Lorca
[Bureau du procureur, il y a quelques jours]
Lorca, assis à son bureau, compulsait un de ses livres de droit, afin d'établir un acte d'accusation envers un délinquant quelconque. Deux coups discrets furent frappés contre le battant de sa porte et il répondit au visiteur d'entrer. Ce n'était que son adjoint, qui lui apportait quelques missives en provenance de toute la Guyenne. Délaissant son travail, le procureur se saisit de son coupe papier taillé dans une dent de requin et commença à ouvrir les courriers. Le premier venait de Cahors, une histoire de révolte, pas très grave apparemment, ça pouvait attendre. Le deuxième était plus intéressant. Son expéditeur était la rectrice de l'université, intrigué par cette signature qu'il n'avait pas l'habitude de voir dans son courrier, il le lut avec avidité. Quand il l'eut fini, il éclata de rire.
Ah la bonne blague, voila que nos chers compagnons de pépé_kaly, qui se plaignent d'être trop faibles pour assister à leur propre procès, vont à l'université pour prendre des cours. Si on peut supporter le monologue d'un docteur pendant quelques heures, on peut bien faire de même avec l'acte d'accusation d'un procureur. Allez, au boulot...
Il se saisit d'une clochette qu'il fit sonner, aussitôt, son adjoint et les scribes de son cabinet rappliquèrent, attendant ses ordres.
Messieurs, nous allons pouvoir instruire le procès de Pépé_kaly et de ses sbires. Jeannot, va chercher les preuves de leurs méfaits. Pierrot, va prévenir Sévérian de préparer les geôles du tribunal, Paulo, va porter cette missive au bureau du porte parole.
Il écrivit rapidement une note à l'intention du lieutenant d'Agen, dans laquelle il ordonnait le transfert rapide des prisonniers à Bordeaux pour instruction de leur procès.
Puis, une fois que tous ses assistants furent partis, le laissant seul avec son adjoint, astorius, il se leva et alla préparer la salle d'audience. le procès ne commencerait pas avant plusieurs jours, mais il tenait à ce que tout soit en ordre.
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Lorca, assis à son bureau, compulsait un de ses livres de droit, afin d'établir un acte d'accusation envers un délinquant quelconque. Deux coups discrets furent frappés contre le battant de sa porte et il répondit au visiteur d'entrer. Ce n'était que son adjoint, qui lui apportait quelques missives en provenance de toute la Guyenne. Délaissant son travail, le procureur se saisit de son coupe papier taillé dans une dent de requin et commença à ouvrir les courriers. Le premier venait de Cahors, une histoire de révolte, pas très grave apparemment, ça pouvait attendre. Le deuxième était plus intéressant. Son expéditeur était la rectrice de l'université, intrigué par cette signature qu'il n'avait pas l'habitude de voir dans son courrier, il le lut avec avidité. Quand il l'eut fini, il éclata de rire.
Ah la bonne blague, voila que nos chers compagnons de pépé_kaly, qui se plaignent d'être trop faibles pour assister à leur propre procès, vont à l'université pour prendre des cours. Si on peut supporter le monologue d'un docteur pendant quelques heures, on peut bien faire de même avec l'acte d'accusation d'un procureur. Allez, au boulot...
Il se saisit d'une clochette qu'il fit sonner, aussitôt, son adjoint et les scribes de son cabinet rappliquèrent, attendant ses ordres.
Messieurs, nous allons pouvoir instruire le procès de Pépé_kaly et de ses sbires. Jeannot, va chercher les preuves de leurs méfaits. Pierrot, va prévenir Sévérian de préparer les geôles du tribunal, Paulo, va porter cette missive au bureau du porte parole.
Il écrivit rapidement une note à l'intention du lieutenant d'Agen, dans laquelle il ordonnait le transfert rapide des prisonniers à Bordeaux pour instruction de leur procès.
Puis, une fois que tous ses assistants furent partis, le laissant seul avec son adjoint, astorius, il se leva et alla préparer la salle d'audience. le procès ne commencerait pas avant plusieurs jours, mais il tenait à ce que tout soit en ordre.
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