Thomas_sauveur
Le quatorze février était un jour particulier pour tout bon Aristotélicien qui ce respecte, Saint-Valentin fut mort tué par un gouvernement fou et empêchant l'amour préférant de loin de la guerre et dans le fond Thomas trouvait l'histoire touchante peut-être parce quil ce sentait plongé dans une histoire ou le gouvernement avait un nom et deux visages. Mais en ce jour d'amour autant ne pas y songer, il préférait et de loin saffairer à la tâche, tout devait être parfait et secret, ce qui impliquait quelques modification des habitudes : La première est non des moindres, les domestiques quittèrent tous le Manoir dès le lever du soleil pour rejoindre leurs familles pendant quelques jours. Autant dire que l'homme était seul dans cet endroit et qu'ainsi personnes ne pourraient bavarder à tort, Sebastian étant absent et le seul à avoir sa confiance alors tant pis ! La seconde action fut de finir rapidement ses tâches de la journée, un peu à la hâte il fit le tour de ses bureaux, écrit quelques parchemins et à la mi journée. Il s'enferma ouais- dans son manoir -vide-.
Commença alors un drôle de manège, l'homme grimpait les escaliers les bras chargé et les redescendait sans rien d'autres qu'un sourire aux lèvres, dix, vingts, trente fois, peut-être même encore beaucoup plus, mais il cessa de compter lorsque tout fut prêt. Il était fier, peut-être que cela ne plaira pas à la blonde, mais lui trouvait cela merveilleusement beau et tout à fait représentatif de la soirée qu'il souhaitait lui faire passer. Bon la salle de bal ne ressemblait plus à une salle de bal et à son retour Sebastian qui notons le arrivera bientôt- allait l'interroger du regard, mais peu importait de toute façon au pire tous imaginerons le Ténébreux avec une catin et c'était mieux comme ça. Non pas qu'il apprécie les remarques sur sa vie et ses désirs. Mais tout de même, autant noyer les pistes autant que possible encore quelques années. Enfin quoi qu'il en soit la pièce étant prête, l'homme la ferma à clé oui à clé- et alla rejoindre sa chambre sur le même étage.
L'endroit était trop grand pour qu'elle soit vraiment au goût de notre ami, un lit, quelques meubles, une grande fenêtre et dans le fond à l'abri des premiers regards de quoi rédiger quelques mots, un bureau en soit, plus petit que celui qui était officiellement le sien, mais assez grand pour qu'il s'installe si l'envie lui prenait. Retirant ses vêtements dans la chambre donc, il observa son corps dans un miroir trop féminin pour que ce soit son genre. Celui-ci fut acheté par l'une des femmes l'ayant accompagner, Evaelle ou d'autres, il s'en fiche dans le fond et s'observe. Il n'avait jamais été moche, ni franchement trop beau, simplement un homme, grand, mince peut-être un peu trop en ce moment, une main toucha sa chair au niveau du ventre et il trouva cela pas assez épais pour être réellement attirant. Une cicatrise lui dessinait un trait maladroit entre sa hanche droite et le dessus de son nombril, quelques autres griffure ici ou là gâchaient le paysage heureusement caché sous sa chemise. Il approcha son visage et observa les azurs d'un oeil critique, puis sa lèvre encore blessée et finalement il trouva cela inutile. Détourant donc son corps du miroir, l'homme quitta la pièce aussi vêtu que le jour de sa naissance, après avoir suivit quelques mètres un couloir, il poussa une porte et trouva un bain chaud, enfin soyons franc, très froid. Tant pis, il y plongea les jambes, puis le corps et décida de frotter se chair ignorant les grelottements de sa peau.
S'en suivit une longue décision sur les vêtements à porter, il aurait aimer être à l'aise, mais tout de même pas trop. Aussi après des minutes -oui c'était pas une femme quand même- de longue décisions, il fini par enfiler des braies noir, une chemise blanche qui ne boutonna pas sa main blessée lui empêchant de le faire. Les retirer était facile, mais les boutonner demandait la présence d'Edmond et Edmond était pas là. Merde ! Comment allait-il faire maintenant, il aurait put ce taper la tête dans la main, si celle-ci ne lui lançait pas des douleurs parfois insupportable. Pourquoi ne pas avoir penser à ce détail, oh combien important, avant ! Tant pis, à tout problème une solution et l'homme trouvera bien un moyen de cacher son manque de raisonnement. Pour l'instant, cela semblait parfait, un peu de parfum qu'il avait reçu et voici un Thomas frais, rasé et disons élégant et décontracté.
Après avoir quitté la pièce, il retrouva le salon, dans le silence des lieux attendant que la Von Frayner décide à venir, avec ses parents peut-être sera-t-elle en retard ? Mais sagement il ouvrit un parchemin sur le cours des marchandises et attendit.
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Commença alors un drôle de manège, l'homme grimpait les escaliers les bras chargé et les redescendait sans rien d'autres qu'un sourire aux lèvres, dix, vingts, trente fois, peut-être même encore beaucoup plus, mais il cessa de compter lorsque tout fut prêt. Il était fier, peut-être que cela ne plaira pas à la blonde, mais lui trouvait cela merveilleusement beau et tout à fait représentatif de la soirée qu'il souhaitait lui faire passer. Bon la salle de bal ne ressemblait plus à une salle de bal et à son retour Sebastian qui notons le arrivera bientôt- allait l'interroger du regard, mais peu importait de toute façon au pire tous imaginerons le Ténébreux avec une catin et c'était mieux comme ça. Non pas qu'il apprécie les remarques sur sa vie et ses désirs. Mais tout de même, autant noyer les pistes autant que possible encore quelques années. Enfin quoi qu'il en soit la pièce étant prête, l'homme la ferma à clé oui à clé- et alla rejoindre sa chambre sur le même étage.
L'endroit était trop grand pour qu'elle soit vraiment au goût de notre ami, un lit, quelques meubles, une grande fenêtre et dans le fond à l'abri des premiers regards de quoi rédiger quelques mots, un bureau en soit, plus petit que celui qui était officiellement le sien, mais assez grand pour qu'il s'installe si l'envie lui prenait. Retirant ses vêtements dans la chambre donc, il observa son corps dans un miroir trop féminin pour que ce soit son genre. Celui-ci fut acheté par l'une des femmes l'ayant accompagner, Evaelle ou d'autres, il s'en fiche dans le fond et s'observe. Il n'avait jamais été moche, ni franchement trop beau, simplement un homme, grand, mince peut-être un peu trop en ce moment, une main toucha sa chair au niveau du ventre et il trouva cela pas assez épais pour être réellement attirant. Une cicatrise lui dessinait un trait maladroit entre sa hanche droite et le dessus de son nombril, quelques autres griffure ici ou là gâchaient le paysage heureusement caché sous sa chemise. Il approcha son visage et observa les azurs d'un oeil critique, puis sa lèvre encore blessée et finalement il trouva cela inutile. Détourant donc son corps du miroir, l'homme quitta la pièce aussi vêtu que le jour de sa naissance, après avoir suivit quelques mètres un couloir, il poussa une porte et trouva un bain chaud, enfin soyons franc, très froid. Tant pis, il y plongea les jambes, puis le corps et décida de frotter se chair ignorant les grelottements de sa peau.
S'en suivit une longue décision sur les vêtements à porter, il aurait aimer être à l'aise, mais tout de même pas trop. Aussi après des minutes -oui c'était pas une femme quand même- de longue décisions, il fini par enfiler des braies noir, une chemise blanche qui ne boutonna pas sa main blessée lui empêchant de le faire. Les retirer était facile, mais les boutonner demandait la présence d'Edmond et Edmond était pas là. Merde ! Comment allait-il faire maintenant, il aurait put ce taper la tête dans la main, si celle-ci ne lui lançait pas des douleurs parfois insupportable. Pourquoi ne pas avoir penser à ce détail, oh combien important, avant ! Tant pis, à tout problème une solution et l'homme trouvera bien un moyen de cacher son manque de raisonnement. Pour l'instant, cela semblait parfait, un peu de parfum qu'il avait reçu et voici un Thomas frais, rasé et disons élégant et décontracté.
Après avoir quitté la pièce, il retrouva le salon, dans le silence des lieux attendant que la Von Frayner décide à venir, avec ses parents peut-être sera-t-elle en retard ? Mais sagement il ouvrit un parchemin sur le cours des marchandises et attendit.
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