--L_ingenue.
Oh mais je ne fulmine pas Ténébreux
au contraire ! Ne voyez vous pas ce petit sourire qui illumine mon visage ? Même que je suis sûre que certains se dépêcherons de venir lire notre journal au cas où un mauvais vent nen ferait envoler des pages. Ce mois de novembre est détestable, on sent bien que lhiver approche
Amigos*, sachez quà cet instant, je sus que jétais allée trop loin. Javais effectivement saisi le Ténébreux à la gorge, bien inutilement dailleurs puisque dune pichenette il aurait très bien pu me faire lâcher prise.
Il nen fit rien cependant, le regard fixé sur moi, plus provocant que jamais mais trouble oui, à mesure que je le narguais. Je sentais son cur battre sous ma main et la peau douce et chaude de son cou contrastait avec la rudesse quil dégageait. Involontairement, je frissonnais, et ces palpitations que je sentais sous mes doigts saccélérèrent. Je relâchais mon emprise et il profita de cet instant de faiblesse pour se ruer sur moi !
Oui ! Littéralement ! Un vrai sauvage ! Une bête ! Un tigre !!! Comme ceux du Bengale que javais vus une fois au château lors de la visite de ce prince oriental !
Alors que faire ? A part mordre, griffer, me débattre ? Comme lui, je feule, je crache et découvre mes crocs. Sauf que, loin de le limpressionner, tout ceci na comme effet que de lenflammer encore plus et lui donner loccasion de memprisonner encore plus près.
La lutte dure un moment. Chaque main quil pose sur mon corps me brûle autant quelle me glace. La chemise quil déchire ne fait quaccroître notre désir den découdre. Nous fondons lun sur lautre, comme des fauves, les poils hérissés du désir qui exacerbe nos sens. Sa bouche cherche la mienne. Mes dents se referment sur ses lèvres et le goût métallique du sang vient attiser encore lenvie de le dévorer . Et de me laisser dévorer tout autant. Ce quil ne manque évidemment pas de faire, sa langue intrusive fourrageant ma bouche violemment.
Après le chemisier, vient le tour des braies. Me voilà nue, tendue comme un arc, la colère si intimement mêlée au désir quil ne mest plus possible de penser lucidement. Le fuir ? Jamais ! Mabandonner ? Encore moins ! Le subir oui mais surtout le posséder tout autant quil me possède lorsque nos corps sunissent enfin et que sans quaucun de nous deux ne rende les armes nous atteignons cette extase qui nous laissera pantelants, les corps couverts de sueur entremêlés, le souffle rauque.
Je le repousse enfin, me rhabille rapidement tentant de rassembler mes vêtements en loques et dans une dernière provocation lui lance en quittant sa grange
« Il faudra être meilleur que ça Ténébreux ! Je nai presque rien senti !
Amigos*, sachez quà cet instant, je sus que jétais allée trop loin. Javais effectivement saisi le Ténébreux à la gorge, bien inutilement dailleurs puisque dune pichenette il aurait très bien pu me faire lâcher prise.
Il nen fit rien cependant, le regard fixé sur moi, plus provocant que jamais mais trouble oui, à mesure que je le narguais. Je sentais son cur battre sous ma main et la peau douce et chaude de son cou contrastait avec la rudesse quil dégageait. Involontairement, je frissonnais, et ces palpitations que je sentais sous mes doigts saccélérèrent. Je relâchais mon emprise et il profita de cet instant de faiblesse pour se ruer sur moi !
Oui ! Littéralement ! Un vrai sauvage ! Une bête ! Un tigre !!! Comme ceux du Bengale que javais vus une fois au château lors de la visite de ce prince oriental !
Alors que faire ? A part mordre, griffer, me débattre ? Comme lui, je feule, je crache et découvre mes crocs. Sauf que, loin de le limpressionner, tout ceci na comme effet que de lenflammer encore plus et lui donner loccasion de memprisonner encore plus près.
La lutte dure un moment. Chaque main quil pose sur mon corps me brûle autant quelle me glace. La chemise quil déchire ne fait quaccroître notre désir den découdre. Nous fondons lun sur lautre, comme des fauves, les poils hérissés du désir qui exacerbe nos sens. Sa bouche cherche la mienne. Mes dents se referment sur ses lèvres et le goût métallique du sang vient attiser encore lenvie de le dévorer . Et de me laisser dévorer tout autant. Ce quil ne manque évidemment pas de faire, sa langue intrusive fourrageant ma bouche violemment.
Après le chemisier, vient le tour des braies. Me voilà nue, tendue comme un arc, la colère si intimement mêlée au désir quil ne mest plus possible de penser lucidement. Le fuir ? Jamais ! Mabandonner ? Encore moins ! Le subir oui mais surtout le posséder tout autant quil me possède lorsque nos corps sunissent enfin et que sans quaucun de nous deux ne rende les armes nous atteignons cette extase qui nous laissera pantelants, les corps couverts de sueur entremêlés, le souffle rauque.
Je le repousse enfin, me rhabille rapidement tentant de rassembler mes vêtements en loques et dans une dernière provocation lui lance en quittant sa grange
« Il faudra être meilleur que ça Ténébreux ! Je nai presque rien senti !
pour la traduction .... mmff *les amis