Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>

[RP ouvert à tous !] Un colleur d'affiche...

Le.masque.


Il ne bronche pas, et l'intervention du barde ne le fait pas plus bouger, tout au plus frissonner, fermant les yeux, et tenter de le prévenir.

Arch...

juste avant de se vautrer lamentablement, faut dire qu'il était déjà à genoux, face contre les pavé, ou quasiment, il a la présence d'esprit de tourner la tête, mais il est bien sonné. Son regard se perd, dans le noir, même s'il entend la suite, il est incapable de bouger pendant quelques instants. Lorsqu'il reprend complètement ses esprits, il est trop tard.

Il regarde le Barde, tout en se tournant, restant assis par terre, se tenant la tête, plissant les yeux à de nombreuses reprises, et haletant sous l'effort que ça lui demande de se tenir simplement assis alors que la tête lui tourne.

Le Barde est salement amoché, avec une flèche dans la cuisse, et lui-même serait bien incapable de se tenir sur ses jambes dans l'immédiat. Tsss, bon là, même plus la peine d'espérer s'en sortir seul, vu qu'il y a un blessé en prime. Se dénoncer pour sauver les lorrains, dont la p'tite vieille, ou rester là, et attendre de voir venir... il choisit la seconde solution, en espérant que le Barde n'aille pas trop mal.

Au prix de gros efforts, il arrive à comprendre que le Barde tente des bobards, autant le laisser faire, il a de la répartie... et lui, il a le sang lui bat les tempes, et il voit des étoiles danser devant lui.

Le Sergent continue d'aboyer des ordres, il a pas tout compris, sauf qu'ils doivent se mettre contre le mur s'ils veulent pas crever. Sa tête le vrille, mais il bronche pas, il sait pas combien sont les autres, et c'est pas à deux, blessés pour le coup, grâce à l'intervention du Barde, qu'ils vont réussir à se sortir de là.


Regardant autour, du moins tentant de le faire, Le Gaucher n'en mène pas très large, lui-même serait bien incapable de faire quoi que ce soit, et il n'a pas vu voir d'où venait la flèche, l'autre archer, celui qu'il devinait, il ne l'a toujours pas repéré, et l'attaque de son ami pour tenter de le sauver, au lieu d'aller chercher du renfort, n'aura pas permis quoi que ce soit, si ce n'est recevoir peut-être un coup de pied de la part des soldats.

Alors il se traine vers le mur, lentement, ahanant sous les efforts que ça lui demande, n'attendant absolument aucune aide des lorrains. L'intervention du Barde les aura sans doute grillé définitivement, malgré ses tentatives de passer pour un péquenot et un gueux du coin.

Arrivés près du mur, il s'y adosse et ferme les yeux, respirant rapidement pour reprendre son souffle, ses jambes fonctionnent, mais sa tête bourdonne... Il n'arrive plus à analyser la situation, et se tient la tête d'une main, le regarde oscillant entre la lucidité et le noir à petite étoiles. C'est plutôt joli... mais plutôt pas très utile, voire néfaste dans le cas présent.

Il aurait sourit, en d'autres circonstances, d'entendre le Barde se plaindre, jurer et menacer de porter plainte... Sauf que là, il risque de manger sévère... mais s'il dit quoi que ce soit, il les grille tous les deux, il se contente donc d'essayer de ne pas tomber dans les pommes, ça serait déjà pas mal ça, parce que p'té, il a une sacrée force, le sergent, et un coup d'pommeau d'épée sur la tête, ça fait pas que du bien où ça chatouille.

_________________
Germaine
Namého, c'est quoi ce bordel, Raoul? Tu crois qu'il nous a r'pérés l'général?
Ben... me semble bien, m'dame Germaine! J'crois qu'on est bons pour attendre qu'y z'aient fini leurs affaires!
Oui, ben moi j'veux rentrer chez moi! Ranafoute de leur fatoume!
Chuttttt, m'dame Germaine! Faut pas provoquer!
...
...

En réponse à Loguen :

Quoi? Et pourquoi que j'traînerais ces pauvres gens, hein? Chuis pas médecin, moi, ni traîneuse de corps! Faudra trouver quelqu'un d'autre.
...
Quoi mes articulations? j'vous prierai d'être poli, tout général que vous êtes! Non mais!

M'dame Germaine!
Quoi?
Y parle pas d'vous!
...
Ah!


Sans demander son reste, elle va où on lui a dit, s'asseoir dos au mur de la bicoque.
...
Se tourne vers son voisin :
Belle nuit, vous trouvez pas?
_________________
En mode Shadow.
--Alice_caprice_
    Que voila le pauvre barde qui braille de douleur , son jarret esquinté . Observant la scène d un regard sous dentelle , la vielle tenait en sa main toujours sa canne prête a s abattre sur le coin du nez du garde qui commençais sérieusement a lui mettre les nerfs .


Citation:
Madame, Fatoum est le nom de l'armée qui nous attaque, comme vous ne me semblez pas apte à collaborer avec nous, je vais donc vous demandez de nous obéir le temps que l'on soit sur d'être en sécurité avant de vous laisser partir.


    Pas apte a collaborer avec eux qu il dit ! Et pis qu y faut trainer les pauvres garçon qu ils ont frappé sans raison . Bon le barde ivre l avait un peu cherché , mais son "neveu " y avait rien fait lui . Alice en avait vu durant toute sa vie , mais des abrutit pareil c étais pas permis tous de même . Et pis quand bien même que y aurais un fatum , c'tais juste une affiche de propagande . C' est point pire que ses politiciens qui en colle eux aussi partum !
    Le voila maintenant qui veut les mettre en rang d oignon et tous ça devant sa vitrine non mais ho !


Citation:
Ma dame si vos articulations vous empéche de vous assoir, vous pouvez restez debout, pour les autre, sa sera bien assis.


    Les phalanges de la mère caprice blanchirent a trop serrer le pommeau de sa canne quand elle entendit l insolent capitaine . Prête a lui aboyer dessus et l incendier de nom d oiseaux elle se tue . L autre femme présente s en occupa a sa place . Pour un peu elle sourit même , elle as cru un instant que le général avait parlé de ses vieilles articulations . Un peu vexé fallait l avouer , c est vrai qu elle avait la rotule vacillante , et le bassin en virgule mais quand même c étais pas une raison . Un coup d oeil a son "neveu" qui souffrait petitou ... lui qui lui avait amené de la confiote . Y pouvais pas être dans une armée fatum lui , c'tais point poti'b na na na . Pis y se faisait tard cette histoire commençais vraiment a prendre une tournure ridicule , tous ça pour une affiche ! Qu étais plus collé toute façon .

    Dites mon brave garçon , vous allez pas faire attendre une vieille dame comme moi dans la rue . Si vous voulez j'vais rentrer dans mon échoppe avec mon neveu , il l as dit , y m apportais de la confiture . Je vous promet qu y feras pas de bétises ...


    Comme elle se forçais a être aimable la vieille raclie , parce qu au fond quand on la connaissait bien , il fallait traduire ses paroles ....

    " Par les valseuses de stotes et les cornes de Lucifer , spèce de cornio castré ...mon neneu .... échoppe ... de la confiote .... tu commence a nous les briser menu et l'petit y rentre avec moi . Que je ferme la porte ou mortecouille j'te fait la misère a ton cul ! "


    Mettez ça sur le compte de la ménopause ou le manque de sommeil ou ce que vous voulez mais la vioc elle commençais a en avoir ras les dentelles de tous se fatras devant chez elle . Elle fit donc signe a son " faux neveu " et lui indiquât la porte attenant a la vitrine ! Surveillant du coin de l œil tous de même la réaction du guénéral
Loguen


Et la personne qui ressemblait à un barbe gueulait dans tous les sens! Une gérémiade qui commençait, il était sans doute pas un barbe pour rien. mais malheureusement sa ne marchait pas, il comptait bien amener tout ce beau monde au castel ou il pourrait avoir le fin mot de l'histoire.

D'être un peu plus posé lui avait permit d'écouter, le groupe de deux composé de Raoul et Germaine, la vieille et le neveu et un preu chevalier qui avait voulu les attaquer. Bref, maintenant, il devait jouer le temps, que son archer se réveille et que la chariot arrive.


Je crois que nous sommes partis sur de mauvaises bases, mais vu la situation tendu vous m'escuserez j'espère. Je suis le sergent Loguen de l'ost Lorrain. Ma brave dame, je suis désolé pour votre neveu mais je ne peux vous le laisser cette nuit, je l'invite au castel de nancy pour vérifier son identité cette nuit. Ainssi que vous madame Garance, messire Raoul si j'ais bien entendu et vous messire le barbe... Malgré que vous m'ayez attaqué pour sauvé ces personnes, vous vous en êtes pris à un soldat du duché qui est sacrément amoché derrière moi, vous êtes donc suspect. mais si vous n'avez rien a caché, une bonne nuit au castel suffira.

Je vous prie d'avance pour ce dérangement, vous serez bien sur nourri et logé correctement et demain matin, vous pourrez retournez à vos occupations aprés quelques questions. Vous comprenez qu'un membre de l'armée Fatum pourrait nous donner beaucoup d'information. Voila donc pourquoi je dois donc tous vous gardez.

Madame, votre neveu doit donc rester içi, mais vous pouvez rentrer, nous savons ou vous habitez et nous pourrons peut être venir vous voir demain matin pour quelques questions. mais normalement, vous devriez voir votre neveu de bonne heure.


Son petit dialogue terminé, il espérait que les réactions ne soit pas trop farouche, il était dans tous les casprêt a donné du pommeau si besoin, vieille, vieux, preux chevalier ou pas d'ailleurs. Il n'aimait pas particulièrement cette partie de son travail, mais il devait la faire. Resserant la prise sur son épée, la nouvelle qu'il avait annoncé aller peut être les remuer, à voir comment il réagirait, cela pouvait peut être l'aiguiller sur le membre ou les membres de Fatum..
Le.masque.


Bon bon bon... Il arrive à récupérer un peu, même si sa tempe lui fait toujours mal, et il a toujours le cul dans la boue, sur le pavé près de la piaule de sa "tatie" improvisée, qui décidément, mériterait d'être invitée à les rejoindre... Faudra qu'il songe à venir lui porter au moins une bourse pour les efforts qu'elle fait...

Mais ça change pas grand chose, et il regarde sans broncher, écoutant, impassible, le sergent, se contentant de tenir sa tête, pas lui faire voir que les étoiles dansent plus devant ses yeux, puis un regard sur le barde et le couple de phénomènes de foire. Sérieux, voilà de quoi recruter hein... Sont trop marrants eux, avec leurs histoires... et en bonne santé.

Il déglutit, et baisse la tête entre ses genoux, la frottant de nouveau. p'tain, il va avoir droit un beau mal de crâne, mais là, c'est pas un mais deux membres de Fatum qu'ils tiennent les bougres. Et vu l'état du Barde, pas question de faire le con, il est pas vraiment en état de marcher, encore moins de courir, et Le Gaucher tient pas non plus la forme olympique, même si ça va mieux.

Retirant sa chevalière, il la prend discrètement dans sa main, puis tend la main gauche vers sa "tatie" pour la lui refiler.


T'inquiète, Tatie... c'va aller... s'tu pouvais juste dire à ma mie qu'j'rentre pas c'te nuit, et que j'suis pas au bordel, mais au castel... L'Très Haut, il va s'occuper d'moi.

Il lève les yeux vers elle, plus qu'à espérer qu'elle aille pas s'extasier sur le pentacle inversé en pierre bleue qui orne sa chevalière et bien transmettre les informations qu'il vient de lui filer... Le Broucolaque et sa Belle passeront sans doute par là, il savait où il devait coller les affiches, le broucolaque...

Bon, ça c'est fait, Le Barde maintenant... S'ils montrent qu'ils se connaissent, ils sont cuits, mais en même temps... au moins, le couple là, serait pas dans leurs pattes si les écorcheurs venaient à arriver... De nouveau, il ferme les yeux, et frotte sa tête... p'té elle va exploser... Il inspire et crois sentir une odeur... oui ? non ? ... peut-être...

Alors, il tente... On sait jamais.


Chiabrenna ! Vous cognez fort !

Il se retient de dire Sergent, parce que le péquenot moyen, il connait pas les grades... Restant assis, les genoux repliés, adossé au mur, il le regarde sans vraiment le regarder, puis regarde le blessé à la cuisse.

V'voyez bien qu'c'est qu'un ivrogne... Z'aurez l'air malin d'vant vos supérieurs.

Un rictus, une grimace de douleur, causer fait raisonner sa tête, et il referme les yeux, tous les autres sens aux aguets pour tenter de percevoir ce qu'il a cru percevoir, tout en sachant très bien qu'il a attiré l'attention sur lui, du moins, momentanément.

_________________
Muette.
La Muette n'en perdait pas une miette depuis son renfoncement. Elle avait finit son bout pain et accroupie au coin de la venelle, elle guettait la suite des évènements. Elle fit la grimace quand elle vit le grand gaillard manger le pavé. L'était mal barré sur ce coup là. Elle les connaissaient ceux de l'Ost. C'était pas des tendres avec la gueusaille, surtout quand ils étaient convaincus d'avoir tiré le gros lot.

Elle était bien comme ça, chaudement blottie sous la lourde cape, à l'abri du mur. Elle serait bien restée dans son coin mais ça lui faisait mal au coeur à l'idée de le voir finir au bout d'une corde. Ou pire encore. Fallait qu'elle tente quelque chose. Enfin bon, ça ne la regardait pas et elle avait rien promis à personne, jamais. C'était un coup à se faire coincer elle aussi.

A mesure que le temps passait, la cape lui semblait de plus en plus lourde.
D'un coup elle se leva, sa décision prise, et s'enfonça dans le dédale des venelles. Les bruits de voix se faisaient plus faibles à mesure qu'elle s'éloignait du groupe puis se fut le silence. La dispute d'un couple prit le relais, qui s'estompa à son tour. A part ça il n'y avait âme qui vive vu l'heure, hormis un poivrot écroulé en travers d'un des trajes dont elle enjamba le corps avec précaution après s'être assuré qu'il était bien ivre mort.

Elle avançait avec obstination, trottinant dans ce dédale qu'elle connaissait par coeur pour en avait exploré chaque recoin. Et de passage en passage, elle finit par déboucher à l'opposé de sa cachette.
Elle les entendait bien maintenant. Le sergent les avait fait s'aligner le long d'un mur et la mère Caprice y allait de son numéro tandis que le type saoul braillait contre l'uniforme de l'Ost. Elle aurait trouvé ça drôle, connaissant la vieille, si la situation avait été moins dramatique.

Elle s'éloigna furtivement dans la direction indiquée plus tôt par le colleur d'affiche lorsqu'il avait mentionné un soit disant fuyard et attendit dans le noir. Elle attendit encore, lorsque le lieutenant renvoya un de ses hommes, que celui-ci se fut suffisamment éloigné.

Quand elle jugea le soldat à bonne distance, elle arracha la cape de ses épaules et la jeta au sol en criant.

Au guet ! Au guet ! Au brigand ! A l'aide ! Vite ! Fatum ! Fatum est là ! Au guet ! Attrapez le !

Puis elle ramassa la cape en l'empoignant par le bas et se mit à courir en direction du sergent, traînant le vêtement derrière elle comme une prise de guerre, paraissant tremblante et terrorisée de sa rencontre. De fait, elle l'était, mais pas pour les raisons qu'elle voulait laisser croire
Le_barde
Le Barde est toujours assis par terre, dans un état apparent d'ébriété, le tout en râlant constamment.

Le Barde, il est solide, mais par contre, il y a un truc qu'il ne sais pas faire, c'est souffrir en silence. L'inverse même ! Pour avoir moins mal, il expulse la douleur par la parole. Alors, il râle ... sans discontinuer. En plus, il râle pas souvent, alors il en profite.


Comprenez moi bien. Il fait sombre. J'arrive. J'vois des ombres d'hommes robustes, armés, et menaçant, des-dîtes armes, ce qui semble être un groupe d'ombres inoffensives. Le Barde regarde la plus âgée puis sors tout bas : Quoique.. Avant de reprendre son monologue A qui j'adresse d'ailleurs mes hommages du soir.

Donc, j'vois ça. J'pense que ceux qu'on des armes sont des brigands. Logique, non ? Alors, moi, héroïque, volant au secours de la veuve et de l'orphelin, j'attaque !
Le Barde regarde les gens rassemblés. Y'a-t-il une veuve et un orphelin ici ? Histoire que je n'ai pas fait tout ça pour bêtement sauver des femmes mariées, et des enfants qui...

Soudainement, le Barde lâche un grand cri de douleur, puis son regard s'illumine. Il pioche dans sa besace en bandoulière, une petite fiole remplie d'un liquide brûnatre, et visiblement fortement alcoolisé et s'en sers une grand rasade dans le gosier.

A cet' instant précis, arrive ce qui semble être une femme, mais le barde est point sur de son âge. En plus, elle gueule tellement que ça masque les râleries du Barde, alors, il se dit qu'il y a plus de raison de râler. Il l'écoute.


Citation:
Au guet ! Au guet ! Au brigand ! A l'aide ! Vite ! Fatum ! Fatum est là ! Au guet ! Attrapez le !


Puis, il commente.

Et ben, les v'la les vrais types que vous cherchiez. Ils sont là bas ! C'est pas les gens qu'z'avez en face de vous les fantômes !

Le Barde marmonne
Faut-y être con pour être soldat...

Puis gueule.
Qu'est-ce que z'attendez ! Courez leurs après Dediou !

Loguen


Loguen écoutait avec attention les gérémiade du barbe, c'est dingue le flot de parole qu'il pouvait sortir en aussi peu de temps, c'était vraiment un preu chevalier le bougre, mais prendre des soldats de l'ost pour des brigands, c'était un peu gros pour Loguen, quoi que, enfin quelques questions cette nuit suffirait a savoir s'il disait vrai ou non.

Il sourit au neveu, malin avec mes supèrieurs, c'était plutot si il laissait échapper un membre de Fatum qu'il aurait des problémes, être un gradé dans l'ost octroyait quelques avantages donc celui de servir d'une sorte de groupe de sécurité surtout sous loi martial. Il pouvait donc les charcuter sans aucun soucis, même si ils étaient innoncent.

Il entendit un bruit se raproché, on appelé à l'aide, des brigands dans la ville, des mebres de l'armées, mais c'était donc un vrai grulère leur muraille! Il cria à la gamine qui aprochait au pas de course car il se méfiait, on était jamais trop prudent.


Halte la! Des brigands de Fatum ?!

Soudainement dans sa tête, une gamine, c'était bien une gamine qui avait fuit quand il était arrivé! Cela puait la chose suspect! mais en même temps, si c'était vrai... Le sergent était prix entre deux choix cornéliens, mais son instinct lui criait que c'était byzarre. Si Fatum attaquait, les soldats du rempart aurait forcément sonné l'alarme et si c'était juste un des membres de Fatum, il en avait déjà un sous la main ou même plusieurs d'aileurs, il prit donc sa décision.

Jeune fille, je vous prie de rejoindre les autre personnes présente et d'aller vous assoire, dites moi tout et j'enverrais un de mes hommes vérifier vos dires. Et pas de geste brusque..

Il avait déjà vu des enfants faire des ravages avec des dagues de jet, pour preuve, lui même avait déjà pratiqué la chose, ce n'était qu'un entrainement dans sa jeunesse mais la petite avait peut être reçu le même..
Le.masque.


Pas pour dire, mais il commençait à y avoir foule ! On se serait cru sur la place du marché pour un peu. Le fion dans la gadoue, c'est pas ce qu'il y a de mieux pour penser à ça, et ça caille dans c'p'tain d'pays en prime. Le Gaucher observe sans en avoir l'air, et le sourire du sergent en le regardant ne lui inspire vraiment pas confiance.

Il l'observe, un peu plus attentivement. Jeune, mais plus un gamin, l'habitude de commander des hommes, ça se voit, et capable de se battre comme s'il sortait de la rue, vu le coup d'pommeau qu'il a reçu. Vu que le barde continue sa litanie, il le regarde, se retenant de sourire, pas le moment de lui dire qu'il faudra repasser pour les cours de comédie sans doute. Si seulement sa Belle était là, il sait déjà ce qu'elle ferait, genre se pendre au cou du sergent, minauder, le distraire quoi... mais elle n'est pas là, et c'est pas lui qui va aller chercher après le sergent.

L'intervention de la gamine lui fait serrer un peu la mâchoire, mouvement involontaire et incontrôlable. Sa cape... tant qu'il ne regarde pas de trop près, ça devrait aller. Parce qu'il est le seul à pas porter de vêtement contre le froid, ni mantel, ni cape, et que donc, un plus un, ça fait deux. L'homme en face de lui n'est pas un idiot...

Un autre souci lui vient en tête. Si on le fouille, ses dagues de jet, c'est pas vraiment ce que porte le péquenot moyen... et avec cet archer toujours dans la nature, il est pas dans la mouise. Il regarde la gamine de nouveau, puis le sergent, soupirant, tout en remettant sa tête près de ses genoux, les entourant de ses bras.

Il peut pas laisser la gamine se faire interroger, il connaît les méthodes, et se souvient de sa rencontre avec la Sénéchale narbonnaise qui l'avait "interrogé" aussi... Il avait eu de la chance d'en ressortir vivant. Toucher une gamine, il pouvait pas laisser faire pour se couvrir...

Il compte mentalement, le fantassin qui est parti chercher le chariot, ça fait un de moins, l'archer qui a reçu un coup de luth a priori, ça fait deux, le fantassin qui le traîne, ça fait trois, et l'archer de l'ombre, ça fait quatre... plus le sergent... ils sont donc à cinq contre deux. Rapidement, il évalue leurs chances : le barde blessé, et lui-même pas très en forme. Il reste les lorrains : la tatie folle dingue qui pourrait bien filer des coups de canne rien que pour les aider, la gamine maline, mais qui s'est fait prendre en tentant un truc, et le couple qui dénigrait et ne pense qu'à se faire la malle...

S'il a bien compté, ça fait donc deux qui pourraient les aider à fuir, deux blessés... et le couple là, dont il sait pas s'ils aideraient l'ost ou pas. Il faut donc bouger, ça laissera le temps aux écorcheurs et autres fatum qui traineraient du côté des tavernes de venir les aider, et il faut se débarrasser des poids morts, qui ne feraient que ralentir une attaque... donc bouger oui, mais pas trop vite, pour donner le temps avant d'arriver au Castel, d'une attaque surprise.

Il observe les remparts de loin, et le fameux castel, puis ferme les yeux. S'est-il fait capter par le Sergent ? Sans doute... mais il faudrait confirmation. Ce qui est sûr, c'est qu'il ne croit pas un instant la mioche.

Le Gaucher regarde le Barde, tout en faisant glisser une dague de lancer dans sa main, et posant sa main près de sa botte, près à en sortir une autre, lui faisant un petit signe de tête, avant de se lever soudainement et de lancer de sa main gauche en direction du bras qui tient l'épée du sergent, l'autre visant la cuisse, tout en se jetant sur lui, pour le faire tomber au sol.


Argh ! L'archer, tu tires, tu risques de blesser ton sergent !

Ouaip, grillé pour grillé, autant faire en sorte qu'ils s'en sortent. Le sang lui bat les tempes, et sa tête le fait souffrir, mais il continue de brailler, quitte à rameuter tous les brigands ou gueux du coin...

La gamine, dégage, c'pas ton problème.

Et maintenant, regardons les dégâts... Un gaucher à demi allongé sur un sergent, deux dagues lancées dont une a loupé la cuisse pour se fracasser contre la côte de maille, joli raté donc et l'autre n'a qu'effleuré la main, suffisamment pour lui faire lâcher son épée. Pas de bol, merci le coup à la tête qui lui fait perdre son habileté, mais ça n'empêche pas le gaucher de tenter de balancer des coups de poings sur le Sergent.

_________________
Le_barde
Ça y est, on recommence à s'amuser un peu, il y a de nouveau de l'action. Le Masque se jette sur le Sergent, et voyant ça, le Barde s'écrie :

OUWIII ! Ça recommence !

Le Barde se sert la dernière lampée de se bouteille et jette la fiole vide au loin.

Allé ! Au boulot !

Le Masque et le Sergent sont tombés juste à portée, le Barde s'élance en avant pour ramasser l'épée du Sergent tombée pendant l'assaut de Louis, et récupérer, l'épée confisquée et mal attachée à la ceinture du dît Sergent, ceci, avant de rouler 2 ou 3 fois sur lui même, pour se mettre à l'abri des flèches sous un appentis à proximité.

Une épée dans chaque main, assis appuyé contre le mur, et caché des flèches grâce à l'angle de la rue et au toit de l'appentis, le Barde gueule !


A l'aide ! FATUM ! AUX ARMES !

Et se met à chanter à tue tête :

EN AVANT COMPAGNONS !
BRIGANDS ! MONTREZ A CES CONS,
CE QUE C'EST QUE LA BASTON !

METTONS LEURS DES GNONS,
FLANQUONS LEURS DES JETONS,
ET A LA FIN, JETONS LES DEPUIS LE PONT !


Pelagius regarde la scène, qui semble être figée dans le temps. La vieille est au milieu de la rue, la gamine de l'autre côté, le drôle de couple contre le mur.

C'est le calme plat.

Le Barde regarde à droite et à gauche de la rue.

Mmmh... Z'inquiétez pas. Ils arrivent... Enfin. J'pense.... J’espère, quoi...

Le Barde regarde le sergent, toujours écrasé sous Le Masque.

Sergent ? J'imagine qu'il est trop tard pour vous expliquer que je vous ais pris pour des brigands ?

Il jette un coup d'œil au coin de la rue. Ah si ! Les v´la. Le barde se remet à agiter ses épées et à chanter sa petite chanson

Le.masque.


Le masque tardait...le barde était parti a sa rencontre et aucun des deux n'étaient entrés au campement...
Non mais dites!!! Il fallait quand même pas toute une journée pour poster ces satanés affiches? Et Le Belle qui tournait en rond comme un poisson dans un bocal, mais c'était plus beau, parce que c'était la belle, qui tournait autour du feu, c'marrant, y a plus d'herbe d'puis un moment!

Le broucolaque commençait à s'imaginer plein de choses et la Belle n'était pas en reste, autant dire qu'à eux deux, c'était un joyeux bordel dans les caboches.
Solution 1 : ils s'étaient arrêtés dans une taverne en s'abreuvant de cervoise à en perdre la raison ce qui pouvait s'ensuivre de là...
Solution 2 : un troupeau de catins avaient fait main basse sur le corps parfait du brun et celui moins beau -mais plus musical- du blond, parait qu'ça en attirent certaines-mais on les cherche encore-...
Solution 3 : il s'étaient perdus.
Solution 4 : ils avaient des ennuis.

Aucun de ces schémas le réjouissait et seul le point 4 lui semblait plausible, c'est pourquoi il quitta le campement des écorcheurs et se rendit en ville sur les traces des affiches collées, entraînant à sa suite la Belle qui marmonnait, puisque bien sûr, elle, elle imaginait plutôt leur brun s'acoquinant.


Chiabrenna!!!

La voix, le juron, il le reconnaissait entre mille..le brun avait des ennuis. Il hâta le pas.
Et là..et là..il assista impuissant à la scène qui se déroulait sous ses yeux, les tripes faisant yoyo avec son estomac..Il se fit violence pour ne pas sauter dans le tas et cogner tout ce qui bougeait au risque de se faire tuer à jouer les héros sans réfléchir.

Il ne fallait pas traîner. Il tourna au coin de la rue au pas de course -poursuivit par une châtaine en folie - et se heurta contre l'Etincelle.
Paff un coup de nez dans son décolleté et l'idée germa.


La p'tite!!! les nôtres ont des ennuis..voila s'qu'on va faire...
Et le voila à murmurer à l'oreille de la blondinette sous l’œil suspicieux de la Belle, qui, décidément avait la tête ailleurs.


Saleté, plus jamais elle n'écouterait les idées du roux. Elle pris une grande inspiration comme pour se donner du courage et soigna son apparence mettant en valeur ses formes.


Allez zou, on est parti !

Elle arriva au lieu dit, prenant bien son temps pour sublimer son déhanché.

Bonsoir ; j'espère déranger.. j'aime quand les instants sont ainsi insolites.

Elle sourit se mordant la lèvre inférieure et s'avança vers le fantassin passant devant le masque.. Elle lui aurait presque écrasé la main, l'ignorant, d'apparence seulement.

J'ai toujours aimé les hommes en uniforme.. je trouve ca... mmmmmmmh

Dit-elle laissant sa main parcourir le torse de l'homme avant de joindre ses deux mains à sa nuque ne le quittant pas du regard.

J'espère que vous aimez les fruits, j'en ai deux très jolis...

Après avoir papillonné elle repris :

On doit souvent vous le dire.. mais vous êtes ...

Approche doucement ses lèvres des siennes pour venir lui murmure lèvres contre lèvres :

Irrésistible

Elle lui sourit.. joue avec lui..l'embrasse cherchant à faire gagner du temps au roux.

La Belle enfin sort de ses rêveries, faut dire que le chant du Barde qui lui malmène les oreilles lui fait rapidement comprendre que non, Louis ne coquine pas, mais qu'il s'est -simplement- mis dans un joli caca, jusqu'au cou-. Une main discrète se faufile dans un repli de sa houppelande -il faut toujours avoir du sel sur soi- et une pleine poignée de sel fut balancée dans les yeux de l'homme


Prend ça, c'est gratos !

Le broucolaque profitait de l'intervention des donzelles pour s'approcher du sergent qui osait, ouh le vilain, poser ses sales mains sur le masque...
Il lui sauta dans le dos, enlacant son bras valide autour du cou. Il lui sussura a l'oreille :


Alors, l'blondin, on s'rappelle d'moi? t'veux toujours faire des folies avec moi, mmh?

Et le Broucolaque de planter sauvagement ses dents dans la gorge du gars et relâchant son etreinte, il sortit sa dague, lame appuyée sous le menton.
C'est t'y pas beau ça ?
Une Etincelle qui pour l'occasion fait sa catin -tout est relatif-, une Belle qui balance du sel comme si c'était de la poussière d'étoile et un Broucolaque qui s'acharne sur un sergent.




Avec l'aimable participation de : L'étincelle, La Belle, Le Broucolaque...
Muette.
La gamine avait stoppé net et s'était figée quand le sergent lui avait intimé l'ordre d'aller s'asseoir près des autres. C'était pas vraiment comme ça qu'elle avait imaginé les choses.
Elle restait là, tremblante, son bout de cape en main, regardant le soldat de ses grands yeux comme pour le convaincre de son erreur ... ou pour gagner du temps.
Puis elle ramassa lentement la cape sans mot dire, entassant l'énorme masse de tissu dans ses bras. Elle semblait prête à obtempérer quand tout à coup le grand bondit.


La gamine, dégage, c'pas ton problème.

Elle ne se le fit pas dire deux fois. Le menton enfoui dans son fardeau moelleux, elle prit la poudre d'escampette et s'esquiva par où elle était venue, retournant s'abriter à l'entrée de son labyrinthe
--Alice_caprice_


Le terrain commençais a être miné ! La pente devenait glissante et tous le petit monde chavirais . Minuit sonnait au clocher , une gamine surgit de nul part alors qu auparavant son neveu lui avait glisser une bague dans la main et demandé de prévenir sa belle mi . La main crochue se referme sur le précieux bijoux et un clin d oeil viens sceller la connivence . la gamine se met donc a beugler au milieu de la ruelle le sergent a son tour ouvre la bouche pour énoncer un charabia saoulant . Y voulais pô laisser le n'veu rentrer chez la tatie et ça , ça l avait vexée la dentelière .
Et pour couronner le tous le barde se met a chanter alors qu on avait pas encore servi a manger !!! Pour sur y finirais bâillonner s il arrêtais pas de leur esquinter les esgourdes .

Alice soupira , elle assistait a une scène don elle se rappellerait certainement le restant de sa vie .. si courte soit elle , parce que bon l étais pas toute fraiche la vieille . Le sergent fut maitrisé par son neveu * sourire * oui c est mon neveu il est trop fort !
La barde suis et applaudit en poussant la chansonnette . Mais par pitié faite le taire , se dit en silence la vieille . Un peu plus elle enlève son bonnet de dentelle et lui fourre dans le museau au ténor des pavés . Mais c est de sa canne qu elle donne trois coup contre le pavé pour lui indiquer le silence . Du moins qu il ne chante plus . Et tous comme la cloche sonne les minuits , les coup de cannes sonne l entracte .



Actes deux scène 4 :


Voila la cavalerie qui débarque ! Un peu plus on aurais attendu et on se serait impatienté . La cavalerie en jupons et dentelles lance la première tirade .

"Bonsoir ; j'espère déranger.. j'aime quand les instants sont ainsi insolites. "

Non non tu dérange pas blondi on f'sait une belote !


"J'ai toujours aimé les hommes en uniforme.. je trouve ca... mmmmmmmh "

Oui un sergent en jupon c'pas trop crédible !

"J'espère que vous aimez les fruits, j'en ai deux très jolis...
"

pff et les miens sont trop mure !

"On doit souvent vous le dire.. mais vous êtes ... "

Ridicule ?

"Irrésistible "

Surtout irascible


Alice marmonnait dans sa moustache en voyant agir la blondinette . Une délicieuse sucrerie appétissante pour un sergent qui d'vais sentir ses mirabelles lui chauffer le caleçon !
Un sourire vinaigre la vilaine ronchon s amusait de cette soirée hors du commun . Son quotidien bien trop routinier avait fait d elle une vieille pomme acide .
Quand surgit de l ombre la fameuse belle et son sel " enchanté" . Jeté comme une poudre iodée aux yeux du sergent . La barde lui fini par bouffer du bonnet , tanpis elle s en confectionneras un autre . Et la M'ma Dalton médiéval de claironner la cavalerie . BOn bah après tous ça faudra quand même qu on s'boive une petite mirabelle mes enfants .

Mais d abord il fallait jouer la dernière scène ...
frodon soldat de l Ost, incarné par Frodon3112
effectuant une ronde de routine avec ses 4 frères d arme !
frodon se dirigea vers la ruelle ou se déroulais la scène ....

tout en continuant sa ronde de routine ils entendirent le raffuts mais pensant que cela venais des tavernes a proximité et n aillant point vraiment compris ce qui avait été dit lors de ses crient ils continuent a marcher lentement .


mais soudain arrivé au début de la ruelle de l autre coté de la scène il vit un groupe d individu paraissant armé jusqu’ au dent maintenir un homme au sol !

sans plus attendre il fit un geste de la main pour demander a ses hommes de sortir de leurs champs de vision pour ne pas être repérer car dans l obligation d intervenir le plus discrètement possible .

une fois a l abri des regard indiscret il dit a ses hommes :

sorter vos arbalètes et chargé les en silence

ensuite il chargea la sienne par sécurité pour une première intervention a distance avant de rentrer dans le combat l épée a la main !

se rapprochant le plus possible en faisant bien attention de ne point etre vus ; il arrêta et observa la scène de plus près .

la Frodon reconnus son sergent et vis sa mauvaise posture !

il ne pouvait donc donné l ordre d assaut sur l ennemi !

la situation était grave car son sergent avait un couteau sous la gorge mais en plus de ca un deuxième homme se trouvais devant lui entrain de le tabasser !

il dé sidère donc de leur tirer une flèche pour les anéantir afin de libérer son sergent ; mais au moment ou il s apprête a donner l ordre il aperçu un troisième homme plus loin se cachant deux épée a la main !

nul doute que ce n était point un soldat de l Ost a la vu de son accoutrement !

il releva donc la main afin d arrêter ses hommes déjà prêt a décocher et leur montra l homme du doigt

il dit ensuite :

ne le tué surtout pas il pourrais nous être utile par la suite alors arrangé vous pour qu il sois hors d état de nuire mais toujours en vie

une fois les directive passé les cible dans le collimateur il leva la main et l abaissa vers l avant !
ce qui était signe de décocher !


une volé de deux flèches partaient vers le sergent une dans l épaule de l homme qui le maintenait avec un couteaux sous la gorge se qui lui fit le lâcher net et l autre dans la jambe de la brute qui arborais de coup notre bon sergent et le fit tomber a ses pieds !

pendant se temps la deux autre flèches avaient été tirer sur le troisième homme lui transperça les deux bras afin de lui faire lâché les épées et le cloua au mur derrière lui !

il ordonna ensuite a ses hommes de recharger leur arbalètes et de veiller !

quand t a lui il s avancère calmement vers son sergent et vu les citoyens contre le mur ainsi que la petite fille qui se mis a courir vers lui en s esquivant mais se fit attraper par ses hommes !


voyant les citoyens voulant se relever afin de prendre la fuite il leur dit d une voix autoritaire :

PERSONNE NE QUITTE SA PLACE SANS MON AUTORISATION !!!

il rangea ensuite son arbalète sur son dos et se baissa près de son sergent l épée a la main et fit signe a ses hommes d an faire autant !

tout de suite deux de ses homme s tenais devant l homme enclouer sur le mur part les flèches et lui passèrent leurs épée sous la gorge pour qu il ne puisse rien tenter !

quand aux deux autre ils étaient près d lui un pied sur la poitrine de leur homme respectif , en leur glissant l épée sous la gorge tant qu il aidait le sergent a se relever !


encore une chance que nous passions par la sergent juste a temps ! comment aller vous ?
Germaine
Pendant ce temps, ignorant les comédies et les drames qui se jouent devant ses yeux, Germaine suppute.

Supputons, Raoul! murmure-t-elle à l'oreille de Niçaise. Oui, Raoul s'appelle Niçaise, en vrai.
Où ça, m'dame Germaine?
Quoi, où ça?
Ben les put... euh les catins!
...
...
Raoul, tu manques singulièrement de vocabulaire. T'es bien un lorrain, tiens!

M'enfin, m'dame Germaine! jusqu'à preuve du contraire, z'êtes aussi lorraine que moi!
...
Na!

...
Raoul, je t'aime bien mais parfois... tu m' les brises menu!

...
Désolé, m'dame Germaine, je m'tais!
...

Nom d'un huguenot boursouflé! ça va durer encore longtemps, c't'histoire?
Chuuut, m'dame Germaine! Z'allez les exciter!
M'en fouiche! Si j'avais su, je s'rais restée sur le banc d'la salle de doléances!
Ben pourquoi qu'vous êtes pas restée?
Y a un jeune con qui a gerbé, et un vieux con qui voulait que j'nettoie!
...
Hihihihi


Regard noir pétrificateur de Germaine.

Lever de Germaine.

Bon, y en a marre là! Capitaine, Sergent, Général! Voici votre homme! dit-elle en désignant Raoul.
C'est lui qui a collé l'affiche rouge. C'est lui le chef du fatoume!
_________________
En mode Shadow.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)