Sofja
Sofja écouta la petite histoire du Jacquot qui était très touchante.
C'est sur personne ne mérite le malheur, la solitude, la misère et grâce à toi, il a trouvé un toit et à manger. Et surtout une belle complicité entre vous. A toi de lui apprendre ce qu'il a à apprendre.
Ils s'enfoncèrent dans la forêt pour la quitter quelques minutes plus tard.
Curieuse, oui je suis une femme je te rappelle. C'est juste que comme on avait du temps à tuer et que tu m'as dit que tu m'en parlerais, c'était le moment. Mais soit, tu me diras plus tard...
La fin de la phrase, elle se le dit en silence...Mais s'il parlait de maîtresse et jalousie, ce n'était pas pour rien. Souvent les gens essayaient de cacher la vérité en la disant sous la forme de l'ironie comme si c'était impossible. Elle verrait bien.
Ils suivirent un petit sentier sur plusieurs lieues, longeant plusieurs champs ou des paysans travaillaient dedans. Bosk demanda sa route, ce n'était plus très loin. En effet, après un calvaire, ils arrivèrent devant une bâtisse qui avait l'air abandonnait.
C'est fort possible, il n'y a rien d'autre aux alentours.
Sofja descendit de sa monture, enleva la poussière qui s'était déposée sur sa tenue. Sa jument en profita pour grignoter l'herbe, elle desserra la selle et enleva son manteau qui commençait à lui tenir chaud. Elle ajusta son veston sur sa chemise tout en frôlant sa dague. Elle ne sortait jamais sens.
Elle a l'air plutôt en bon état. Le toit est propre, les murs aussi malgré la végétation. Il va devoir refaire la menuiserie car les fenêtres ont l'air très abimées.
Et la petite dépendance à côté est charmante, elle a l'air en bon état .
Elle se retourna vers Bosk et lui tendit la main pour qu'il vienne à côté de lui.
Allons voir l'intérieur ? Je suis impatiente.
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[Bannière en construction]
C'est sur personne ne mérite le malheur, la solitude, la misère et grâce à toi, il a trouvé un toit et à manger. Et surtout une belle complicité entre vous. A toi de lui apprendre ce qu'il a à apprendre.
Ils s'enfoncèrent dans la forêt pour la quitter quelques minutes plus tard.
Curieuse, oui je suis une femme je te rappelle. C'est juste que comme on avait du temps à tuer et que tu m'as dit que tu m'en parlerais, c'était le moment. Mais soit, tu me diras plus tard...
La fin de la phrase, elle se le dit en silence...Mais s'il parlait de maîtresse et jalousie, ce n'était pas pour rien. Souvent les gens essayaient de cacher la vérité en la disant sous la forme de l'ironie comme si c'était impossible. Elle verrait bien.
Ils suivirent un petit sentier sur plusieurs lieues, longeant plusieurs champs ou des paysans travaillaient dedans. Bosk demanda sa route, ce n'était plus très loin. En effet, après un calvaire, ils arrivèrent devant une bâtisse qui avait l'air abandonnait.
C'est fort possible, il n'y a rien d'autre aux alentours.
Sofja descendit de sa monture, enleva la poussière qui s'était déposée sur sa tenue. Sa jument en profita pour grignoter l'herbe, elle desserra la selle et enleva son manteau qui commençait à lui tenir chaud. Elle ajusta son veston sur sa chemise tout en frôlant sa dague. Elle ne sortait jamais sens.
Elle a l'air plutôt en bon état. Le toit est propre, les murs aussi malgré la végétation. Il va devoir refaire la menuiserie car les fenêtres ont l'air très abimées.
Et la petite dépendance à côté est charmante, elle a l'air en bon état .
Elle se retourna vers Bosk et lui tendit la main pour qu'il vienne à côté de lui.
Allons voir l'intérieur ? Je suis impatiente.
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