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[RP] Brest : mariage de Trilo et Annaell

Annaell
Annaell venait d'apercevoir Seloute qui se cachait dans un coin, et lui fit un signe de la main avec un sourire encourageant pour qu'elle se rapproche. Puis elle fit la bise à la charmante Haelig, rencontrée depuis peu, avant de voir débarquer son chef militaire préféré, Blotus, le seul, l'unique, le blotusien.

Sourire à chacun, Annaell est ravie, mais où se cache le marié ?

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Yolanda_isabel
Recruter une bretonne pour son atelier parisien, elle l’a déjà fait, alors une deuxième, pensez bien qu’elle ne va pas se gêner, mais une bretonne en passe de devenir vicomtesse, ça c’est une première. Et c’est pour cette première que les artistes de DTC se trouvent dans un coche en direction de Brest, c’est pour cette première que Yolanda n’a pas ses dames de compagnie mais ses artistes, et c’est pour cette première qu’elle est toute excitée.

-« Simon ! Ne fais pas cette tête d’enterrement, on va à un mariage, tu retrouveras Murphy très vite ! ‘Squiz, reconnais que le coche va plus vite que le balai et on serra quittes ! Clarinha ! Não te preocupa !* Personne ne saura rien, tu es censée être à Paris, ce n’est pas comme si tu partais de Seignelay pour venir en Bretagne, et puis quand bien même ! Nous venons aussi pour affaires. »

Oui, pour affaires. Annaell.. La vicomtesse leur a parlé de la qualité exceptionnelle de la laine des moutons de Molène, et trouver de la bonne laine alors que l’automne pointe son nez et que l’hiver ne tardera pas, voilà une bonne aubaine.

-« Vous croyez que je pourrais acheter une hermine ? Une vraie, j’veux dire ? Cette robe me va-t-elle ? »

D’un geste anxieux, elle rabat une des grandes mèches sur le devant, d’un geste anxieux parce que ce jour, elle porte une création offerte par Clarinha. Pas que la chose soit étonnante, non. Yolanda a toujours aimé les plus belles robes, ce qui l’est, c’est que la couturière a oublié l’aversion de la jeune fille pour le rose et que la robe est rose. Et plutôt que de vexer la couturière ducale en refusant un cadeau, la pucelle a préféré lui suggérer de rajouter forces d’or et de pierres pour capter le regard ailleurs que sur le rose. De l’auberge de Brest à l’église, il n’y a pas beaucoup, et c’est tant mieux, la coiffure de Yolanda ne tient que grâce au génie manuel de la portugaise, et il ne faudrait pas que tout s’effondre, car enfin les voilà qui arrivent.

Et sur ce parvis, alors qu’elle sort dans sa robe rose, voilà qu’elle aperçoit la mariée vêtue quant à elle, de bleu. Admettons donc que c’est un signe, et que si elle avait porté du bleu, elle aurait pu faire de l’ombre à la mariée, alors que ce jour, celle-ci est tout à fait ravissante. Et de la rejoindre profitant du trop peu d’invités autour de la future épouse pour se glisser jusqu’à elle, entraînant à sa suite, les autres. Salut de tête aux inconnus et sourire ravi à la Kerloch.


-« Tu es .. Splendide ! Clarinha, tu as encore réalisé une œuvre d’art ! »

Car, c’est du Clarinha, n’est-ce pas ?
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[* Ne t'inquiètes pas, en portugais.]
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Je pense qu'on regarde pas assez Arte le matin de bonne heure.
Simon_temple


Simon était inquiet. C'était la première fois qu'il abandonnait Murphy de la sorte, même si Linien avait promis de lui donner du poisson pour que le chat oublie que son maitre l'avait lâchement abandonné pour aller en Bretagne.

L'hôte d'accueil de l'Atelier avait alors solennellement promis à son félin de lui ramener des tas de choses à base de poisson, vu qu'il était bien connu que c'était la nourriture de base du breton, avec le chouchen.


Et si il se perd ?
Et si Linien l'oublie dans une pièce sans faire attention ? Et si je lui manque ? Et si je
*bruit d'une madeleine qu'on enfourne dans le bec ouvert de Simon* mmmhhhmmm ?

Simon avait donc fini le reste du trajet en silence, après que Yolanda lui ai signifié qu'il risquait de se retrouver à courir derrière la voiture si il continuait à se lamenter. Il avait donc préféré rester au chaud, laissant parfois ses yeux clairs observer les autres occupantes de la voiture. Surtout une d'ailleurs.

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Annaell
Annaell vit arriver un carrosse fort luxueux, et la jeune demoiselle de la Josselinière en descendit avec grâce et force effets de froufrous. Souriante, la mariée la vit venir à elle et lui prit chaleureusement les mains pour déposer à son tour une bise sur la joue de cette jeune flamme.

- Yolanda ! Comme je suis heureuse de te voir ! Tu as fait le déplacement depuis Paris ! Ho, mais vous êtes tous venus !

Elle venait d'apercevoir Simon qui bougonnait derrière, et elle devinait des corps en mouvement dans le carrosse, ainsi que le bas d'une robe d'une femme qui s'apprêtait à en descendre. Annaell chuchota à Yoli :

- Oui, c'est une robe de Clarinha. C'est la plus belle de toutes celles que je possède ! Une jeune amie me l'a offerte pour cette occasion... Je n'ose pas tenter de deviner le prix qu'elle a coûté !
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Margot.mlw
Il y a un moment où il faut bien descendre du carrosse...
Encore, qu'à fixer le regard gourmand de son futur, nul doute que les heures à venir auraient été plus agréables que le fessier posé sur un dur banc de bois, à écouter les vœux d'autres que soi.

Sous le regard insistant et réprobateur de la duègne, Margot rassemble ses jupes et se glisse par la petite portière, tombant comme par hasard dans les bras de son chevalier, avant de se redresser pour se rendre présentable de nouveau.
Une main posée sur l'avant-bras qui lui est présenté, un petit sourire, et les voici avançant sur le parvis.
La mariée est déjà présente, fort bien entourée, et les pas de Margot les entrainent du côté de Pelotine, Gui et une inconnue.


Bien le Demat mes amis!
Comment allez vous?

Un regard amusé pour le ventre de Pelotine, une grimace en voyant le paquet dans ses bras, décidément, ça ne lui donne pas envie.
Mais ça ne l'empêche pas d'embrasser affectueusement son amie, heureuse de la voir depuis si longtemps.
Tu es radieuse ma chère, j'en suis ravie.

Puis elle se tourne vers Gui et sa compagne.

Mon cher Gui, je ne parlerai pas de "radieux", mais je suis tout de même contente de te voir en bonne forme.
Damoiselle, enchantée, je me nomme Margot, et celui qui m'accompagne est Slicer.

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Trilo
Rhabillé, mais lundi avec le mardi, Trilo revint à l'entrée de l'église et glissa à l'oreille de sa future.

Vous êtes délicieuse damoiselle, vous habitez chez vos parents?


Il porta son attention aux invités déjà arrivés.

Pel et Johann s'occupent de Margot, de Guigui et d'Haelig, un sourire pour les saluer.

Demat mon cher Blotus. Merci, malheureusement, je trouve que cette uniforme ne te sied pas. J'espère que l'on va te trouver un nouveau sous peu.

Sourire à celui qui comprend ses paroles.

Voila des personnes qu'il ne connait pas, Annaell le semble par contre. A l'accent surement des français, espérons qu'ils sauront bien se tenir.

Trilo suivi sa promise pour faire les présentation.
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Aigneas
Un sourire pour accueillir Gui, Haelig et Margot.
Aucun d'entre eux ne semble vouloir la sauver, et lui extirper cet enfant chétif, des bras, Ladra sera peut être plus compréhensif.
Alors elle prend son mal en patience, gardant bien en tête qu'il faut maintenir la nuque du nourrisson et rester attentive au moindre de ses mouvements, mais alors que l'amour devrait l'envahir pour ce petit être, elle ne ressent que gêne et malaise, tentant néanmoins de sourire cachant dès lors son désarroi.

Margot l'embrasse et lui indique combien elle l'a trouve radieuse, Pelote ne sait si c'est ironique ou non, bien qu'elle soit apprêtée, son ventre lui semblait énorme et lui donnait l'impression d'être difforme, totalement difforme... et.. si lourde!
Elle, par contre, était radieuse de bonheur et Slicer semblait fier à son bras, et amoureux surtout c'était ce qui importait le plus.

Tu es superbe Margot.

Et sa moitié à elle ? Ou était elle ?
Ladra était généralement en retard, aimait il se faire attendre ? A croire.


[edit faute]
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Slicer
Il l'avait accompagné au mariage d'une de ses connaissances. Après le long trajet en carrosse, ils étaient descendus. Il reconnut de loin la future mariée, et son futur époux.

Il salua Pelotine, et salua les deux autres inconnus à ses yeux. Sa merveilleuse promise avait fait les présentations, il sourit.

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Slicer Strandhögg,

au service de tous, serviteur de Breizh
Grand_sage
Joie et Bonheur. Inquiétude et doute aussi. Sentiments mêlés qui assaillaient l'esprit d'un Duc d'Ouessant qui s'était réveillé tôt en ce jour de noces. Avantage du jour: le mariage étant sur ses terres, le voyage ne serait ni long ni éprouvant. Ce qui traduisait en partie la joie et le bonheur, si les mariages étaient nombreux, rares étaient ceux qui nécessitaient peu de déplacements. Et puis c'était Trilo et Annaell. Ca comptait bien entendu beaucoup et complétait avantageusement les raisons présidant au bonheur et à la joie. Mariage prévu et remis, il arrivait enfin et se faisait une joie tant pour son vassal que pour sa promise qu'il appréciait beaucoup.

Ca aurait dû suffir à écarter tout doute. Ca aurait dû suffir à évacuer toute inquiétude. Mais non. Ca aurait été trop facile bien entendu. Car si les dernières semaines avaient permis le retour à un certain calme et conduit à l'apaisement de certaines tensions, les blessures n'étaient pas totalement guéries et les cicatrices encore bien sensibles. Comme aurait dit sa grand mère: ce n'est pas parce qu'on ne voit pas le cochon que le maïs reste intact. Ou quelque chose approchant - il n'avait que de vagues souvenirs de sa jeunesse. Bref, peu importait les proverbes et autre remèdes de grand mère, il savait parfaitement que pareil à un volcan endormi mais susceptible de se réveiller brutalement à chaque instant, la situation n'avait de calme et de tranquilité que l'apparence.

Il s'abstint cependant d'en parler bien entendu. Et il avait songé à quelques artifices pour éviter tout risque même s'il savait tout le monde suffisamment intelligent et civilisé pour que ça se passe bien. Deux précautions valent mieux qu'une. L'avantage d'être Duc finalement, un brin de brocéliandisme dans l'arrivée ducale devait à son sens suffire.

Lallie et lui avaient quitté Vannes fâchés, pour gagner le château de Kergroadez quelques jours avant la cérémonie. Réconciliés la veille au soir, les deux époux se préparèrent tranquillement. Le temps ne pressait pas. Et le Duc escomptait être fidèle à son habitude et arriver très légèrement en retard. A ce stade, maitriser son retard c'est un véritable art, il faut le noter.

Parés de leurs plus beaux atouts, ils quittèrent les appartements ducaux et empruntèrent l'escalier d'honneur menant dans la cour de Kergroadez où un véritable convoi était prêt à s'ébranler. Plusieurs voitures, une véritable armée de garde répartis à l'avant et à l'arrière du carosse aux armes d'Ouessant.

Lallie sembla tiquer devant un tel déploiement de moyens qui ne ressemblait pas à son époux. Lequel époux lui expliqua:


- On dort à Plougonvelin! La route est mauvaise de nuit entre le Conquet et Breles. On profite du banquet, on dort sur place chez Trilo et on rentre demain, ce sera aussi bien. Il accueillera avec plaisir son duduc!

Maël les rejoint bientôt et ils prirent place en famille dans la voiture, le petit calé entre ses deux parents, pour un voyage qui ne fut pas long et les amena jusqu'à l'Eglise. Tualenn viendrait directement avec Tiernvaël sans aucun doute. Et les jumeaux étaient trop petits pour venir.

Dès l'entrée en ville le convoi ne passa pas inaperçu. Encore moins quand un soldat placé à l'avant poste se sentit obligé de donner du cor pour annoncer l'arrivée du Duc et de sa famille. Bannières du bout du monde flottant au vent, avant garde en tenue d'apparat, soldats chevauchant au pas, bien alignés, nul ne pouvait ignorer qui arrivait.

Un dernier virage et le convoi stoppa dans un grand silence soudain. La porte s'ouvrit et le Duc descendit le premier. L'air de rien, tandis qu'il tendait la main pour aider son épouse à descendre, il examina les lieux. Première constatation, ils n'étaient pas assez en retard. Déception! Deuxième constatation, le convoi n'avait pas stoppé au pied des marches de l'Eglise.

Tout le monde n'était pas encore entré dans l'édifice. Et bien entendu les regards se tournaient vers le convoi ducal quand le capitaine de la garde, le sieur Echal mit pied à terre et vint rejoindre son duc.


- On ne peut pas s'arrêter plus près, y a déjà un embouteillage. Le carosse de Bourg Blanc prend de la place.
- Louée soit ma filleule!
- Ah?
- Rien laissez tomber...

Elle était là bien entendu. Il n'avait pas pu la manquer sur le parvis, accompagnée de Margot, Slicer et Gui notamment. Pas de Ladra en vue. Lallie désormais à son bras il se tourna vers l'Eglise.

- Bon et bien allons y hein. Et doucement, on est pas pressé! On est même pas en retard!

Ils avancèrent doucement, de manière solenelle, flanqués de deux colonnes de gardes, en direction des futurs époux pour les saluer.
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Camille.
Elle avait promis sa présence et c'est donc avec détermination qu'elle était venue en ce jour pour être là pour Trilo et Annaell.
Ce mariage, elle avait tout fait pour qu'il puisse avoir lieu malgré les tracasseries religieuses tentées par certains.
Elle avait pris de son temps et avait fait tout son possible pour que le dossier soit parfaitement en règle et permettre cette union.
Certes, elle était sous interdit et ne pourrait rentrer dans l'Eglise durant le sacrement.
Mais le parvis serait un lieu comme un autre pour attendre le temps de la cérémonie.
L'important était d'être là envers et contre les "tracasseries" actuelles.
Lissant donc sa robe, Camille vint rejoindre Annaell pour la saluer.


Annaell, vous êtes magnifique. Du Clarinha à n'en pas douter. Yolanda? Décidément, nous nous croisons sans cesse. Je suis vraiment heureuse que ce mariage ait enfin lieu que vous puissiez être unis devant le Très Haut.
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Clarinha
Je finis par descendre du carrosse, bien mal à l'aise de me trouver ici. Je ne savais rien refuser à Yolanda, qui était si bonne avec moi, et m'offrait un pied-à-terre à Paris, et ne prenait aucune commission aux tarifs que je pratiquais sur les robes que je vendais pour mon compte, au sein de l'atelier Douceurs, Toiles, Coutures. Alors je l'avais suivie, alléchée, je devais l'avouer, par l'idée d'assister à une foire à la laine de Molène, où je saurais sans doute me fournir encore en étoffes pour l'hiver à venir, dont on ignorait quel lot de surprises, météorologiques ou mondaines, il apporterait. Nous voyageâmes en coche, tous trois ensembles, et j'essayais de ne rien penser de la présence de Simon, car tantôt y penser m'agaçait, tantôt cela m'offrait un frisson que je savais désormais bien nommer. Il ne fallait pas que j'alimentasse mon imagination...

Je descendis. J'avais eu à coeur de porter une tenue simple, rehaussée de seules broderies, et d'une couleur sans vigueur, pour marquer mon humilité, d'une part, et par crainte d'être reconnue. L'anonymat me convenait tout à fait, en cette circonstance où je voyageais loin de ma maîtresse, et n'ayant donné que de vagues raisons sur mon absence. Je n'étais pas sa prisonnière, bien sûr, et je rendais honneur à la mesnie de Seignelay à chaque occasion que j'en avais, si bien que j'en avais intégré l'oriflamme à ma griffe, mais... Je craignais à chaque minute de n'être pas encore assez reconnaissante du bienfait dont mes maîtres avaient été les initiateurs, en me prenant à leur service.

Le parvis était garni de gens de qualité. Je n'en connaissais pas un. J'entendis, à une ou deux reprises, mon nom effleuré d'un bruissement de lèvres. J'en ouvrais des yeux affolés. Être reconnue ? Peut-être le faudrait-il. Mais inutile de brusquer les événements. Je me postais en retrait de Yolanda, dans l'attitude qu'aurait eu une simple suivante sans intérêt. C'était déjà extraordinaire que d'assister à une telle cérémonie, de voyager... De changer de mon quotidien.

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Ne cliquez pas sur ma bannière.
Annaell
Les amis arrivaient, un par un, en couple ou à plusieurs... Annaell, plus heureuse que jamais, alla saluer avec beaucoup de chaleur GS et Lallie, qu'elle avait apprit à apprécier en même temps que Trilo; puis elle embrassa Camille avec tout autant de plaisir et de tendresse.

Elle vit que Clarinha venait de faire son apparition, discrètement postée derrière Yolanda... Annaell ne pouvait, en ce jour, certainement pas l'ignorer... Alors, elle vint à elle, prit les mains de Clarinha dans les siennes, et lui dit simplement, dans un chuchotement ému :


- Merci... pour la robe...

Que dire de plus ? La robe était sur elle, à la fois bleue et bleu-vert, ornementée de quelques voiles discrets... Une robe d'une beauté sans pareille. Une robe qu'elle avait gardée plusieurs mois au secret, qu'elle n'avait montré à personne, qu'elle ne voulait porter qu'à son mariage... Annaell se sentait comme le mannequin qui porte la draperie, comme le cou qui met en valeur le bijou. La robe était magnifique, et Annaell ne s'était jamais sentie aussi belle. Ce qui, pour le jour de son mariage, était tout à fait adapté.

Sa main se glissa tout naturellement dans celle de son compagnon, et, souriante et amoureuse, elle fit les présentations...


- Yolanda, Simon, Clarinha... Voici Trilo de Kermeur, mon époux. Ou presque ! Trilo, voici les amies et collègues avec qui j'ai l'honneur de travailler... Vous connaissez Camille, je crois ?
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Seloute.
Bien cachée derrière son arbre la sauvageonne regardait avec des yeux tout ronds... que de belles tenues jamais elle n'en aurait une comme cela.. elle la gueuse.. déjà être invitée à un si beau mariage jamais elle ne l'aurait cru un jour... la mariée l'ayant aperçu lui fit un signe mais elle attendrait que tout le monde soit entré afin de se mettre tout au fond.. elle reconnu un homme avec qui elle avait aimé discuter, Gui si elle se rappelait bien, que la dame à ses côtés voulait lui mettre dans les bras.. chose qu'elle n'avait vraiement pas compris.. mais bon elle avait bien rit c'était toujours cela de pris.

Elle risqua de s'avançer un peu plus afin d'observer un peu mieux.. elle gravit les marches de l'église et se posta dans l'une des petites portes sur le côté.
Trilo
Bien sur que je connais Camille, ravis de te revoir.

Se tourne vers le groupe qu'il ne connait pas.

Ravis de vous rencontrer et Degemer mat e Breizh.

Voyant arriver son duc à lui est aussi accessoirement témoin, il dit aux personnes de l'assemblé.

Et bien je pense que nous allons pouvoir commencer à rentrer dans l'église, notre curé préféré devrait être prêt maintenant s'il n'est pas tombé sur les bouteilles du Père Colateur du pôt qui suivra.
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Jeh
De Calais à Brest... Et oui quelle route! Des kilomètres de marche, de chemins en charrette pour tenter d'arriver au plus vite au mariage de sa Cousine Annaell. Ah pour sûr, c'était là une bien belle preuve d'amour que le Jehan lui faisait, lui qui n'était plus si aventurier que cela. Il osait pour elle traverser bien des Comtés, mais à dire vrai... Elle le méritait.
Elle qui s'était toujours montrée accueillante, chaleureuse avec son cousin, il ne pouvait que venir à son Mariage.
Et c'est la veille du mariage que le bougre entra dans les rues de Brest, cherchant une auberge sympathique mais tranquille pour s'y reposer une nuit, et se vêtir convenablement pour l'union sacrée des deux tourtereaux. Et la nuit lui fut bien agréable, en sa Terre Natale, avec cet air salin qu'il ne retrouvait même pas à Calais. Faut dire, Calais n'était plus ce qu'il avait connu à l'arrivée.Bref... Sommes nous donc là pour tergiverser sur Calais? Non Mossieur. Alors passons.

Le lendemain, il put prendre un bon bain, se rasa au plus près possible, et enfila ses plus beaux habits (certes ce n'était pas digne de la grande noblesse, mais l'on pouvait quand même se rendre compte que pour un boulanger, la vie lui réussissait plutôt bien). Il prit le chemin de l'Eglise de Brest, au pas de course, oui ce n'était pas un adepte des arrivées en temps en heure...

Il aperçut enfin plusieurs personnes au parvis de l'Eglise, et reconnut entre toutes la belle Annaell, si élégante... si rayonnante... Il salua toutes les personnes conviées, avant d'avancer jusque sa tendre Cousine, occupée dans les diverses présentations.

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