Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4   >>

[RP] Forêt de Labrit

--Snifette
Aïïïe ! Ouille ! Aïïïouiiile ! Z'ai mal ! Z'ai peur ! zniouf !

La petite moufette se débat, léchant et mordillant, sa patte prise dans le piège...
Une ombre s'approcha et la délivra de son calvaire...


-"Heyyyy ! douzement, s'chui blessée moi !! attenzion ! Si tu me fais peur ze t'enveloppes de ma senteur !..."

Elle regarda la jeune femme, la trouva très jolie et fut charmée et rassurée de sa douce voix, elle comprit qu'elle voulait l'aider.

-"Tiens ! T'es bizarre toi ! D'habitude les z'humains partent en courant lorsqu'ils me voient....
Un calin ?? !! un fessstin ?? !! ouais ! pourquoi pas ? !! 'te suis !!"


Sagement serrée contre la poitrine de l'humaine, elle arriva au pique nique et lorgne déjà la nouriture exposée...

________________________________________

________________________________________
--La_tenanciere


Arrivée en place...

A l'aise, le regard des gens ne l'a jamais gênée. Elle sait ce qu'elle est. Et l'assume parfaitement.
Pas comme la souris qui se planque dans son panier...
Celle qui est venue l'inviter, et demander des conseils d'ordre privés.

Ca la fait doucement sourire d'ailleurs, même si elle lui reconnait au moins le mérite d'avoir osé franchir les portes de son établissement.

A l'aise donc !


Bonjour M'sieurs Dames...

J'suis Bethany, tenancière des Bains de Labrit...

D'ailleurs, si vous voulez profiter des bienfaits de notre établissement, nous offrons nombre prestations... diverses et variées... pour tout le monde...


Déposant son panier de victuailles sous le nez de la conseillère municipale, un demi-sourire en coin aux lèvres...

T'nez... Mademoiselle la Conseillère...

Sympa votre sauterie...

Sinon... Vous allez bien vous?...


Bien consciente de la mettre dans la panade, ou pas d'ailleurs...
Qui peut savoir la teneur de la discussion qui s'est déroulée là-bas ou bien si la demoiselle est simplement venue se délasser dans un bain aux senteurs exotiques...
Simone_de_beauvoir
Le monde commence à affluer. Peu de Labritois, certes, et encore moins de nouveaux arrivants. Elle espère qu’ils finiront par vaincre leur timidité. Si seulement ils faisaient l’effort de venir, elle sait bien que la pousse de framboise résoudrait le problème. Enfin, on ne peut tout de même pas les tirer par leur fond de culottes.

Souriante à l’entour, aux inconnus comme aux amis, profitez-en ce n’est pas franchement dans ses habitudes, elle accueille chaque arrivant qui ose leur demander de se joindre à eux par une affirmation enjouée, avant de distribuer les miches de pain, les cuisses de poule, les morceaux de lapin et de faire tourner les bouteilles et les tonnelets. Ravie à la perspective d’apprendre à chasser, elle grimace un sourire à l’intention de la Fourmi, sourire en remerciement, grimace à l’idée qu’on les évite encore.


Bah, t’inquiètes, on finira bien par les faire changer d’avis. S’ils n’sont ni trop obtus ni d’mauvaise foi, bien sûr. Et puis si Cérénia ramène son tortillant séant, ça devrait en rameuter plus d’un, tu crois pas ?

Un éclair émeraude lui attire l’œil. Tournant la tête, elle avise qu’il s’agit de cheveux, et que leur propriétaire se dit pirate.

Ça par exemple ! Un pirate, un vrai de vrai ? Vous d’vez avoir des histoires passionnantes à nous conter ! J’ose espérer que vous animerez la veillée. Ah, mais… Voilà de quoi l’animer un peu plus…

Avec un clin d’œil à la bohémienne arrivante, elle se lève pour l’accueillir et remarque un animal non identifiable, tout recroquevillé qu’il est dans ses bras, petite boule de poils soyeux noir et blanc.

Salut toi, ça f’sait bien une éternité… Grandelf va être content d’te revoir. Tiens, t’as donc un familier à présent ? Qu’est-ce donc, un furet ?

Elle se désintéresse de la question à l’arrivée d’une nouvelle inconnue, dont la forte stature dégage de suaves émanations. Simone la regarde d’un air intriguée, lui trouvant l’air tout à la fois raffiné et débauché, trop vulgaire pour être noble mais trop élégante et sûre d’elle pour être une simple gueuse. C’est lorsqu’elle se présente qu’elle comprend le pourquoi de cette hésitation. La tenancière, bien sûr.

Bienvenue Bethany. Four… Euh, la Conseillère m’avait dit qu’elle voulait vous inviter… Prenez place, j’vous en prie… Et n’hésitez pas à faire de la réclame pour votre établissement, ça n’ferait sans doute pas d’mal à certains d’y faire un tour !

Avec un rire léger elle se rassoit, sans penser à mal, candide qu’elle est, mais seulement à l’aspect le plus hygiénique des Bains Publics.
_________________
Kantus
Kantus était ravi qu'enfin le départ pour les victuailles furent donc lancé, Comme le pensait bcp de gens personne de labrit était vraiment venu ...
Kanus s'approcha de simone


Est ce que je pourrais gouter cette fameuse pousse de framboise
Simone lui répondit positivement, il en pris juste de quoi faire...
Il trouva ceci délicieux et en redemanda plusieurs fois...
Il parcourai les différents plats une fois finit il demanda au personne alentour a quel loisir allait t'il s'atteler ...

_________________
Xavier0690
xavier sourit a la dame une histoire ^^

xavier mis sa capuche et prit une voix mystérieuse et commença

c'est l'histoire d'un vieux de loup de mer, en une nuit bien sombre a bort de son misérable rafiot.
une violente tempête soufflais cette nuit et le bateau se balançai de tribord a bâbord sens se retourner et sens coulé. le vieux loup de mer connaissait l'océan comme ça poche et n'avait pas peur cette tempête il en avais vu d'autre.
mais cette nuit la il ne se doutait pas que se serait sa dernière nuit car soudait alors qu'un éclaire éclairait le ciel une imance vague apparu devant son bateau et un gigantesque monstre a 8 pattes en sorti.
en moins de 5 seconde le bateau était détruit en morceau et le vieux marins alla reposer dans sa dernière demeure, les entaille du monstre.


puis xavier prit un verre de bière et la vida d'une traite

Cymoril
Ah ben ça y'est enfin... du monde... et même des labritois qui s'y risquent.

Un sergent de police, qui taquine volontiers la pousse framboise de Simone, Grandelf l'ami de Simone venu en couple pour le coup, une blonde de passage par l'odeur alléchée et Céré... La Torche, l'époustouflante labritoise de retour... Ils ont même l'honneur d'un pirate mimizanais improvisé conteur..

Clair que ça fête ! A l'eau... histoire de tenir sur le canasson du départ...

La petite conseillère tourne son minois vers la taulière des bains, surprise de découvrir qu'elle aussi a un nom... Quoi que... Normal après tout... Et en plus il joli son nom... Bethany... mieux que Fourmi...


Merci... parvient-elle à articuler quand celle-ci lui dépose son panier presque sur les genoux.
Ca va ça va... merci... sort ensuite, étranglé.

Et là, son oeil se pose sur la créature dans les bras de Cérénia... Mirettes qui s'écarquillent... Apparemment, elle est la seule à envisager la suite d'une façon... très désagréable... A croire qu'elle est bien la seule à arpenter suffisamment les sentes paumés du coin pour connaître la faune. Vous allez voir que certains vont s'extasier sur la beauté du pelage de la bestiole en question, vouloir la toucher, l'effrayer... et elle connait la suite.

Dommage, elle ne la verra pas.. L'heure tourne et lui rappelle qu'on l'attend ailleurs, sous d'autres cieux.
Elle se relève lentement, dépoussiérant ses effets, passant une main légère pour en faire tomber quelques feuilles et brindilles déposées.


Bon...
Simone...
C'est pas que j'veuille pas rester mais j'dois y aller là...
Césaire m'attend, la route et Orthez nous attendent...
On reviendra vite...
En attendant, garde un oeil sur Zouz, tu veux bien ? j'sais que les malintentionnés sont nombreux, et vont tendre des pièges tous plus vicieux les uns que les autres...


Si elle avait la moindre idée des pensées d'une certaine rousse en salle de doléances, elle pourrait se demander si elle ne chercherait pas en visant Tess à atteindre Zouz...

Elle s'éloigne, reprenant la route de la ville y retrouver un certain spadassin et un blondinet de six ans dont elle a la charge pour les jours prochains.

_________________

Juliuz a écrit: Cymoril, toujours franche et ironique mais qui a drôlement perdu de son charme en changeant d'avatar.
Jeancabouin
Un homme en haillons, la mine empruntée et la peau du visage asséchée par le peu de soin qui lui est apportée, arrive timidement sur les lieux. Cabouin vainc ainsi sa timidité engendrée par sa petite condition. Nouvel arrivant, il craint de ne pouvoir aisément s'intégrer dans cette pourtant modeste cité; bien que s'intégrer est un bien grand mot, il préfèrerait, selon toute vraisemblance se fondre dans la masse, faire partie de la masse invisible qui peuple la région, les petits, les sans-grades, ceux qu'on entend peu, dont on ne perçoit jamais les douleurs et les joies.

Il est fasciné par la gouaille de certains mais préfère aux discours, le silence et va se réfugier sous un arbre, paisiblement.
Xavier0690
xavier manga un peu et bu beaucoup il s'amusait bien mais il était leur pour lui de rejoindre les moine

xavier salut tout le monde et parti le sourire au lèvre de s'être fait de nouveau ami


Simone_de_beauvoir
Alors que le marin entame son histoire, Simone se vautre dans l’herbe pour en mieux profiter, accoudée le menton dans les mains, les yeux pétillants et les esgourdes grand ouvertes. Au fil du récit, ses lèvres s’entrouvrent sur des commentaires appréciateurs, murmurés d’un souffle court.

Han, ben l’est courageux, l’marin… j’suis pas sûre de pouvoir en dire autant si j’m’étais retrouvée à sa place… Han sa dernière nuit, misère, que va-t-il donc lui arriver à ce pauvre bougre ? Aah, nom de ‘stote, un monstre…

Cymoril ne doit pas partager son enthousiasme pour les lointains périples et leurs dangers.

Bon...
Simone...
C'est pas que j'veuille pas rester…


Chut !

Le ton est péremptoire, le sourcil froncé. Simone écoute la terrible fin de l’histoire en frissonnant, puis se relève en époussetant ses jupons et remarqua l’air Cymoril qui plissait le nez à la vue de la charmante bestiole de Cérénia. Surprise et amusée que la chasseresse semble craindre une si petite bête, elle eut un sourire en coin.

Brr, t’as entendu ça Fourmi ? Euh, oui, pardon, je comprends qu’il te faille partir… Amusez-vous bien, soyez prudents, pas de mauvaises rencontres, tout ça tout ça. Essayez d’éviter les monstres à huit pattes, surtout. T’inquiète pas pour Zouz, il est bien entouré. Puis les ragots il s’en cogne. J’espère qu’il nous fera l’insigne honneur de passer… Allez, bon vent !

Agitant la main en la regardant partir, elle avise une silhouette sous un arbre à l’écart. Plissant les yeux, elle remarque les haillons, en déduit avoir affaire à un va-nu-pied. Pas qu’elle soit contre, mais un traîne-misère qui se tient à l’écart est tout de suite perçu comme louche dans un village, sachant qu’il n’y a guère que les rupins qui peuvent se targuer d’être honnêtes.

En matière de prévention, elle lui adresse un signe de main. Ouvre la bouche pour la refermer aussitôt. Que dire ? Il le voyait bien, qu’ils étaient en train de pique-niquer, et s’il s’agissait d’un nouvel arrivant il devait déjà être au courant. S’il désirait se joindre à eux il le ferait de son propre chef.

Se rasseyant, elle se resservit de lapin, tout en se promettant intérieurement d’être bientôt capable de le débusquer et le cuisiner elle-même.

_________________
Jeancabouin
Jean perçut le geste comme amical mais il s'aperçut aussi que ses haillons apparaîtraient comme des intrus au milieu des différentes étoffes qui, sans être toutes luxueuses, étaient en bonne état et sentait autre chose que la crasse et les ordures. Non il ne se lèverait pas. Il observerait, à son habitude, ce que certains nomment leurs semblables. Il se réjouirait certainement de leur bonheur, écouterait au loin leurs histoires drôles ou pas, rirait peut-être si l'occasion se présente. Mais il continuerait à vivre à l'écart, comme c'est le cas toute la sainte journée qu'il passe à mendier ou travailler pour une misère.
Simone_de_beauvoir
Le gueux ne broncha pas. Simone plissa les yeux. En tant que tribun et organisatrice du pique-nique, elle se devait d’assurer la sécurité et le bien-être des villageois. Or, de deux choses l’une, ou cet individu les menaçait, ou il en était lui-même dépourvu. La lèvre mordillée pour réfléchir, elle se décida à aller à sa rencontre, après une vague justification marmonnée à l’adresse des hôtes de ces bois.

Scusez-moi deux minutes je reviens tout de suite…

L’approchant à grands pas, elle se composait en chemin l’air le plus digne qu’elle pouvait, cet air de grande dame qu’on lui trouvait parfois et qui faisait illusion, quoique jamais bien longtemps. Arrivée à sa hauteur, le visage fermé et le menton haut destinés à impressionner le malandrin potentiel, Simone se troubla aussitôt en remarquant ses yeux. Étrangement clairs, ils en paraissaient vides, comme aveugle.

Chassez le naturel… La tribun s’empourpra, totalement décontenancée par son hypothèse. Toussotant, elle dansa d’un pied sur l’autre en se demandant si l’on allait l’accuser de persécuter les handicapés, à présent. À tout hasard le planta le regard dans celui de l’inconnu, et y vit avec soulagement une lueur de vie, sans doute très étonnée, voire effarée ou franchement moqueuse, mais ce n’était pas pour la déstabiliser.

Revenue en terrain connu, elle releva le menton, l’un air sûr d’elle.


Bonjour.

Bienvenue.

Je ne sais pas qui vous êtes, mais je vous ai vu nous observer. Aussi m'dois-je de vous prév’nir que si c’est à nos fouilles que vous en avez, on a pas vraiment pour habitude de s’laisser faire.

En r’vanche, on est plutôt accueillants, et parfois même partageurs. Alors si vous avez faim, joignez-vous à nous. Vu votre mise, on n’vous tiendra pas rigueur d’avoir rien apporté.

Puis si vous êtes trop fier pour accepter, il vous reste à vous empoisonner avec quelque champignon douteux ou à vous faire renverser par un sanglier en rut.

À moins que vous n'fassiez une étude sociologique, auquel cas vous êtes mal barré. Y a que des cas ici.

_________________
Marianne1402
Marianne s'approche timidement de la compagnie réunie,tend l'oreille pour entendre les histoires et se fait toute petite
Dorennor
Dorennor s'éloigne du pique-nique.
Elle n'a plus rien à faire là.

Elle a enfin compris qu'en fait elle ne compte pas, n'a jamais vraiment compté. Ce qu'elle préssentait ,et qu'il avait toujours nié, se révélait vrai.

Depuis quatre jours déjà, il estimait pouvoir draguer n'importe qui. Peut-être en fait n'avait-il jamais arreté de le faire.

Elle rejeta son sentiment de culpabilité avec énergie. Enfouit tout au fond de son coeur tout ce qu'elle lui devait pour les ressortir un peu plus tard quand la douleur s'estompera.

Elle n'avait pas de haine que de la tristesse pour quelqu'un qu'elle aimait encore mais qui la détruisait.

Elle prépara son baluchon pour partir dans le Béarn.
Cerenia
cerenia s'approche voyant tout le monde bien s'amuser et se dorer au soleil dans l'herbe ..rires et histoires retentissent. .elle gratouille le petit animal ,qui dans un petit mouvement se dérobe des bras de la jeune femme pour se lancer sur les nappes et les victuailles qui ornent le sol.....

« HHOOooooOOOoo viens ici toi !!!sale coquin !!! »


La jeune femme court après la moufette l’effrayant…pour la faire partir …..elle pousse des petits cris et agite ses bras tel un pantin….

« mais sort toi de là voyons !!!!!!!c’est pas pour toi !!!! »

D’un regard gênée elle regarde les convives qui, elle ne sait pourquoi s’affole et lui dise de pas lui faire peur..

Tout à coup le petit animal s’arrête et regardant la gitane …souffle …lève la queue…et dans une odeur nauséabonde envoie un jet ….


« pouahhhhhhhhhhhh !!! mais c’est quoi cette odeur !!!! »

la belle s’échappe en arrière…

Intimidée d’avoir emmené cet animal au pique nique….Rougissant à tous les regards qui la fusillent…la bohèmienne file s’asseoir près du mendiant…pose le panier…et le regarde le désastre de la moufette..


« euh…puis je m’asseoir près de vous…..je crois que j’ai assez fait de sottises !!C’hè pas si il me veulent là bas !!je suis Cérénia !!une fille…pleines de bêtises mais au grand cœur ! »

Elle ouvre le panier pour partager ses victuailles…souriante à voir les gens courir derrière la mouffette….laissant son regard bloqué sur cette dame qu’on, appelle le tenancière…cette femme élégante mais vulgaire à la fois…elle l’admire…elle sourit se disant qu’elle se ressemble d’un certain cotè….provocante à souhaits...
_________________
--Snifette
______________________



___________________
"Sssshouette !!Regardez moi sssçça !!!! miam ! ssçsslurp !! ze sens que ze vais me règaler !!! »

La petite moufette ne sais plus où mettre son regard le fumé des poulets titillent ses narines elle regarde la jeune femme et en s’aidant de ses pattes arrière se dégage de son parfum miel…

« désolé ma belle !!mais ze préfère le poulet au miel !!!…..atte sssionn !!! z aaarrive !!!! »


Elle renverse chopes ,marche sur les gâteau tout en mettant sa gueule et se régalant…elle entend des cris ..s’affole et voit une furie courir vers elle…cheveux tout emmêlés …laissant ses bras tournoyer tel un moulin à vent….
« Oula !!elle me fait quoi celle là !!! héhéhé un petit fumée de ma préparation et ze vais la calmer net !!!hmmmmmmmmmmmmmmmmm !!! »

L animal lève sa queue et forçant sur ses muscles intérieur pousse tranquillement

PFFFFffffff ffffff fffff fffffff…….

]« Et voilà à moi toutes la bonne nourriture !!! »

Remuant sa queue ..délicate….elle continue à s’empiffrer espiègle…
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)