Iryah
IZI a écrit:
...
Il la ramena vers lui ne voulant rompre son contact.
une main sur sa hanche, Iziledur tenait juste l'écart pour que la caresse de leur vêtements souligne leur mouvement.
Tournant sur lui même il lui laissa le pas pour qu'elle dirige leur danse.
Leur visage perdu l'un dans l'autre, le couple lentement évoluait comme sur un nuage.
Un baiser volé absorbait le frollement d'une boucle de cheveu.
Et toujours, toujours, tournoyé la voute au desssus d'eux.
Sur un air de balet, tendrement enlacés ils partageaient l'attirance que chacun offrait à son unique amant.
Avant que ne s'éteignent les lueurs de leur feu, ils s'interrompirent au commun accord d'une harpe derrière eux...
"Je n'en attendais point tant." dit le duc à sa compagne avant de s'incliner.
La nuit avat étendu son sombre voile, alors qu'ils étaient dans le petit salon, devenu pour la soirée, une salle de
balet.
Ne vous avais je point dit que nous danserions encore maintes et maintes fois? Souffla iziledur en amenant
tendrement sa partenaire contre lui.
Hormis un jeune harpiste et 2 menestrels, ils étaient seuls.
Cela faisait plusieurs jours qu'Anne semblait les avoir quittée à nouveau et la venue prochaine de l'été, activait
un peu toute la population, le chateau était moins fréquenté. Iziledur en avait profité pour connaître un peu plus
Iryah, petit à petit, sa présence s'enracinait en lui comme une fleur en terre.
Il lui lacha les mains, et fit un signe aux musiciens pour qu'ils les laissent. Remettant une buche dans le feu, il
s'assit sur la peau de bête, contemplant la lueur renaissante.
Puis il se tourna vers elle, alors qu'elle venait le rejoindre un sourire aux lèvres.
Il la ramena vers lui ne voulant rompre son contact.
une main sur sa hanche, Iziledur tenait juste l'écart pour que la caresse de leur vêtements souligne leur mouvement.
Tournant sur lui même il lui laissa le pas pour qu'elle dirige leur danse.
Leur visage perdu l'un dans l'autre, le couple lentement évoluait comme sur un nuage.
Un baiser volé absorbait le frollement d'une boucle de cheveu.
Et toujours, toujours, tournoyé la voute au desssus d'eux.
Sur un air de balet, tendrement enlacés ils partageaient l'attirance que chacun offrait à son unique amant.
Avant que ne s'éteignent les lueurs de leur feu, ils s'interrompirent au commun accord d'une harpe derrière eux...
"Je n'en attendais point tant." dit le duc à sa compagne avant de s'incliner.
La nuit avat étendu son sombre voile, alors qu'ils étaient dans le petit salon, devenu pour la soirée, une salle de
balet.
Ne vous avais je point dit que nous danserions encore maintes et maintes fois? Souffla iziledur en amenant
tendrement sa partenaire contre lui.
Hormis un jeune harpiste et 2 menestrels, ils étaient seuls.
Cela faisait plusieurs jours qu'Anne semblait les avoir quittée à nouveau et la venue prochaine de l'été, activait
un peu toute la population, le chateau était moins fréquenté. Iziledur en avait profité pour connaître un peu plus
Iryah, petit à petit, sa présence s'enracinait en lui comme une fleur en terre.
Il lui lacha les mains, et fit un signe aux musiciens pour qu'ils les laissent. Remettant une buche dans le feu, il
s'assit sur la peau de bête, contemplant la lueur renaissante.
Puis il se tourna vers elle, alors qu'elle venait le rejoindre un sourire aux lèvres.
Iryah a écrit:
Iryah s'avança vers Iziledur, gracieuse, le pas léger encore un peu dansant.
Voila des jours qu'elle vivait presque au quotidien avec Iziledur, profitant de sa présence dès qu'elle le pouvait.
Elle se souvenait encore de leur promenade, ce jour où il l'avait persuadée de rester... Non, ce jour où elle n'avait pas commis la bêtise de partir, surtout!
Leur balade sur la plage aurait pu finir très... différemment, s'il n'avait pas plu subitement!
Aujourd'hui encore, alors qu'elle l'observait à la lueur des flammes chaudes qui illuminaient la pièce, elle ne savait pas ce qui, de la peur ou de la déception l'emportait. Mais les choses étaient ainsi, et lorsqu'ils avaient regagné le château en riant, Iryah avait su qu'il en serait ainsi jusqu'à ce que...
Il interrompit le fil de ses pensées en l'invitant à s'asseoir à ses côtés, au sol.
Elle s'assit souplement et lui répondit, souriant tendrement.
Vous êtes le meilleur des cavaliers, Iziledur... C'est à chaque fois un plaisir renouveler que de danser avec vous.
J'espère que nous danserons encore maintes autres fois, car je ne m'en lasse pas!
Elle avait les joues encore rose de l'effort, car ils avaient dansé intensément, et longtemps... Mais comme à son habitude, la danse et le plaisir d'être avec son partenaire l'avait totalement distraite de ses autres préoccupations.
Elle lui sourit, partageant encore avec lui cette complicité étrange qui naissait de chacune de leurs danses et qui les rendaient encore plus proches.
Jour après jour, elle apprenait à mieux le connaître, et plus elle vivait à ses côtés, plus elle l'aimait. Cela pouvait semblait naïf, ou commun, mais le bonheur simple et total qu'elle éprouvait lui paraissait unique et précieux.
Elle essayait tant bien que mal de se faire à la vie de cour, à ses côtés, mais elle avait toujours besoin de se ménager un petit moment d'intimité... comme celui-ci, où elle pouvait être avec l'homme Iziledur sans contrainte.
Ils parlèrent de tout et de rien pendant quelques heures, la nuit s'avançant trop vite à son goût.
Iryah s'approcha du Duc et posa la tête sur son épaule en soupirant, alors que la discussion s'épuisait.
En silence, elle regarda mourrir les dernières flammes, sachant que l'heure du coucher allait venir...
Voila des jours qu'elle vivait presque au quotidien avec Iziledur, profitant de sa présence dès qu'elle le pouvait.
Elle se souvenait encore de leur promenade, ce jour où il l'avait persuadée de rester... Non, ce jour où elle n'avait pas commis la bêtise de partir, surtout!
Leur balade sur la plage aurait pu finir très... différemment, s'il n'avait pas plu subitement!
Aujourd'hui encore, alors qu'elle l'observait à la lueur des flammes chaudes qui illuminaient la pièce, elle ne savait pas ce qui, de la peur ou de la déception l'emportait. Mais les choses étaient ainsi, et lorsqu'ils avaient regagné le château en riant, Iryah avait su qu'il en serait ainsi jusqu'à ce que...
Il interrompit le fil de ses pensées en l'invitant à s'asseoir à ses côtés, au sol.
Elle s'assit souplement et lui répondit, souriant tendrement.
Vous êtes le meilleur des cavaliers, Iziledur... C'est à chaque fois un plaisir renouveler que de danser avec vous.
J'espère que nous danserons encore maintes autres fois, car je ne m'en lasse pas!
Elle avait les joues encore rose de l'effort, car ils avaient dansé intensément, et longtemps... Mais comme à son habitude, la danse et le plaisir d'être avec son partenaire l'avait totalement distraite de ses autres préoccupations.
Elle lui sourit, partageant encore avec lui cette complicité étrange qui naissait de chacune de leurs danses et qui les rendaient encore plus proches.
Jour après jour, elle apprenait à mieux le connaître, et plus elle vivait à ses côtés, plus elle l'aimait. Cela pouvait semblait naïf, ou commun, mais le bonheur simple et total qu'elle éprouvait lui paraissait unique et précieux.
Elle essayait tant bien que mal de se faire à la vie de cour, à ses côtés, mais elle avait toujours besoin de se ménager un petit moment d'intimité... comme celui-ci, où elle pouvait être avec l'homme Iziledur sans contrainte.
Ils parlèrent de tout et de rien pendant quelques heures, la nuit s'avançant trop vite à son goût.
Iryah s'approcha du Duc et posa la tête sur son épaule en soupirant, alors que la discussion s'épuisait.
En silence, elle regarda mourrir les dernières flammes, sachant que l'heure du coucher allait venir...
IZI a écrit:
Il prit une branche sur le sol, en rougit la pointe, avec laquelle il alluma un chandelier posé par terre.
Iziledur s'allongea sur le dos, trop content de prolonger encore un peu la soirée avec la dame de compagnie que jamais il n'avait espéré.
A la lueur vacillante, l'ombre d'Iryah semblait prolonger la danse, évoluant en ondulant sur le mur. Un vacillement lui fit prendre conscience de la silhouette de la jeune femme assise à coté de lui. le clair-obscur dévoilait un peu plus ce que ses yeux avaient pris l'habitude de chérir avec retenu.
Il se prit à l'imaginer dans ces tissus dont se paraient les princesses du désert pour danser. Dans une cours de venise, elle etait courtisane avisée d'un age commençant à renaitre. Iziledur pouvait se rappeler sa peau si douce se parant de sensualité comme un dame Orientale amoureuse.
Il se mit à penser qu'il ne voudrait la laisser partir cette nuit, qu'il voudrait enlacer les courbes dont elle s'était fait maitresse, prolonger sa présence jusque dans le sommeil.
Perdu un instant dans ses images, le duc ne vit l'ombre de la danseuse se glissait vers lui.
Iziledur s'allongea sur le dos, trop content de prolonger encore un peu la soirée avec la dame de compagnie que jamais il n'avait espéré.
A la lueur vacillante, l'ombre d'Iryah semblait prolonger la danse, évoluant en ondulant sur le mur. Un vacillement lui fit prendre conscience de la silhouette de la jeune femme assise à coté de lui. le clair-obscur dévoilait un peu plus ce que ses yeux avaient pris l'habitude de chérir avec retenu.
Il se prit à l'imaginer dans ces tissus dont se paraient les princesses du désert pour danser. Dans une cours de venise, elle etait courtisane avisée d'un age commençant à renaitre. Iziledur pouvait se rappeler sa peau si douce se parant de sensualité comme un dame Orientale amoureuse.
Il se mit à penser qu'il ne voudrait la laisser partir cette nuit, qu'il voudrait enlacer les courbes dont elle s'était fait maitresse, prolonger sa présence jusque dans le sommeil.
Perdu un instant dans ses images, le duc ne vit l'ombre de la danseuse se glissait vers lui.
Iryah a écrit:
Iryah se tenait tout contre le Duc immobile, lequel semblait plongé dans quelque rêverie qui lui échappait.
De son côté, elle se prit à espérer qu'il referme ses bras sur elle et l'empèche de partir...
Avec un soupire, elle glissa lentement dans le sommeil, tout contre lui.
De son côté, elle se prit à espérer qu'il referme ses bras sur elle et l'empèche de partir...
Avec un soupire, elle glissa lentement dans le sommeil, tout contre lui.
IZI a écrit:
Son soupir le sortit de sa rêverie. Elle venait de se blottir contre lui, épousant avec souplesse la ligne de son corps.
Iryah soupira.
"Troublant, je sors de ma réverie et elle plonge dans la sienne, pourtant aucun ne semble vouloir se séparer de l'autre" pensa le jeune homme allongé sur la peau.
Le feu éteint, les lourdes tentures et tapisseries retenaient la chaleur mais la pièce refroidissait. Iryah se pressa un peu plus contre lui qui passa un bras dans son dos.
Iziledur sentait sur lui, le froissement de leur vêtement. Il se mit à jouer avec quelques mêches brunes qui s'égayaient sur sa poitrine.
Lentement, une jambe fine passa par dessus la sienne, venant un peu plus partager leur contact. Voilà quelques minutes qu'ils étaient l'un contre l'autre. A la lumière mourante d'un chandelier et de la nuit passant par la fenêtre, son regard s'arréta à nouveau sur le corps de la jeune femme.
Un onde légère le parcourut, un frisson partant de leur jambes mutinement croisées, remontant vers son torse où reposaient des seins fermes et délicats, pour finir en son cou où un souffle parfumé le chatouillait.
Il soupira... "décidemment, quel doux supplice que celui ci, où par estime je me retienne, alors que je ne veux qu'elle..."
Se tournant légèrement, il la serra plus tendrement et resta là à contempler son visage. Au moment où le chandelier s'éteignait, Iziledur se dégagea et la soulevant délicatement, ils prirent la direction de la chambre où elle logeait.
Iryah soupira.
"Troublant, je sors de ma réverie et elle plonge dans la sienne, pourtant aucun ne semble vouloir se séparer de l'autre" pensa le jeune homme allongé sur la peau.
Le feu éteint, les lourdes tentures et tapisseries retenaient la chaleur mais la pièce refroidissait. Iryah se pressa un peu plus contre lui qui passa un bras dans son dos.
Iziledur sentait sur lui, le froissement de leur vêtement. Il se mit à jouer avec quelques mêches brunes qui s'égayaient sur sa poitrine.
Lentement, une jambe fine passa par dessus la sienne, venant un peu plus partager leur contact. Voilà quelques minutes qu'ils étaient l'un contre l'autre. A la lumière mourante d'un chandelier et de la nuit passant par la fenêtre, son regard s'arréta à nouveau sur le corps de la jeune femme.
Un onde légère le parcourut, un frisson partant de leur jambes mutinement croisées, remontant vers son torse où reposaient des seins fermes et délicats, pour finir en son cou où un souffle parfumé le chatouillait.
Il soupira... "décidemment, quel doux supplice que celui ci, où par estime je me retienne, alors que je ne veux qu'elle..."
Se tournant légèrement, il la serra plus tendrement et resta là à contempler son visage. Au moment où le chandelier s'éteignait, Iziledur se dégagea et la soulevant délicatement, ils prirent la direction de la chambre où elle logeait.
Iryah a écrit:
Iryah sentit qu'on la bougeait et, moitié somnolante, se laissa faire avec indolence.
Pourtant, au bout de quelques secondes, elle ne put s'empècher de passer les bras autour du Duc, trahissant ainsi son réveil, mais se serrant un peu plus étroitement à la chaleur d'Iziledur.
Elle posa un baiser dans le cou du jeune homme, à sa portée, puis y nicha sa tête.
Elle parla d'une voix légèrement trainante de sommeil... ou de trouble. Ou était-ce les deux?
Vous êtes bien aimable de me conduire ainsi à mes appartements... Car je suppose que c'est là que nous allons?
Vous ai-je abandonné depuis si longtemps que vous vous lassiez de ma présence? Je suis tellement désolée...
Cette dernière phrase était à peine prononcée, étouffée contre l'épaule d'Iziledur, alors qu'elle sentait une nouvelle vague de sommeil prête à l'envahir.
Peut-être ai-je trop présumé de mes forces, après ma baignade...
Oh! mais quelle idiote!
Elle rosit un peu, sous le coup d'un détail qu'elle ne notait que maintenant.
Je suis vraiment impardonnable, je discute tandis que vous me portez!
...
Elle hésita quelques secondes, puis d'une voix à nouveau étouffée, mais intentionnellement, elle glissa près de son oreille, de façon que lui seul pouvait l'entendre.
Mais je crois que je n'ai aucune envie de quitter un si agréable nid... Il faudra absolument que je me fasse pardonner plus tard d'une telle impudence, n'est-ce pas messire?
Elle eut un petit rire sensuel avant de se taire et de savourer l'étreinte, les yeux encore bien lourds se fermant sur ses yeux clairs et rieurs.
Pourtant, au bout de quelques secondes, elle ne put s'empècher de passer les bras autour du Duc, trahissant ainsi son réveil, mais se serrant un peu plus étroitement à la chaleur d'Iziledur.
Elle posa un baiser dans le cou du jeune homme, à sa portée, puis y nicha sa tête.
Elle parla d'une voix légèrement trainante de sommeil... ou de trouble. Ou était-ce les deux?
Vous êtes bien aimable de me conduire ainsi à mes appartements... Car je suppose que c'est là que nous allons?
Vous ai-je abandonné depuis si longtemps que vous vous lassiez de ma présence? Je suis tellement désolée...
Cette dernière phrase était à peine prononcée, étouffée contre l'épaule d'Iziledur, alors qu'elle sentait une nouvelle vague de sommeil prête à l'envahir.
Peut-être ai-je trop présumé de mes forces, après ma baignade...
Oh! mais quelle idiote!
Elle rosit un peu, sous le coup d'un détail qu'elle ne notait que maintenant.
Je suis vraiment impardonnable, je discute tandis que vous me portez!
...
Elle hésita quelques secondes, puis d'une voix à nouveau étouffée, mais intentionnellement, elle glissa près de son oreille, de façon que lui seul pouvait l'entendre.
Mais je crois que je n'ai aucune envie de quitter un si agréable nid... Il faudra absolument que je me fasse pardonner plus tard d'une telle impudence, n'est-ce pas messire?
Elle eut un petit rire sensuel avant de se taire et de savourer l'étreinte, les yeux encore bien lourds se fermant sur ses yeux clairs et rieurs.
IZI a écrit:
Iziledur ne savait trop quoi répondre.
O pour sur il désirait s'endormir avec cette chevelure reposant sur lui, avec ces bras fin l'enlaçant de tout leur amour... mais... il craignait de succomber de perdre se controle qu'il avait réussi à atteindre.
En même temps, la manière dont elle lui parlait sous-entendait qu'elle désirait la même chose.
"Serait ce une invitation?" demanda-t-il.
Il arrivèrent devant la porte. Il la poussa d'une épaule, Iryah continuant de somnoler un sourire sur les lêvres. La faible lueur d'une bougie filtrait de l'autre coté du lit à baldaquin. La pièce était tiède, indiquant qu'il serait bon de s'emmitoufler durant la nuit sous les couverture.
Il la déposa délicatement sur le lit mais elle garda ses bras autour de son cou semblant donner un sens à ses précédentes paroles. Il resta là, penché au dessus d'elle, hésitant en contemplant son visage, Plus il attendait, moins il désirait s'arracher à sa présence. il lui devenait naturel de remettre en question ses craintes.
Iziledur se pencha et déposa un baiser tendre et profond sur les lèvres de la belle endormie.
O pour sur il désirait s'endormir avec cette chevelure reposant sur lui, avec ces bras fin l'enlaçant de tout leur amour... mais... il craignait de succomber de perdre se controle qu'il avait réussi à atteindre.
En même temps, la manière dont elle lui parlait sous-entendait qu'elle désirait la même chose.
"Serait ce une invitation?" demanda-t-il.
Il arrivèrent devant la porte. Il la poussa d'une épaule, Iryah continuant de somnoler un sourire sur les lêvres. La faible lueur d'une bougie filtrait de l'autre coté du lit à baldaquin. La pièce était tiède, indiquant qu'il serait bon de s'emmitoufler durant la nuit sous les couverture.
Il la déposa délicatement sur le lit mais elle garda ses bras autour de son cou semblant donner un sens à ses précédentes paroles. Il resta là, penché au dessus d'elle, hésitant en contemplant son visage, Plus il attendait, moins il désirait s'arracher à sa présence. il lui devenait naturel de remettre en question ses craintes.
Iziledur se pencha et déposa un baiser tendre et profond sur les lèvres de la belle endormie.
Iryah a écrit:
Pas si endormie que cela, Iryah poussa un profond soupire tout en répondant avec sensualité au baiser d'Iziledur, tirant un peu sur ses bras et cambrant un peu ses reins pour rester encore à son contact.
Le sommeil attendrait...
Une de ses mains s'accrocha à la nuque d'Iziledur et une autre dans son dos, raffermissant sa douce emprise, tandis qu'elle posa quelques baisers sur ses lèvres et ses joues.
Puis elle lui rendit son baiser, avec une passion née de l'attente, de l'amour muri et du désir naissant.
Lorsqu'elle s'écarta enfin pour plonger son regard dans celui du Duc, un petit sourire, comme une prière, effleura ses lèvres rosées.
La nuit promettait d'être belle...
Le sommeil attendrait...
Une de ses mains s'accrocha à la nuque d'Iziledur et une autre dans son dos, raffermissant sa douce emprise, tandis qu'elle posa quelques baisers sur ses lèvres et ses joues.
Puis elle lui rendit son baiser, avec une passion née de l'attente, de l'amour muri et du désir naissant.
Lorsqu'elle s'écarta enfin pour plonger son regard dans celui du Duc, un petit sourire, comme une prière, effleura ses lèvres rosées.
La nuit promettait d'être belle...