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[RP - Campagne] Campagne lorraine : rencontre avec Fatum

Macky
Elle arriva derriere Le_G.
Elle s'approcha mais silenceuse.

La gamine de 15 ans ne compenait pas tout, mais elle avait de l'oreille....
Elle avait decider de venir, on ne sait jamais... elle pouvait servir a quelque chose,qui sait
Tonic
L'OST était venu à leur rencontre. Était-ce par hasard ou leur destination était-elle préméditée ? Qu'étaient-ils venus chercher ? On vint le prévenir de leur arrivée. Las d'être tiré de ses parchemins, il se résolut à s'y rendre aux côtés de quelques de ses compagnons. Parvenu devant la tête de leur file, Tonic salua son ancien ami devenu Capitaine.

Bonjour, Ersinn, tu vas bien ? Tu es venu nous rendre visite, en souvenir du bon vieux temps à la Camorra ? Fatum recrute toujours si tu veux, toi et tes amis y seriez les bienvenus.

Il sourit, la main droite posée sur le pommeau de son épée, attendant de la part de l'ancien Soldato une réponse plus distante qu'à l'accoutumée.
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Necker


Le duc du haut de son cheval prit position le long d'une colline pour observer la situation.
Ersinn
Calmement, le Capitaine mit pied à terre, confiant sa monture au plus proche soldat. Un frisson de déplaisir le parcourut lorsqu'il aperçut Louis, de loin, s'approcher, et leur proposer de s'assoir près d'un feu, comme si de rien n'était. Ersinn ne s'attendait pas à une telle nonchalance, aussi insouciante qu'insultante. Il fit signe à Loguen de le suivre, laissant le reste derrière lui. Prêt à intervenir, en cas de faux pas des Fatum. Sans prendre la peine de saluer son vieil ami dans les règles, il ne put lui servir qu'une réponse cinglante. Il ne faut pas s'attendre à un excès de politesse là où deux épées pointent l'une vers l'autre.

Bast donc, Louis. Nous ne sommes pas venu partager un bon feu avec vous, pas plus que vous avec les Vaudemontois.

Va donc me chercher Tonic, si tu tiens vraiment à faire quelque chose pour moi..
Il ajouta, de fort mauvaise grâce. S'il te plait.

Mais Ersinn ignorait que Louis avait déjà fait appelé Tonic, et ce dernier fit bien rapidement son apparition. Tandis que la présence du Gaucher lui inspirait plutôt confiance, celle de Tonic en revanche non. Sa main glissa bien assez rapidement vers la garde de son épée. Il sentit également son sergent se raidir, prêt à intervenir. Il toisa avec indifférence son autre vieil ami, avec lequel il avait envisagé ou conclu ( qui sait. ) par le passé quelques accords. Et c'était définitivement du passé, désormais. Tout autant indifférent qu'avec Louis, il se contenta d'un hochement de tête en guise de salut, et il prit la parole pour répliquer à son tour :


Tonic, bien sûr, mes amis et moi sommes à ton service.. Alors, quel est le plan ?

Un sourire, à peine perceptible accompagna sa remarque, mais il n'avait pas très envie de pousser plus moins le sarcasme. On palpait déjà la tension, rien qu'en voyant où la main des deux hommes s'étaient instinctivement placés.. Il ne fallait qu'un mauvais mouvement d'un des deux pour que le bain de sang commence avant l'heure. Reprenant un semblant de suffisance, empreint d'une certaine irritation, il poursuivit :

Qu'est-ce que tu veux, Tonic ? Il n'y a rien pour toi ici. Fiche le camps d'ici, toi et tes hommes.
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--Elvirem


Parce qu'à force de fanfaronner, on attire l'attention...


Elvi avait un peu mis les pieds partout ces derniers temps, à Fatum... Entre discussions, explications, distributions... Elle commençait à ne plus penser que Fatum... Fatum, Fatum, Fatum... Et ça lui pesait quelque part, mais lui plaisait étrangement.

Bref, ça faisait un moment que notre célèbre blondinette n'avait pas montré le bout de son petit nez, toute occupée qu'elle était aux quelques responsabilités qu'elle avait au sein de Fatum.

Seulement, là, un attroupement. LE brun carotte. Tonic. Louis. Lestat. Elvi se décide à s'approcher, comptant écouter sagement, pour une fois.

Elle avise les nouveaux arrivants, et ouvre sa bouche une seconde le temps de lancer d'une intonation décidée:

"Bonsoir Ersinn."


Puis, plus enjouée, s'adressant à Tonic, et à ses autres connaissances:


"Bonsoir vous tous !"




Erwann.de.naueriels
Il hausse les épaules, et regarde Ers. C'pas comme s'il s'y attendait pas. La tension doit être forte chez son ami, et lui, bah pour l'moment, il en a juste ras-le-fion de devoir gérer les p'tits soucis internes. Alors vu comment ça se passe, il laisse Tonic, et s'met en retrait. Après tout, il n'est qu'un second couteau, il le sait.

C'est donc sans surprise qu'il y va lui, près du feu pour grailler, avec les écorcheurs. Il se dirige vers sa roulotte, sort des miches de pain et c'est festival, du jambon à l'os. On ne se refuse vraiment rien ces derniers temps.

Venant près du feu avec les victuailles, il sort sa dague pour couper le jambon, faire une distribution, et chope le pain ensuite pour s'en prendre un morceau, léchant avec gourmandise la lame de sa dague, sur laquelle il y a un peu de gras du jambon. Un délice. Il savoure en regardant sa belle et son roux, profitant simplement de cet instant presque calme. Ouaip, faut croire que ça l'dérange pas tell'ment, la présence des lorrains.

Pour compléter le repas, il sourit, et sort de sous le banc, le petit tonnelet qui s'y trouve et boit directement au tonneau, avant de le reposer, pour passer une langue sur ses lèvres, avant d'essuyer le reste de son menton de sa manche.

Pendant ce temps-là, Tonic est arrivé, et si la tension est palpable, et bien qu'il semble occupé à manger, il reste sur le qui-vive, habitué aux tensions, c'pas vraiment ça qui le dérange, c'plutôt un peu tout le reste... quel reste ? Bah, faudrait être dans sa tête pour savoir hein !




Loguen
Loguen attendait, impassible, malgré le vent vivifiant parcourant le territoire Lorrain, il aimait tendrement sa patrie et mourrerait volontier pour elle. Il vit les membres du groupes arriver, il en avait peut être déjà rencontrer mais la c'était différent. Le champs relever le caractéres des hommes et Loguen était du genre cailloux.

Il regardait attentivement sa hiérarchie, la bataille pouvait débuter à tout moment, il avait de l'expérience, depuis 21 ans qu'il fesait se travail, il avait été aussi garde du corps à certain moment de son histoire et cela tomba bien. Il vit le signe de son capitaine, il inclina la date et se retourna d'un coup sec, regardant ses hommes quelques secondes qui finit par un signe de tête. Il savait ce qu'il avait à faire..

Il rejoignit son capitaine et se plaça dans son ombre juste derrière lui un peu à droite. Le bras gauche étant celui de son bouclier, il serait plus efficace ainsi. Son role n'était pas de parler ou autre, c'était de veiller a ce que son capitaine revienne en vie de ces négociations, et pour ceci, il était prêt a donner sa vie. Il se tut alors quand des compagnons d'arme de ce groupe vinrent les rejoindre, sa main droite se porta juste vers le pommeau de sa lame présente a sa ceinture. La situation pouvait déraper à chaque instant, il était d'un calme rocailleux, il avait déjà tout calculer si cela pouvait tourner mal. Comment proteger le capitaine, le temps qu'il faudrait pour rejoindre la ligne, comment les combats pouvait s'engager, ect. Tout passé au crible comme une horloge implacable. Il était là, il était prêt. Il les fixait regardant chaque geste de l'assemblé proche mais aussi plus éloigné, une fléche pouvait voler ou un carreau d'arbaléte, il était complétement en dehors des discussions, n'utilisant que ses yeux et ses oreilles pour entendre le moindre bruit suspect.
Palogar
L'alerte avait été donnée il y a quelques jours déjà, lorsque l'armée de Fatum était aux portes de la Lorraine.
Nouvellement promu au sein de l'OST, il avait eu à coeur de regrouper les volontaires toulois pour répondre à l'appel qui avait résonné dans toute la Lorraine. Et c'est donc à la tête d'une sections de volontaires qu'il avait rejoint la colonne dirigée par Ersinn.

L'armée lorraine. Enfin. Bien sûr nombreux parmi celles et ceux qui étaient présents étaient de simples volontaires et non des soldats aguerris.
Mais la détermination se lisait sur les visages. Certains n'avaient pas d'épée mais qu'importe : ils se battraient pour leur patrie, avec un bâton, à main nue même s'il le fallait !

Le nombre et l'expérience ne font pas tout. La rage. Oui la rage de défendre leur patrie, voilà ce qui caractérisait les hommes et les femmes qui étaient derrière lui.

Reste à savoir si cela suffira...

Cette pensée était celle d'un soldat aguerri qui avait déjà combattu à de nombreuses reprises, mais il connaissait le danger : la peur.
Oui la peur pouvait défaire une armée aussi facilement que l'eau emporte le sable.
Il resta donc impassible, ne laissant rien transparaître lorsqu'ils arrivèrent près du campement de l'armée adverse.

Restant en retrait avec le gros de l'armée, il avait cependant du mal à ne pas s'inquiéter : voir le Capitaine Ersinn s'éloigner ainsi - certainement pour s'entretenir avec leurs adversaires - avec une si faible escorte n'était pas fait pour le rassurer.

Il se rassura en se disant qu'ils n'étaient pas loin. Et le sergent Loguen était aux côtés du capitaine.

Il ne restait qu'à attendre...
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Einskaldir
Attente... La sœur inséparable des jumeaux Patience et Empressement. La première est une dame de cour au chignon noué haut, plissant avec un soupçon de maniaquerie les plis d'une robe interminable. Le second est un gamin ébouriffé courant dans les champs, un petit veau de la roture qui trépigne et gratte le sol pour s'exprimer.

Moi, je suis entre les deux. Et je ne suis qu'attente. Muet sur le rempart qui domine Nancy contre un vent d'hiver qui hurle, je montre parfois pourtant les signes évidents d'une envie d'en découdre. Un guerrier silencieux et déjà tirant presque deux décennies de guerres pouvait bel et bien piaffer comme un jeune poulain qui allait faire ses premières passes sanglantes.

Cette guerre...Si l'on pouvait la nommer ainsi... avait déjà commencé de si prompte façon. Les brigands et malandrins assemblés en guilde roublarde n'avaient décidément guère le sens des convenances. Même avant de décapiter quelqu'un à coup de marteau de guerre on s'annonçait, autrefois. Mais je m'égare et je voulais simplement dire que tout avait commencé avec précipitation...mais comme une vague pressée qui se fracasse, surprise, sur le rivage escarpé.

Et Fatum - drôle de destin pour lui - s'il avait su nous surprendre en affranchissant Vaudémont et en menaçant Toul avec ses drolatiques émissaires Corleone, végétait désormais aux alentours de Nancy.

Si je n'avais pas reçu d'éducation à mon arrivée en Lorraine, j'aurai osé la comparaison entre deux chiens qui se rencontrent pour la première fois pour qualifier nos deux armées. Se tournant autour, museau tendu pour voir si l'autre produirait quelque chose de pire que soi.

Et pour l'heure, que fais-je ?
J'attends, tudieu. J'attends.
Et il n'y a pas pire châtiment pour un guerrier que de le contraindre à attendre, l'épée au fourreau et la hache à la ceinture. Car cette attente là est odieuse, ennuyeuse, fatigante même ! Elle gâche la fougue de la jeunesse, amollit la vigilance, amoindrit la qualité de l'humeur et du sommeil,...


Alors que l'attente en ordre de bataille, elle, faisait couler la sainte colère de l'Orage dans nos veines, à nous autres lorrains.
Charles_de_raveline


Et voilà, le jeune homme s'était engagé. Et sous des couleurs en plus pour ne rien arrangé. Il allait devoir se surpasser. Il n'avait pas l'habitude de tenir bien longtemps au sein d'une armée... Soit il s'en faisait éjecté... parce qu'il tricotait... ou fricotait... enfin un truc dans le genre... Ou alors, il y avait la possibilité aussi qu'il se prenne quelque chose dès le début du combat. Une lance... bah oui! Même pas une flêche, non, directement une lance alors que le jeune homme se trouvait au niveau des archers! Il fallait le faire quand même! Pas facile! A moins qu'il y en ai un dans leu camp qui ne savait pas très bien où étaient les alliés des ennemis...

Et cette fois encore, Charles se retrouvait avec les archers. C'était bien plus rassurants pour ses compagnons d'arme. Il pouvait être très dangereux pour ses alliés... Il avait de grandes difficultés à mener un combat à l'épée. Ce qu'il faisait en temps normal c'était de grand moulinets et avancer par coup sec de temps en temps. Cela avait toujours surpris, mais rarement désarmé... ou pas les bonnes personnes... Car lorsque l'on faisait de grand moulinets, il fallait avoir de la place. Et c'était une chose rare durant des combats.

La nuit d'avant, ils avaient rejoint l'armée. De nombreuses tentes avaient déjà été plantés au niveau du campement. Cela bougeait de partout. Peut-être que le jeune homme aurait du demander à Sebastian de l'accompagner. Enfin à quoi cela aurait-il servit? Pas à grand chose... Les insomnies du jeune Raveline avaient repris. A son grand désarroi. Mais malheureusement, il n'y pouvait pas grand chose. Donc il aurait largement le temps de s'occuper. Et à moins que le temps... le soleil la pluie et tout se patatras... se ligue contre l'armée, Charles n'aurait aucunement besoin d'une tente.

Cependant, que faire d'autres? Dès l'intégration à l'armée, il avait perdu de vu le peu de personnes qu'il connaissait. Il avait bien repéré quelques personnes... mais celles-ci étaient prêt d'une tente bien gardée... dommage...
En tout cas, le second soir venus... ils purent s'occuper. Un membre du fatum vint se jeter directement sur eux... Charles était presque sûr qu'il faisait parti du Fatum. Certes, il aurait pu se tromper... Mais c'était lui qui avait été de garde la nuit de l'arrivée de l'armée brigande. Et il avait surveiller, pas très rassuré, cette bande de brigand investir les abords de la ville...
Mais cette fois-ci, le jeune homme pu utiliser une de ses flèches avant que l'armée transforme le présumé brigand en charpie... Est-ce qu'il l'avait touché? Rien n'était sûr. En tout cas, il avait tirer... C'était déjà ça! Cependant, il ne récupèrerait probablement jamais sa flèche. Il n'était pas à une prêt. Mais en temps de guerre, une flèche pouvait être fatidique et très utile!


Citation:
06/02/1461 04:05 : Vous avez frappé Durandal. Ce coup l'a probablement tué.
06/02/1461 04:05 : Vous avez engagé le combat contre Durandal.

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Satineduval
La nuit avait été des plus torrides et le lit avait tremblé sous les assauts de son nouvel amant qui lui avait tiré de longs gémissements de plaisir, qu'elle avait tenté de réprimer pour ne pas ameuter le reste de l'armée… S'en était suivi le repos des guerriers, comblés et repus de leurs corps chauffés à blanc quelques instants auparavant.. Dans le calme de la nuit enfin revenu, elle ne pu pas s'endormir tout de suite et veilla un moment, songeant à l'homme qui reposait à ses côtés..Il était là, simple voyageur qu'elle avait rencontré au détour d'une route et qui avait réussit à la dérider alors que fureur et rage menaient combat dans son cœur….

Une sourde colère contre les brigands de Fatum, en particulier les dénommés Sat et Tonic, qui l'avaient nargués à Pontarlier, l'informant qu'ils allaient prendre Toul, sa propre ville en Lorraine. A sa menace de les dénoncer aux autorités lorraines, Sat avait ri en disant aimé être attendu...Soit, il le serait et elle allait mettre son épée à la solde de sa Lorraine chérie.

Se retournant sur le côté, la belle femme aux cheveux de jais caressa d'un regard tendre celui qui partageait sa couche, touchée qu'il mette sa vie en danger pour elle. Perdue dans ses pensées, elle entendit du bruit à l'extérieur de sa roulotte et se mit tout de suite sur ses gardes, aux aguets. Satine s'empressa de réveiller War, pour que tous deux s'habillent et aillent prêter main forte en cas d'attaque.

La nuit la plus obscure faisait obstruction à la vue de ce qui se déroulait plus loin dans les alentours. Se laissant guider par le bruit de l'échauffourée, elle décocha une flèche qui fendit l'obscurité avec un bruit sec. Elle ne vit pas si elle avait atteint la cible, mais elle se demandait bien qui était assez inconscient pour essayé de passer la ligne lorraine…voyageur égaré ou brigand ? Scrutant les ténèbres, elle cru reconnaître la silhouette de Charles de Raveline, mais n'en était pas sûre.. Le cœur légèrement palpitant, elle attendait que l'homme égaré se dévoile à moins qu'il ne fut mort..


06/02/1461 04:05 : Vous avez engagé le combat contre Durandal
Goldfinger
Tywin observait la rencontre depuis la celle de son destrier noir, scrutant l'armée ennemie et examinant chaque adversaire un par un. Il y découvrit dans celle-ci des hommes d'armes ayant de l'expérience, sachant manier une arme et pouvant être une menace potentielle mais ceci l'intéressait peu à l'inverse de ces femmes et ses hommes, se retrouvant sur le champ de bataille n’étant même pas armés, pas de quoi se défendre ni de quoi se protéger, de simple villageois habitué à leur vie tranquille. Il se demanda s'il était là de leur plein gréé ou bien si on leur avait forcé la main. Tous ces pauvres gens croulants déjà sous les taxes et les décrets de leurs souverains ont leurs demandait en plus de cela d'offrir leur vie pour leurs ducs qui se terrait misérablement dans son château certainement occupé à planquer le plus d'or possible.

Tywin soupirait

Un problème chef ?

Tywin se retourna, observa sa dernière recrue, se souvenant de cette nuit où ce jeune homme lui avait demandé de l'emmener avec lui et de le former aux maniements des armes et du métier.


Je me disais juste que certaines personnes pourraient accomplir tellement plus de chose si elles avaient un peu plus d'ambition.


Comment ça chef ?

Laisse tomber, aucun corbeau n'est arrivé ?

Oui justement je venais vous voire à ce propos, un courrier de dame Caelan.


Tywin prit la lettre qu'on lui tendit et l'ouvrit avec sa dague.
Lisant à voix haute.


Bonjour nha nha nha moi barrone de Rhainevillier nha nha nha veuillez respectez mon titre nha nha nha une bande de vaurien nha nha nha

Tywin rit et ne prit même pas la peine de lire la fin du poème qui lui était adressé

Une bonne nouvelle chef ?

Ho juste une gueuse qui me donne des nouvelles d'elle

Il rendit la lettre à sa recrue.

tient garde la précieusement en cas de besoin, sur le chemin, du papier de si bonne qualité et toujours fort apprécié.

Je vais me reposer sous un arbre, va t'assurer que notre groupe est prêt.

Tywin s'adossa contre un arbre et croqua une pomme devant sa jeune recrue, se demandant ce qui fessait encore la.

J'ai pas été clair ?

Il observa ce jeune homme se tenant presque sur un pied tellement qu'il était nerveux.

Je peux vous demander un service?

Tywin haussa un sourcil et décida de répondre d'une voix dure.

Tu penses que c'est le bon moment! File avant que je me serve de toi comme mannequin d'entrainement.
Tonic
Au point de rencontre, avant la prise de Vaudemont.

Tonic se tenait là, sourire en coin à l'ironie d'Ersinn, le visage sérieux par la suite. Il remarquait l'agacement de son interlocuteur quand celui-ci lui sommait de s'en aller. Qui aurait pu présager d'une telle situation il y a de cela seulement un an ? D'anciens compagnons prêts à s'entretuer, entrainant avec eux des dizaines d'autres vies, au moindre faux mouvement. C'est sans satisfaction personnelle quant au contexte qu'il lui répondit.

Ce que je cherche, moi ? Ça n'a pas vraiment d'important. Je pense que tu sais ce que nous sommes venus chercher ici.

Le fixant, une courte respiration et un moment de réflexion avant de poursuivre.

Tu aurais pu éviter tout ça. L'éviter à temps. Jamais je ne t'ai menacé, je ne suis pas là pour me venger, c'est un mauvais concours de circonstances, autant pour vous que pour nous, mais ça aurait pu se passer autrement tu le sais...

Un léger haussement d'épaules, un bref regard derrière l'épaule d'Ersinn sur l'OST lorrain. Combien d'Hommes mourraient dans les combats qui suivraient les prochains jours ? Trop sans doute, comme toujours quand les forces s'égalent.
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Comyr


Toul...

...days have gone since they leave Mainz, and Comyr was tired of riding and sleeping in the cold.
It would be nice to have a bed in a warm guesthouse.

The time was going over in a fast way. Yesterday they were within the champagne, the Kingdom of France and he asked, if it was good to be there, armed and ready for war.

Fatum was gone it seems. Fled... not the honorful way, but who was honorful these days?

Nosy he looks around, as the levy passes the gates...



Google-Translation (please don't kill me )


jours se sont écoulés depuis leur départ de Mayence, et Comyr était fatigué de l'équitation et de dormir dans le froid.
Il serait agréable d'avoir un lit dans une maison d'hôtes chaleureuse.

Le temps passait plus d'une manière rapide. Hier, ils étaient dans le champagne, le royaume de France et il a demandé s'il était bon d'être là, armé et prêt pour la guerre.

Fatum avait disparu, il semble. Fui ... pas la façon dont honorful, mais qui était honorful ces jours-ci?

Nosy il regarde autour de lui, comme le prélèvement passe les portes

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