Boskdeportkar
Sofja ne se trouvait pas tout à fait jolie.
Je fis l'etonné. Comment ? Ton petit nez ? celui d'un porcinet ? et tes oreilles trop petites ? Est ce possible ? Ah mais Grand Dieu c'est parfaitement vrai !
Oui maintenant que tu le fais remarquer, c'est flagrant. Et nous n'allons finalement pas nous marrier...
Quelle est laide la vilaine personne que voilà ! comment ai je pu etre si aveugle ?
Je jouais si mal la comédie qu'elle vit bien que je me moquais.
Et elle grosse de partout ! Toute dillatée....Bon, oui, j'en fais des tonnes...
Ton nez est je te l'assure charmant, et tes oreilles fort discretes. Voudrais tu à la place une peninsule nasale et des oreilles elephantesques !
Cesse donc cet enfantillage, tu es jolie, paroles de specialiste.
J'ai vecu dans un harem...ah oui, tu ne le sais pas encore... et franchement, tu aurais ete la premiere epouse du Sultan et sa préférée.
Bon, il ne peut que n'ayant vu le reste encore de ta personne, l'on tombe sur un element qui ne pourrait etre contesté et dans ce cas, je te classerai dans les laideronnes potables et tu garderas toute mon...amitié. Ce qui est un grand honneur reconnais le.
Dieu t'a fait delicieuse en tous points, et si quelqu'un te dit que tu n'es point belle, sache que c'est un fieffé menteur et un goujat. Et j'ai plaisir
à essuyer ta peau, tu es comme c'est beau tableau des grands peintres, aux proportions parfaites et harmonieuses. Tu as la beauté de ton age,
et je ne fais que tamponner de ci de là les quelques gouttes restantes.
Comment veux tu qu'il me soit difficile ou penible d'effleurer ta peau,
elle n'est que douceur, et je suis si concentré à tout bien faire, qu' aucune
autre pensée ne me traverse l'esprit.
Je n'ai que mes yeux pour te decouvrir, et en plus il faut sombre. Je vois
ton corset qui te sert un tantinet le torse et cet heureux hasard fait bomber ta temeraire poitrine qui se dessine joliment sous tes habits mouillés.
Crois moi bien par experience, que j'ai soigné de plus vilaines bosses que celles que j'entrevois à peine à cet instant.
J'épongeai une ultime fois du bout de mon tissu que j'avais à la main, les dernieres gouttes qui s'etaient aventurées en lisiere de ses habits.
Tu es comme Moïse, sauvée des eaux.
Et doucement j'osai m'approcher de son decolleté, et deposai un baiser sur son plexus, baiser chaste s'il en est.
"Navré, jolis seins que j'imagine si souvent et qui avez fiere allure ce jour, vous devrez attendre un peu que votre Seigneur vous vienne rencontrer".
Et ce joli decolleté que j'embrasse meriterait bien un collier. N'oublie pas de m'y faire penser.
Viens, que je termine d'essuyer tes cheveux aux couleurs des blés murs. Quelques baisers dans ton cou seront ma recompense. J'ai te temps de te masser les epaules et le crane. C'est fort agreable à faire..et moins risqué.
Tiens, la pluie semble baisser d'intensité.
Je fis l'etonné. Comment ? Ton petit nez ? celui d'un porcinet ? et tes oreilles trop petites ? Est ce possible ? Ah mais Grand Dieu c'est parfaitement vrai !
Oui maintenant que tu le fais remarquer, c'est flagrant. Et nous n'allons finalement pas nous marrier...
Quelle est laide la vilaine personne que voilà ! comment ai je pu etre si aveugle ?
Je jouais si mal la comédie qu'elle vit bien que je me moquais.
Et elle grosse de partout ! Toute dillatée....Bon, oui, j'en fais des tonnes...
Ton nez est je te l'assure charmant, et tes oreilles fort discretes. Voudrais tu à la place une peninsule nasale et des oreilles elephantesques !
Cesse donc cet enfantillage, tu es jolie, paroles de specialiste.
J'ai vecu dans un harem...ah oui, tu ne le sais pas encore... et franchement, tu aurais ete la premiere epouse du Sultan et sa préférée.
Bon, il ne peut que n'ayant vu le reste encore de ta personne, l'on tombe sur un element qui ne pourrait etre contesté et dans ce cas, je te classerai dans les laideronnes potables et tu garderas toute mon...amitié. Ce qui est un grand honneur reconnais le.
Dieu t'a fait delicieuse en tous points, et si quelqu'un te dit que tu n'es point belle, sache que c'est un fieffé menteur et un goujat. Et j'ai plaisir
à essuyer ta peau, tu es comme c'est beau tableau des grands peintres, aux proportions parfaites et harmonieuses. Tu as la beauté de ton age,
et je ne fais que tamponner de ci de là les quelques gouttes restantes.
Comment veux tu qu'il me soit difficile ou penible d'effleurer ta peau,
elle n'est que douceur, et je suis si concentré à tout bien faire, qu' aucune
autre pensée ne me traverse l'esprit.
Je n'ai que mes yeux pour te decouvrir, et en plus il faut sombre. Je vois
ton corset qui te sert un tantinet le torse et cet heureux hasard fait bomber ta temeraire poitrine qui se dessine joliment sous tes habits mouillés.
Crois moi bien par experience, que j'ai soigné de plus vilaines bosses que celles que j'entrevois à peine à cet instant.
J'épongeai une ultime fois du bout de mon tissu que j'avais à la main, les dernieres gouttes qui s'etaient aventurées en lisiere de ses habits.
Tu es comme Moïse, sauvée des eaux.
Et doucement j'osai m'approcher de son decolleté, et deposai un baiser sur son plexus, baiser chaste s'il en est.
"Navré, jolis seins que j'imagine si souvent et qui avez fiere allure ce jour, vous devrez attendre un peu que votre Seigneur vous vienne rencontrer".
Et ce joli decolleté que j'embrasse meriterait bien un collier. N'oublie pas de m'y faire penser.
Viens, que je termine d'essuyer tes cheveux aux couleurs des blés murs. Quelques baisers dans ton cou seront ma recompense. J'ai te temps de te masser les epaules et le crane. C'est fort agreable à faire..et moins risqué.
Tiens, la pluie semble baisser d'intensité.