Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP - Campagne] Campagne lorraine : rencontre avec Fatum

Ardarin
[Quelque part en campagne lorraine]

L'armée lorraine était de sortie et avançait dans la direction où se trouvait plus ou moins le groupement Fatum. Le Capitaine en tête, à ses côtés étaient le Connétable et le Porte-Parole du Conseil ducal, venait ensuite des membres de la noblesse et enfin la troupe. Tous étaient près en cas d'embuche ou de combat imminent. Mais le but de la manœuvre était de rencontrer les membres de Fatum et de leur demander les raisons de leur venue et pourquoi ils massacraient les voyageurs. Le combat n'aurait pas lieu pour l'heure, en premier les pour-parler. Tout du moins était-ce ce que tous espéraient, mais avec des "brigands" faut toujours ce méfier.

Tout ce beau monde avançait doucement, au son du métal s'entrechoquant et des chevaux hennissant. Le soleil d'hiver jouait sur les fer de lance et les pièces d'armure que les manteaux chaud ne cachaient pas. Quelle idée que de guerroyer en hiver?!? Mais il n'y avait pas de répits pour la soldatesque c'était bien connu : le repos du guerrier c'était la mort.

L'intendant de Lorraine était parmi les soldats qui avançaient à la rencontre de Fatum, un des rares à cheval. Sans fief en Lorraine maintenant, il était juste derrière les nobles titrés de Lorraine. Il portait ses vieilles armes, qu'il avait juste eu le temps de faire réparer par un forgeron de Nancy, une épée, une cote de maille courte, gantelets, cuissards et un simple casque. Son mantel de fourrure portait le blason de sa famille et le protégeait du vent froid. Assis sur son destrier "tagadatagadatsointsoin", qu'un renard de feu voulait renommer "mandats-contributions" pour d'obscurs raison sémantiques, et qui répondait officiellement au nom de tempête, Ardarín psalmodiait une chanson paillarde lorraine pour la troupe :


De Toul à Vaudemont! La digue! La digue!
De Toul à Vaudemont, la digue du fion!


Ce qui était dommage c'est qu'ils n'étaient pas sur la route entre Toul et Vaudemont. Mais peu importe, le but était de détendre l'atmosphère pour les quelques uns autour de lui. Le bruit de la troupe recouvrait trop la voix basse de l'ancien baron pour qu'il soit entendu à plus d'un rang ou deux. Toujours est-il qu'après plusieurs heures de route, au sortir d'une forêt, la troupe Fatum était en vue. Ardarín regarda le Capitaine Ersinn, guettant sa réaction.


titre modifié, et j'en ai profité pour jarter une ou deux faut d'ortho

_________________
--Le.masque.


[Quelque part sur les routes de Lorraine]

Et oui ! Très très explicite, mais bon, il faut bien situer les choses non ? Donc voilà, ils sont là ! Ouaip ça, vous me direz, vous l'aviez deviné ! Bah oui, il suffit de lire les annonces et pour ceux qui savent pas lire, il y a même des crieurs.

Citation:
Lorraines, Lorrains : Mobilisez-vous ! Le FATUM est à nos portes. Contactez le Capitaine Ersinn !


Citation:
MOBILISATION GÉNÉRALE. Lorrains, Lorraines, Préparez vous à défendre votre Duché. Contactez Ersinn !


Lui, il avait un peu autre chose à faire... petit sous fifre de rien, il était quand même plutôt présent, plutôt un peu trop même. Mais bon, il s'occupait surtout des siens, enfin, des leurs, de la section qu'on lui avait confiée quoi. Bouffe, armement, c'était tout.

C'était tout, ou presque. Il regarde le broucolaque, et la belle chataine, vraiment, ils sont beaux, ils ont fière allure, ou pas, c'est selon. Tout est une question de point de vue, mais pour lui, ils sont beaux.

Profitant d'une halte, entre ici, et là-bas... sur la route de l'ouest... ou pas d'ailleurs hein, il attrape sa gourde, se prend une bonne rasade de son breuvage favori, avant de s'approcher de sa charrette et d'appeler certains. L'avantage d'être tranquillement à une pause, c'est qu'il a pu retirer son heaume et son masque.

Cet après-midi là, c'était donc distribution, de quelques écus, d'armes pour remplacer celles cassées déjà ou abîmées. Il s'étire, et termine la distribution, puis s'écarte un peu, profitant pour faire une sorte de petite ronde autour du campement. p'té, ils font pas dans la discrétion, mais bon, ils ont jamais su faire.

Lorsqu'il repère de loin, des individus, il émet un sifflement entre ses doigts de la main gauche pour sonner l'alerte. Rapidement, il sort de sa poche un foulard, et se le met sur le visage, ne laissant que ses yeux visibles.
--La_belle
On peut même plus pisser en paix, BERDOL !

Voilà c'qu'elle aurait voulu hurler la Belle, mais elle est tellement occupée à ne pas viser ses chausses qu'elle se contente de le penser.

Vous avez déjà uriné avec un masque un peu trop grand ?
Non? Dommage.
La Chataîne en fait la triste expérience, à peine elle baisse son regard vers ses chausses, que le masque se barre, elle tente de le rattraper et lâche sa houp', lâche le petit mouchoir qu'elle tenait pour rattraper la houp' qui ...
Bref, c'est le merdier, tout se mêle et s'emmêle et, on ne sait pas trop comment, ça finit pas trop mal.
Ça se secoue l'arrière train pour éviter l'inondation, ça s'essuie avec un mouchoir qui avait échoué sur le sol, et ça se relève, masque en vrac, cheveux en bataille et.. chausses vierges de tout liquide. Yes!

Elle s'approche du masqué, lui pince la fesse et le regarde, les mains sur les hanches.



Bin dis moi, t'en fait un bordel ! C'est l'heure d'la graille ?



Bah quoi ?
On a tous des préoccupations qui bouffent les autres.
--Broucolaque
Lui qui pensait se reposer un peu..le séant douloureux après toute cette galopade franc comtoise et lorraine..il avait plutôt révé d'une nuit a se faire choyer, caliner, se faire servir du vin directement dans la bouche par belle brune ou beau brun ou les deux en meme temps tient, mais oui que c'est beau de rêver, rien que d'y penser il se sent pousser et pas que des ailes

mais non...au lieu de ça...

Un sifflement...

manquait plus qu'ca...mais bon, ils étaient un peu la pour ca nan?


La capuche rabaissée, il avancea vers le masqué et la belle

j'm'en va les accueillir téé!!!


Il s'éloigna un peu et plissa les yeux pour distinguer les silhouettes adverses.

Il gesticula de son bras valide pour les saluer et se sentant l'âme d'un barde poussa la chansonnette


En passant par la Lorraine,
avec mes copains
Rencontrait trois vilaines
Avec mes copains
dondaine Oh oh oh,
Avec mes copains



Et hop on defait sa braguette d'une main, on soulage sa vessie, faisant profiter "les autres" de la puissance de jet et on se dandine pour faire glisser les braies et on agite son séant direction les ombres

Pas de grâce pas de pitié pour cette bande moches et tous ces enfoirés!!!
Vive les enfants d'Fatum a bas ceux d'la Lorraine

et on se trémousse


téguédé téguédé dondaine dondaine...


Seulement voila..baisser son futal d'une main c'est une chose..mais le relever...c'est une autre...

Sautant a pieds joints, il s'éloigna du troupeau adversaire et s'approcha des siens



j'ai un p'tit problème!!! ya dudule qui prend l'air!!!
Anialis
Alors ! 1 , 2 , 3 …........15 …......18 …......34 ….......

Comme chaque jour , Anialis faisait le tour du campement , comptant un à un les soldats en place .
Comme chaque matin depuis leur départ , il en manquait un !
Et comme chaque soir , 2 nouveaux venaient rejoindre l'armée .


Mais qu'est ce qu'ils ont à regarder les lapins courir au lieu de suivre ?

Un sifflement aigu retentit d'un coup . Oh ! Par n'importe quel sifflement , pas celui d'un homme qui cherche compagne pour la nuit , non , non , pas ce style la .
Ce sifflement la , il avait des paroles , style
….......... ALERTE !! V'LA DU MONDE !

Curieuse comme beaucoup de femmes , Anialis s'approcha à l'entrée du camp , elle n'avait pas prit la peine de se voiler le visage , à quoi bon , de toute façon il y a bien longtemps que son nom figurait sur les listes qui circulaient dans tout le royaume .

Quelques compagnons étaient la à attendre , comme elle , que la troupe s'avance un peu plus prés .
Elle les regarda et leur demanda .


Qui ose venir ainsi sans se cacher ?
Qu'est ce qu'ils veulent ?

_________________


PROCUREUR DE BOURGOGNE
--Le.masque.


Il regarde Ania, et incline la tête pour la saluer.

Je sais pas de qui il s'agit, mais on peut peut-être parler avant de sortir les dagues ?

Un sourire aux lèvres, assurément, ils n'ont pas peur ceux qui viennent à leur rencontre, alors pourquoi sortir les armes et donner l'alerte ? Bah surtout pour que ceux qui arrivent voient qu'ils ne sont pas que des amateurs... entre autres petites choses.

Il rit en voyant le broucolaque, et l'aide à se rhabiller.


Tu voulais leur montrer qu't'es bien membré ?

Amusé, il resserre la ceinture de son pote, tout en zieutant la belle qui vient de lui pincer le fion.

Du calme hein, on n'est pas obligé de faire un bain de sang tout de suite, jaugeons d'abord de combien ils sont, et ce qu'ils veulent.
Ersinn
Quant à Ersinn, je décide de le nommer Capitaine.

Hochement de tête distrait du lorrain, qui tourne les talons. Le voilà de nouveau Capitaine, après une mandature de Duc. Aucun repos donc, pour le Warenghien. A peine nommé, que quelques jours plus tard, on lui annonce l'arrivée imminente de Fatum. Tonic payerait pour cet affront, assurément. Depuis plusieurs jours, occupés avec ses collègues et son Etat Major à s'occuper de la défense de la Lorraine, les premières mauvaises nouvelles tombent : son écuyère, fauchée par ces imbéciles de Fatum. Un double affront, ils le payeront tous. Un massacre. Ils l'avaient massacré, lui avait-on dis.


Citation:
Ma douce Violette,

On m'a conté votre terrible aventure de la nuit passée. J'aimerais tant être près de vous, afin de vous assurer de ne point succomber, mais hélas je vais devoir m'occuper de ces vauriens qui vous ont infligés ce mal.

Soyez forte, je pense à vous.
E.d.W.


Ce petit mot était parti sitôt la nouvelle apprise. La mine grave avait disparu du visage du Capitaine. L'indifférence avait retrouvé sa place habituelle, sa colère bouillonnait tranquillement en son for intérieur, contrôlé par son esprit calculateur. Il traçait ses vengeances avec beaucoup de calme, et il en avait l'expérience. Il savait comment coincer Fatum, aucune hésitation ne serait à prévoir.

A la tête de sa colonne de soldats, le Capitaine était juché sur son destrier, marchant au pas, en observant tantôt les alentours, tantôt ses hommes. Ils étaient tous ici volontairement, excepté certains nobles qui tiraient un peu la figure, mais globalement, les troupes lorraines baignaient dans une ambiance enthousiaste. Loin de faire peur, les brigands avaient simplement réveillés les lorrains, les faisant sortir de leurs grottes avec l'épée au poing. Il n'y a pire eau que l'eau qui dort, comme on dit.

A l'orée d'une forêt, une plaine, que le destin avait décidé de baptiser "point de rencontre entre Fatum et les Lorrains". On voyait au loin, les lueurs d'un campement. Nul doute. Et ils étaient déjà sur le pied de guerre. Un des leur se détaché de leurs rang, pour venir jouer la provocation. A ce moment là, il fut attiré par le regard d'Ardarin, et il se mit à rire. Un rire joyeux. Il se tourna vers sa troupe, pour crier suffisamment fort.


Regardez là ! Il y en a déjà qui ne peut pas se retenir d'uriner, par peur de nous voir !

Puis il adressa un sourire confiant à Ardarin, et stoppa les troupes. On ne se jette pas dans la gueule du loup, on s'y insinue.
_________________
--Le.masque.
Oh P'té de Chiabrenna de Fot-en-cul ! Voilà pile poil ce que pense le masqué en reconnaissant celui qui cause. Il ouvre la bouche, il se grille, parce que nul doute qu'Ers reconnaitra sa voix, déjà que si c'est pas déjà fait à sa stature, il a du bol. Réfléchis, le Gaucher, réfléchis ! La dernière fois que tu l'as vu c'était quand ? Du côté de la Gascogne, ou un peu plus à l'Est ?

Et un gros blanc... le genre de moment de tension, ou les adversaires se jaugent, s'observent, un peu le round de chauffe, on dira. Que dire... et que faire. Ne pas répondre à la provocation déjà, qui n'était que la réponse aux provocations des écorcheurs... Du calme, respirer, inspirer, expirer.

Bon, et d'un ange qui passe, tant qu'à faire hein ! Histoire qu'il reluque l'armée qui suit Ersinn, ou plutôt les lances remplies d'un peu de tout, bref, l'équipage est pas meilleur que le leur, a priori. Ca, c'est fait. Check point suivant ? Prévenir le chef. Il se tourne alors vers la tornade et esquisse un sourire.


Té, je parie que tu peux trouver rapidement Tonic pour l'informer que son ami Ersinn est ici.

Il ne retire pas son masque pour autant, simple oubli sans doute, puisqu'il se sait ou se doute être découvert.

D'un geste, il désigne un endroit où se trouvent des bancs improvisés, à savoir des troncs d'arbres sur lesquels des planches sont posées, autour d'un feu de camps. L'habitude de s'installer ainsi, sa roulotte pas loin, et d'avoir ce qu'il considère comme du confort. Les roulottes des écorcheurs sont tout près, plus qu'à remercier sa belle qui en brûlant la roulotte de son beau, a permis qu'ils aient une roulotte toute neuve. On ne se refuse rien dirait-on.


Bonjòrn. On peut se poser par là si vous voulez discuter... A moins que vous ne cherchiez autre chose ?
Ardarin
En s'approchant de plus en plus du campement pseudo-ennemi, Ardarín distingua quelques silhouettes. L'un jurant, les attributs à l'air, avant de s'en retourner vers les siens d'une manière maladroite et empressée. A cette vision, le capitaine se retourna et lança une blague à la cantonade. Railler l'ennemi était toujours bon pour l'esprit des soldats de basse extraction et de peu d'expérience. Ardarín le savait et, même s'il était d'humeur grave à l'intérieure, il afficha un léger haussement de fossette à la Jeorge Clounet (un célèbre saltimbanque au physique de rêve pour ces dames). Il fallait rester dans le ton du capitaine. Cependant, quand celui-ci lui adressa expressément un sourire à Ardarín, il ne put qu'y répondre de manière franche. Politesse oblige.

D'un signe le capitaine ordonna l'arrêt de la colonne. Ardarín serra les brides de son cheval qui s'arrêta net. "
Bonne bête!" Pensa-t-il.

C'est alors qu'un homme masqué s'avança vers eux et proposa d'aller discuter un peu plus loin. La discussion serait pour les membres du Conseil et de l’État Major, s'ils le voulaient. Ardarín attendit donc en scelle que les ordres soient donnés. Conservant son calme il étudia la structure apparente du camp en face, sa population aussi. Cela lui rappelait grandement ses années de baroudeur, mais la troupe à laquelle il appartenait était plus propre, visiblement.

_________________
Poum
[PROCHE DU CAMPEMENT FATUM]

N'ayant pas la force de se retenir d'aller voir les fameux membres de la Fatum, la curiosité étant une grande qualité pour elle.
Toutpm s'approche doucement, un coup d'oeil à droite rien que des arbres.
Un coup d'oeil à gauche, là de la fumée, quelle discrétion...
Elle se dirige vers les colonnes noires s'envolant vers le ciel qui lui indiquent le chemin.

Un bruit dans les broussailles lui fait lever les yeux.
Une brigande OOOhhhh, un mouchoir vole, elle est en mauvaise posture houppelande relevée elle fait concurrence aux soldats, ils seraient jaloux sils voyaient ça, cette femme est capable de battre un homme à "je pisse plus loin" !!

Sur ce la voix d'un homme se fait entendre.
Laissant place à l'admiration la curiosité se réveille, encore....

Elle se faufile plus près pour voir.

C'est bien ça ils jouent à "je pisse plus loin" c'est dommage que je n’entends rien d'où je suis moi pppffff.
Prise dans ses pensées, souvenirs de joute, tapie dans un buisson, elle sursaute quand elle entend un cri.


Citation:
ALERTE !! V'LA DU MONDE !


Mais c'est pas possible que vois-je ?????
Ardarin et Ersinn vont-ils faire le combat avec des armes ou des jets d'urine ?

Elle pouffe de rire bêtement.

Je devrais aller rejoindre les guerriers Lorrains.
La problème c'est le camps de brigands entre nous.

Je m'avoue à moi-même que j'ai abusé, nan nan vraiment cette fois.
Elle tente de sortir du buisson discrètement, ça ce n'est pas son point fort, mais elle se dégage enfin.

_________________
Erwann.de.naueriels


Fronçant les sourcils en entendant du bruit, du moins, un bruit qui n'est pas celui du campement, proche, trop proche pour être un animal sauvage, il tourne la tête, instinctivement, pour voir la brune déjà aperçue... il sait plus où, mais en Lorraine, ça, c'est sûr... et pour le nom, faudra repasser, il sait déjà qu'elle est pas de Fatum, c'est déjà pas mal pour un petit nouveau comme lui.

Il l’interpelle, la pas discrète...


Toi ! Rest'pas dans mon dos, t'risques d'avoir des ennuis. Ramène ton fion ici.

Vrai quoi chiabrenna ! Si elle pense qu'elle peut rester à circuler dans le campement Fatum sans se recevoir une dague entre les omoplates, elle rêve, la sotte. Et franchement déclarer les hostilités là, tout de suite, alors qu'il a pas encore bouffer, il a pas envie. Un homme, ça graille, ça bouffe et quand ça a l'estomac vide, ça peut vite devenir très très chiant. Vous pourrez demander à sa femme si c'est pas vrai, héhé.

Il regarde de nouveau Ersinn et l'homme qui reste juché sur son cheval. Il les observe, les jauge... Se retrouver face à Ers, c'est pas vraiment ce qu'il avait voulu, ni ce pour quoi il s'était engagé, mais il ne bronchait pas vraiment. Le nom de l'autre lui revient en tête, Messire Mandarine... non... heu Ardarine ! Oui, c'est ça... bref, il reste détendu, du moins en apparence. Tendu dedans, sur le qui-vive, détendu dehors.

Mais ça, il sait que Ers le fait aussi. Les deux hommes se regardent et Le Gaucher fini par rompre le silence pesant qui vient de s'installer, pendant ce premier round.

On ouvre le second ? allez, il se dirige vers les bancs désignés un peu plus tôt, après avoir jeté un clin d'oeil rassurant à la Belle et au Broucolaque.

Comment vas-tu Ers ? Cela fait un petit moment qu'on ne s'était pas croisés. Les circonstances sont bien différentes, cette fois-ci, mon ami. Me voilà face à toi...

Oui, fini de se faire passer pour le gueux de base, Ers et lui se connaissent depuis si longtemps... avant même qu'il ne rencontre celle qui est devenue son épouse.



Poum
Encore en train de tirer sur son mantel pour se dégager, un coup sec et un semblant de dignité, elle se redresse, en se demandant ce qu'elle fait là.

Elle tire quelques feuilles mortes de ses cheveux.


Citation:
Toi ! Rest'pas dans mon dos, t'risques d'avoir des ennuis. Ramène ton fion ici.


C'est à moi qu'il parle lui là ?
Mon fion n'a qu'une chose à lui dire et c'est pas très jouli jouli.
Elle a déjà vu cette tête quelque part, beuh ça n'a pas du la marquer plus que ça.

Monsieur sachez que mon fion et ma personne n'ont qu'une chose à vous dire PROUT !

Morte de peur elle essaie d'avoir un peu d'honneur.


Je me suis perdue, je ramassais des simples, je suis malade, je suis innocente, j'ai rien fait.
Pis je joue très mal à "pisse plus loin" moi !
Je croyais que c'était une bataille et puis je suis pacifiste *lui tend une fleur
Je vais tranquillement vous laissez entre vous et bien le bonjour à votre dame et les enfants.

Elle recule en parlant.....


Mesdames et Messieurs les brigands à très bientôt j'espère, votre compagnie fût vraiment très agréable mais n’abusons pas des bonnes choses, point trop n'en faut.

Elle recule en souriant, secouant la main.
_________________
Lglvh
Vexé jusqu'au trou du cul de l’impotence de son bras, le roux s’était laissé refroquer, sans rechigner, mine boudeuse au vent.

Il s’en alla à travers le campement en braillant


Ils sont là ils sont là.vous roupillez ou quoi ?

Et de tomber nez à nez avec une donzelle sortie tout droit d’un buisson, les cheveux en pagaille.De qui plus est, elle offre des fleurs, il manquait plus que la pipe de chanvre. Elle avait fini son jet de pisse…ènlove…le monde est merveilleux….
Il toisa la donzelle le jaucha la dévisagea….


Nan mais avec tous les buissons alentours..T’es obligé d’souiller l’nôtre ? C’pas marqué latrines publiques si

Secouant la tête et râlant comme a son habitude,il s'approcha de leur belle, lui vola un baiser, un peu de douceur ca se prend en toute circonstance, lui claqua le seant et alla se placer aux côtés de son gaucher…

Dit, Lou c’est pas pour dire mais j’ai faim et j’ai soif, l’heure du miam à sonner d’puis longtemps et j’me disais qu’au lieu d’rester là à rien faire tu pourrais p’têtre allumer le..

Il regarda les hommes à cheval et les dévisagea d’un air arrogant et fanfaron..Bah oui, il n’est pas grand le broucolaque et il est estropié, mais autant faire semblant que tout va bien hein…

Ers…hum baisser la herse ? Mais on est en pleine nature tééé…c'va être compliqué tout ca

Se retournant vers les hommes

Bon dites, vous êtes bien gentils et tout, mais r’passez dans deux heures…On n’a pas ripaillé encore !!!
_________________
Poum
Je suis tombée sur le plus malin moi !!!! encore un coup de chance ! yipiiiiiiiiii
pensa-t-elle au bord de la crise de nerfs.
Citation:


Nan mais avec tous les buissons alentours..T’es obligé d’souiller l’nôtre ? C’pas marqué latrines publiques si


MAISSSSSSSSSS c'est pas moi !
J'ai fait pipi nulle part chez eux !
C'est elle là-bas qui se débattait avec ses jupons et sa miction, faut pas tout confondre.
Comme c'est parti je m’éclipse moi ils ne se reconnaissent même pas entre eux, 20 bras cassés 40 mains trouées.

Elle sourit se retirant pendant que les barbares se jetaient sur leur pitance.
La main sur son épée au cas où mais là pas de soucis, l'alcool avait fait sont effet certainement., autant ne rien dire et se faire passer pour une brigande pour sortir du camp.
Elle se dirige vers les bois en criant et titubant pour être incognito.


On les aura!!!
Oui ouii on vous aura....gniarf...
_________________
Loguen
L'ost de Lorraine était là derrière son capitaine, impassible en une colonne resséré, Loguen avait sa section derrière lui, il ne les regardait pas, il conaissait leur professionalisme. il était prêt pour le combat. Loguen était un soldat de métier, depuis tout petit on lui avait apris à se battre, il en avait donc connu des conflits. A un point ou il préfèrait être dans un bureau au chaud que se battre à pied sur une terre froide, mais cela lui rapellait beaucoup de chose et son entrainement et formation était toujours la.

Il avait bien sur, revétit sa meilleurs armure, une cote de maille de la plus belle des factures qui lui avait couté un oeil, mais sa famille avait les moyens aprés tout. Son épée à deux mains lui barant le dos, a son coté sa batarde et au bras gauche son écus. C'était un fantassi de ligne, pur et dur, avec la musculature qui allait avec.

La colonne s'arréta, Loguen leva le bras droit pour arréter ses hommes derrière lui. Son colonel était plus loin devant dans le groupe hiérarchique, on y était, au loin les forces de Fatum, un sourire illumina son visage, il aimait les défis et la, sa allait en être un.. Il attendait les ordres, tranquillement, droit comme un I en total harmonie avec ses hommes qui devaient faire de même.
See the RP information <<   1, 2   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)