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[RP ouvert à tous !] Un colleur d'affiche...

Le.masque.




Ses dents lassèrent le coup du blondin….

Dans un grognement, il lâche un


J’m’en va t’apprendre a tabasser mon…. HHHHHHHHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!

Une douleur lancinante à l’épaule qui irradie dans le bras. Un sursaut, la lame entaille superficiellement la gorge du sergent. Il s’écroule au sol, lâchant sa dague.


Sans qu’il est le temps de réfléchir, un homme sorti du trou du fion du monde et de dieu sait ou, l’immobilise a terre, le tenant en joue avec son épée..Il sent la flèche s’enfoncer plus dans l’éapule et se casser.

Hurlement


Raaaaaaaaa !!!!!bordel de fiente de chauve souris enragée !!! foutredieu !!!!

La douleur lui soulève le coeur

Dedjou !!!! sort d’où c’lui là…

Un œil vers le masque dans la même posture que lui. Il grimace, de douleur, de dépit…
Il ne voit pas le barde dans son champ de vision, ni les filles…

Il toise le soldat qui l’immobilise.

Manchot le broucolaque !!Un bras mutilé et raccomodé, une douleur du tonnerre de tous les saints qui lui empeche de soulever le bras gauche…Il lui reste…

Il replie son genou et balance un bon coup de pied dans la guibaule du soldat, le faisant reculer. Il en profite pour se rouler sur le côté et échapper au piquant de la pointe de l’arme. Sauf que..bin i les vautre lamentablement, le nez dans la boue..
Il recrache la terre


C’pas mon jour mais pas mon jour mais vraiment pas !!!



Loguen


Loguen ne s'attendait pas du tout à une attaque de la sorte, il 'avait pas pensé à les fouiller, il aurait du, mentalement, ceci s'impirma dans son cerveau quand il vit voler les dagues dans sa direction, la première il pus pivoter sa jambe de tel manière a de qu'elle rape, mais la deuxiéme bien trop rapide. Cet homme était celui qu'il cherchait pour sur, une tel qualité de lancé n'était pas donné à tout le monde car il était quand même sonné normalement. La deuxiéme lame, il ne pus l'éviter et elle lui frola la main l'ouvrant assez profondément ce qui lui fit lacher son épée au sol.

L'homme se jeta sur lui comme un forcené par la suite, le combat au poing s'enchaina, Loguen cherchant à se proteger des coups tout en ripostant trés peu du fait des coup soutenus, de la le barbe, arriva et ramassa sa lame tout en récupèrant a la ceinture de Loguen sa propre lame, sa devait être aussi un pickpocket car réussir alors qu'il se battait avec un homme sur lui, il avait du talent.

Mais ce n'était pas tout, voila qu'une femme se pointait ou un homme, avec les coups comment savoir, et apparament cette personne se foutait de sa gueule sous les coups. Elle lui balança quelque chose dans les yeux, il dut alors les fermer tout en se protégeant et quand il rouvra, il était debout avec une lame sous la nuque. Sacrément doué ces personnes, ils étaient donc trois! Loguen gardait son calme en toute ocasion, mais de temps en temps, il était enflammé et la pour le coup, la colère montait en lui. Tout d'abord parce qu'il n'avait pas pus les controler et car il perdait tout simplement, mais il n'eut pas le temps d'agir.

Des carreux d'arbalétes filèrent et sa s'écroulait devant et derrière lui, des renforts arrivaient, frodon! Il était bénis celui la, sans lui, la situation aurait pus s'avérer trés complexe, son archet caché dans l'ombre et son homme n'avait même pas eut le temp d'intergir.

Mais voila que les deux personnes a terre tenter de fuir et pas d'arme non plus, il leur asséna alors un énorme coup de pied dans la tronche de chacun, ce qui devait les calmer pour quelques minutes du moins, resté le barbe, planqué comme un lache; Il répondit a frodon en même temps qu'a Germaine qui affirmé que son "ami" était aussi un membre de fatum.


Merci Frodon, sans vous et vos hommes, j'aurais eut quelques soucis, il reste le barbe planqué derrière le bout de bois, mais si il bouge avec vos arbélétrier et mon archer, il est sur de mourir! Dame Germaine, merci de l'info, vous allez m'expliquez ceci au castel.

Quand il parlait du loup, son homme revenait sur une monture qui trainait le chario et avec de la corde. Il se permit de donner ordres aux solats.

Archer, arbalétrier, veillez a ce que le barbe ne bouge pas d'un centimétre de son abris, les autre fouillez et ficeler moi ces chiens et dans le chario, ils vont passer une bonne nuit!

S'adressant aux personne devant la devanture.

Vous montez aussi dans le chario pas envit de trainé içi et comme vous l'avez contasté, je suis devenue trés peu commode alors obéissez. Et pour le barbe! Il a une dizaine de seconde pour se rendre sinon je viens te chercher moi même.

Ce n'était aucunement des paroles en l'air et ils allaient le savoir.. La gamine était, parti, ce n'était pas une grande perte surtout qu'elle pouvait revenir et ce coup çi, il pourrait la reconaitre avec certitude.
Le_barde
JD Loguen, l'Etincelle ne s'en prend pas à votre Sergent, mais bien à un de vos soldats.


De la part de JD Seth, Alias : Le Gouape.



"Et on leur pèlera le jonc à la sortie de la Lorraine..."

Il y avait combien de soldats de l’OST là ? Le gouape savait compter mais au beau milieu de la nuit, au milieu d’un bruit à réveiller les nourrissons, et une foule qui s’agrandit au fil des minutes cela devenait compliqué.
Des minutes, plutôt des heures, en tout cas une bonne qu’il attendait caché derrière les murs, les buissons, en haut d’un toit. De bons viseurs chez l’OST mais de vrais amoureux de l’arme chez les écorcheurs Fatoumatiens, les cris de douleurs, les grimaces qui changent un visage, Seth jubilait tout seul à dire vrai.
Et chaque fois, depuis tout ce temps, qu’il bandait l’arc, encore deux stylets dans le dos, une dague dans la botte droite et une flamberge dans son fourreau, prêt à décocher il se passait un truc…
Long soupire blondin maintenant grimpé en haut d’un gros chêne, ou la vue il fallait le dire semblait impeccable. Il remercia la lune et maintenant qu’ils se battaient entre eux, il lécha une flèche ciblant d’abord les deux perlinpinpins qui s’en prenaient au barde. Seth lâcha un sourire et largua la corde prestement.
PAF !
Dans le séant d’un archer et même de loin très bon planté de flèche apparemment. Il se saisit d’une deuxième flèche, la lèche encore et cible le deuxième archet…
PIF !
Un autre séant… Il retient un rire de petit idiot fougueux et quitte le gros chêne. Son habit noir l’aide à se dissiper dans la nature des ruelles et il court, en se faufilant, de l’autre côté de la place, passant par des venelles sombres et vides de vies…
Le voilà tout proche, la vue est encore meilleure d’ici. Le gouape espérait que le barde pourrait se servir du la seule jambe valide qui lui restait pour mettre un bon coup de talons dans les objets précieux des soldats ou peu importe du moment qu’il se sorte de là.
L’arc… Quelle arme magnifique, subtile, gracieuse, légère…
Il le pose au sol, trop encombré.
Voir son frère et son ami dans cet état l’inquiétait, la suite du voyage allait être longue et plus compliquée que prévu. A deux pas de la dentelière, masqué par le mur de son échoppe, elle était vraiment moche celle-là… Soit l’autre avec son homme ne valait pas mieux, mais Seth n’était pas là pour choisir une femme mais bien pour essayer de sauver les siens. Profitons que les hommes se battent entre eux et que le sergent n’y voit presque plus rien pour tirer le tissus de la dentelière doucement, avant de la coller à lui et de lui bâillonner la bouche avec une paume forte.

" Tchuuuuut la vieille, n’ayez crainte, prenez ça…"

Il lui fout un stylet dans les mains.

"Visez les yeux, les couilles et la gorge, là comme ça… "
Il lui met la dague sous la gorge avec l’autre main, comme pour lui montrer le point mortel.
"Allez… "
Il la pousse sur le champs de bataille, imaginant que c’est la plus apte du groupe et qu’au pire si elle meurt, c’est que c’était son heure.

Maintenant que faire ? Sortir du trou, sauter sur le tas, frapper tout ce qui n’est pas de son monde ou rester dans l’ombre, viser de loin, jeter des dagues ajustées ?
Rester dans l’ombre encore quelques temps, le temps de réfléchir…

Germaine
Germaine évite soigneusement de regarder son ami. Pour la première fois de la soirée, elle se rend compte de la situation dans laquelle elle s'est fourrée. Ce n'est pas une simple altercation entre ivrognes, encore que... mais assurément une échauffourée.

D'un côté des brigands, à ce qu'on dit, de l'autre de zélés soldats lorrains.

Dans l'expectative, elle se gratte la tête. grat.grat.grat., regarde si un pou ne s'est pas fiché sous son ongle, soupire. Comment se sortir de cet imbroglio?

Elle n'a pas le temps de préparer un plan machiavélique que le général Loguen la somme de monter dans le chariot.


Et pis quoi encore?
Vous allez m'emmener où?
J'ai besoin de dormir moi! Chuis plus une jouvencelle namého!
Il est où vot' castel, d'abord, hein?
...
Oh et puis merdum! Vous m'faites caguer là!
J'vous livre un grand bandit sur un plateau - normal, vous m'direz, c'est un tavernier! -
Sourire niaiseux.
...
Je fais mon devoir de citoyenne lorraine, fièrement, j'me mets à la merci de la vindicte - chais causer hein? - de ses frères et soeurs, tout ça pour ma patrie
- trémolo - et vous voulez m'emm'ner d'force dans un endroit que j'sais même pas où c'est?
...
Z'avez qu'à d'mander à Palogar, il me connaît, lui.

_________________
En mode Shadow.
Le.masque.


Cessez !

Après avoir reçu une flèche dans la cuisse, et s'être retrouvé immobilisé, il ne peut plus faire grand chose.

Son regard se porte sur celui qui tient l'épée qui menace sa gorge, et il ferme les yeux.


Suffit. On a trois hommes à terre.


ll grimace, entre la douleur à sa cuisse, sur laquelle il porte instinctivement sa main, et la mâchoire que le sergent lui a à demi démonté, il ferme les yeux, respirant rapidement, réfléchir bordel ! c'est pas simple quand une nouvelle volée de flèches s'abat pas loin, il grommelle, et regarde le broucolaque, tournant très lentement la tête, son torse comprimé sous la botte du fantassin.

Que dire, son ami est en triste état, et le barde vaut pas mieux. Défaite cuisante s'il en est, mais il veut encore y croire, le gouape est pas un imbécile, avec la belle et l'étincelle et les deux encapuchonnés, ils pourraient les aider. Il faut juste gagner du temps pour le moment, et pas se faire tuer.

Le Gaucher lève les yeux vers le sergent, et bien qu'il ne soit pas vraiment en position de négocier, tente quand même.

Vous nous avez... Laissez les civils... Ils risquent un mauvais coup, si en nous emmenant au castel, vous rencontriez des amis à nous.

Sa voix est trainante, il ne cherche plus, faut dire qu'il en a plus trop la force, à cacher son accent du sud. Haletant, il cherche à reprendre son souffle, et surtout, tenter de faire que si les autres interviennent, il n'y ait pas trop de conséquences pour les civils, c'pas leur but de nuire aux civils.


L'barde... Amène toi.

Intérieurement, il espère que le message sera passé au gouape : "tu prends les choses en main, sors-nous de là sur la route"...

_________________
Le.masque.


L'avantage quand on est "Elle", c'est qu'en plus d'être jolie, on est intelligente. Enfin... au moins un peu quoi. La poudre de perlimpinpin bien envoyée dans les yeux de l'homme, la Belle se rend rapidement compte que la situation est hors de contrôle, il faut se rendre à l'évidence, il ne reste que la fuite.

Sans un regard pour ses amis, elle file, vite et loin, sans se retourner. A aucun moment elle ne se demande ce que vient faire cette dentelière muni d'un stylet -sûrement une déesse*- dans sa direction, elle a juste un réflexe -très con- de lui envoyer un poing en direction du bide, tout ce qui n'est pas "elle" est désormais ennemi.
Elle avait voulu des combats, elle avait voulu du sang, et voilà que le tout lui était servi sur un plateau d'argent, et qu'elle n'avait même pas une fourchette pour becter convenablement.

Inquiétude.

Arrivée dans un recoin, elle ne sent pas tout de suite la présence du Gouape. Les mains se plaquent au mur alors que son souffle est court, et bientôt la caboche Colombienne se décolle pour enfin voir le champs de bataille. Les yeux plissés observent. Le coeur s'affole. Les mains deviennent moites. La fureur gronde. La colère monte. La boule dans la gorge s'épaissit et alors que son poing rageur s'abat sur le pan de la maisonnée, ses yeux fixent tour à tour les hommes au sol.

Incrédulité.

Le brun, le brun.., qu'as tu fait... Qui a osé te planter comme un vulgaire lapin ? Pourquoi ta voix n'est plus si claire, pourquoi ta respiration est saccadée? Reprends des forces l'gaucher, je te l'ordonne ! Lèves toi et marches ! L'broucolaque aide l... L'Broucolaque ! Entends tu mon second poing marteler ce mur en te découvrant au sol ? Entends tu ma rage alors que je vois cette flèche te traverser? Et le Barde qui décidément ne cèssera de piailler que lorsqu'il sera mort !

Colère.

Le front de la Belle se pose doucement contre la fraîcheur du mur. Réfléchir. Il faut réfléchir... Il faut...
Le gouape...

C'est maintenant qu'elle le sent. Comment n'a t'elle pas deviné sa présence avant ? Le corps se redresse et les mirettes se posent sur le Blond.
Elle aimerait lui dire, que putain, c'est lui l'homme, qu'il n'y a plus que lui maintenant, alors qu'il est grand temps qu'il...


Il est temps qu'tu ramasses tes couilles et qu'tu trouves un plan, tu comptais rester caché là longtemps?


La Belle n'a jamais été ni très maligne ni très diplomate, encore moins quand elle est inquiète.
Non mais c'est vrai l'gouape, prends nous en mains !





Le.masque.


Atchaaaaaa !!!!

Il éternue un jet de boue

Et vlann les cloches qui résonnent. Un choc avec l’impression que sa mâchoire explose.


Hummmmgrpppff !!!

Sa bouche se remplit de sang alors qu’il retombe a plat ventre bien incapable de se lever..Déjà parsqu’il n’arrive pas a s’appuyer sur ses bras blessés et ensuite parsque la tête lui tourne et sa vue se brouille.
Si ca se n’est pas une situation de merd*…


Chiens !!!

Lâche-t’il d’une voix pâteuse et peu sûre…
La colère, la frustration de se trouver en pareille posture ..Et l’angoisse… Il ne voit pas les filles, ni le barde…prie mentalement pour qu’ils soient en un morceau.La belle, leur belle, il espère qu’elle s’est mise a l’abri..il rage
Il entend siffler les flèches, mais ne sait pas d’où elles proviennent.

Le masque est allongé, pas loin de lui, il le distingue à travers son brouillard. Il crache un filet rougeâtre et adresse une prière en levant la tête vers le ciel..


L’très-haut. L’sans -nom, égal l’un des deux..Un miracle.vite !!

Il tente un rampage peu élégant, essayant de s’approcher du Masque.

‘foirés !! malandrins !!fots-en-cul !!! Il vous en cuira…

Mais ou est le gouape, ou est son frère ? Il lui a semblé le vois jactant avec une vieille..Mais bon avec la volée qu’il a pris.c’est tout juste s^’il n’est pas convaincu de voir des lapins roses executer des entrechats

Et le blond qui donne des ordres..Les ligoter..Nuit dans un chariot et puis quoi encore ?

Hoo l’blondinet..J’t’ai connu plus doux et plus docile, fichtre ! T’as cas attacher ta sœur.héé minable !!!

Il lève le museau vers le couple et la vieille

S’vous direz pas éventuell’ment d’nous aider si ? C’pas qu’on est mal non..Mais ca y ressemble…


Elvirem


Parce que la blonditude c'est AUSSI être au mauvais endroit au mauvais moment...


Torturée par des images... Par des souvenirs... Par des restes de non-dits, d'inassouvis, de tout ce qui se ressent et ne peut s'exprimer...
Torturée par un blond...
Déambule dans les rues sans but. Elle lit, sans grand intérêt, un courrier du chef, éclairée de sa lanterne qu'elle tient d'une main.

Torturée à tel point de ne remarquer l'agitation, qu'au moment d'en être toute proche. La surprise puis la curiosité l'emportant sur l'éventuelle peur qui devrait s'ajouter à ce tableau, essaie de visualiser la scène... Mais ne voit rien d'autre qu'une joute, aux ombres méconnues.

Un dos lui cache la vue... Occupé qu'il est à essayer de massacrer ses ennemis, qui du coup, sont les amis d'Elvi, l'homme ne réagit même pas lorsqu'elle lui tapote la cuirasse.
Impatiente, Elvi le dévisage un peu... Il est blond...
Flot d'images... Non, ce n'est pas lui...
Elle le reconnait.

Un murmure:
"Loguen..." Elle sourit et son regard avisant le rougeoiement des cheveux du roux plus loin, elle remet à peu près la situation dans son esprit. Elle se hisse jusqu'à l'oreille du soldat pour y susurrer, amusée:

"Loguen... Hum... Vous feriez mieux de vous replier ou bien... Vous savez, notre conversation... Je ne sais pas ce que vos supérieurs en penseraient.
Ni même vos inférieurs, d'ailleurs."


Avisant du regard un blessé au pif, puis revenant, impassible et toujours pleine d'assurance, au -mauvais- blond. Croise au passage le regard hautain d'un autre blond -encore un, quelle calamité- lui fait un petit sourire narquois en lui lançant: "Tiens Frondon, vous ne défendiez pas autant vos opinions ducales la dernière fois, non plus."
Puis retourne à Loguen:

"Allons mon ami, allons... Rangez donc cet attirail et allez donc vous détendre en taverne, ça vous fera du bien... Et ça évitera que vos paroles ne s'ébruitent, traversant le vent plus vite encore que vos flèches."


Blondie lui fait son sourire ravageur. Elle a beau être torturée, elle tient beaucoup aux apparences... A sa forteresse... Qui serait d'ailleurs tombée en grand fracas si l'autre, le -vrai- blond, celui qu'elle a dans la peau... Était à portée de vue.

Oups... Le blond n'a pas l'air de trouver ça drôle. Même si lui, elle sait qu'il ne lui ferait rien, le Frodon, elle le connait moins alors... La blondinette file vite, sautillant en rebroussant chemin, avant que Loguen ait saisi la menace...

Elle contourne la rue mouvementée, cherchant du regard à travers les ruelles, jusqu'à retrouver le Gouape et sa bande.
Bing ! Dégringolade de forteresse... Le cœur qui se décroche... Et puis... Ah non, pas le moment... L'heure est grave. Elle se cache avec eux, essaie d'apercevoir depuis leur recoin la scène... Écarquille les yeux... Là, devant eux, Le Gaucher et le Broucolaque à terre... Elle murmure à l'intention du blond chapardeur de sentiments...


"Fais quelque chose..."




Le_barde
Caché derrière le coin de la maison, le Barde n'avais rien perdu de la scène, et pour cause, assis contre le mur, il tournais incessamment la tête pour voir de l'autre côté du coin. Il avais vu :
-le Masque et le Broucolaque : se faire rétamer.
-le Gouape, redevenu invisible après son intervention discrète qui mine de rien, avais mise hors d'état de nuire quelques archers.
-Et il se doutais que si le Gouape étais là, les deux mignonnes aussi.

D'ailleurs, il se surprend à sourire, le Barde. Il aimerais bien que l'Etincelle vienne lui panser sa blessure. Et puis, surtout il adorerais qu'elle le récompense pour son geste héroique, face aux soldats de l'OST, geste, qui avais PRESQUE faillit sauver Le Masque. Presque certes, mais bon. C'est l'intention qui compte, comme on dis.

Il avais également exploré sa "cachette". L'appentis abritais :
Une pile de bois, dans laquelle il cacha son épée. Indécelable.
Un tonneau de pommes, derrière lequel il planqua son luth, qu'il avais traîné sur son dos jusque là, sans même s'en rendre compte. D'ailleurs, le luth étais abîmé, mais il le réparerais plus tard.
Mais surtout, un fût de bière, déjà percé, que un tavernier avais du mettre là pour en rafraîchir le contenu.

Heureux de ses trouvailles, le Barde fouilla son sac en bandoulière et sortis sa choppe fétiche, pour commencer à se servir de grandes rasades de la délicate boisson mousseuse. Il entama également une pomme du tonneau, et en plongeas de nombreuses autres dans sa besace.

Il en étais arrivé là de son casse-croûte improvisé, qu'il entendis le sergent lui dire de sortir de sa cachette, et , le Masque lui demander, également de sortir.

Il rangea sa choppe, pris appui contre le mur dans son dos pour tenter de se relever, tout en marmonnant suffisamment fort pour être entendu de la rue :


Vous êtes quand même sacrément con sergent. D'abord, vous ordonnez qu'on me tire une flèche dans le mollet, et maintenant, vous êtes étonnés que j'ai du mal à me relever ?

Pis, qui plus est. Y'a de la bière dans ce cagibi, alors, si je me presse pas, vous savez pourquoi.


Une fois debout, le Barde utilise une main pour s'appuyer sur l'épée du Sergent, s'en servant comme d'une béquille, et l'autre pour tenir sa pomme qu'il continua de manger a pleine bouchées. Satisfait de son équilibre retrouvé, il lance un trognon de pommes en direction de la rue opposée, en ressort une du tonneau et déclare.

Bon ! J'vais sortir. On vas conclure un marché, d'accord ? Moi je sors, sans aucune once d'agressivité, et vous, vous m'attaquez pas, d'accord ?

Silence.

Bon. En l'absence de réponse de votre part, je prends ceci pour un oui. Deuxième chose. Le premier qui tente de venir me prendre ma béquille, j'l'embroche avans qu'il ai dis Ouf. Compris ?

D'ailleurs, on vas simplifier les choses. Si quelqu'un approche à portée de ma béquille, j'l'embroche. D'accord ?

Il vas de soi que bien sûr, tant que vous respectereais votre part du marché, je respecterais la mienne, et que toute tentative de rupture de ce marché mènerais inexorablement à une mort certaine de la partie ayant tentée de rompre sa part du contrat, non ?


Face à l'absence de réponse du Sergent, le Barde inspire et sors de son abri, utilisant l'épée du sergent comme d'une canne. Au moment ou il sors de son abri, il vois, au beau milieu de la rue, discutant avec le Sergent, Elvi ! Plutôt étonné de la voir là, il lui lance un :

Ah ! Elvi ! Satisfait que tu ais entendu ma petite chanson. Tu viens te mener à la fête, toi aussi ?

Et puis, bien décidé, il avance, en boitant légèrement magistralement appuyé sur l'épée du Sergent qui lui sers alors de canne, il continue son chemin vers le groupe rassemblé au milieu de la rue, le tout en, continuant de parler, abordant le thème des clauses du contrat :

C'est logique, non ? Si l'un de vos homme approche, j'lembroche, donc, il meurt, donc les autres me tuent. Les deux parties prenantes du marché perdent une vie.

Le Barde cesse de marcher un instant, jette son trognon de pomme, en sors une autre de sa besace et reprend sa marche.

Maintenant, prenons le cas de figure inverse. J'embroche, sans raison apparente, l'un des votres. C'est une théorie, bien sur. Ne vous emballez pas. Donc, admettons, je l'embroche. Il meurt, les autres me tuent. Encore un mort partout.

Le Barde s'arrête à nouveau, reprend sa respiration. Sa jambe saigne beaucoup, mais il affiche un immense sourire.

Dernier cas de figure. Vous me transpercez sur place, avec vos arcs, sans aucune raison apparente. Ben moi, j'ai des amis qui vous retrouverons et ferons en sorte que le contrat soit appliqué. Diablement efficace comme marché, non ?

Le Barde reprend son interminable marche, continuant de parler des divers cas de figure de rupture du contrat.

Loguen


Loguen en avait raz le casque, voila encore qu'on tentait un vieux chantage, Elvi qui se croyait tout permis, il l'a laissa partir pour cette foix çi, mais elle ne perdait rien pour attendre, sa main le lancé ce qui tendait encore plus à l'enerver. Et le barde qui penssait pouvoir négocier..

Il demanda à son soldat son casque, lui n'en porait pas simplement par un coté pratique et il n'avait pas a se justifier aprés tout. il se saisit du masque et avança vers le barde qui menaçait toujours, juste avant d'être a porté, il prit soudainement le casque a une main en le balançant de son bras valide en plein crane du barde, dans le même mouvement d'un petit bond, suivit de l'envoi de son pied, il faucha la lame qui lui servait de canne. Le barde ne pouvait faire plus qu'une chose, s'écrouler. Il enfonça la pointe de son pied dans la blessure infligé à la cuisse tout en levant la main et demandant:


Corde! On ne négocie pas avec moi..

Rajouta t'il pour le barde tout en le ficelant aux mains et aux pied, puis le prenant par ses même petits petons et le trainant jusqu'au chriot ou il le balança dedans.

Faites de même pour les deux la!

Dit il en désignant le gaucher et le broulaque. Une foix le trio chargé, il n'y avait plus de combattant en lice enfin normalement, à trois, il avait quand même endomagé, quand il vit arriver en boitillant les deux arbélétriers de frodon, il sentit que la situation tourné vraiment au vinaigre pour eux. Il s'adressa tout d'abord à la tante, tout en ramassant sa lame par terre.

Vous retournez chez vous, je sais ou vous habitez, vous allez prochainement recevoir ma visite pour répondre des actes de votre neveu.

Puis a Germaine et Raoul.

Dans le chario et plus vite que sa, je crois que vous avez compris que j'ais assez donné pour ce soir, sinon, justice expiditive, sa sera plus simple..

Lacha t'il dans un soupire, puis se tournant vers frodon:

Frodon, vous allez prendre les hommes valide et escorter le chario, faites attention, il y a un ou des archers dans le coin, si il ya une embuscade, mettez vous a couvert et résister. Je raméne les bléssés pour se faire soigner, trop de risque si on les laisse la.. Vous aurez donc 3 fantassins et mon archer qui vous couvrira de l'ombre, vaut mieux pour lui qu'il ne sorte pas de l'ombre! Donc, les deux arbalétriers, vous vous entraider pour marcher, le fantassin qui voit rien, je te guide et mon archer qui pionce avec un crane défoncé, je le porte. On se revoit quand on se revoit frodon!

Puis en se baissant pour ramasser son archer, il murmura a l'oraille de frodon.

Quasi sur que tu tomberas dans une embuscade, sert toi des ficelé comme des boucliers et attend, tiens aussi longtemps que tu peux et j'arriverais..

Il le ramassa et se le mit sur l'épaule, il pesait son poid. Le chario pouvait se mettre en route, et son petit groupe aussi. Il avait le coup qui piquait en plus, c'était pas son jour, priant pour qu'une balafre n'abime pas son jolie corps.

Claudicant avec son ramassis de gueule cassé, ils disparurent dans l'ombre, il conaissait nancy comme sa poche, a défault d'aimer la campagne il aimait la ville et passé son temps à la parcourir généralement pour les femmes et autre attribut de la richesse, sa vie or ost lui était donc d'une grande utilité dans ce cas. Il était donc insuivable...
Elvirem


Où tout s'enchaîne...



Elvi avait déguerpi si vite qu'elle n'avait pas pris le temps de taper la causette avec le barde. En plus, elle n'avait pas de thé sous la main, donc pas l'humeur à un ptit concert improvisé.

Elle regretta amèrement son inattention lorsque, sous ses yeux, elle vit le Barde, le Broucolaque, et le Gaucher, saucissonnés par Loguen et ses hommes... Le cri du Gaucher finit de la faire grincer des dents... Dans sa tête, une phrase raisonnait *Comment peux tu me faire ça, blondinet ?*. La déception frappait ses tempes... Son sang, trop chaud, ne fit qu'un tour, alors qu'elle rêvait de toutes les façons dont elle aimerait détruire le blond soldat... Le piétiner... L'anéantir...

Cachée dans son coin, sa main agrippe le bras du Gouape dans un élan de nervosité... Elle regarde autour d'elle, se rappelle de la présence de la Belle et de l’Étincelle -quels noms...-, et lâche le blond.
Pas le temps d'être gênée, il fallait faire quelque chose... Son regard, perdu, exprime mille émotions, pour une fois... Elle cherche une faille... Elle cherche comment eux quatre, cachés comme des pleutres... Oui, des pleutres ! Allaient pouvoir venir en aide aux trois autres.


Fantassin
Ficeler, c'était l'ordre, il état sous les ordres du soldat frodon, lui aussi soldat, mais il avait plus d'expérience, malgré sa nouveauté dans l'ost, il le respectait beaucoup, pas plus mal quand on devait obéir a quelqu’un, mais le sergent c'était différent. Lui avait un grade supérieur et valait mieux pas trainer quand il demandait quelque chose, surtout que la, il avait l'air très énervé..

Ficeler, c'était l'ordre que le soldat qui le tenait en respect avait reçu. Sans mouvement brusque, n'étant pas vraiment en état de faire quoi que ce soit, Le Gaucher tend ses poignets, tout en regardant l'homme droit dans les yeux, du moins quand il les aperçoit. La mâchoire endolorie, le sang lui battant les tempes, il est plus vraiment en état de résister ni de se battre.

Il devait donc ficeler le gaucher, même si il ne connaissait pas son nom si ce surnom, bref, il devait ficeler la personne qui contrôlait sous sa botte, d'un petit coup de pied, il lui fit comprendre de se retourner. Aprés tout, il était pas la pour être méchant ou sadique... Dans tous les cas, si il se mettait par sur le ventre, il allait taper plus fort jusqu’à ce qu'il se bouge ou se retourne dans le cas présent.

Il hoche la tête, et se redresse légèrement, ses mains autour de la flèche qu'il a dans la cuisse et d'un geste sec, après avoir pris une bonne inspiration, il la retire, lâchant un hurlement de douleur, en sueur malgré la fraîcheur de la nuit. Reprenant son souffle, il déglutit. Pas en bon état, et pas vraiment une femmelette, mais chiabrenna ça douille ! Il se rallonge alors et se tourne avec précautions, mettant ses mains dans son dos, sachant qu'on va lui ligoter les poignets et que sans doute, le soldat verra les anciennes traces des fers, mais il n'est plus à ça près.

Il commença donc le ficelage avec précaution pour créer un nœud solide en reliant ses mains, puis se fut le tour des chevilles, bien serré, même si avec sa blessure a la cuisse, pouvait pas aller bien loin, mais sait-on jamais et c'était un ordre du sergent. Il prit son temps, même si la personne subissant devait subir et souffrir un max, il s'en moquait un peu après tout.

Serrant les dents, il se retient d'injurier le soldat, ça ne ferait qu'empirer sa situation. Il ferme les yeux, tentant de maîtriser sa respiration pour penser à autre chose qu'à cette douleur lancinante à la cuisse qui le fait souffrir, et qui l'empêche de se concentrer sur ce qui pourrait les aider à se sortir de cette situation.

Une fois ficeler, même traitement que le barbe, il avait montré l'exemple le sergent, alors fallait leur donner une belle peau a ces brigands... Une fois trainé, il le balança dans la chariot, si il voulait se retourner, il pourrait pour se positionner correctement. C'est qu'il était lourd le bonhomme alors pas facil..

Furieux, sa jambe le lançant quand l'autre crétin lui tient les pieds pour le traîner au sol, sa tête heurtant les pavés par moment, il tente de se redresser un peu, au moins le haut du corps, pour éviter de prendre trop de coups, et prenant appuis sur ses mains, par contre, il se laisse complètement aller, tel un poids mort quand il s'agit que l'autre le foute dans le chariot, pas question de l'aider, et le sourire en coin, mauvais, froid, qu'il lance au soldat est très clair. On va voir mon p'tit gars si tu soulèves si facilement un poids mort de 80 kg, soit 170 livres, ou si tu lui demande de se lever, en l'aidant héhé, parce que oui, il va pas pouvoir se mettre debout tout seul dans son état le Gaucher.

Son collégue fit de même pour l'autre et voila, il y avait les trois dans la chario, nouveau ordre. Il continuait avec frodon et escortait les prisionnier, il éspérait que sa se passe bien, l voulait rendre fier sa famille mais pas y laisser sa vie quand même. C'était l'ost, pas non plus une armée d'élite...



Rédigé à 4 mains :
Fantassin
Le Gaucher
Le_gouape


Le couple, le gouape pensait que s’en était un, continuait de papoter avec le sergent.

Ça l’arrangeait le gouape, le temps de réfléchir encore un peu, de se faufiler dans le noir, frôlant le mur auquel il faisait dos. Que faire, que faire, ils étaient nombreux les chenapans, armés, entrainés.
Il secouait la tête, tantôt frottait le menton.
Trois blessés, les plus forts. Les amis, les frères, les potes, la tronche par terre ou la jambe qui saigne et qui boite… Malins… Sa respiration est inaudible et ça tombe bien, un peu de bonne étoile dans sa triste vie, ses gestes précis et en pleines santé non plus.

Il fait froid, encore un truc qui n’arrange rien, il fait nuit, c’est pire… la Belle et l’étincelle, il les avait vu fallait qu’elles le rejoignent, pigeon expéditif impossible, dire
« Bonjour la Belle et l’étincelle vous pouvez me suivre s’il vous plait ? » même avec un sourire des plus courtois, niet. Jeter une pierre ou une arme, ça serait pas sérieux.
Il continue d’observer, remerciant la lune qui avait bougé depuis le début du moment, ou peut-être l’inverse, le débat à l’époque était encore très ouvert sur le sujet, on ne savait pas trop, en tout cas, il les observait, toujours pas vu à ce petit jeu de cache-cache très ludique et enrichissant.

La belle n’était plus de la partie, le tricheur super rapide lui ne quittait plus le sergent, le gouape ne l’avait même pas vu venir, c’était vexant. La blondasse approche, toujours aussi bien gaulée celle-là, pensa le gouape à presque haute voix. « Regardez-moi ce déhanché… »

Il est temps qu'tu ramasses tes couilles et qu'tu trouves un plan, tu comptais rester caché là longtemps?

Bien sûr qu’il l’avait senti près de lui depuis quelques secondes déjà, mais la Belle, aucun danger pour lui, enfin presque, enfin non, elle était de la famille, elle allait aider et changer de ton très vite.

« Parles moins fort déjà, commence pas à faire tout capoter, et parles mieux de mes couilles, Louis et Lesta sont blessés, je pourrais t’arracher les oreilles qu’ils n’y verraient que du feu !

Il l’envoie valser quelques mètres plus loin encore, pas grand-chose, trois quatre pas, ils entendent toujours, surtout Louis et le Sergent.
La blondasse maintenant vient se coller à lui, décidément, la concentration allait devenir compliquée, cerné par toutes ces femelles, qui en plus ne sont pas vraiment foutues de s’entendre. Il la regarde, sourit, la félicite de son petit manège avec les soldats.

« Bon le plan, le plan et simple il faut attendre qu’ils bougent, ici c’est trop dangereux, trop de lumière sur cette maudite place, j’ai eu deux archers mais je sens qu’il en reste un, je les flaire les enfoirés… Alors fermez là, arrêtez de stresser et de me stresser là… Vous avez des armes ? La petite gamine là, elle est où ? Et l’Etincelle qu’est ce qu’elle fout défection ! Elle s’est paumée ? J’étais pourtant sûr qu’elle te suivait la… euh… Belle. »

Les choses bougent, le barde tente une négociation, le gouape retient un rire, il ne perd jamais la tête ce barde, aussi bavard qu’une femme, le gouape pourrait facilement se résigner face à autant de paroles, pourvu que le barde ne le sache jamais et n’en profite jamais. Le sergent expédie vite la négociation, comme quoi avec le Sergent le palabre ne marchait pas du tout. Le barde n’était pourtant pas méchant, il voulait juste aider et le gouape lui, le croyait.

On parle d’un autre archer, ils ne sont pas futés ces soldats, ils pressentent que le masque, le broulaque et le reste ne sont pas seuls, mais ils donnent au gouape le nombre de danger restant de leur côté. Le gouape aurait oublié un archer caché dans l’ombre ? Il plisse les yeux, cherche, pousse un peu les deux-là qui s’agrippent, qui se détachent. Où peut il être ? Une zone qu’il n’avait pas encore fouiné avec ses billes noires. Un sourire se dessine, qu’ils étaient niais ces soldats. Il s’arrête sur l’archer, là à trente pas à peine, l’archer qui se cure le nez, enfin c’est ce que pense le gouape. Il prend son arc, parle pas trop aux filles pour le moment. Il lèche sa flèche, et bande l’arc pointant la rotule de l’archer.
Il décoche.

Pffffffffffffffffffffiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiittttttttt ( bruit de la flèche à peine audible hein ^^)

La flèche traverse une toute petite partie de la place, rapide comme l’éclair, on la voit mais il faut être en bonne santé, pas de mal de crâne, pas mal au yeux, pas déconcentré, sinon on ne le voit pas.

Pourvu qu’elle touche le genou, priait le gouape, un petit « aïe » quelque chose qui lui ferait penser que l’archer arrêtait la partie. Il attend l’ouïe fine, si l’archer est touché, ils devront changer de planque et très vite et récupérer l’Etincelle au passage.
Dès que les autres auront quittés la place, et que le tricheur prendra les ruelles pour emmener SES ou SA famille blessées au Castel. Le gouape pensera à un plan… Le Frodon ne perdait rien pour attendre, il fallait mieux pour lui qu’il reste très vigilant. La colère d’un homme qui est sur le point de perdre ses frères…. Peut-être d’un sadisme hors du commun.



http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=981626371028GOUAPE2.png][/URL]
--Alice_caprice_
L intervention des donzelles n avais pas servis a grand chose , ou peu être juste jeté de la poudre aux yeux pour faire comme si que ... Mémé caprice elle se retrouvais avec une dague et une chevalière qu elle avait passée a son doigt et aussi bien évidement sa précieuse canne . L ost commençais a s énerver et les blessés s accumulais . Son Neveu en mauvaise posture et souffrant le martyre . Pourquoi on l appelait caprice ? Parce que le vieille étais pas du genre patiente et la ça commençais a lui monter au nez . Elle observait de ses yeux vitreux quand un boulet de canon vint lui percuter l abdomen , lui coupant la respiration . Pa sle temps de comprendre ce qui se passe que le sergent lui ordonne de rentrer chez elle et qu on lui enverra un courrier .
Comme elle peut la vieille ronchon tente de reprendre son souffle , son neveu lui est saucissonné et monté dans le chariot avec ses comparses . Que faire ?
Et ou sont les aguicheuses ?
Caprice se redresse d un coup , appuyée sur sa canne elle fait mine de vouloir rentrer chez elle, elle est tous pret du chariot et dans un mouvement insensé lance la dague en direction du blondinet sergent . Elle n attend pas de voir si elle a touché sa cible et sa canne s abat sur le flan du cheval attelé au chariot . La bête pousse un hennissement et se cabre . Espèrant provoquer un départ en trombe du chariot avec les fatums , caprice déséquilibrée sans sa canne tombe a la renverse dans un juron fleurit .
Lglvh
Le ligoter, bin voyons..Le ligoter lui et puis quoi encore ?il essaya d’activer la manœuvre pour s’éloigner au plus vite, se prenant pour un ver de terre.

Il entendit la voix, d’habitude si désagréable du barde, mais qui pour une fois lui châtouillait agréablement les oreilles, tentant de négocier je ne sais quoi, il n’y comprit rien. Il profita de cette diversion pour se mettre péniblement a genoux .


Lou…il faut qu’on..

Et bam, un coup de pied l’affala une fois encore dans la boue. Une solide poigne ne trouva rien de mieux a faire que de lui lier les bras dans le dos…même schéma du côté du Masque. Une fois encore, il assistait a la scène impuissant. Au même moment, la voix du blond musicien se tut…Que lui était il arrivé ? Pas le temps d’y réfléchir qu’un éclair lui parcouru tout le corps

Alors essayer d’attacher un homme qui a une entorse a l’épaule gauche et un bras droit mutilé et ca donne ca :


Bordel de mer**…p’tain d’mécréant..pisse-vinaigre…

Un flot d’injures en règle suivi par un braillement broucolaquien.si si ca fait très très mal !!! Des étoiles qui se mirent à valdinguer devant ses yeux et la sueur qui perlait le long de son nez.c’était pas la joie surtout quand les larmes de douleurs vinrent lui piquer les yeux et le nez.d’ailleur son nez avait du recevoir un choc vu la taille que celui si avait pris, ca le derangeait presque quand il louchait pour le regarder.en plus, bigre ca saignait !!!

Le soldat lui ligota les jambes, non sans avoir reçu une bonne ruade dans l’estomac…Mais cela ne servit a rien, il était trop faible pour vraiment faire mal…

Le roux se sentit tirer, son si beau visage, tuméfié et couvert de boue, heurta, frotta le sol à plusieurs reprises. Il sentit le choc résonner dans son cerveau, un haut le cœur, le front et les joues écorchées et en feu.et la mâchoire déglinguée. De guerre lasse, il ne put plus résister.trop mal.plus de force…Il se laissa trainer comme un vulgaire sac de jute, se sentit douloureusement soulevé.C’était pas que l’homme faisait dans la dentelle hein !!!

Il fut propulsé dans le chariot, sa tête heurtant violemment le rebord. Les yeux grands ouverts, la dernière image qu’il vit était celle de son gaucher, la trogne bien mal en point…et il sombra dans une lourde et angoissante torpeur.

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