cale, ils hallucinent. Lui il décroche sans crier gare de sa monture, adieu étriers, pas de problème. Il note qu'on lui avait jamais faite celle ci..

Soit...Enfin la journée perd de sa triste monotonie...

Rien à caler de l'enchère, Césaire accuse le choc. Rude. Mais sans être un géant, il n'a rien du petit grain de maïs qui accompagnent en général ce genre de géant. Qui risque bien lui aussi de virer au vert..
Tain même la monture dans sa grande surprise, laisse échapper un hennissement laconique.
Il se releve, avec souplesse et dans un crissement de métal, la cotte de maille en rappel sur la largeur de son torse.
Marrant en général son aspect bûcheron forcené donne à réfléchir...


Il s'epoussète, légèrement agaçé, gardant un calme qui commence à devenir tout relatif. Un peu comme si on était en train de se barrer avec votre femme sur l'épaule..
Diantre..Pauvre gars, la nature la fait si grand qi'il a chopé une insolation à cotoyer le soleil plus haut que la moyenne..

Aurait il pris Cymoril pour quelque dame blanche ? Une apparition divine ?
Foutre dieu.. Diable!
Et que la maquerelle reste coite, l'air mauvais qui est le sien, n'augure rien de bon. Comme le sifflement qui vient de découper l'air et le silence tout aussi relatif qui a suivi cette scène imprévue..
Une fourmi hurlante n'en est que le détail logique..D'ailleurs elle a un coffre..

L'épée est sortie et c'est à l'évidence une arme pas si anodine, n'en serait que la garde ciselée..Et la dextérité. Quelques pas souples.


Je sais pas de quel contrat tu causes mais..La seule lame que tu auras c'est celle qui va te vider de tes tripes...
C'est MA femme. Et elle est pas à vendre. Encore moins à un bordel.
Fin de l'histoire.


Le ton est posé, net, pas même haussé, le regard franc et direct. Un coup d'oeil préventif au com. Il n'est pas à une langue tranchée prête. Qu'il se la ferme.
La main qui tient l'épée ne cille pas, Césaire est loin d'être petit ou maigrelet, la pointe d'acier éprouve l'élasticité de la peau au travers des vêtements. La nuque pour être précis...Juste en cet endroit sensible à vous provoquer un frisson froid en long d'échine..


Tourne toi et lache la.
Ou je te saigne.


Il ne plaisante pas. Il ne partira pas d'ici sans elle. Quitte à élaguer du colosse en commençant par cette putain de main qu'il a posé sur elle...Et qu'on lui fasse pas le coup du je te pique ton épée par surprise. Césaire est un homme de guerre aguérri, il a le vécu, l'expérience qui rendent ce genre d'erreur improbable. Surtout dans cette situation où son sens aigu de l'observation est exacerbé. En vérité tellement parano l'homme tranquille qu'il pourrait même se méprendre sur le moindre geste.
Faut faire gaffe aux grands calmes...Note qu'il aurait pu lui foutre un coup de garde en traitre dans la gueule ou la nuque et l'envoyer morfler chez Morphée..Patience..
C'est sa femme par toutes les catins de l'enfer, bordel ! A croire qu'ils se sont tous donner le mot pour lui casser les roustons en ce jour mémorable...
Pas moyen d'être tranquille... Font tous chier.^^

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Cymoril
Il est des jours...

Où l'on regrette vraiment d'avoir voulu filer un coup de main...
De quelque façon que ce soit...

Elle qui était déjà à rêver de leur retour à la maison, et de comment elle allait bien pouvoir le remercier et se faire passer sa dernière bêtise... A failli atterrir au sol quand son appui fut projeté hors de selle.

La Fourmi est restée tout d'abord interloquée. Mais quand l'Arzcok est venue l'arracher à la selle, évidemment qu'elle s'est mise à gueuler, hors d'elle. Comment a-t-il osé toucher au spadassin ?

Evidemment les conditions ne penchent pas en sa faveur. La différence de taille non plus. Pourtant loin de se laisser faire la brunette quand même. Elle martèle ce qu'elle peut atteindre de ses poings rageurs mais pas dépourvus d'une certaine force, ou force certaine, elle manie l'épée et le marteau depuis suffisamment longtemps pour ne pas être une petite chose sans défense. Surtout quand on touche à son compagnon.

Elle s'en contrefiche qu'Arzock ne le sache pas. Qu'elle n'en ait pas causé. Elle évite en général, méfiante dès qu'on essaye de la questionner sur sa vie privée. Des fois qu'on le chercherait et qu'on essaye de l'atteindre par son entremise.

Fourmi rouge de colère frappe de toutes ses forces, et quand le géant lui parle de dague, elle se rappelle soudain celle qui est dans sa botte. Il veut une dague, il risque d'en avoir une plus vite qu'il ne pense.
A oublier trop vite à qui l'on s'attaque faut pas s'étonner non plus.

Myrmidon Cartel n'est pas dépourvu, ni de la bourse ni de bon sens. Et l'avantage d'être petite c'est qu'on est moins loin de ses extrêmités. D'ailleurs elle a été à bonne école pour la dague dans la botte, la leçon avait été comprise... la première leçon du spadassin...

La main discrètement mais néanmoins prestement a vite rejoint la botte sous la longue houppelande pour se saisir de l'arme, petite certes, mais pas moins dangereuse si l'on sait s'en servir. Assurée. Ferme. Aucun tremblement, pas dans ces conditions. Elle maitrise bien mieux que le passage sur l'estrade, presqu'aussi à l'aise que pour un pas de deux sur un champ de bataille.

Sent-il maintenant la pointe qu'elle appuie dans son cou, faisant perler une goutelette sous sa mâchoire ?


Comme le dit le gars tranquille derrière vous Arzock !

Lachez-moi... et ne croyez surtout pas que j'hésiterai une seule seconde à m'en servir.


Elle reprend, plus bas, à son oreille :

J'en ai presque envie d'ailleurs, parce que vous avez osé poser vos sales pattes sur moi...
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Juliuz a écrit: Cymoril, toujours franche et ironique mais qui a drôlement perdu de son charme en changeant d'avatar.
Arzock
L’Arzock grogne…une pointe d’épée en appui sur sa nuque et une piquante dans l’cou prête à l’saigner comme un porc…sale journée…l’Géant tuera personne aujourd’hui…

Il a beau surplomber la majorité de ses contemporains, dans la posture actuelle, une seule évidence s’impose…et en douceur la Fourmi sur le sol il repose…fin du premier acte.

Du coin d l’œil, il surveille chaque mouvement de la Fourmi s’en retournant auprès de son homme…cachotière la Cymo…l’ignorance tue, il le sait, l’Géant enrage, il pensait l’avoir cernée…il s’était vautré. Résultat, sa vie dépendait de l’homme à l’épée derrière lui.

Dans sa rage, il n’a pas vu celui qu’il a jeté à terre…il voit juste sa main l’agripper au ceinturon, ses doigts s’éraflés sur la cotte de maille…un mercenaire…sans aucun doute, une catin d’la mort qui doit vendre ses services aux plus offrants.
L’Arzock baisse la tête offrant sa nuque en un signe visible de soumission. Ses poings se contractent. Intérieurement sa chaire est en ébullition. Long raclement de gorge suivit d’un crachat qui atterri au pied de l’estrade.

D’une voix sans peur et sans émotion il lance…


F’riez bien d’la t’nir « vôtre femme »…on s’offre pas ainsi à la populace pour ensuite s’en soustraire…et vous l’savez bien….


Pression supplémentaire sur sa nuque, l’Arzock ne bronche pas. Il ne manquera à personne…

On va encore rester là pour longtemps ?


Long raclement de gorge dédaigneux, et l’second glaire qui r’joint l’premier…
--Bethany



Elle n'a rien perdu de la scène qui vient de se dérouler sous ses yeux, amusée de voir qu'elle ne s'était pas gourrée sur l'intérêt de la gente masculine pour la brunette.

Dommage que son homme ait été dans le coin... Elle aurait pu s'entendre avec le géant, après tout il avait l'air intéressé lui aussi, il aurait fait un client de plus pour la partie moins respectable de son établissement.

Par contre, elle avait méjugé des capacités de la donzelle, avec sa timidité et ses rougissements. La fourmi a l'air dans son élément dans ce climat de violence, réactive, et prompte à se défendre.
Comme une envie de jouer du fouet et de voir la peau blanche du dos de la demoiselle se strier de quelques traînées perlées de rouge, de l'entendre gémir et supplier.

Bethany laisse là, vengeance se mange froid et elle a bonne mémoire.
Le couple paiera à son heure. A l'endroit où ils s'y attendront le moins. Directement ou pas...
Pour le temps perdu, pour l'humiliation et parce qu'elle y prendra plaisir.

Le géant est en mauvaise posture...
Il a sous estimé lui aussi le couple.

La maquerelle d'un dernier regard jauge la donzelle, éloquent d'une lubricité que celle-ci ne manquera pas de relever. Et le dédain pour son compagnon...

Revenant à la scène en estrade...


20 écus pour la Lulu !

Avec celle-là et la gentille fille, elle aura de quoi satisfaire sa clientèle, même si c'est pas d'la chair aussi fraîche que la fourmi, elles rejoindront la nouvelle arrivée, même si ce n'est que pour trois petites journées.
Avec le risque qu'elles prennent pour les mercenaires.
Baldik
Ayant une petite idée derrière la tête, Baldik regarda la fourmi du coin de l'oeil et surenchérit.

"Je dit 120 pour la fourmi!"
Cesaire_h
Parfait..
Une maquerelle qui n'en pense pas moins mais qui a la sagesse de la boucler. Elle relance pour sa putain, Césaire se détend un poil, satisfait..
Exactement ce qu'il voulait.
Le géant tenu en respect, il lance une bourse pleine sur la table du Com qui a eu la bonne idée de se faire oublier..
La lourdeur de la bourse atteste de la solvabilité..d'ailleurs il est bien le seul jusqu'à présent à prouver qu'il a les moyens..
Evitant d'égorger net le petit malin qui croit relancer sur la fourmi..Il escamote au passage l'amie, qu'on dise pas qu'il est méchant non plus..Comme on dit les meilleures plaisanteries sont les plus courtes..Et celle ci a assez duré, ils doivent décoller dans quelques heures, plus de temps à perdre..


140 pour la fourmi et 50 pour l'Ardath et on en parle plus. Pour les bonnes oeuvres de Labrit. Clotures ces enchères où la seule chose que tu annonceras se sera ton sang craché par la gorge...


L'ordre est bref, de toute façon Césaire n'est pas à un Com égorgé prêt. Le gars est prévenu..Ceci dit, avec lenteur il écarte sa lame d'une nuque baissée en signe de coopération, gardant le bonhomme à l'oeil. Le danger semble retomber et il est plus que temps de rentrer..Il capte Ardath et Eilith qui semblent à leurs aises. Il a récupéré sa femme, le reste il s'en cale..C'est pas son genre de rabaisser son lascar aussi une fois en selle, les bottes fermement ancrées aux étriers il répond à l'Arzock dont la fourmi lui a parlé. Il peut enfin mettre un nom dessus. L'idée qu'elle soit restée seule avec ne le réjouit guère c'est un fait..


Nope, on s'en va..
En même temps je doute que la mairie cautionnerait la vente d'une femme honnête au bordel de la ville..Ca risquerait de faire désordre et de rameuter le cureton.
Tout comme on offre pas du taf et un diner à un guss pour qu'ensuite il s'empresse de vous livrer..Cracher dans la soupe c'est pas mieux mon gars, à la différence qu'elle a pensé bien faire, elle.


Il salue brièvement, sans plus épiloguer, pas mal de questions en attente pour la fourmi qui le rejoint sur la monture.
Si les autres veulent en être ils savent où se tiendra le départ...
Eux ils tracent sans plus d'encombres et demain ils seront loin.


Sortie à l'arrache pour cause de départ engagé IG, plus d'accès ici demain. Merci et bon RP:wink:

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