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[RP] Ça vous tente le luxe made in Berry ?

Delice


Simple observatrice depuis son arrivée, Délice se délectait du ballet s'offrant à son regard, scrutateur, par dessus le verre qu'elle tenait à hauteur de son menton.

Un costume de paon avait déjà attiré son attention, un maintien, une attitude. Elle aurait reconnu entre mille cette personne désormais familière, et un sourire en coin vint éclairer ses lèvres devant l'éclat de son geste.
C'était bien d'elle et la jeune phœnix ressentit un élan de tendresse mêlée de fierté. Elles avaient toutes les deux choisi un costume sur le thème des oiseaux, voilà qui la fit même rire, à peine un petit bruit de gorge.

Elle fut tentée d'aller à sa rencontre, de voir si elle la reconnaitrait elle aussi, mais il y avait bien trop de monde qui gravitait autour de l'oiseau bleu à son goût, oui bien trop.

Elle préféra reporter son regard sur le reste de la salle, effleurant les danseurs, parcourant les charmeurs, s'arrêtant un instant sur une frêle qui semblait perdue et sur un individu dont la mise simple détonnait un peu au milieu de la débauche de luxe des autres toilette, occupé à lui servir à boire.

Puis elle revient aux danseurs. Un couple s'embrassait au milieu des autres, lui faisant monter un peu de couleur aux joues. On pouvait dire qu'ils y mettaient du coeur... Les yeux se plissèrent un peu sur le regard azur.
Icelus


Icelus s’arrêta et se retourna, alors qu'il venait de se faire interpeler,'il avait encore la sensation des plumes sur sa main.
Ce timbre de voix, cette intonation, ce ne pouvait qu'être elle.
Alors que la femme paon semblait devoir faire face à quelques chasseurs, bien ou mal intentionnés, le jeune homme plongea ses yeux pétillants dans ceux de cette dernière. Tout en faisant une légère révérence pour toute excuse, il prit la parole:


-N'ai je pu résister à tant de grâce, qu'il m'eut fallu me rapprocher de vous de la sorte? Toujours est-il, que je vous prie de bien vouloir m'excuser.

Il avait un grand sourire sous son masque et aimait ce type de formulation. Il revint vers la jeune femme qui l'accompagnait tournant le dos au bel oiseau rare et reprit la direction du buffet. Après avoir pris un verre qu'il offrit à Lolita, Il en tendit un autre verre à une demoiselle qui était près de lui et semblait observer depuis un moment les personnes présentes.


-Désirez vous un verre?
Delice


Un sursaut faillit trahir sa nature véritable...

Toute à son observation des danseurs, elle n'avait pas vu s'approcher un des couples qui dansait gracieusement quelques secondes auparavant et fut surprise de voir un verre passer dans son champ de vision, assorti d'une question.

Rattrapant de justesse le récipient qui faillit choir de ses mains, néanmoins vide depuis un bon moment, elle le posa sur le buffet tout près avant d'inspirer discrètement et de se retourner vers l'homme masqué qui lui en proposait un nouveau.

Il était temps de se mettre à l'épreuve et de se prouver que, cachée derrière un masque, la timidité pouvait être combattue.

Elle remercia en inclinant la tête et prit le verre proposé entre ses mains délicates, gratifiant le jeune homme d'un sourire :


- Je vous remercie... J'étais tellement absorbée que je ne m'étais pas rendue compte que le mien était vide depuis un moment.

Elle baissa brièvement le regard avant de se forcer à le remonter bravement. Un phœnix était fier et majestueux. Elle avait choisi ses couleurs et son masque, il fallait s'en montrer digne un minimum.
--Croque



L'une des femmes qu'il avait saluées ne prit pas la peine de lui répondre et lui marcha presque sur les pieds, sans un regard pour se diriger tout droit vers un homme au masque doré.
Le croqueur reconnut pourtant un petit bout de ruban qui dépassait, en observant la nuque de la sulfureuse, il hésita un instant à l'aborder à nouveau, l'arrêter... mais après tout c'était le jeu qu'ils avaient décidé.
Vexé qu'elle ne lui ait même pas accordé un regard, il ne put s'empêcher de penser :

"Bien fait"

lorsqu'elle se fit éconduire sans aucune classe par l'homme au masque d'or.

L'autre dame était restée et avait pris un autre verre avant de le railler.


Un loup qui boit à la paille… Féroce… Un cavalier à mon goût ? Ma foi celui que j’ai choisi semble peu à enclin à … Roh vous attention à mes plumes !

Pas de doute possible, elle aussi, il la reconnaissait...

J'voudrais bien vous y voir avec ces fausses dents, prenez garde que je ne vous croque comme le faisan dont vous portez les plumes.

Comme toujours, elle était le centre de beaucoup d'attentions, mais il n'était pas question de rester cantonné dans le rôle du modérateur de ses folies, pas ce soir.
Il la regarda éconduire un homme et réduire sans doutes ses espoirs en miettes en même temps que le biscuit, puis vint faire tinter le verre de la belle avec le sien, histoire de regagner son attention.
Toujours avec cette voix rauque qu'il commençait à mieux maîtriser et qui ne le faisait presque plus tousser.


Allons, c'est la fête ce soir et toutes les folies sont permises, buvez donc avec moi, je sais que vous aimez cela."
--Lolita_


Buvant le verre qu'on venait de lui offrir en le remerciant d'un sourire, la demoiselle haussa un sourcil sous son masque, détachant son regard d'Icelus. La soirée risquait d'être longue. Le laissant discuter avec la dict demoiselle, la bouclée regardait les gens discutaient, parler, rire, s'appuyant un peu sur le mur. Elle n'avait même pas chercher à le reconnaître, de toute façon.

Plongée dans des pensées, ses yeux émeraudes se baladait sur les personnes présentes. Des silhouettes familières , d'autre nan. Tout ce petit monde cachaient sous des masques. Buvant une gorgée de son verre, la demoiselle restait dans son coin, sagement. C'était qu'elle savait faire de mieux, de toute façon. Attendre sagement. Quoi ? Elle même l'ignoré.
Jalouse


La jeune fille ne pouvait plus détacher les yeux de celle qu’elle avait reconnue sans difficulté. Il n’y avait qu’elle pour porter une coiffe aussi imposante sans paraître écrasée par son ampleur. Au contraire… Elle n’avait jamais était aussi grande, aussi majestueuse. Il fallait toujours qu’elle se fasse remarquer. Quel besoin avait-elle eu d’effriter ainsi la gourmandise ? Et il fallait toujours que les hommes se pressent autour d’elle.
Elle-même n’y arrivait pas. Malgré sa robe de soie, son masque d’or, sa lourde perruque blonde, personne ne semblait la remarquer. Son âge la trahissait certainement. Mais elle ne voulait plus être traitée comme une enfant. Depuis qu’elle avait gouté les baisers d’un homme, quelque chose en elle s’était mis à gronder. Une révolte sourde et pernicieuse.

Elle voulait sa place. Ni plus ni moins. Alors avec une grande inspiration, la toute jeune fille se dirigea lentement vers lui qui semblait avoir attiré les convoitises de la paonne. Cette caresse indécente ne lui avait pas échappé.
De pourpre et d’or vêtu, elle lui trouva beaucoup d'allure.


Dansez-vous mon seigneur ?


Souffla t’elle peu à l’aise dans son nouveau rôle.
--Croque





Tandis qu'il devisait avec la divine emplumée, son regard fut attiré comme un aimant par une dame brune, toute de rouge vêtue.

Elle se tenait avec grâce près de l'entrée et respirait la sensualité depuis la traîne de sa robe jusqu'aux pointes de son loup.

Comprenant qu'on tentait de souffler la vedette à celle avec qui il trinquait, il la laissa aller régler ses petites affaires et se dirigea vers la Rouge Brune.
Elle semblait ne pas être arrivée seule, mais qu'importe? Tout le monde était là pour s'amuser.
Il se saisit d'une paire de coupes de vin avant de l'aborder gentiment, d'un léger tintement de verre, son pur et cristallin tranchant avec le rauque de sa voix d'emprunt.


"Bonsoir à vous, comment se fait-il que vous soyez seule? Peut être que la beauté fait réellement peur, qu'aucun n'ait osé s'approcher de vous ce soir...

Voudriez vous m'accorder cette danse après notre petit rafraîchissement?"


Difficile de détacher son regard des lèvres au rouge si captivant de la femme qu'il devinait jeune, il avait au moins le mérite de ne pas plonger les yeux dans son décolleté.
Tanneguy
[Paris, la Cour des miracles]

Quitter la Cour des miracles n’aura pas été pour lui une étape si difficile à franchir bien au contraire. Maintenant à la tête de la Horde Sanguinaire, celui qui répondait au nom de « rôdeur » avait encore bien des tâches à accomplir.
A commencer par retrouver certaines personnes bien précises, des anciens disciples de Baphomet pour la plupart mais tous d’anciens templiers ayant combattu lors des dernières croisades.
Pour l’heure, il avait obtenu une invitation pour un certain bal masqué. Non pas que ses connaissances lui permettent de participer à ce genre d’événement mais par le biais de quelques ruses, le voici en possession de son droit d’entrer.
Pour l’heure, il avait revêtit le masque de Sombrespoir, le créateur originel de la Horde Sanguinaire, masque qu’il garde sur lui à chaque instant.


Allons-y, la route sera longue !

Dit-il tout en descendant les quelques marches du domaine. Un autre pas est effectué alors que sa main empoigne fermement le manche d’une charrette sur laquelle il monte pour s’asseoir aux cotés de l’un de ses disciples.
A l’arrière, quelques vivres ainsi que des tonnelets vides. S’ils doivent quitter Paris, autant ramener du bon vin de ces comtés lointaines…



[Le soir du bal masqué, sur les lieux]

Ils étaient arrivé tout juste, les haltes très rares, Tanneguy ne voulait pour rien au monde louper cet événement. La charrette mal en point et aux roues grinçantes s’immobilise juste devant la bâtisse en question.
Sa main portant le masque vint porter celui-ci à son visage avant de le fixer correctement. Le capuchon est rabattu sur le haut de son crane alors que ses bottes touchent enfin le sol. Dernières directives à l’attention de son adepte faisant pour l’heure office de cochet.


Il y a une auberge un peu plus haut, je t’y retrouverai.

Dit-il tout en lui lançant une bourse renfermant quelques précieux écus. Ses mains recouvertes par des gants en cuir viennent se joindre lentement, dans le bas de son dos alors qu’il s’avance, à allure moyenne.
Tête haute, c’est sans difficulté qu’il pénètre dans l’enceinte de la bâtisse, découvrant alors toute cette mise en scène.
Aucun visage visible, rien qui puisse lui mettre la puce à l’oreille, icelieu, il ne reconnait rien. Mais arrivé de Paris, il compte bien en profiter désormais.
C’est sur cette pensée plutôt hâtive qu’il continue son avancée avec une allure beaucoup plus lente cette fois-ci.
Passant devant les banquets, il fit preuve d’une grande courtoisie, ne manquant pas de saluer d’un signe de tête quelques autres invités à ce bal masqué.
Derrière son masque, il sourit en coin, la situation l’amuse quelque peu en effet. Ici, tout est différent de Nauzhror qui reste néanmoins un somptueux et vaste domaine… Bien à sa manière.

Bien décidé à tirer une première conclusion sur ce début de soirée, il vint se poser contre un pilier de marbre, préférant tout de même rester discret pour l’heure…
Jo


Véritablement délicieux. Voilà comment le dit Jo qualifierait ce délicieux breuvage dont quelques gouttes se tortillaient encore dans le verre au creux de sa main. Les yeux d'une jolie couleur parcoururent un instant le liquide, avant de s'en désintéresser.

Le Loup se faufila jusqu'à une table où différents fours à l'air exquis le suppliaient de les manger. Au début troublé par le fait de devoir faire un choix entre une tartine au beurre et saumon fumé et un canapé rempli de choses appétissantes, il se résigna et attrapa les deux, commençant tout de même par le toast.
Et, alors qu'il se délectait encore du petit four, dont les morceaux mouraient encore à ce moment dans sa bouche, il se fit aborder par une donzelle. Piste de danse ? Pourquoi pas.

Il ne fit pas l'erreur de donner de la voix, aussi acquiesça-t-il d'un sourire mietteux et la prit par la taille. Sa langue passa sur ses dents afin de lui redonner son sourire charmeur habituel. D'une main, il entraîna sa nouvelle cavalière parmi les danseurs. De l'autre, il prit la chope de la femme et la but, avant de poser la coupe vide sur un plateau passant par là. Face à elle, ses yeux la jaugèrent. Allons-y, ma jolie.

_________________

« Le masque tombe, l'homme reste, et le héros s'évanouit. » S. Gainsbourg
Icelus



Le jeune homme fut un instant en émoi, lorsqu'il plongea ses yeux dans ceux de la jeune femme qui venait d'accepter, le breuvage qu'il lui avait tendu. Son cœur s'était accéléré, sa main dût se poser sur la table machinalement et un frisson lui traversa le dos, alors que sa gorge se serait brusquement, comme s'il se trouvait l'âme à nue. Il devait se reprendre et c’est ce qu’il essaya de faire en balbutiant quelques mots:



-Je...euh...diantre...Enfin, j'espère ne point vous déranger dans vos observations.


Diantre...Il avait dit diantre....voici qu'il ne se maitrisait plus...Il prit un verre à son tour et tenta de remettre ses esprits en places. Il dégrafa un instant les lanières de cuir maintenant son masque et le leva légèrement, de sorte que ses lèvres puissent profiter du breuvage. Il leva son verre et trinqua avant de prendre une gorgé.
Delice


Délice plissa un peu les yeux devant le malaise manifeste de son vis à vis. Un sourire vint pétiller dans ses prunelles et éclairer ses lèvres. Ainsi donc il y avait d'autres timides dans l'assemblée, et même parmi les hommes...

Elle l'écouta bafouiller un peu et secoua la tête :


- Oh non, vous ne me dérangez nullement. J'aime contempler mes semblables, mais pas au point de préférer cela à leur compagnie.

En elle-même, elle ajouta un "quoi que". Tout dépendait de la compagnie, bien évidemment. Il était des gens qu'elle ne prenait aucun plaisir à côtoyer. Mais son nouvel "ami" ne semblait être pas de ceux-là, aussi lui fit-elle un nouveau sourire sincère.

Lorsqu'il fit tinter son verre, elle le leva à sa suite et but une gorgée, réfrénant une grimace. Elle n'avait jamais aimé l'amertume de l'alcool, qui lui montait bien trop vite à la tête... Elle mit donc a profit le temps de la gorgée du jeune homme pour essayer de voir un peu sous son masque, puisqu'il le soulevait pour boire.
Davor
Derrière le masque d’or, la sueur dansait sur la peau écarlate de colère. La pluie faisait rage dans les yeux bleus du jeune homme alors qu’elle foulait du pied la gourmandise tendue. Il la transperça de son regard ardent et empli de malveillance. Il serra les poings tandis qu’elle s’adressait à un autre homme, l’ignorant sans la moindre politesse.

Ne prenez pas vos grands airs avec moi. Vous faîtes peut être grande impression dans votre Province. Mais à la cour, vous ne seriez qu’un grand cheval à la tignasse criarde.

Il mentait. Les femmes dont il s’était entouré, loin d’être laides n’auraient pu effacer l’image qu’il gardait de la noble. L’envie furieuse de lui arracher son masque tordit ses entrailles. Ses plumes grotesques qui dissimulaient la crinière parfumée et opulente, il les aurait bien tortu une à une.

Dansons.

Elle n’avait certes pas accepté son macaron, mais la danse, elle le suivrait de gré ou de force. L’empoignant par le poignet, il la traîna sans grand difficulté vers la piste et la plaqua contre son torse sans douceur, la maintenant contre lui d’une main ferme dans le creux de ses reins.

N’hurlez pas. Je vois votre bouche se tordre. Pour une fois dans votre vie, ne soyez pas celle qui provoque un scandale. Juste une danse et je vous laisse.

Sa voix était autoritaire. Car il la connaissait depuis longtemps et il savait que rien ne la séduisait d’avantage, qu’un homme qui lui tienne enfin tête.
Icelus


Le liquide se diffusa dans sa gorge et plus que de l’hydrater, il eut l’impression que sa bouche était plus sèche encore. Mais, il aimait cette légère amertume sur sa langue.
Il se demanda pourquoi avait-il pu réagir de la sorte, lui, plus démonstratif habituellement. Le masque qu’il portait pour la soirée aurait-il annihilé celui qu’il revêtait chaque jour que Dieu faisait? N’est-il pas ainsi que l’on se protège ? …
Tant de questions lui traversèrent l’esprit en si peu de temps.
Ne pas doutait…jamais c’est ce qu’il se devait de montrer.
Il fit un doux sourire à la jeune femme qui visiblement semblait aussi curieuse, qu’observatrice.
Puis, il souffla un instant, avant de replacer son masque.


-Me voici de nouveau prisonnier de ce masque. J’ai bien heureusement la douce consolation de pouvoir m’évader par vos beaux yeux.

Il rougit légèrement derrière sa façade blafarde.


-J’espère que vous ne vous offenserez point de mes paroles. Comment puis-je vous appeler ?


Il se trouvait souvent bien maladroit lorsqu’il se laissait submerger par ses sentiments et les questions tournèrent une nouvelle fois dans sa tête.
Elya


Bonsoir à vous, comment se fait-il que vous soyez seule? Peut être que la beauté fait réellement peur, qu'aucun n'ait osé s'approcher de vous ce soir...
Voudriez vous m'accorder cette danse après notre petit rafraîchissement?


La jeune fille entrouvrit les lèvres, regarda à droite et à gauche puis posa ses yeux améthystes sur l’homme en face d’elle pour s’assurer que c’était bien à elle qu’il s’adressait. Après tout son ami était tout près d’elle, elle n’était donc pas seule.

Bonsoir Sir. Je ne sais si la beauté fait fuir mais si c’est le cas je suis entourée de deux hommes courageux.

Un léger sourire se dessina et elle prit le verre de l’homme masqué pour y plonger ses lèvres rouge sang.

Si vous n’avez point peur de vous faire marcher sur les pieds, je serais ravie de vous accorder la danse demandée.
Delice


Il lui fit monter le rouge aux joues avec une remarque sur ses yeux. Et nul masque intégral pour cacher la soudaine coloration de son visage, seul le haut était dissimulé. Les yeux se baissèrent une seconde vers le sol, mais bien vite elle répondit en bravant à nouveau son regard :

- Ce n'est pas la plus laide des prisons que la vôtre... Mais je suis bien aise si je vous permets de vous évader un tant soit peu tout de même.

Non loin, l'homme bafoué par la femme-paon l'entraina de force vers la piste de danse, semblant la maintenir proche de lui contre son gré.
La jeune phœnix fronça les sourcils, contrariée, et fut tentée d'intervenir. Elle se retint cependant, se disant que si les choses tournaient vraiment mal il serait toujours temps, et que le paon en question était loin de manquer de ressources. Elle lui fit tout de même un signe de la main, espérant qu'elle l’aperçoive, avant de répondre à nouveau à son interlocuteur :


- Je ne me sens nullement offensée, rassurez-vous. Vos propos sont plutôt flatteurs... Et pour ce soir je m'appelle Délice.
Auriez-vous également un nom par lequel je pourrais vous appeler ?
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