Nathan
« Allez ! Dites le-moi ! Vous moffrez un cadeau ?! » De Nathan à Flora.
La niaiserie de Nathan était chronique, les états deuphories préparaient divinement bien le terrain pour ce trait de caractère que le jeune blond niait remarquablement. Il était évident que la niaiserie était un défaut pour lui. Pour dautre cétait une gêne occasionnelle. Cette-dernière saccordait à merveille pour Flora.
Hôtel particulier des Louvières, vendredi 18 janvier de lan de Pâques 1460.
Sa fiancée avait pris un rendez-vous chez le médecin de Bourges qui était assurément le meilleur de tout le Berry. Elle avait gagé daller faire ses remerciements pour les bons soins qui lui avaient été prodigués. Nathan devait initialement, laccompagner, cependant la rumeur qui circulait dans Bourges lui arriva au coin des oreilles, un nouveau tisserand avait pris place dans la capitale Berrichonne. Il fallait le comprendre, acheter des vêtements cétait bien plus amusant que de remercier un médicastre. Le sens des priorités chez Nathan était toujours très discutable. Cétait donc ainsi, que les deux jeunes blonds planifiaient leur matinée. Flora irait chez le médecin, lui dépenser de largent.
Nathan ne se doutait pas quà ce moment, son insouciance allait se terminer et quil serait temps pour lui de devenir un vrai adulte et non plus un grand-enfant sabandonnant aux plaisirs les plus extravagants. Sa dernière lubie ? Une statue à son effigie en face de Louvières. Sans aucun doute, son narcissisme exacerbé narrêtait pas de faire ses preuves. Le ridicule ne tuait pas, mais tout de même, une limite était à ne pas dépasser.
Le garçon au poisson orange, passa donc sa matinée dans les rues de Bourges. Evitant la misère comme si cétait la peste. Distribuant quelques écus aux mendiants. La générosité des Ambroises était connue dans tous le Berry. Chaque membre de la famille la pratiquait à différentes échelles mais tous donnés un écu lorsque la pitié semparait de leurs curs à la vue des victimes de la mauvaise fortune.
A lheure de midi, il rentra à Louvières, satisfait de sa matinée. Il alla se reposer dans un des salons de Louvières, cétait fatiguant de dépenser de largent. Les gens ne sen rendaient pas compte. La dernière acquisition de Nathan ? Un petit coffret éléphantin. Tout heureux à lidée de montrer sa nouvelle acquisition, il narrêta pas de la regarder. Il sen lassa en dix minutes. Il attendit dans un calme plat, tapotant légèrement ses doigts sur ses genoux.
Le calme avant la tempête ? Tout allait pour le mieux. Mais les événements sannonçaient fort en émotion.
En attendant Nathan réfléchissait au prochain mantel quil allait sacheter.
_________________
La niaiserie de Nathan était chronique, les états deuphories préparaient divinement bien le terrain pour ce trait de caractère que le jeune blond niait remarquablement. Il était évident que la niaiserie était un défaut pour lui. Pour dautre cétait une gêne occasionnelle. Cette-dernière saccordait à merveille pour Flora.
Hôtel particulier des Louvières, vendredi 18 janvier de lan de Pâques 1460.
Sa fiancée avait pris un rendez-vous chez le médecin de Bourges qui était assurément le meilleur de tout le Berry. Elle avait gagé daller faire ses remerciements pour les bons soins qui lui avaient été prodigués. Nathan devait initialement, laccompagner, cependant la rumeur qui circulait dans Bourges lui arriva au coin des oreilles, un nouveau tisserand avait pris place dans la capitale Berrichonne. Il fallait le comprendre, acheter des vêtements cétait bien plus amusant que de remercier un médicastre. Le sens des priorités chez Nathan était toujours très discutable. Cétait donc ainsi, que les deux jeunes blonds planifiaient leur matinée. Flora irait chez le médecin, lui dépenser de largent.
Nathan ne se doutait pas quà ce moment, son insouciance allait se terminer et quil serait temps pour lui de devenir un vrai adulte et non plus un grand-enfant sabandonnant aux plaisirs les plus extravagants. Sa dernière lubie ? Une statue à son effigie en face de Louvières. Sans aucun doute, son narcissisme exacerbé narrêtait pas de faire ses preuves. Le ridicule ne tuait pas, mais tout de même, une limite était à ne pas dépasser.
Le garçon au poisson orange, passa donc sa matinée dans les rues de Bourges. Evitant la misère comme si cétait la peste. Distribuant quelques écus aux mendiants. La générosité des Ambroises était connue dans tous le Berry. Chaque membre de la famille la pratiquait à différentes échelles mais tous donnés un écu lorsque la pitié semparait de leurs curs à la vue des victimes de la mauvaise fortune.
A lheure de midi, il rentra à Louvières, satisfait de sa matinée. Il alla se reposer dans un des salons de Louvières, cétait fatiguant de dépenser de largent. Les gens ne sen rendaient pas compte. La dernière acquisition de Nathan ? Un petit coffret éléphantin. Tout heureux à lidée de montrer sa nouvelle acquisition, il narrêta pas de la regarder. Il sen lassa en dix minutes. Il attendit dans un calme plat, tapotant légèrement ses doigts sur ses genoux.
Le calme avant la tempête ? Tout allait pour le mieux. Mais les événements sannonçaient fort en émotion.
En attendant Nathan réfléchissait au prochain mantel quil allait sacheter.
_________________