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[RP très ouvert]Alerte rouge : code taverne

Maledic
Un garnement de 3 à 4 ans se dirigeait vers la taverne de la ville. Pouce en bouche, jettait régulièrement des regards derrière lui pour voir si par hasard, il avait réussi à semer sa nourrice, Roberta.
La grosse et idiote nourrice ronchonne ivrogne. Son ours en tissu traînait sur le sol derrière lui.

Il se mit à courir brusquement vers la porte de la taverne qu'il apercevait. Un éclat de rire répondit à la gueulante de sa nourrice qui était déjà toute rouge après 3 pas de course.
Vite, vite,... il allait arriver avant elle !

BOUM

Le gosse s'écrasa le nez contre la porte solidement fermée. Sonné, il se mit à faire la sirène, rameutant tout le voisinage par là.
Fais maaaaaaaal.
Un coup de pied rageur rendit la pareille à cette satanée porte et une insulte toute appropriée fusa :


Suis roi piate ! Alors t'y ouvre couillon, oui !

Il sortit son épée imaginaire de super pirate et se mit en garde, prêt à en découdre avec ce qui lui avait fait perdre sa course.
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Hippolyte
L'Hippolyte était bien décidée à se pinter la gueule avec les autres mais non, le tavernier en avait décidé autrement et c'est le mioche qui en fait les frais avant elle.

Attends, j'vais t'aider le mioche on va pas s'laisser faire par les taverniers hein !

Derrière eux, Roberta qui peinait à mettre un pied devant l'autre, ce qui fit rire la Folle parce qu'elle l'aime pas trop la nourrice du mioche et elle le lui rend bien d'ailleurs.

Nan mais déjà, si tu laisses trainer Navet par terre il va pas pouvoir t'aider !

Elle sourit pas peu fière du magnifique prénom qu'elle a trouvé à la peluche.
Épaule en avant elle tente d'enfoncer la porte avec ses forces à elle, ce qui n'a... aucun effet


'Chier !
Enjoy
    La veille. A moins que cela soit l'avant veille ? D'façon, c'est tous les jours le bordel. La mustélide se réjouissait de voir certaines personnes quitter sans un mot la taverne. Tous attrapés par la peau du cucul par cet aimable portier - que nous nommerons Maurice - sous l'oeil averti du z'homme en vert au fond là. Georges avait ainsi foutu tout ce beau monde par la lourde ou bien la fenêtre. Après tout chacun fait, fait, ce qui lui plait, plait. On a bien vu des gus escalader des poutres. D'ailleurs cela fait penser à ce sombre « faits divers ». Celui de la petite Plumelle qui rencontra un vieux monsieur vêtu d'une longue cape et affligeant la jeunette d'un regard pervers. - Non, s'pas ce que vous croyez ! - L'homme demanda à la petite son nom et elle répondit d'une voix cristalline : « Mon nom à moi, c'est Plumelle parce qu'une plume m'est tombée d'ssus quand j'étais bébé. » Ce à quoi il rétorqua : « Oh ! Comme c'est mignon ! - Voui, l'est un peu gnian-gnian le gars - Et c'est qui elle, c'est ta soeur ? » Dit-il en désignant une mouflette leur tournant le dos qui jouait à lancer des cailloux. « Oh, c'est Poutrelle parce que quand elle était petite, s'pas une plume qui est tombée sur la gueule. » Offra-t-elle en guise de réponse avec une voix rocailleuse. S'té une naine en fait et l'histoire est toute pourrite. C'était pour faire passer le temps, une sorte d'interlude quoya.
    Revenons à notre seul et unique mouton : Maledic. Nan, pô lui. Laell ! Hinhin ! Qui ronchonna, pour changer, car la Furette afficha un sourire satisfait à l'évocation qu'elle rémunérait Pierre de quelques deniers pour qu'il fasse disparaître les gênants. Hélas, le sous-payé et donc exploité finit par les jeter comme des mal propres dans la ruelle. Puis le bougre bloqua l'accès afin que plus personne ne puisse entrer. Le lendemain, alors qu'ils étaient tous réunis en famille ou presque autour d'une tablée recouverte de bière. Une vieille tradition refit surface. Celle de la coutume dit de l'Helvète. Un lance à la cantonade.


    - Je vais...
    Les autres tentent de répondre à la suite :
    - Décider !
    - Aller aux latrines !
    - Noyer le mouflet, le brûler, pis le pendre !
    - ...

    Hélas, nous ne saurons jamais la suite car le Portier vengeur frappa une nouvelle fois et mit toute cette mauvaise clique dehors. Quelques minutes plus tard, la taverne désormais désertée, reprit doucement vie. La mustélide et sa cousine purent discuter de choses et d'autres. Comme le pourquoi on devait encore subir le morveux. Si on ne pouvait pas s'en débarrasser, l'abandonner, le jeter dans une fosse à purin puis le recouvrir de plumes, y glisser un serpent dans son lit, quand il en aura, lui attacher une dent à une porte et l'ouvrir brutalement, lui coincer les doigts avec une fenêtre, lui marcher sur les pieds, lui mordre les orteils, lui mettre les mains dans l'eau lorsqu'il dort, lui soigner ses écorchures avec du gros sel. Bref, que des gestes d'amour sincère. Nan ? N'ayant plus de sujets de conversation à étirer, ni aborder. Enjoy se lança dans l'élaboration d'une sérénade sur ses sentiments. Lorsque les coeurs deviennent des joyaux, c'est beau.

    Le sur-lendemain. Rebelote. Tous derrière la lourde. A pester. Le mouflet, la Hippo. Tous les piliers de comptoir était là.
    Lorsque Roger les nargua une énième fois.

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Maledic
Le mioche en question se recula et laissa place à popo comme il s'plaisait à l'appeler. Pipi, popo, caca... des éclats de rire à tout les coups vous m'direz.
Il regarda d'un air attentif la jeune femme se casser les dents sur la porte et se moqua d'elle.


T'sais pas aider, twa.

Il souleva son ours en tissu jusqu'à son visage et fit part de ses suggestions à son copain méga super hypra chouette. L'top du top, la crême de la crême.

Même toi t'plus fort.

Hippolyte claqua un gros mot qui fit éclater de rire le mouflard. Tout content d'avoir un registre à ajouter à son vocabulaire, il s'empressa de répéter sur des intonations différentes le p'tit mot là.

Chiiiiiier ! Chier ? Chier !! CHIIiiiIIIIeeer...

Vraiment y'en fallait peu.
Maledic s'approcha d'Enjoy et lui tira la manche. Il lui tira la manche. Encore. Et encore.


Joy, joy, joy, joy, joy.

Chiant quand il s'y met celui-là, hein ?

T'veux pas faire un bizou au m'sieur pou qu'y laisse entrer?
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Rodrielle
Et, plus loin, bien plus loin, là-bas, dans le coin d'ombre à l'intersection des deux ruelles, la Tatouée se tenait contre le mur, les bras croisés, et se marrait. Tout le monde savait que son fils n'était pas encore totalement dans son coeur mais plus il grandissait et plus il était drôle, cet enfant. La Tatouée jubilait de le voir coller les chausses de ses "grandes" cousines et de les ennuyés, sans qu'elles y fassent grand chose. Surement savaient-elles que le moindre bobo anormal sur la Malédiction ambulante entraînerait colère et sanction. En ce moment très portée sur la flagellation, l'italienne se ferait un malin plaisir d'utiliser l'une des jeunettes comme cobaye à cette nouvelle et future activité.

En attendant, Rodrielle regardait de son coin la petite troupe plantée à l'extérieure de la taverne et Maledic tenter de prendre les choses en main comme tous les enfants téméraires de son âge. Il parlait déjà, trop, et commençait déjà à jouer de sa frimousse pour amadouer toutes les femelles - encore réticentes - de la famille. Il avait quand même du potentiel cet enfant ! Enfin, si ses "très chères" nièces ne le jetaient pas dans la gueule du videur avant...

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Enjoy
    Valà que le mouflet lui tire la manche. Si bien que le bout de tissu qui se relie à son décolleté se barre et laisse entrevoir un truc qu'un enfant de cet âge ne devrait pas voir. Après, il risque de penser à des choses bizarres à chaque fois qu'il va la croiser. Et ça, ce n'est pas possible. Gné pô potib' du tout même ! Alors, elle l'éjecte fermement d'un revers de la main et remonte ses vêtements en fronçant les sourcils. Puis cette suggestion. Non mais il se croit chez mamie, chui-là ? La furette qui va bisouiller le portier. Faut voir la trogne du machin. Il est tellement moche qu'il fout la trouille à la Peur. C'est dire la qualité du bidule qui se tient derrière la lourde. Y a pas trente six milles façons de faire. Il est nécessaire d'agir. Elle balaie du regard les gens présents, les deux là, Hippo et Jean Casse-Roulette alias Maledic. Puis une idée germe dans sa tête bien trop petite pour un cerveau aussi gigantesque. « Il faut la défoncer ! » La porte, pas Hippo, hein. Ne dîtes pas n'Hipporte quoya. Certes, avoir une intelligence aussi développée pour en ressortir un truc, une astuce dira-t-on, aussi pauvre. C'est vraiment pas donné à tout le monde. Ben justement ! S'n'est pas donné à tout l'monde, picétou !

    Bon alors, je propose d'enfoncer la porte ! Nous faut un bélier !

    Dit-elle en affichant un sourire sadique à l'attention du mouflet qui se tient à côté d'elle. Cela serait pratique. Un bélier 100 % naturel, avec une bonne prise en main, des rangements par milliers : bouche, oreilles, poches...etc. Possibilité de l'attacher ou de le suspendre après utilisation. Une tignasse pour amortir les chocs. Un bon recul. Un ustensile, jusqu'alors désuet, venait d'afficher au grand jour son utilité. Et oui ! Maledic sert enfin à quelque chose ! Pas seulement à taper sur les nerfs ! Non, non ! Même qu'il peut se transformer en table basse ou en paillasson. Mais ça, c'est pour plus tard. Elle se penche vers lui, offrant une ouverture indécente sur ce qu'il ne doit toujours pas regarder.

    P'tit, p'tit... Viens ici... Cela fera pas mal...

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Lililith
Une fois n'est pas coutume, c'est le chat qui se pointe en premier. Parce qu'il faut bien un éclaireur, et qui se méfierait d'un chat ? Personne. Même pas les Corleone eux-même, c'est dire. Pandou donc, s'approche de l'endroit où tous sont rassemblés. Mais il n'y est pas encore, non. Pour le moment, il est à quatre ruelles du lieu où va se jouer le drame. Et la Minusculissime le suit en mode furtif. Personne encore ne l'a repérée et l'enfant en est contente.
Elle a trouvé un peu étrange que ce chat se comporte presque comme un chien, mais s'en est vite accomodé et en joue désormais.
Elle s'arrête dans une porte cochère et regarde son chat tourner au coin de la rue. Hop, l'enfant s'extirpe de l'endroit pour ne pas le perdre de vue non plus.
Entraînement de Guerrier pour le chat qui deviendra Tigre.
Dans la rue suivante, rebelote. Sauf que cette fois l'animal a un comportement bizarre. Il se fige avant de s'approcher du coin sombre de la ruelle.
Lili aimerait bien lui chuch... hurler -parce que les enfants à cet âge ce n'est pas très discret- que ce n'est pas là qu'il doit aller mais à la taverne pour avoir sa récompense, mais elle se tait. Parce qu'elle a compris que s'il agissait de la sorte c'était soit qu'il y avait un danger, soit quelqu'un qu'ils connaissaient. Quoiqu'avec la Tatouée, c'est aussi bien l'un que l'autre.

L'Étoile donc, s'approche de la Matriarche. Et, avec toute la grâce et l'innocence dont sont pourvues les fillettes à cet âge, demande :


- Pourquoi t'es là, dis ? Et pourquoi tu ris ?
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Flavuis
Le vieil homme qui n'est pas si vieux que cela avance, vers le groupe de personne.

Excusez moi ? belles mesdames, le portier fait encore des siennes ?

Il regarde la taverne, et alla inspecter la porte pendant quelque seconde avant de retourner voir le groupe.

Personne n'aurait du n'aurait une part en fer dont se servent les forgerons ? pour faire levier, ou sinon je peux aussi enfoncer la porte, j'ai de quoi faire dans mon chariot, mais cela va pas être jolie mesdames. Enfin pour la porte.

Puis, il se tourna vers l'enfant.

Dit moi gamin, c'est pas toi que j'ai entendu hurler l'autre soir ?
Maledic
Un bélier ? La bestiole avec des cornes là ? Le morveux regarda autour de lui d'un air concentré. Non y'avait pas de bélier ici. Et puis même s'il y en avait, comment convaincre un animal de se casser la figure dans une porte ? C'était d'une ineptie totale que de vouloir un bélier pour enfoncer une porte. Vraiment.

P'tit, p'tit... Viens ici... Cela fera pas mal...

Naïf comme pas 2, il s'approcha de la grande, se demandant bien ce qu'elle lui voulait. Lui donner un gâteau ? Ah oui, tiens ! Il tendit la main, attendant son dû.
Un vieux m'sieur s'approcha d'eux, en faisant une erreur, mais monumentale comme erreur.


chui beau mais pas ine madame !

Non mais franchement. Il croisa les bras, jetant un regard furieux au bonhomme. Le confondre avec une fille était vraiment une insulte inacceptable. Du fer ? Comme tout à l'heure, il jeta un regard autour de lui. Y'a pas. Ils pourraient pas avoir des idées faisables ?

Dit moi gamin, c'est pas toi que j'ai entendu hurler l'autre soir ?

Lui ? Pas possible. L'es toujours sage d'abord. D'une innocence pure et rare. C'est donc tout naturellement qu'il secoua la tête de droite à gauche avec une auréole d'ange sur la tête, bien sûr.
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Rodrielle
Toujours à observer le petit spectacle de Corleone en rogne (à croire qu'ils l'étaient toujours, ceux-là) l'italienne ne remarqua le petit animal qui vint la voir. Ce n'est que lorsque la bête à poil fit son connu et si mignon "miaou" que Rodrielle baissa la tête, et sourit. Elle connaissait ce chat pour être celui de sa petite protégée qu'elle avait en quelque sorte adoptée depuis de nombreux mois.

Et pas manqué, l'enfant arriva et lui demanda pourquoi elle riait. L'italienne approcha donc l'Etoile d'elle et lui montra du doigt toute la troupe agglutinée devant la porte de la taverne.

Guardi. Ils sont tous en train de perdre patience parce que la taverne est fermée...

Elle baissa son doigt qui désignait encore les jeunes Corleone puis se tourna vers Lili.

Mais s'qu'ils savent certainement pas, c'est que la taverne qu'il y a dans la rue d'à côté est déjà rouverte.
Alors j'regarde combien de temps ils vont restés plantés là...


Elle rit doucement une nouvelle fois puis fit un clin d'oeil à Lili.

E tu, che cosa fai ?




Guardi = Regardes.
E tu, Che cosa fai ? = et toi, que fais-tu ?

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Lililith
L'enfant observe donc. C'est vrai qu'ils sont comiques, tous, là-bas. Elle se planque alors, elle aussi, pour faire comme si elle n'avait pas dérangé la Tatouée. Elle n'a pas envie que cette dernière lui en veuille. Ce serait trop bête.
Puis elle regarde fièrement la Tatouée, et chuchote, comme si cela avait la moindre importance dans cette ruelle bruyante :


- Moi j'apprends à Pandou à devenir un vrai Guerrier.
Là, y doit aller d'un point à ailleurs, et faire attention aux dangers.


Comment ça « peu réaliste » ? Mais on vous a dit que ce chat se comportait comme un chien !
Elle regarde la Corleone Mère.


- Pis ça me permet qu'on me voie pas bouger. On fait attention au chat et pas à moi.

Elle lui adressa un grand sourire.

- C'est plus drôle de pas leur dire et de les regarder, hein ?

Elle cogite, dans sa tête. Et ce qu'on a pu lui dire en taverne revient la frapper de plein fouet.

- Mamma, on m'a dit un mot. Et je veux savoir si je peux dire.

Comme pour l'histoire de la maîtresse, vous voyez ? Elle commence à comprendre que certaines choses ne peuvent être dites, ou alors en d'autres termes.

- On m'a dit que c'est quand un homme et une femme... Puis neuf mois plus tard, un bébé.

Si, c'est vraiment comme ça qu'on lui a dit, d'abord. Même que c'est une duchesse rougissante qui lui a expliqué.
Elle regarde la Mamma, qui a accouché de Maledic à Toul. Un et un font deux. Donc...
Viennent donc deux grandes questions.


- Dis, toi tu as « forniqué » avec Fralis ?

Et puis, encore plus bas :

- Je peux dire, ça, ou pas ?
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Enjoy
    Un sourire cristallise son visage en voyant que le mouflet s'approche et lui tend même la main. Puis elle sursaute brusquement au son d'une voix inconnue. Froncement de museau en direction de l'intrus. Très vite, elle oublie le marmot pour s'attarder sur le vieil homme. Ce n'est pas un fossé qui les sépare mais un gouffre. Une évidence s'instaure au creux de ses neurones en ébullition. En effet, cela risque de ne pas être bien jolie de voir une porte à peine égratignée. Tandis que le crâne du type ira se fracasser tout contre. Allant déposer une gélatine carmine sur les rainures du bois. Cette fois-ci il s'agit d'une expression goguenarde qui s'étire sur ses traits.

    Le seul fer que j'ai en ma possession, c'est ma lame. Alors, à moins que tu désires voir tes boyaux se répandre sur le pavé. Tu ferais bien de décamper fissa.

    Bien aimable, elle annonce les alternatives possibles. D'habitude, elle brandit son épée, émascule ou pourfend et discute ensuite. Quand sa cousine déclare qu'elles se ramollissent, ce n'est pas pour rien. Agacée par cette situation d'un individu qui les apostrophe, d'une Hippolyte muette comme une carpe et d'un mouflet qui ne cesse de lui courir entre les pattes. Elle frappe fortement contre la lourde. Un bruit sourd résonne, son poignet rougi légèrement. Figée, les mains sur les hanches fixant cette ouverture définitivement close. Elle se recule et ses pupilles brillent devant ce que tient le mouflet. Ni une, ni deux, elle se saisit violemment de la peluche et la balance le plus loin possible. Puis, elle se fend d'un air sadique. Après tout, si elle doit souffrir. Il est de son devoir de le faire partager au plus grand monde. La malediction ambulante pourra toujours fureter après son n'ours. Encore une fois, excédée, elle quitte les lieux. A croire que c'est le mini-Corleone qui la fait fuir...

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