Cymoril
Dernier acte avant l'Armagnac.
Mi-figue mi-raisin sur ce coup.
Après l'angoisse d'être prise pour ce qu'elle n'est pas et la mauvaise plaisanterie des garçons, elle éprouve une terrible envie de refaire le portrait à Zouz.
Se retenant de justesse de s'emparer des tenailles de la jouvencelle et d'en coller un bon coup sur le crâne du général de pacotille.
Dire qu'elle le plaignait quelques instants auparavant, compatissait presque avec le pauvre bougre et ses peines de coeur.
Qu'on comprend mieux.
Quand on cultive autant l'art d'être désagréable sans raison, on ne s'étonne pas d'en être réduit à fréquenter les bordels pour espérer gagner quelques faveurs féminines après tout.
Alors qu'il entame une volte face en direction des bains, la jambe de la brunette se détend, crochetant le pied d'appui du mauvais plaisantin, qui s'étale dans une flaque boueuse au beau milieu de la rue.
Un sourire narquois se dessine méchamment sur son visage. Prémice d'une vengeance venir.
Comme elle se penche maintenant sur lui pour lui murmurer à l'oreille :
"Tu te crois drôle peut-être Zouz !
Tu l'es pas!
Tu frôles le vulgaire le plus commun et le plus bas !"
Elle se redresse lentement, gardant un regard froid sur le Zouz à terre, songeant que ce qui en découlera sera délectable. Mais pour l'heure, Eilith a raison, elle est attendue ailleurs.
Pas grave, ça se mange froid cette chose là. Elle aura ainsi tout le temps d'y réfléchir.
Allez Eilith, on s'en va !
Une bonne chope et après j'taille la route !
Fourmi rouge...
_________________
Juliuz a écrit: Cymoril, toujours franche et ironique mais qui a drôlement perdu de son charme en changeant d'avatar.
Mi-figue mi-raisin sur ce coup.
Après l'angoisse d'être prise pour ce qu'elle n'est pas et la mauvaise plaisanterie des garçons, elle éprouve une terrible envie de refaire le portrait à Zouz.
Se retenant de justesse de s'emparer des tenailles de la jouvencelle et d'en coller un bon coup sur le crâne du général de pacotille.
Dire qu'elle le plaignait quelques instants auparavant, compatissait presque avec le pauvre bougre et ses peines de coeur.
Qu'on comprend mieux.
Quand on cultive autant l'art d'être désagréable sans raison, on ne s'étonne pas d'en être réduit à fréquenter les bordels pour espérer gagner quelques faveurs féminines après tout.
Alors qu'il entame une volte face en direction des bains, la jambe de la brunette se détend, crochetant le pied d'appui du mauvais plaisantin, qui s'étale dans une flaque boueuse au beau milieu de la rue.
Un sourire narquois se dessine méchamment sur son visage. Prémice d'une vengeance venir.
Comme elle se penche maintenant sur lui pour lui murmurer à l'oreille :
"Tu te crois drôle peut-être Zouz !
Tu l'es pas!
Tu frôles le vulgaire le plus commun et le plus bas !"
Elle se redresse lentement, gardant un regard froid sur le Zouz à terre, songeant que ce qui en découlera sera délectable. Mais pour l'heure, Eilith a raison, elle est attendue ailleurs.
Pas grave, ça se mange froid cette chose là. Elle aura ainsi tout le temps d'y réfléchir.
Allez Eilith, on s'en va !
Une bonne chope et après j'taille la route !
Fourmi rouge...
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Juliuz a écrit: Cymoril, toujours franche et ironique mais qui a drôlement perdu de son charme en changeant d'avatar.