Ambroise.
Moi me présenter ? Et vlà que le Sire Alexandre lui fait signe de monter sur lestrade. Ambroise secoue négativement la tête mais il insiste le bougre de noble. Le jouvenceau sapproche de lestrade et puis la blonde Della qui arrive dans son joli mantel en fourrure toute douce. Enfin, cétait LE mantel à la mode que toutes les femmes sarrachent à la boutique R&R Paris-Milan. Il y en avait même pour la gente masculine. Dailleurs, le jouvenceau avait vidé ses bas de laine pour acheter bottes, bonnet et mantel. La plupart de ses économies y étaient passé.
Donc, Della était arrivée avec les Dragibus au moment où il mit un pied sur la première marche de lestrade. Elle commence à faire la distribution des sachets des célèbres dragées. Sauvez par les Dragibus pensa-t-il ! Miam miam. Voilà qui laiderait surement à se détendre. Il salue son amie avec un grand sourire.
Bonjour Duchesse Della. Merciiiiiiiiii !
Et il ouvre son petit sac et prend un dragibus citron. Voilà qui allait non seulement rafraichir son haleine mais aussi le détendre. Et puis, Sire Alexandre le pousse presque sur lestrade. Bon, beh, plus de retour en arrière là ! Quand il faut y aller, faut y aller Ambroise regarde tout ce monde autour de lestrade, des bourguignons prêt à lécouter. Pendant ce temps, Della continue la distribution des dragées passant entre les bourguignons. Et je dis quoi ? pensa-t-il ? Oh là là Il est toujours aussi fébrile.
Bonjour dit-il dune voix tremblante et toujours aussi fluette. Je
Il regarde le Sire Alexandre qui linvite à continuer, Della semble aussi lencourager avec son regard et son sourire toujours aussi aimable et remplit dattention pour lui, même Wilfried son professeur quil avait omit de saluer la honte. Ambroise lui sourit timidement. Enfin on aurait cru à une grimace tellement il mordille ses lèvres. Il fixe son amie blonde, prit une grande inspiration et se lâche.
Je mappelle Ambroise, je suis frère cistercien, installé depuis cet été à Autun. Comme la dit Aristote à lermite, il faut participer à la vie de la cité. Cest ce que jai fait. Jai donc aidé ma paroisse et notre curé bien-aimé, le Père Alexandre, en tant quacolyte et ensuite diacre. Jai aidé la maire Gabrielle Siagnole à la charge de tribun durant trois lunes, et depuis peu, comme elle a besoin de repos, elle ma encouragé à lui succéder à cette charge au combien importante pour la ville. Enfin, je moccupe de mes petites mouches à miel à mes heures perdue.
Ambroise se tourne vers le Sire Alexandre et lui murmure un Cest bon ? Et à la réaction de ce dernier, cela suffit. Le jouvenceau se retire au plus vite de lestrade pour rejoindre Della, et reprendre un dragibus pour reprendre ses esprits. Ce fût un exercice très difficile pour le jouvenceau. Il en était rouge coquelicot en descendant les marches. Pfiou .
_________________
Donc, Della était arrivée avec les Dragibus au moment où il mit un pied sur la première marche de lestrade. Elle commence à faire la distribution des sachets des célèbres dragées. Sauvez par les Dragibus pensa-t-il ! Miam miam. Voilà qui laiderait surement à se détendre. Il salue son amie avec un grand sourire.
Bonjour Duchesse Della. Merciiiiiiiiii !
Et il ouvre son petit sac et prend un dragibus citron. Voilà qui allait non seulement rafraichir son haleine mais aussi le détendre. Et puis, Sire Alexandre le pousse presque sur lestrade. Bon, beh, plus de retour en arrière là ! Quand il faut y aller, faut y aller Ambroise regarde tout ce monde autour de lestrade, des bourguignons prêt à lécouter. Pendant ce temps, Della continue la distribution des dragées passant entre les bourguignons. Et je dis quoi ? pensa-t-il ? Oh là là Il est toujours aussi fébrile.
Bonjour dit-il dune voix tremblante et toujours aussi fluette. Je
Il regarde le Sire Alexandre qui linvite à continuer, Della semble aussi lencourager avec son regard et son sourire toujours aussi aimable et remplit dattention pour lui, même Wilfried son professeur quil avait omit de saluer la honte. Ambroise lui sourit timidement. Enfin on aurait cru à une grimace tellement il mordille ses lèvres. Il fixe son amie blonde, prit une grande inspiration et se lâche.
Je mappelle Ambroise, je suis frère cistercien, installé depuis cet été à Autun. Comme la dit Aristote à lermite, il faut participer à la vie de la cité. Cest ce que jai fait. Jai donc aidé ma paroisse et notre curé bien-aimé, le Père Alexandre, en tant quacolyte et ensuite diacre. Jai aidé la maire Gabrielle Siagnole à la charge de tribun durant trois lunes, et depuis peu, comme elle a besoin de repos, elle ma encouragé à lui succéder à cette charge au combien importante pour la ville. Enfin, je moccupe de mes petites mouches à miel à mes heures perdue.
Ambroise se tourne vers le Sire Alexandre et lui murmure un Cest bon ? Et à la réaction de ce dernier, cela suffit. Le jouvenceau se retire au plus vite de lestrade pour rejoindre Della, et reprendre un dragibus pour reprendre ses esprits. Ce fût un exercice très difficile pour le jouvenceau. Il en était rouge coquelicot en descendant les marches. Pfiou .
_________________