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20 Abrial de l'an de Gracia MCDLVII
Le voyage avait été éprouvant même si la distance parcourue depuis Castelnaudary avait été minuscule comparée aux distances que Guilhem avait pour habitude de parcourir.
Marcher, affronter les danger des chemins, il avait l'habitude, mais transporter sur ces mêmes chemins l'ensemble des bien acquis en une vie, voila qui le changeait, et il ne referait pas cela tous les jours tant cela lui attaquait les nerfs, même s'il faisait tout pour n'en rien laisser transparaitre.
Mais les remparts de la Capitale apparaissaient à présent, lumineux sous le rayons rouges du Soleil déclinant. Tolosa resplendissait au milieu de la campagne environnante, tel un joyau rose dans son écrin de verdure. Le voyage c'était déroulé sans encombre aucune. Le petit groupe n'avait pas même croisé l'ombre d'un brigand qui détalait devant quelques personnes ayant ostensiblement capacité à se défendre. Guilhem remercia chaleureusement la Pescalune et le soldat Aru qui lui avaient proposé de profiter de leur patrouille pour se déplacer sans danger. Sans eux il n'aurait peut être jamais réussi à se décider à prendre la route.
Guilhem mena alors Actéon vers la porte de la ville. Celui ci était peu habitué à trainer un charoy rempli de marchandises -du bois pour la charpente, du blé qu'il n'arrivait pas à vendre à Castelnaudary et qu'il essaierait d'écouler petit à petit ici afin d'acheter de la pierre, quelques seaux fraichement cerclés, et quelques autres marchandises qui pourraient manquer en Tolosa et surtout, les coffrets de pièces qui lui permettraient d'acheter le terrain et de commencer les travaux.
Il chercha une auberge où il pourrait entreposer ses biens en sûreté.
Une fois le tout déchargé avec l'aide des valets de l'auberge, partie dans les écuries pour ce qui était volumineux et sans grande valeur, partie bien caché dans sa chambre, il décida de partir se promener dans la ville, afin de trouver l'endroit idéal, où bientôt l'Ostal de Càstias prendrait forme, jour après jour sortirait du néant, et peu à peu deviendrait la demeure qu'il a rêvée.
Le voyage avait été éprouvant même si la distance parcourue depuis Castelnaudary avait été minuscule comparée aux distances que Guilhem avait pour habitude de parcourir.
Marcher, affronter les danger des chemins, il avait l'habitude, mais transporter sur ces mêmes chemins l'ensemble des bien acquis en une vie, voila qui le changeait, et il ne referait pas cela tous les jours tant cela lui attaquait les nerfs, même s'il faisait tout pour n'en rien laisser transparaitre.
Mais les remparts de la Capitale apparaissaient à présent, lumineux sous le rayons rouges du Soleil déclinant. Tolosa resplendissait au milieu de la campagne environnante, tel un joyau rose dans son écrin de verdure. Le voyage c'était déroulé sans encombre aucune. Le petit groupe n'avait pas même croisé l'ombre d'un brigand qui détalait devant quelques personnes ayant ostensiblement capacité à se défendre. Guilhem remercia chaleureusement la Pescalune et le soldat Aru qui lui avaient proposé de profiter de leur patrouille pour se déplacer sans danger. Sans eux il n'aurait peut être jamais réussi à se décider à prendre la route.
Guilhem mena alors Actéon vers la porte de la ville. Celui ci était peu habitué à trainer un charoy rempli de marchandises -du bois pour la charpente, du blé qu'il n'arrivait pas à vendre à Castelnaudary et qu'il essaierait d'écouler petit à petit ici afin d'acheter de la pierre, quelques seaux fraichement cerclés, et quelques autres marchandises qui pourraient manquer en Tolosa et surtout, les coffrets de pièces qui lui permettraient d'acheter le terrain et de commencer les travaux.
Il chercha une auberge où il pourrait entreposer ses biens en sûreté.
Une fois le tout déchargé avec l'aide des valets de l'auberge, partie dans les écuries pour ce qui était volumineux et sans grande valeur, partie bien caché dans sa chambre, il décida de partir se promener dans la ville, afin de trouver l'endroit idéal, où bientôt l'Ostal de Càstias prendrait forme, jour après jour sortirait du néant, et peu à peu deviendrait la demeure qu'il a rêvée.