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[RP] Campement teutonique

Edwardiv
edward vu que c est frère était présent mais il vu aussi que l ennemis de sa belle mère est dans sont quand ro c est pas vrais soite il va bien falloir que je le suporte lui

il lui sourit quand même au préfait des vidames

il na pas intérêt de me parler de mon beau frère ni de ma soeur aza , ni de ma mère adoptive.



bonsoir mes frères

tous c est bien passer ritteur hob jusque ici?

je suis désoler de revenir scellement maintenant le voyage du retour ma fait prendre froid je est eu une maldie

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Hobb


Hobb vit arriver avec soulagement le Reiter Edwardiv. Il le lui dit :

-" Ah ! Enfin te voilà Reiter, je m'inquiétais. Comme tu vois, nos tentes sont assez nombreuses pour accueillir beaucoup de milites.
Humm, la maladie, en effet elle a sévi à Dijon aussi. Et sans doute encore.
Aussi il faut éviter de s'y promener."


Hobb dit cette dernière phrase en souriant.

-" Notre Ordensmarschall te donnera ses ordres pour la suite, soit prêt."

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Hobb
C'est alors que l'on porta au Ritter Hobb une annonce de la "vache folle" Angélyque.




-" Humm, voilà un document important, il faut transmettre cela à l'Inquisiteur pour qu'il se rende compte de quoi est capable cette créature du sans nom. J'ai appris que trois Milites sont tombés cette nuit sous l'attaque lâche des ennemis derrière les murs de Dijon, dont mon ami le Chevalier Karl de Hasselt de Rosslyn Chevalier de l'Ordre d'Aristote dict Isenduil Bellator francus Dei

C'est un acte de guerre !
As-tu compris Reiter ? "


Hobb, s'était attablé pour noter le nom du destinataire :
A Son Eminence
Vincent Diftain d'Embussy, Cardinal Romain, Chancelier de la Congrégation de la Sainte Inquisition, Grand Inquisiteur

Il signa :

Ritter Teutonique Hobb Siegfried VonKorwald
Chevalier d'Isenduil


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Edwardiv
je suis a vos ordre ritteur
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Mammylou
Marianne sourit lorsqu'elle vit arriver de part et d'autres les personnes venant et voulant défendre la Bourgogne de ceux qui avaient pris le pouvoir injustement faisant fi de la volonté du peuple. Elle vaqua a ses occupations comme a son habitude en toute discrétion. Après avoir fait sa prière du matin dès l'aube elle avait fait sa toilette et revestu sont uniforme de soldat sous sa tunique blanche de l'Ordre Teutonique.

Depuis combien de temps étaient-ils icelieu, pensa-t-elle. Il lui faudra aussi prendre le temps d'écrire à son aimé dès qu'elle en aurait la possibilité. Elle était certaine que si la chose avait été possible, il serait parmi eux en ce jour.

Marianne fit sa tournée quotidienne du campement veillant à ce que chacun de ses frères et sœurs ne manquent point de l'essentiel. Tout en les saluant au passage elle s'informait des dernières nouvelles. Puis elle aperçut le Ritter Hobb et se dirigea dans sa direction. Elle attendit qu'il eu terminé de parler avec un autre membre de l'Ordre pour le saluer à son tour.

- Dominus Vobiscum Ritter Hobb, est-ce que vostre épouse Hellvyra se porte bien en ce jour? Il faut dire que je ne l'ai point croisée bien souvent depuis mon arrivée. J'espère que tout va bien pour mon amie.

Elle attendit un court instant qu'il lui réponde pour demander ensuite:

- Quel est donc cette missive que vous tenez à la main?

Lorsqu'elle vit le contenu de celui-ci elle comprit.

- Il semblerait que nous sommes devenu bien nombreux si je puis me fier à ces écrits, à vouloir que la justice soit faite icelieu. Passez donc le bonjour à vostre épouse Ritter et dites-lui qu'elle peut venir me voir aussi souvent qu'elle le voudra. Si jamais elle avait besoin d'aide, je puis l'assister sans soucis aucun j'aime bien estre en sa compagnie.


Elle sourit et vit venir d,autres personnes qui s'en doute voulaient aussi savoir les dernière nouvelle. Aussi après l'"avoir saluer une dernière fois elle reprit sa ronde matinale.

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Hobb


Hobb finissait sa discussion avec le Reiter, lorsqu'arriva la Schwester Mammylou. Il l'accueillit avec un large sourire et avec ces mots :

-" Ma Sœur, Pax. Mon épousée va très bien, elle est en charge des malades et sa tâche est prenante. Tu devrais la trouver dans la maladerie. Et toi même, comment vas-tu ? J'ai bien les rapports de notre armée, mais je sais aussi que les milites enjolivent leur état de santé."

Hobb passa sa main sur son visage.

-"Quant à cette missive, vois tu elle me semble suffisante pour condamner Angélyque la "ca..."

Il ne finit pas le mot.

-" Enfin la fourbe à la botte d'Eusaia, à la condamner devant l'inquisition. C'est un aveu certain ! S'en prendre à des Chevaliers d'Isenduil ! A des Clercs, à des Bourguignons ! Enfin ce document doit parvenir à Monseigneur Diftain au plus tôt."

Hobb se remit à sourire. Mammylou continua sa ronde.
Le teutonique regarda le ciel. Il savait qu'il était là, quelque part à les observer, les protéger, non pas des vicissitudes de la vie, cela est leur problème, mais à la sauvegarde de leur âme.

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Le_moche
[ Près de l'enceinte de Dijon, dans Dijon et hors de Dijon, ou le périple d'un héros à quatre pattes ]




Le Moche avait passé l'après-midi à écouter le deux pattes, en bon chien pépère et attentif à son maître. Il ne savait pas trop ce qu'il voulait, le deux pattes. Mais il avait compris qu'il fallait qu'il aille encore près du mur. Mais pas pour y pisser cette fois. "Interdit" avait dit le deux pattes, avec son air le plus sérieux qu'il ne lui avait jamais vu. Le Moche ne savait pas trop si il pourrait se retenir de lever la patte, tellement il était beau ce mur, et tellement il était attirant pour une patte levée. C'était un peu devenu son quotidien de pisser contre ce mur, discrètement. Et là on lui demandait juste autre chose. "Tu vas être un héros" disait le deux pattes, "si tu reviens tu seras béni" qu'il avait dit à un moment même. Il ne savait pas trop ce que le mot béni voulait dire, mais il savait que pour les deux pattes, ça voulait dire être un peu comme un grand gentil, un brave, un bon deux pattes fort et courageux. Lui avait quatre pattes, enfin, trois et demi si on comptait celle qui boitait, trois si on comptait celle qui n'allait pas trop dans le sens des autres. Mais ce semblait tellement important, cette affaire, pour le deux pattes, qu'il allait tenter d'avoir les quatre pattes assez vigoureuses... l’ouïe fine, le geste léger, mais sûr, rapide, vif.

Il prit ce qu'on lui tendait de chiffonné dans le bec et s'avança à la faveur de la pénombre, pour se glisser près des portes de la villes. Il vit un ou deux rats passer devant son museau, mais il ne devait surtout pas lâcher le "trésor" de son museau. Il ne devait pas être tenté. Sa patte voulut bien se lever à l'approche du mur, mais il sut faire une méditation rapide et profonde dans son crâne dégarni pour s'en retenir. L'odeur risquait d'attirer un garde. Et le deux pattes avait bien dit qu'il ne fallait pas "titiller les gardes, ou leur foutre la frousse". Il devait se comporter "comme une ombre". Facile à dire. Une ombre suivait toujours quelqu'un. La sienne le suivait. Comment se comporter comme une ombre, sans rien ni personne pour la produire. Bref. Les deux pattes avaient de ces idées. Le deux pattes avait repéré le trou à rat, en venant près du mur lui aussi, peut-être pour sa petite commission. Le Moche s'y glissa, il n'avait pas de mal à y glisser. Il ne croisa pas un museau ennemi, lors de sa progression, juste une odeur de musc délicieuse qui le mettait en pâmoison. Mais il ne fallait pas s'arrêter et attendre un museau ennemi. "Comme une ombre". "Ne pas titiller". Il faisait ce qu'il pouvait. Il vit la lumière au fond à un moment, et sortit dans une rue, presque vide. Yavait des soldats, de ci de là, qui picolaient. Ils ne le voyaient pas. Ils ne pouvaient pas le voir, "comme une ombre" qu'il était. Personne ne lui jetterait un oeil ou deux. Il glissait contre les murs, évitant la lumière, "comme une ombre". Le deux pattes lui avait dit "le marché, comme à Thorens, là où il y a de la viande, de la bonne viande, c'est là que tu iras". A cette évocation, il se sentir saliver sur le truc chiffonné dans le creux de sa gueule. Il chercha le marché. Un peu plus difficile à trouver de nuit. Mais les odeurs elles restaient bien prégnantes sur les pavés, surtout celle du sang bien juteux, des tripes aussi... 'resalivage'. Il trouva finalement la place, où se promenait encore des gardes, des soldats. Il se demandaient où étaient le reste de la meute de cette tanière à deux pattes gigantesque. Mais il ne fallait pas trop réfléchir, parce que ça faisait mal au crâne, et que le deux pattes avait dit "fissa". Il attendit le moment adéquat et les soldats et autres gardes hors de vue, il éparpilla sur les étals qui se trouvait là les truc chiffonnés qu'il avait dans la gueule. "Il faut que le plus grand nombre sache", avait dit le deux pattes "il faut que le peuple de bourgogne sache qu'on le vole". Le Moche savait ce que voler voulait dire. Il s'était fait voler souvent, avant d'arriver à la Commanderie Teutonique, il devenait vieux à ce moment là, et il ne pouvait pas trop se battre pour garder la pitance que les bonnes gens qui n'avaient pas peur de lui lui donnaient. Y'avait toujours un cabot plus jeune et plus fort qui lui piquait sa pitance. Il avait eu de la chance de trouver la Commanderie. Pas Otto, qui bouffait tout. Mais le reste de la Commanderie et des deux pattes Teutoniques, qui l'avaient pris en affection, malgré les grimaces qu'ils faisaient en le voyant.

Il éparpilla donc les prospectus, sur les étals. Les gardes ne verraient rien, les gardes ça voit jamais rien. Ils ne le voyaient pas lui, si petit qu'il était, "comme une ombre". Les prospectus eux étaient encore plus petits, chiffonnés. Dans le fouillis qui trainait là, les gardes verraient "que du feu"... comme disaient étrangement les deux pattes, pour dire qu'ils ne verraient rien. Pourtant le feu n'était pas rien, ça se voyait. Bref. Ne pas réfléchir. Rester concentrer, ressortir comme on est venu...


Citation:
Peuple de Bourgogne, Dijonnais !

On vous ment, on vous spolie, on vous vole jusqu'au moindre denier !

La Duchesse et sa clique ( sous une couverture royale qui n'en est pas une, car de royal le roi n'a rien de sacré,) embauchent à tour de bras des soldats, des maréchaux, à la pelle ! Sur votre dos, à la sueur du Duché, sur les deniers de tout le duché, donc du vôtre, de vos bas de laine !

Si quelques mines sont fermées, vous croyez que c'est de la fautes des "envahisseurs impériaux" ? Une armée n'est pas faite pour fermer les mines. Si les mines sont fermées c'est pour assouvir leurs besoin de défendre leurs fessiers bien assis sur leur trônes de pacotille. Se défendre contre quoi, contre qui ? C'est pour leurs petites bouilles enfarinées très farineuses, qu'ils embauchent toujours plus de soldats, de gardes, pas pour vous protéger vous. Vous, vous serez la chair à acier, les premiers au front, pendant que eux, resteront cloués sous leurs couronnes usurpées !

De plus il paraitrait de source quasi-sûre que plusieurs personnes du peuple de Bourgogne, des bourguignons comme vous, qui pourraient être votre frère, votre femme, votre enfant, ont été molestés par ces armées de la terreur autorisées par les mégères qui se prétendent légitime !

L'armée en Bourgogne, l'armée à votre porte, Dijonnais, l'armée Deus Manum Ducit, est là pour vous libérer de ce joug qui vous oppresse qui vous envoie au front ! Ils ne se défendent pas, ce sont eux qui ont attaqué le château, non ? Ce sont eux les seuls et uniques coupables de la situation actuelle...

L'armée Deus Manum Ducit est une armée de libération, elle vient en Paix, pour vous, peuple de Bourgogne ! Dijonnais. Ouvrez vos fenêtres, ouvrez vos portes. Voyez comment on vous fait peur avec tous ces soldats, avec toutes ces paroles "ducales" mensongères ! Ouvrez les portes de votre ville, laissez entrer l'armée du Très-Haut, laissez entrer vos frères et vos sœurs, embrassez les ! Ils sont votre famille ! Ils sont votre Salut ! Prenez leur mains tendues vers vous ! Ne laissez pas vos gouvernantes mégères vous entrainer dans un bain de sang ! Refusez de participer à la mort de votre terre !

Anonymously, votre dévoué serviteur






Il reprend son chemin inverse. Et c'est presque le drame. Il sent une odeur divine. Une odeur de petite quatre pattes. "Comme une ombre". Rester concentrer. Ne pas défaillir. Ne pas réfléchir. Mais il ne put s'en empêcher. Il fit un détour, et regarda au travers d'une fenêtre d'une masure. A l'intérieur, il y avait la divine quatre pattes. Mais elle semblait malade. Tout comme les autres deux pattes qui l'entouraient. Le Moche tendit l'oreille et tenta de comprendre ce qu'il se tramait de dramatique. Et il entendit le père gommeler contre les dirigeants, la nourriture réquisitionné pour la guerre, "leur guerre". Les enfants pleuraient en silence, et la mère remuer un vieux gruau peu épais, très liquide comme de l'eau. Le Moche auraient aimé entrer, les consoler un peu. Mais il avait une mission. Il l'avait quasiment accomplie. Il lui suffisait de revenir sur ces pas. Et le deux pattes qui l'avait envoyé respirerait peut-être mieux que lorsqu'il était parti. Car il avait le souffle saccadé quand le Moche s'était éloigné vers le mur, et le trou à rats. Le Moche n'eut pas de mal à retrouver son odeur et son chemin. A la sortie du trou du mur, il tomba nez à nez avec un museau de rat. Par reflexe il l'attrapa et lui tordit le cou. Et alla le poser dans un fourré, ce sera son petit déjeuner. Pour l'heure, il devait retourner voir le deux pattes, en "héros"... de l'ombre, et il le retrouva au centre du campement.
Hagden
Hagden tapota le crâne du toutou venu faire son rapport. Il allait vers sa "Hag-charette", et en sortit un bon morceau bien faisandé de viande qu'il gardait tout spécialement pour le chien si spécial qu'était la mascotte teutonique. Il ne regrettait pas de compter un soldat poilu, enfin pelé plutôt, mais fidèle, et courageux, bien plus que certains hommes et femmes. Il avait reçu chacun des nouveaux arrivants et arrivantes au campement. L'opposition aux parvenues qui tenaient le duché grandissait, s'enflait d'heure en heure, comme s'enflait l'opposition en France au Roy Fol. Il y avait comme un vent, un souffle hors du commun, divin, qui mouvait tout ceci.
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Montbazon-Navaille, Ritter de l'Ordre Teutonique
Baronsengir
Un courrier de la capitale fut porté par delà les remparts de la main d'un coursier peu rassuré. Elle fut remise à l'un des teutoniques présents, mais l'enveloppe indiquait bien son destinataire.



Citation:
A Istar de Demessy,

Ordensmarschall, ma fille, Pax Vobiscum.

Je tiens encore à vous porter merci pour vos paroles et votre pacifique attitude à mon égard lors de mon entrée dans la ville.

J'ignore encore les raisons qui font que se déchirent aristotéliciens et je prierai pour résolution rapide du conflit. Je ne sais non plus, je ne le pense, si vous avez droit ou possibilité de mettre pied en l'intérieur de la ville ; auquel cas j'espère que vous aurez baume au cœur à ouïr les cloches de l'église résonner en cette matinée dominicale.

Que le Très Haut veille sur vous,

Baron Sengir, simple prestre.




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Hagden
Hagden flânait de ci de là. Il tentait de rassurer les troupes. L'attente n'était pas toujours évidente. Mais patience n'était elle pas mère de toutes les vertus. Les pions se créaient, se mettaient en place, bougeaient ou non. Bientôt viendrait le temps de la Vérité, du mouvement ou non. De la résolution de ce conflit bourguignon dépendait l'avenir de la région, mais pas seulement. Le royaume tout entier et même les royaumes, provinces voisines, voire étrangères se lançaient dans icelui. Un formidable élan de solidarité aristotélicienne se mettait en branle, pour faire face aux hordes sanguinaires et folles de la Sans Nom.

Le Ritter conseillait à tel ou tel, un coup à l'épée, ou au bâton. Il n'était pas Mestre d'Armes, mais il avait quand même quelques expériences militaires, de terrain. Il tapotait les épaules d'autres, qui semblaient découragés par cette attente interminable.

En regardant la ville de Dijon, il ne pouvait s'empêcher de se demander comment elle tenait en nourriture. Avec deux armées à nourrir. Une troisième qui s'amenait assurément à point nommé, et bizarrement neutre. Hagden se méfiait des neutres. "Qui ne dit rien y consent". Et c'est vrai que l'immobilisme de certains était suspect. Il espérait simplement que la Raison l'emporte sur le doute, l'immobilisme.

Tirant son épée chaque matin, il prenait une personne présente et s'entrainait avec elle, qu'elle fusse teutonique, bourguignonne ou autre. Il ne fallait pas se rouiller, rester prêt à toute éventualité. C'était une grande famille qui faisait fi quelque peut des bannières. C'était une "armée" de bonne âmes qui se "battaient", résistaient pour ce qu'il leur semblait juste. Les uns pour leur terre, les autres pour leur foi, pour que Vérité et Raison triomphe.

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Montbazon-Navaille, Ritter de l'Ordre Teutonique
Aorine
Aorine qui sortait de sa tente sentit un tapotement sur l'epaule
C'était le Ritter Hagden épée en main
Visiblement c'était elle qui lui servirait de sac pour son entrainement quotidien mais il n'est pas dit que ce sac ne ce défendrai pas

Elle lui sourit machinalement
Puis elle tira son épée de son fourreau, en lui jetant un regard mi taquin, mi défit... et pris la position ...

Quant vous voulez mon frère... un peu de sport ne me fera pas de mal
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Hagden
Le Chevalier vit la toute fraîche Schwester Aorine se présenter d'un tatonnement et se poster devant lui, prête visiblement à un petit peu d'exercice de mise en jambe et en coude.

Avant toute chose, et avant tout effort, rien de tel qu'une séance d'étirement. Combien ai-je vu de minots et de téméraires jeunes damoiselles rentrer dans le lard d'un adversaire, sans s'être préparés au préalable, les poignets, les genoux, et les réflexes ? Je ne les compte plus. Alors avant toute chose, déposons notre épée, faisons quelques petits échauffements dans les entournures et dans le muscle.

Il retira sa ceinture.Noua ses cheveux gris et longs en couette. Et commença à faire des étirements de droite à gauche, faisant pivoter son bassin, les mains derrière la tête...

Bien évidemment... un, deux, et comme il faut être toujours prêt... un, deux, il faut s'en tenir à ce que les os et la chair soient prêtes... un, deux, et que donc, ces exercices ne doivent pas être à négliger, un deux... et ce... un, deux, à toute heure du jour et de la nuit. ein, zwei... ein zwei...

Ensuite il tenta de se plier en deux, pour se toucher le bout des chausses sous lesquelles il espérait toucher les orteils. Mal lui en pris, il ne les toucha pas. Mais bon, son dos craqua aussi, mais, bon. Fallait faire bonne figure devant la bleusaille, les petits nouveaux et les spectateurs de la scène.Il se faisait bien, pas de doute.

Un, deux... un.... deux... ein... zwei...

Puis fit quelques pompes, et se releva en sautillant sur place, levant les genoux haut.

Voilà ! Tout ceci n'est pas à négliger ! Jamais, et il attrapa sa ceinture et sortit l'épée du fourreau. Maintenant, on peut passer aux choses un peu plus sérieuses...
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Montbazon-Navaille, Ritter de l'Ordre Teutonique
Aorine
Aorine eu de la peine a retenir un fou rire en voyant Hagden lui faire un cour sur l’échauffement
Le voir ce plier en deux, elle ne peut cacher une moquerie quant une grimace de douleur ce dessina sur son visage à ce moment la, mais elle joua le jeu et l'accompagna dans ses exercices avec un peu plus de souplesse...
Puis ce relevant elle osa quant même...

Vous avez tout a fait raison mon frère, et nous devrions tous faire ses exercices avant d'engager tous combat...


Le sens ironique de cette constatation n'était guère involontaire...
Elle ramassa a son tour son épée et imaginant tout les soldats aligner en première ligne et commencer a compté un... deux.... un ... deux....

Elle releva les yeux plus qu'amusée et ce mit en position...

Alors... commençons nous ?
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Hagden
Hagden attendait le premier coup de l'adversaire.

Vas-y ma soeur. A toi l'honneur de me "frapper la première". Tu as déjà tenu une arme en main auparavant ? Je veux dire dans le fin fond d'un champs de bataille boueux, avec les éclaboussures de sang, de sueurs, et les tripailles qui volent comme les têtes et autres bras ?

Il se dit que peut-être il y était aller un peu fort dans l'image...

Sommes toute, j'espère que nous n'aurons pas l'occasion de connaitre une chose aussi "bucolique"... Mais sait-on jamais. Il faut non seulement se préparer physiquement, mais mentalement, aussi... se préparer à voir le pire, la mort. La guerre n'est pas une joyeuse entreprise, quand elle débouche sur une boucherie. Nous prierons ensuite, pour que ceci n'arrive jamais...

Il lui intima de la main de venir lui assener le premier coup. Il n'avait pas d'armure, aucune protection. M'enfin bon, ce n'était qu'un entraînement après tout. Sa tunique matelassée contre le froid parerait au pire un coup ou deux.
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Montbazon-Navaille, Ritter de l'Ordre Teutonique
Aorine
Comment allait-elle là jouer, débutante inexpérimentée, débutante croyant tout savoir ou alors... a la soldats qu'elle était depuis des années, avec la guerre de Genève dans les pattes ainsi que celle contre Gène... et celle de Provence...

Elle pris son élan et l'attaqua par le haut puis estivant sa défense passa sous l’épée d'Hagen, elle tourna sur le coté de son adversaire avant de lui lancé une attaque sur les cotes stoppant sa lame à bonne distance...

Pensez-vous que je me soit assez échauffée ?
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