Ivori
La rouquine aperçut la silhouette de Will s'échapper discrètement après un passage tout aussi discret. Ce cher Will... Elle l'avait vu aux prises entre deux femmes, une Irlandaise et une autre rousse ! Coureur de jupons, on ne comptait plus le nombre de donzelles sur lesquelles il avait jeté son dévolu, si ce n'est autre chose... M'enfin !
Zara était arrivé, et la jeune Andalouse s'en réjouissait, car le scribe et le père, comme il l'avait toujours appelé, même si cela perturbait un peu Ivori, formait une belle paire d'érudits lorsqu'il s'agissait d'enseigner les paroles sages des Prophètes.
Aussi, la belle se releva et, profitant de cet interlude, embrassa tendrement mais discrètement son amor. Eh oui, c'est qu'il fallait déjà qu'elle reprenne la route si elle ne voulait pas être en retard pour le Grand Tournoi de la Compagnie. Et c'est le cur empli de regrets qu'elle laisse ses compagnons. Ivori y avait vu l'occasion de laisser parler sa Foy avec sa sensibilité propre, mais le temps filait à toute vitesse.
Mes amis, mes Frères... et Sur ! Souriant à Genor. Je vais devoir vous laisser malheureusement. Il me faut récupérer toutes mes affaires à Grandson avant le tournoi, dont ton fameux trésor, mi amor, lui glissa-t-elle à l'oreille.
Mais nous aurons d'autres occasions, j'en suis sûre. Ce que tu accomplis ici est remarquable, Genor, n'en déplaise à certains.
Ivori s'approcha de sa nouvelle amie pour l'embrasser avant de partir, fit un sourire à Andy et Zara et déposa un baiser dans le cou de Lingus avant d'ouvrir les portes de la grange. Laissant ainsi entrer la lumière de l'astre solaire, la belle rousse disparut dans la ruelle, son long jupon blanc se soulevant sous la brise d'une ère nouvelle. L'ère de la Foy Réformée dont nul ne peut arrêter l'envol...
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"Hasta la muerte..."
Sicaire du Lion de Juda
Porteuse de la Foy Réformée
La République ou la Mort
Zara était arrivé, et la jeune Andalouse s'en réjouissait, car le scribe et le père, comme il l'avait toujours appelé, même si cela perturbait un peu Ivori, formait une belle paire d'érudits lorsqu'il s'agissait d'enseigner les paroles sages des Prophètes.
Aussi, la belle se releva et, profitant de cet interlude, embrassa tendrement mais discrètement son amor. Eh oui, c'est qu'il fallait déjà qu'elle reprenne la route si elle ne voulait pas être en retard pour le Grand Tournoi de la Compagnie. Et c'est le cur empli de regrets qu'elle laisse ses compagnons. Ivori y avait vu l'occasion de laisser parler sa Foy avec sa sensibilité propre, mais le temps filait à toute vitesse.
Mes amis, mes Frères... et Sur ! Souriant à Genor. Je vais devoir vous laisser malheureusement. Il me faut récupérer toutes mes affaires à Grandson avant le tournoi, dont ton fameux trésor, mi amor, lui glissa-t-elle à l'oreille.
Mais nous aurons d'autres occasions, j'en suis sûre. Ce que tu accomplis ici est remarquable, Genor, n'en déplaise à certains.
Ivori s'approcha de sa nouvelle amie pour l'embrasser avant de partir, fit un sourire à Andy et Zara et déposa un baiser dans le cou de Lingus avant d'ouvrir les portes de la grange. Laissant ainsi entrer la lumière de l'astre solaire, la belle rousse disparut dans la ruelle, son long jupon blanc se soulevant sous la brise d'une ère nouvelle. L'ère de la Foy Réformée dont nul ne peut arrêter l'envol...
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"Hasta la muerte..."
Sicaire du Lion de Juda
Porteuse de la Foy Réformée
La République ou la Mort