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[RP] Ça vous tente le luxe made in Berry ?

La_flamme


La Flamboyante flamme parfaite d'or et de nacre,sortie de la pièce tout juste éclairée et vit le cousin râler au milieu de la place,la rousse suivit le blond,curieuse.Le suivant jusqu'à dans le bosquet où il s'enfonça,puis elle ouvrit la bouche :

"- Cousin,quelque chose ne va pas? En dehors de cette soirée bien sûr ! "

Elle fronça les sourcils,curieuse.La jeune rousse avait beau portée une robe un peu décolleter entièrement nacrée,elle n'avait pas participer aux avances et aux danses.Un petit sourire naquit sur ses lèvres les émeraudes furent pétillante.La poudre dorée appliquer sur les parties de peau visible c'était un peu estompé dévoilant mieux la pâleur de celle-ci.Les arabesques dorée du masque conservaient leurs reflets inquiétant grâce à la lune.Un frisson la parcourut,elle avait oublier qu'ils étaient au mois de décembre,et les épaules découverte ... Le halo autour d'elle c'était reformé,à peine c'était-elle immobilisée,elle posa une main sur l'épaule du blond :

"- Vous avez eu bon goût quand même,en se qui concerne la nourriture et le décor,ne vous en faite pas "

La flamme vivante essaya d'être rassurante ...
Qui_est_elle


Le bal continuait…
Les masques restent collés bien au visage… Sans se dévoiler.

Elle était là au milieu de la piste à danser avec lui… La mascarade commençait, mais allait bientôt se terminer. Elle n’avait guère remarquée le corps qui gisait au sol, sans vie. Non, elle était absorbée par son cavalier… Était ce lui ? Tout semblait lui dire que oui.

Mais ce qui la sortie de tout ceci, ce fut l’intervention du maitre des lieux. Il semblait des plus énervés… Et un sourire vient alors se nicher sur les lèvres de la jeune fille. Elle ne l’aimait pas, et n’allait pas s’en cacher, alors de le voir ainsi, cela contribuée à son bonheur.

Une petite révérence pour son cavalier, la danse était terminée… Elle fait glisser son châle rouge autour du cou de son cavalier :


-Peut être nous reverrons nous ? La soirée n’est point encore terminée… Si l’envie vous prend de me retrouver… Je serais parmi les invités.

Une invitation à la retrouver… Le ferait-il ? Elle n’en savait strictement rien… Sa voix était devenue naturelle. Elle ne se cachait plus vraiment. Reprendre son comportement habituelle… Se faire discrète, pour ne pas qu’il la retrouve facilement si l’envie lui prenait.
Elle se faufile entre les invités… laissant son regard se tourner de temps à autre vers lui.

Allait-il revenir à elle ?
Anastasie..


    Tentation quand tu nous tiens... il était difficile de résister à cette odeur enivrante... C'était d'ailleurs la première fois que je sentais une odeur pareille. Qu'elle était agréable ! Je pourrais la sentir encore et encore, je pense que je ne pourrais jamais m'en lasser. Après le nouveau chuchotis de l'inconnu, je redressais la tête et le regardais dans les yeux pour lui répondre à nouveau, avec la plus grande douceur et malice dans la voix.


    En ce cas, il est dommage que vous portiez un masque intégral. Pour recevoir un baiser d'une demoiselle, il aurait fallu porter un masque comme le mien...


    Un sourire charmeur sur les lèvres, j'arrivais enfin à rentrer dans son jeu. Malheureusement, le blondinet avançait au centre de la pièce, tout près d'eux et prit la parole. La musique cessait, les danses aussi, désormais, tous les invités l'écoutaient avec attention.

    Une fois qu'il eut finit, il me regardait, méchamment... et partit. Soupirant, je me retournais vers mon cavalier et enlevais par la même occasion, mon masque.


    - Pardonnez moi, je vais devoir vous laisser, je dois aller parler à mon fiancé... Merci pour cette agréable danse, que je n'oublierais probablement jamais.


    La jolie fleur que j'étais, inclinais la tête pour le saluer et lui sourit. Me reconnaissait-il après que j'eus enlevé mon masque qui avait, jusque là, caché mon identité ? Oui, j'étais bel et bien la fiancée du maître des lieux. Flora de Montbazon Navailles.

Jo


Flora. La voilà donc sous son jour réel après s'être laissée attirer dans un gouffre non-maîtrisé. Bien sûr qu'elle n'oubliera pas cette danse, peut-être serait-ce la seule aussi torride qu'elle pratiquera dans toute sa vie ! Et puis, ce n'est pas tous les jours que l'on danse avec le Loup. Ballet collé-serré si agréable, si suave, si sensuel. Norf, il en aurait presque l'eau à la gueule, le canin masqué.

Le regard impassible du Loup, qui la regarde partir, s'enfuir. Il n'enlèvera pas son masque, après tout, peut-être y aura-t-il un autre bal masqué où une donzelle se laisserait manger... Et puis, devoir trouver un autre costume pour la prochaine fois, alors que celui-ci était presque parfait, c'était presque une corvée.
La soirée semblait être sur le point de se terminer, si cela n'était déjà fait. Elle l'était en tout cas pour lui, qui avait vu sa proie du soir s'échapper. Il se dirigea vers la sortie, frotta ses cheveux noirs aux mèches poivre et sel d'un air las, laissant s'échapper une mèche, une seule, flavescente au possible. L'homme s'éloigna dans l'ombre du dehors, laissant derrière lui son mystère. Demain, il sera redevenu un autre homme. Mais pour ce soir, il resterai Jo.

Car cette fois, le masque ne tombera pas, cachant l'homme, et le héros reste dans cette réalité inventée...

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« Le masque tombe, l'homme reste, et le héros s'évanouit. » S. Gainsbourg
Anastasie..


    Il ne m'attendait pas. Nathan était tellement agacé qu'il avait filé à toute vitesse. Décidément, cette robe n'était vraiment pas pratique pour courir après quelqu'un. Je m'arrêtais sur le balcon afin de le chercher du regard dans les jardins de Louvières. Il n'étais pas là. Assurément, il avait trouvé une cachette que lui seul connaissait. Peu importe, il fallait le laisser seul. Il finirait par revenir tôt ou tard.


    Sur ce fait, je remis mon masque et retourna à l'intérieur. Mon cavalier que j'avais délaissé quelques minutes plus tôt était-il encore là ? Non. Point de Loup dans la salle. Rah ! Qu'avaient ces hommes à disparaître à tout va ? Peut-être qu'il avait été déçu et était-il parti de la soirée?


    Quel dommage ! Mais qu'importe. Je me dirigeais vers l'un des serveurs et pris une coupe d'alcool que je bus cul sec comme j'avais déjà vu certaines personnes le faire. Nom d'Aristote ! Que c'était fort ce truc ! Ça réchauffait la gorge et faisait tourner la tête. Mais qu'est ce que c'était agréable. Reposant le verre vide, j'en prenais un autre que je dégustais désormais, guettant les entrées de Louvières pour voir réapparaître, soit le Loup, soit Nathan.


Blanchelamarante



« La magie est du rêve pour les enfants, un spectacle pour les grands donnant l'illusion d'enchantements qui brillent dans vos yeux mais que souffle le vent... »
(Descrea)


Il m’en avait fallut peu pour me rassurer. Quelques mots sonnant comme une autorisation, le charme envoutant d’un chaste baiser avait suffit à abandonner toute idée de logique pourtant profondément ancré en moi. Il ne s’agissait pas là d’une vengeance sur la vie ni d’une trahison pour celle que je n’étais pas mais d’une simple reddition momentanée.
Le comment j’en été arrivé là n’avait aucune importance. Je savais qui il était et finalement le lien qui nous avait uni depuis le tout début n’avait cessé de s’intensifier de mon côté. Crédule sans doute, mais pêcher par méconnaissance n’était pas vraiment pêcher. Je n’avais rien prémédité, jamais de ma vie je n’avais été une de ces manipulatrices. Lui non plus, j’en été convaincue ce qui le rendait d’autant plus attirant.

Sur ces talons, doigts étroitement noués, je suivais mon guide d’un pas léger. Rien ni personne n’attirait plus mon attention, j’étais ailleurs, dans l’inconnu. L’alcool que j’avais bu réchauffait mon sang, il pulsait au travers de mon corps me rappelant pour une fois ho combien j’étais réelle.

Mon loup m’entraina dans une pièce sombre, seul les flammes de la cheminée entretenaient une lueur suffisante pour que nous nous percevions. Je fermais les yeux alors qu’il attirait mon dos contre son torse, enlaçant ma taille fine. Loin d’être un subterfuge pour me recentrer et revenir à la raison, j’en appréciais pour la toute première fois de ma vie la teneur enchanteresse.

Me retournant face à face, mains glissant sur toute la hauteur du jeune homme pour en venir caresser le bas du visage du bout des doigts malhabiles, nos yeux habitués à la sombre atmosphère, je pris la liberté de soulever son masque qui termina sa chute sur l’épais tapis.

Un franc sourire anima son visage, mon cœur manqua un battement. Irrésistiblement je fondis entre ses bras, répondant au plus pressé à l’appétit de ce nouvel instinct qui s‘éveillait en moi.
Un frêle papillon sous le charme d’un puissant envoutement se dégageait de sa chrysalide.
.ramon


« Le retard est la politesse des artistes... »
De André Maurois


Ainsi, me voilà chez moi...

C' est avec cette pensée que le jeune homme entra dans la salle de bal. Un coup d' oeil circulaire le mit au fait de la situation : la soirée était bel et bien lancée. Des couples tournoyaient sur un rythme effréné, tandis que d' autres tentaient de "tournoyer" seuls et seules près du buffet, verre à la main.

D' un pas lent et calculé, il rejoignit ce même buffet, où il prit un verre, buvant lentement en observant les demoiselles en présence. Blondes, brunes, rousses, laquelle parmi celles-la allait-il choisir?

Il s' appuya contre une table, les observant sans s' en cacher, un léger sourire affiché au coin des lèvres. Dressé de manière irréprochable pour un bal, l' ensemble était cérémonieux sans paraître trop strict. Son masque cachait le nez et les yeux, laissant à qui voulait le voir l' opportunité d' admirer son sourire qu' il aimait tant. Les cheveux plus soignés qu' à l' accoutumée lui assurait un anonymat qu' il veillerait à maintenir... ou pas, selon les circonstances. S'il y a bien une chose qui est certaine, c' est que rien n' est jamais certain.

Ne voulant rien brusquer, il termina son verre et continua d' observer ce qui se passait. Si personne ne venait, il irait. Bien sûr qu' il irait..
The_black_pearl


Le temps semble s'être arrêté pour la Perle Noire. Toujours la tête posée contre l'épaule de son cavalier, elle commence à se rendre compte qu'elle a peut être un peu trop abusée de la bouteille ou du moins des verres de vin.
Ses esprits se bousculent, ses consciences se chamaillent sur l'après bal.
Une envie de fuir l'instant présent, mais en sentant sa main glisser jusqu'à sa chute de reins, l'idée s'envole. C'est que l'homme mystérieux savait y faire pour apaiser l'âme tourmentée du Cygne.

Leurs pas ralentissent, deviennent plus légers et suaves tels, la mélodie qui prend doucement fin. Main serrant un peu plus fort la sienne, elle écoute ses fines paroles. Il a la douceur, il a l'attention, il a les paroles.
Elle se sent tout simplement bien et ce bien être n'en n'est que décuplé en croyant sentir le bout de ses doigts lui caresser le bas du dos.

Un soupire d'aise alors qu'il est ainsi collé-serré, puis un murmure qui la fait frissonner toute entière. La retrouver ? Il souhaitait la retrouver une fois le bal terminé mais était ce une bonne idée. Lui donner un nom ? Lui donner des indices ? Elle aurait aimé lui répondre qu'il n'avait qu'à faire le tour du Royaume pour tenter de la retrouver mais elle n'en fait rien. Juste l'idée lui arrache un petit sourire qu'elle dissimule derrière ses plumes.

Un silence pèse sur la piste de danse, elle réfléchit à l'indice qu'elle peut lui donner. Et alors qu'elle s'apprête à lui dévoiler ce qui serait susceptible de la trahir, elle écoute ses remerciements et sent ses lèvres empiéter sur le coin des siennes.
Surprise, muette, elle ne sait quoi répondre à ce petit baiser.


Je... Vous...

Troublée, elle l'est, mal à l'aise également, quand bien même elle eut apprécié ce qu'il venait de faire. Elle veut séchapper, laissant derrière elle un escarpin, ainsi il se débrouillerait pour la retrouver, mais non. Elle reste, et reprend ses esprits en faisant l'impasse sur son geste.

Vous souhaitez rééllement me retrouver ?
Alors il vous suffira de parcourir le Centre de notre Royaume et de trouver l'endroit le plus boisé de celui ci.
Le reste, demeurera votre quête... A vous de demander autour de vous, qui sont les demoiselles qui affectionnent la nature et leurs ennemis...


La musique s'arrête, elle se détache avec regret de son cavalier. Petite voix toujours perturbée, elle ajoute.

Ce fut un moment que je n'oublierais jamais, merci. Merci beaucoup.

Des remerciements sincères, puis à son tour des lèvres qui se posent sur sa joue pour une délicate bise qui vient sceller son Merci.
Pourquoi a-t-elle le coeur lourd ? Nul ne saurait l'expliquer, en tout les cas il est temps pour le Cygne de regagner sa demeure, de reprendre sa vie quotidienne sans trop de beuverie. C'est que demain elle allait avoir mal de tête au bureau.
Un dernier regard qui se dirige vers celui qui lui fit passer un merveilleux moment, puis elle se dirige lentement vers la sortie...
Jo


Le Loup guette sa proie jusqu'à sa dernière agonie, jusqu'à la dernière patte qui fuit, et il avait, avant de partir, zieuté sa danseuse dans les jardins. A son grand étonnement, elle n'avait pas retrouvé son véritable amant, et la voilà qui retournait au bal. Elle ne s'enfuyait plus, ne partait plus. Elle restait, prête à se retrouver de nouveau entre ses griffes agréables, entre ses bras où elle pouvait retrouver bonheur et sécurité. Du moins, c'était l'impression qu'il s'en dégageait.

Que fallait-il faire, à présent ? Tirer sa canine révérence et s'en retourner être celui qu'il était vraiment ? Ce serait mal connaître le Loup, qui n'abandonne pas aussi facilement la chasse. Devant un des miroirs de l'entrée, il ajusta de nouveau son masque qui s'était mis de travers, examina avec soin les cheveux sombres qui dépassaient du faciès figé et, satisfait, jeta un oeil dans la salle de bal où beaucoup de monde était encore. Et sa cavalière fut rapidement aperçue, près de là où avaient été posées les multiples bouteilles. Il croisa le regard de Flora, puisque c'était elle, car elle regardait la porte. Et un rictus de s'entrouvrir de l'autre côté du masque.

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« Le masque tombe, l'homme reste, et le héros s'évanouit. » S. Gainsbourg
Anastasie..


    Un nouvel homme était entré dans la salle. Un très bel homme soit dit en passant. Et un sourire à faire tomber. De qui s'approchait-il ? Du buffet en l’occurrence, l'alcool attirait plus son attention que la jeune femme que j'étais. Ah... ces hommes alors ! Tous des alcooliques ! Il y en a certains qui finiraient, à coups sûrs, mal la soirée. Tant pis pour eux, je n'en serais pas responsable.


    Finissant mon verre, j'en reprenais immédiatement un autre en main. Si un homme devait m'aborder, ce serait pour danser, non pas pour m'offrir un verre.
    Et toc !
    Reportant mon attention sur l'entrée, je vis mon seul cavalier de la soirée revenir... et un sourire malicieux illumina mon visage. Oui, il était de retour et me fixait. Voulait-il continuer notre danse? Si tel était le cas, il devrait venir me le demander avant qu'un autre homme ne le fasse.
    Levant ma coupe à l'attention du Loup, je souris. La coupe portée à mes lèvres, je le fixais à mon tour. Cette coupe qu'il m'avait prise avant notre précédente danse, je la buvais maintenant.


--Croque




Loin du tumulte de la fête, interrompue par le maître des lieux, l'obscurité complice de la chambre voyait les corps des jeunes amants se découvrir peu à peu.

Elle lui avait ôté son masque, devinant le reste de son visage du bout des doigts avec une sensualité qu'il ne lui connaissait pas.

Lui, collé à elle, l'entourait de ses bras et de tendresse, lui caressant les épaules en faisant glisser les bretelles de sa robe de bal.

À son tour, il démasqua sa belle cavalière dont il connaissait déjà les traits, dégageant une cascade de boucles platine.

Le Croqueur ôta ses fausses dents, pour mieux goûter aux lèvres de la frêle jeune fille.
Lentement, doucement, par ses douces caresses il éveillait la femme qui sommeillait en elle, l'ivresse de l'alcool laissant sa place à celle du désir.

C'est ce qu'elle voulait, une nuit avec lui. Ses gestes ne mentaient pas, sa respiration qui s'accélérait au fur et à mesure des baisers du Croqueur non plus.

Lui aussi la désirait, enivré par sa douceur, son odeur et ses gestes. Depuis longtemps, il la caressait du regard, la croyant indifférente. Puis il ne voulait plus de blonde, il l'avait dit...
Mais c'était différent. Pas d'amour, pas de vie commune, non rien de tout cela, juste un jeu, un cadeau qu'elle lui fait, du bonheur qu'il lui donne.

Il embrassa ses épaules nues, remontant parfois les lèvres sur son cou, l'effleurant de ses dents, tout en la poussant vers le confortable lit à baldaquins...
Jo


Homme élégant sans grande parole, Jo se rapprocha de Flora, décision prise lorsqu'elle sourit et leva son verre à son honneur. En passant, il attrapa une seule coupe de ce délicieux breuvage qu'il avait eu le bonheur de goûter au début de la réception, et non pas deux puisque sa proie en avait déjà une. Une gorgée pour s'hydrater le gosier, une autre pour le plaisir. Mmh...

Ne fallait-il pas partager sa danseuse avec d'autres hommes, puisqu'elle lui avait déjà accordé une danse ? Le Loup n'est pas prêteur. Le Loup est Loup, jaloux, égoïste. Une main tendue vers l'ex-ancienne cavalière, et ré-invitation faite, sans un mot.

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« Le masque tombe, l'homme reste, et le héros s'évanouit. » S. Gainsbourg
Neptune


    'Vous souhaitez réellement me retrouver ? '

    En doute t-elle ?
    Lui, le grand rêveur, dont l'énigmatique cavalière a su lui rappeler comme il est bon de se sentir vivant.
    Lui, l'idéaliste, à qui il n'a fallut que quelques mots, quelques pas, quelques regards, quelques touchers... Pour qu'il s'imprègne de cette Perle. Il veut la connaitre et la reconnaître. Parfois le destin s'exprime et il est persuadé que cette rencontre va changer sa vie.
    Son regard se fait intense comme pour affirmer sans l'ombre d'un doute sa conviction. Le message passe, comme tout ceux jusqu'à maintenant...


    'Alors il vous suffira de parcourir le Centre de notre Royaume et de trouver l'endroit le plus boisé de celui ci.
    Le reste, demeurera votre quête... A vous de demander autour de vous, qui sont les demoiselles qui affectionnent la nature et leurs ennemis... '


    Très vite, les neurones du brun se mettent en route. Et si ses compétences en orientation sont limitées, il connait plus ou moins la géographie. Les indices s’enchaînent alors qu'il visualise une vaste carte de France. Le Centre, l'Orléanais, la Touraine et le Berry. Il s'imagine même déjà, voguant entre bouleau et chêne à la recherche de la petite masquée. Sa petite masquée. Et si, tout simplement, elle le conviait en Berry ? Lieu même du bal ?
    Les iris vertes du cavalier, couleur symbole de l'espoir et de la chance, pétillent. Bien que le voyage s'annonce long, peut être même plus long que ne peut l'imaginer l'instigatrice de celui ci, la volonté et l'envie du mystérieux au masque doré se font déjà sans failles. Il n'a aucun doute et ne veut surtout pas vivre avec un regret. Celui de ne pas avoir tout fait pour la retrouver.


    'Ce fut un moment que je n'oublierais jamais, merci. Merci beaucoup.'

    Son merci, sa bise délicate. Il ne détache pas son regard un seul instant comme subjugué. Il aimerait un indice de plus, voir deux, pour être sûr... mais il la laisse partir, se jurant qu'un jour, ils danseraient à nouveau ensemble, en harmonie...
    Et sans aucun masque.
Anastasie..


    Un large sourire s'afficha sur mon visage lorsqu'il s'approcha de moi et me tendit la main. Une nouvelle invitation à danser. Voulait-il mon exclusivité pour la soirée? C'était le cas pour le moment, et c'était fort agréable de se sentir ainsi privilégiée.
    Finissant ma coupe d'une gorgée, je la reposais sur le buffet et pris sa main tendue.
    Direction... la piste de danse !


    Et nous voilà à nouveau à danser sur une mélodie plus lente.
    Ses mirettes plantées dans les siennes, elle lui adresse la parole de sa voix habituelle, mais chuchotée.



    - Ainsi donc vous êtes revenu et m'avez proposé une nouvelle danse... Suis-je une simple inconnue ou me connaissez vous ?

    Menton redressé, poitrine en avant et mise en valeur par mon décolleté, j'essayais de jauger sa réaction.

Vladymir




L'homme de rouge vêtu avait préparé une assiette d'assortiment pour lui et sa cavalière. Ils étaient ensemble quand le fameux hôte fit son discours...
Il n'avait pas remarqué qu'il y avait eu un meurtre et à cette nouvelle son corps entier se raidit. Sa main se porte machinalement à la garde de son épée et il s'approche de la belle qui l'accompagne. Mais qu'elle est donc cette soirée...? Qui a fait les invitations...? Il pose sur sa compagne un regard qui se veut rassurant.
Son attention se reporte ensuite aux paroles de Nathan et ne peut qu'acquiescer à ce qu'il entend. Le propriétaire part rapidement l'air excédé, ce qu'il comprend tout a fait.

T'en dit qu'il suit du regard la fuite de l'homme, il remarque ensuite la réaction de la petit blondinette qui part sur les talons de Nathan. En découvrant son identité il ne peut s'empêcher de froncer les sourcils et d'échanger un regard lourd de sens avec sa rougeoyante cavalière.

Il venait de la voir danser ou plutôt parader avec "maître loup" et la voilà qu'elle court après un autre homme. Drôle de vertu cette Montbazon...

Son attention fut détournée par Le croqueur qui avait osé manquer de respect à sa cavalière. Il semble qu'il est trouvé une autre proie à croquer. Il se penche vers celle qui l'accompagne et lui glisse sans trop étouffer ses mots.



Il semblerait que le pleutre qui vous a manquer de respect ai déjà trouvé une autre à se mettre sous la dent...


Le regard du jeune homme fut attiré à nouveau par la blonde Montbazon qui entre de nouveau. Il la regarde en continuant de discuter avec son amie.


Ce bal est fréquenté par des femmes de petite vertu... Je rejoins le sentiment de dégoût de l'hôte de la soirée...


Il pose son regard saphir sur la brune qui l'accompagne.


Pardonnez-moi de vous avoir convié à ce bal qui a plutôt l'air d'une orgie au final...
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