Cassian_darlezac
« A l'age où mes voisins me prêtent
Une vie rangée de patachon, brave et honnête,
J'avoue que parfois quand j'm'embête
Je me paluche comme un ado dans sa chambrette. »
La plaie soit de cet éternel masculin capable de transformer le plus vertueux d'entre tous, en le plus méchant des satyres, amoral et vicieux !
Nous-même, et ne nous ne l'avouons pas sans peine, nous nous sommes parfois laisser entraîner par nos bas instincts à la perdition. Comment pourrait-on alors en tenir rigueur à un brave jeune homme, dont l'age boutonne encore, d'avoir, lui aussi, de temps à autre, sombré dans le stupre et la concupiscence ?
Tout héros se voit malheureusement doté de sa part d'ombre et c'est dans les cachots de Digoine, que le jeune Cassian de Blanc Combaz, se laissait aller ce jour là à être un homme comme tant d'autre. En effet, le vent froid de lhiver soufflait sur Bouillon et, sinfiltrant à travers chaque interstice, il faisait entendre sa grosse voix à travers tout le château. Bruyant orgasme hivernal, qui, s'il avait quelque chose d'effrayant, pouvait éventuellement inciter les murs à la légèreté. N'est-ce pas la nature, après tout, qui dans toute sa bestialité primaire nous pousse aux vices ? Le jeune Blanc Combaz n'était donc pas coupable. Pas coupable, non, de ce trouver là, dans cet austère cachot, en compagnie d'un vulgaire page dévergondé ; car la nature dans son entièreté, qu'elle soit sienne ou venue de l'extérieur, l'y avait méchamment contraint !
Candide, il n'avait pas même entrevu le danger que pouvait constituer cette vilaine séance d'onanisme partagée. Même si l'idée ne l'avait pas exalté, on lavait présenté comme distrayante et cétait une bonne occasion déchanger entre homme de graveleuses gravures bien grisantes. Cependant, sil avait pris soin de choisir astucieusement son comparse, il y avait une ombre au tableau, vilain imprévu qui mécontentait tant son Altesse, quelle ne put garder la chose pour elle.
« Ma foi, Firmin, je ne taurais pas cru si bien poiroté », cétait là un reproche à ne point en douter, tant les sourcils fronçaient de mécontentement. Était-ce bien décent dêtre mieux doté que le Prince, surtout quand celui-ci vous a volontairement choisi jeune, petit et frêle ? « Baste ! Repasse-moi donc cette Pascaline la lavandière veux-tu ? »
Si le dit Firmin eut linsolence de sourire, il obtempéra aussitôt, cétait la deuxième fois que le Blanc Combaz quémandait la Pascaline Tout en tendant lobjet de désir et sactivant de son côté, il senquit donc des préférences princières. « On dirait ben que la bougresse a lheur dplaire à vot très pidante Altesse ! La comme quelque chose de lAlizon jtrouve. Ctun bon choix. »
« Me plaire ? Ha ha euh Je laime bien effet, mis à part cette manière indécente de laver le linge avec son sa enfin ce nest pas convenable ! Imagine que tout le monde fasse ainsi ! » Une lueur intéressée éclaira pourtant son regard alors quil senquerrait de la suite. « Alizon, dis-tu ? Qui est-ce ? »
_________________
[Seigneur de Corcelles - 16 ans]
[Merci à JD Aymon pour la bannière. ]
Une vie rangée de patachon, brave et honnête,
J'avoue que parfois quand j'm'embête
Je me paluche comme un ado dans sa chambrette. »
La plaie soit de cet éternel masculin capable de transformer le plus vertueux d'entre tous, en le plus méchant des satyres, amoral et vicieux !
Nous-même, et ne nous ne l'avouons pas sans peine, nous nous sommes parfois laisser entraîner par nos bas instincts à la perdition. Comment pourrait-on alors en tenir rigueur à un brave jeune homme, dont l'age boutonne encore, d'avoir, lui aussi, de temps à autre, sombré dans le stupre et la concupiscence ?
Tout héros se voit malheureusement doté de sa part d'ombre et c'est dans les cachots de Digoine, que le jeune Cassian de Blanc Combaz, se laissait aller ce jour là à être un homme comme tant d'autre. En effet, le vent froid de lhiver soufflait sur Bouillon et, sinfiltrant à travers chaque interstice, il faisait entendre sa grosse voix à travers tout le château. Bruyant orgasme hivernal, qui, s'il avait quelque chose d'effrayant, pouvait éventuellement inciter les murs à la légèreté. N'est-ce pas la nature, après tout, qui dans toute sa bestialité primaire nous pousse aux vices ? Le jeune Blanc Combaz n'était donc pas coupable. Pas coupable, non, de ce trouver là, dans cet austère cachot, en compagnie d'un vulgaire page dévergondé ; car la nature dans son entièreté, qu'elle soit sienne ou venue de l'extérieur, l'y avait méchamment contraint !
Candide, il n'avait pas même entrevu le danger que pouvait constituer cette vilaine séance d'onanisme partagée. Même si l'idée ne l'avait pas exalté, on lavait présenté comme distrayante et cétait une bonne occasion déchanger entre homme de graveleuses gravures bien grisantes. Cependant, sil avait pris soin de choisir astucieusement son comparse, il y avait une ombre au tableau, vilain imprévu qui mécontentait tant son Altesse, quelle ne put garder la chose pour elle.
« Ma foi, Firmin, je ne taurais pas cru si bien poiroté », cétait là un reproche à ne point en douter, tant les sourcils fronçaient de mécontentement. Était-ce bien décent dêtre mieux doté que le Prince, surtout quand celui-ci vous a volontairement choisi jeune, petit et frêle ? « Baste ! Repasse-moi donc cette Pascaline la lavandière veux-tu ? »
Si le dit Firmin eut linsolence de sourire, il obtempéra aussitôt, cétait la deuxième fois que le Blanc Combaz quémandait la Pascaline Tout en tendant lobjet de désir et sactivant de son côté, il senquit donc des préférences princières. « On dirait ben que la bougresse a lheur dplaire à vot très pidante Altesse ! La comme quelque chose de lAlizon jtrouve. Ctun bon choix. »
« Me plaire ? Ha ha euh Je laime bien effet, mis à part cette manière indécente de laver le linge avec son sa enfin ce nest pas convenable ! Imagine que tout le monde fasse ainsi ! » Une lueur intéressée éclaira pourtant son regard alors quil senquerrait de la suite. « Alizon, dis-tu ? Qui est-ce ? »
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[Seigneur de Corcelles - 16 ans]
[Merci à JD Aymon pour la bannière. ]