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[RP] Campement teutonique

Hagden
Esquivant les attaques, sauf la dernière, Hagden sourit.

Je pense oui. Tu est assez échaufffée. Je me fais vieux.

A ce moment là, un petit neuling vint à l'encontre du Ritter, il avait un long parchemin à la main, signée d'un tas de sceaux de la Pairie, condamnant l'Eglise, et reconnaissant le Fol de Roy. Il devint blême... Puis déchira le papelard en mille morceaux. Peine perdue, d'autres petits parchemins allaient et venaient entre les mains des personnes du camp.

Finalement, il va falloir être prêt à mourir. Le royaume est je crois devenu fou...

Et il leva l'épée au ciel.

Quitte à mourir, autant que ce soit pendant cette guerre. Pendant cette guerre contre la Sans Nom, qui a tissé sa toile comme jamais, dans le coeur des hommes, des femmes de ce royaumes qui se croient permis de donner des leçons à l'Eglise, Eglise qu'ils devraient respecter, car elle les couronne, respecter car elle baptise leurs enfants. Voilà comment la soif de pouvoir corrompt l'homme, et la femme. Ainsi donc, verrons nous le royaume brûler comme la cité perdue des Ecritures. Les flammes lècheront-elles leurs fesses bien assises sur leur trône de papier ?

Il parlait fort. Il était quelque peu énervé mais parlait calmement, fermement. Il y avait un moment qu'il n'avait pas été comme ça.

Ainsi donc les hommes feront encore et toujours les imbéciles, à péter plus haut que leur... C'est injuste et faux, tous ces mots... ! La Vérité est piétinée, bafouée... La Raison est perdue... Mais je me battrai pour qu'elles perdurent.

DEUS MANUM DUCIT !


Et il cria encore et encore ces trois mots, à la face du ciel, à la face du mur qui se dressait devant lui, devant ce mur dans le coeur de ces puissants devenus fous.
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Montbazon-Navaille, Ritter de l'Ordre Teutonique
Geoffroy
le Templier restait quelque peux a l écart il veillais discrètement dans ces rondes nocturne voila presque 20 jour deja... et toujours rien seul quelque bruit courais, la faim mais surtout la soif le fis revenir plus proche du camp quand alors deux personne se mire a faire des exercices. puis arriva a son oreille quelque parole

Citation:
Quitte à mourir, autant que ce soit pendant cette guerre. Pendant cette guerre contre la Sans Nom, qui a tissé sa toile comme jamais, dans le coeur des hommes, des femmes de ce royaumes qui se croient permis de donner des leçons à l'Eglise, Eglise qu'ils devraient respecter, car elle les couronne, respecter car elle baptise leurs enfants. Voilà comment la soif de pouvoir corrompt l'homme, et la femme. Ainsi donc, verrons nous le royaume brûler comme la cité perdue des Ecritures. Les flammes lècheront-elles leurs fesses bien assises sur leur trône de papier ?


en passant derrière l homme visiblement d expérience il lui répondit

Pax vobiscum
la mort n est point a craindre pour ceux qui la brave dans le but d apporter la lumière et la paix, apportant dans son noble sciage la justice
revenant a qui de droit


il les regarda brièvement d un aire amicale et respectueux
inclina la tête pour les saluer avent d aller chercher une boisson pour se réchauffé les main un peux plus loin

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Aorine
Aorine regarda son Frère Hagden, un peu surpris par sa colère soudaine
Elle laissa posé la pointe de son épée au sol et le laissa ce décharger impuissante...
Un homme arriva et lui parla un peu avant de s'en aller un peu plus loin
Alors elle le regarda et lui dit

Frère, regardez autour de vous
Vous êtes en colère et je le comprend le monde hors de ce camp n'est pas toujours responsable
Mais ici nous sommes tout ensemble
Nous avons réunis l'ordre, amis frères et soeurs
N'est-ce pas une chose merveilleuse ?
Je suis là moi, contente et fière... je me battrais au cotés de l'ordre, de vous et des autres...
Si je doit mourir sur ce champs de bataille ce sera à vos cotés


Elle le regarda essayant de lui soutirer un timide sourir
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Wilfred_ivanhoe
Wil occupait toujours la tente des freres Teutoniques,avec toujours Les différents blasons devant,d'autres tentes avaient été plantées aux alentours,celles de la garde épiscopale cette fois car les hommes de Will arrivaient au compte goutte mais bon leurs rangs grossissaient quand meme.
Will s'occupait des différents courriers a répondre pour Rome et bien sur pour sa chérie....

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Si vis pacem, para bellum
Hagden
Hagden sourit à Aorine. Un timide sourire, certes, mais un sourire quand même. D'autant plus qu'il recevait le soutien d'un frère templier.

Soit. Si ce devait se faire, il mourrait en martyr, si cela devait ouvrir les yeux ne serait-ce qu'à une seule personne en Bourgogne et ailleurs. Il ne mourrait pas à moitié, non, il mourrait l'arme au poing, en teutonique, en homme, en aristotélicien, en humble serviteur du Très-Haut... Il comptait bien, si le conflit débouchait sur un bain de sang, occire le plus d'excité(e)s possible, de menteurs, et de menteuses... Le plus d'idiots et d'hérétiques confondus possibles. Avant de tomber. Il en fit le serment.

Pour l'heure, il alla s'agenouiller pour prier dans un coin, en espérant que ce bain de sang n'arrive pas jamais... Mais au cas où, il était près à décoller quelques tête.


Prions ma soeur, pour ces âmes égarées sur la voie de la folie. Prions que pour que Raison soit retrouvée, et que la Paix règne encore et toujours...
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Montbazon-Navaille, Ritter de l'Ordre Teutonique
Aorine
Aorine accompagna son frère dans ces prières
Ajouta une pensée pour Mage ainsi que pour l'Ordre entier
Elle ne voulait pas penser a ce qu'il pouvait arrivé
Juste l'instant présent et l'apprécier
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Eleonoreh
Elle n'appartenait pas à ce campement, ni n'en faisait partie. Du moins c'était l'impression que cela lui donnait, de déambuler entre les tentes et tous ces inconnus affairés à leurs affaires guerrières.

Tantôt astiquant leurs armures et tantôt affûtant leurs armes, ces gens avaient clairement une idée de ce qui les attendaient. Pour n'avoir jamais eu à prendre les armes pour défendre sa vie, la brunette avait une appréhension qui lui sciait les deux jambes dès qu'elle essayait de s'imaginer un champ de bataille. Encore pire avec des gens dedans, hargneux et fébriles, faisant tournoyer dans les airs, leurs claires épées. Une épée, elle en avait une, un bouclier avec.

De se battre, elle en connaissait les bases, et pourtant avait peur de se trouver au dépourvu lorsque l'ennemi chargerait. Cette peur au ventre qui ne la quittait plus depuis qu'elle avait accepté de se joindre au combat pour les valeurs qu'elle partageait avec *les résistants* comme on les appelaient, lui arrachait des heures de sommeil et renfrognait son habituelle bonne humeur.

Fallait-il haïr ces hérétiques pour accepter de mettre ainsi sa vie en danger? Fallait-il craindre le pire si on leur laissait le pouvoir pour accepter de croupir dans un campement où la boue et la poussière s'imprégnait dans chaque fibre de tissus et chaque pore de la peau?

La quiétude de son foyer lui manquait, ainsi que ses deux enfants. Elle avait suivit son époux, Dnartreb, non pas de gaieté de coeur, mais par solidarité, par devoir, aussi et pour veiller sur lui. L'homme, par trop d'enthousiasme, savait attirer sur lui les foudres de ses compatriotes. Elle l'admirait pour ses coups de gueule et l'admirait pour la franchise qu'il démontrait envers et contre tous.

Mais là n'était pas le propos. Eleo cherchait Istar, la chef de l'armée, afin de la saluer et pour se rapporter à elle. Ils étaient venus, à son appel, et entendaient la soutenir dans cette croisade, malgré le fait qu'ils ne fassent ni l'un, ni l'autre, partie des ouailles teutoniques.

Tous ces gens lui étaient inconnus, mis à part Hagden , un ami proche de la famille des Demessy. Mais elle n'osa s'en approcher, de crainte qu'il ne la reconnaisse point. Elle héla plutôt un jeune homme qui passait et lui demanda:


- Mon ami, sais-tu où se trouve la tente d'Istar, le chef de cette armée? Tu peux me conduire à elle?


Acquiesçant du chef le garçon prit les devant et, manœuvrant entre les tente et les objets de toutes sortes, la mena devant une habitation de toile ressemblant, semblait-il , à toutes les autres. Le blason de sa famille flottait bien en évidence, devant la porte. Ça ne pouvait pas être ailleurs que là.
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Hobb


[Campement Teutonique]

Le Sergent Teutonique suivait déjà depuis un certain temps une damoiselle qui déambulait dans le campement elle ne semblait pas bien dangereuse, mais tout de même. Il mettrait "au trou" le garde de faction qui l'avait laissé entrer ainsi. Les consignes étaient clairs.

Personne n'entre sans l'autorisation d'un Haut Dignitaire Teutonique !


Le sergent se planta devant la visiteuse :

-" Dame, vous ne pouvez pas déambuler ainsi, sans permission ! Avez vous une permission ? Sinon, qui êtes vous ? Qui voulez vous voir ?"

Le Teutonique n'était pas menaçant mais sa fermeté toute polie, montrait néanmoins sa détermination. Et sa hache qui pendait le long de son bras n'appelait pas à une discussion bucolique.

C'est alors que Hobb passa par là. Il avait discuté avec les uns et les autres. Un délassement qui ne masquait pas complètement une certaine tension dans le camp. En effet l'on savait que des Réformés de Genève étaient en Bourgogne et ça n'était pas seulement pour le vin.
Il y avait même cette horreur de Luc la Misère le bien nommé. Et il ne venait jamais seul. Hobb s'adressa au sergent.


-" Feldwebel ! Was ist los !"*

Après une courte explication Hobb s'adressa à la Damoiselle.

-" Gente Damoiselle, vous ne pouvez pas circuler ainsi. Les gardes qui vous ont laissé passer seront punis.
Répondez aux questions posées par le sergent. Je verrai ce que je peux faire pour vous. Si vous êtes malade, il vous accompagnera à la maladerie. Si vous venez nous rejoindre, car vous prenez fait et cause pour notre mission, nous verrons avec notre Ordensmarschall Istar, où vous impliquer. "



* sergent que se passe-t-il ?
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Geoffroy
le Templier regardais les aller venu en se réchauffant tant bien que mal, suivais les discutions vague que l on pouvais entendre et pour le reste il manga son crouton de pain devant le feu mais en dehors du froid l aire s humidifia

après avoir avaler le bout de pain il sorti ces affaire puis se mis a monter une tente, tout en se demandant avec un tel froid pourquoi avoir attendu tout se temps la a dormir près du feu alors qu il était équipé de quoi couper le vent et être a l abri de la neige ou de la pluie.




une fois terminé il repris son bouclier et son casque afin d aller faire une ronde nocturne en saluant humblement tout ces frères et toute ces sœurs Teutonique sur son chemin ainsi et cela va sens dire que les brave hommes est femmes de foy venu participé a la croisade

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Eleonoreh
(Prise sur le fait)

On l'avait interceptée, bien qu'elle ne pensait pas à mal en venant se présenter ici. Sans doute que l'entrée était gardée, néanmoins, elle n'avait croisé personne lui interdisant l'accès. ou peut-être que son habituelle étourderie l'avait fait regarder ailleurs?

Et celui qui l'interpella avait un air quasi menaçant. Certes, personne ne l'avait invité. Elle n,avait même pas réfléchit à la possibilité que les allées et venues des soldats soient surveillés à cause d'éventuels espions, sans doute. Alors qu'elle ouvrait la bouche pour, à tout le moins, se présenter, Eleonoreh entendit des mots bruts, hachés venant d'une langue étrangère.

Celui qui les prononça semblait supérieur en grade au soldat qui venait de lui bloquer le chemin. Elle se tourna vers lui, résignée à rebrousser chemin, alors qu'il lui offrait la possibilité de s'expliquer enfin. Quand elle reconnu le nom d'Istar prononcé au travers d'un titre imprononçable pour elle, elle regagna espoir.

- Je suis Eleonoreh de la Gardelle, seigneure de Prades, vassale et filleule du comte Alexandre de Demessy. Mon amie Istar m'a demandé de la rejoindre ici, afin de partager votre cause.


Ça lui faisait tout drôle de déclamer ses titres de noblesse nouvellement acquis. Elle en était pourtant fière, surtout qu'ils lui avaient été octroyés par noblesse de coeur et non filiale.

-Votre campement est facile à repérer, messire, tant de bannières flottent partout. Je suis pourtant désolée de causer un tel émoi. J'ignorais que son entrée était interdite aux non initiés. Mais je vous en prie, ne punissez pas les gardes, je suis la seule responsable.

Si près du but, la brune espérait qu'on lui permettrait d'échanger quelques mots avec la comtesse et non la jeter dehors comme une pauvresse.
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Hobb


[ Résistances et Communs ]

Hobb salua main dextre sur le coeur

-" Voilà qui change tout, Gente Dame Eleonoreh de la Gardelle, soyez alors la bienvenue. Pour les gardes cela reste mon problème.
Pour ce qui est de rencontrer La Schwester Istar, je vais vous faire accompagner à sa tente. J'espère qu'elle sera disponible."


Puis plus bas :

-" S'il vous plaît ne la réveiller pas, si elle dort. Elle ne se repose pas assez."

Le Gouverneur du Camp appela un Reiter (écuyer) :

-" Reiter, mène Dame Eleonoreh de la Gardelle au près de notre Ordensmarschall. Reste sur place jusqu'à l'entrevue."

-" Gente Dame, bienvenue à vous encore. Qu'Aristote vous garde"

Puis il s'adressa au sergent :

-" Feldwebel ! Für Wachen : Reinigen Latrinen: zwei Tage !"*

* Sergent ! Pour les gardes : nettoyage des latrines : 2 jours.

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Eleonoreh
La brune sourit. Tant de cérémonial pour une petite visite à son amie... Qu'importe, il fallait suivre les coutumes des teutons.

Sous la confidence, Eleonoreh adopta même chuchotement: - Je ne compte pas déranger votre Schwester, capitaine. Je la connais assez bien pour savoir qu'elle peut se tuer à la tâche, quand elle le veut.

Puis, elle reprit, plus fort: - Vous êtes bien aimable, je verrai à rester discrète si la situation l'exige. J'aurai de bons mots pour vous, si vous me donnez votre nom? Vous connaissez déjà le mien...

Elle attendit quand même un peu avant de prendre congé.
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Hobb


[ Du cérémonial entre les Gentils ]

Eleonoreh a écrit:
- Vous êtes bien aimable, je verrai à rester discrète si la situation l'exige. J'aurai de bons mots pour vous, si vous me donnez votre nom? Vous connaissez déjà le mien...


Hobb mis main dextre sur le cœur et salua :

-" Soyez assuré que votre recommandation à mon endroit, me vexerai quelque peu, si elle ne faisait montre de votre gentillesse."

Hobb sourit. Puis continua :

-"Il est vrai que je ne me suis pas présenté, c'est dommageable et discourtois, surtout en Pays de France où ne parle - t - on pas de cet "amour courtois" aussi, qui rejoint je crois nos Minnesinger, poètes et chevaliers de la trempe de Wolfram Von Eschenbach le plus célèbre mais aussi Meinloh de Sevelingen. Puis viennent Friedrich de Hausen, Heinrich de Weldeck, Reinmar der Alte qui fut le maître d'un des plus illustres d'entre eux, le poète Walter de la Vogelweide. Ces poèmes dits de l'Aube sont des bijoux. Mais je me disperse .

Hobb Siegfried VonKorwald est mon nom,
L' Empire Romain et Germanique est ma patrie,
De profession suis forgeron
Et maître franc escrimeur
De l’art viril et chevaleresque d’escrimer,
Teutoniques et habitant De Thorens, Commanderie Teutonique.
Chevalier d'Isenduil de la Très Sainte Eglise
Epoux de la Schwester Hellvyra
Père de Jackson

Espère en le Très Haut et prends courage,
Car le bonheur vient tous les jours !"


Hobb sourit.

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Mammylou
Marianne faisait son devoir comme à son habitude. Sa ronde habituelle au campement Teutonique elle apportait de la nourriture au moche un bel os à moelle comme il les aimait tant. C'est que ce brave chien n'avait que la peu sur les os si ont puis dire ainsi puisqu'il n,avait aucune fourrure pour se réchauffer ce qui faisait qu'il pouvait bien faire peur à certaines personnes juste à le regarder. Mais il était d'une fidélité sans borne pour ses maîtres et tous les membres de l'ordre l'aimait beaucoup. Si seulement la moitié des personnes qu'elle avait rencontrer lors de ses voyages à la défense de la Vraie Foy étaient aussi fidèle le sans nom n'aurait point autant d'adeptes...

Elle était là dans ses réflexions lorsque Léon lui apporta un message en provenance de Autun. Elle se rendit dans ses cartiers pour lire en toute tranquillité la dicte missive. Elle s'empressa de briser le sceau qui la refermait afin d'y lire le contenu, les quelques mots qui s'y trouvaient lui firent plaisir et elle sourit en disant à haute voix:

- Chloée je crois que tu serais très fier de ton fils ma douce amie si tu étais encore parmi nous.

Oui il est vrai que ce serait le cas mais Marianne n'aurait point eu la chance d'être sa mère adoptive si tel avait été le cas. Mais elle aurait quand mesme fait parti de sa vie puisqu'il était le fils de sa meilleure amie.

- Il faut dire que le Très-Haut a parfois des projets pour ses enfants que mesme eux ignorent.

Toujours est-il que la jeune femme se sentait bien rassurée de savoir qu'il tenait bon malgré la situation dans laquelle il se trouvait, en ce moment. Elle avait été fort inquiète lorsqu'elle avait appris qu'il était cité à procès. Non point qu'elle craignait pour la droiture de son fils mais bien de celle des gens qui lui faisaient celui-ci. Mais aussi comme elle venait à peine de faire sa connaissance, elle ne savait point s'il pourrait avoir du soutien de personnes ayant une Foy inébranlable à ses côtés. Quelqu'un qui le soutiendrait en tout temps. Bien qu'elle sache que son amie de cœur la belle Ange se tiendrait à ses côtés quoi qu'il puisse arriver. Marianne était reconnaissante à la jeune femme d'estre près de lui. Un jour prochain ils seraient à nouveau réunis et ils pourraient en apprendre d'avantage les uns sur les autres.

- Chloée tu m'as demandé sur ton lit de mourante de bien veiller sur ton fils dès que je trouverais et de le prendre sous mon aile pour le guider et l'aimer comme toi tu l,aurais fait si tu en avait eu la possibilité. Sache que je vais adopter officiellement ton fils aussitôt que la chose sera possible et qu'il sera comme mon fils véritable. Je l'ai fait provisoirement mais je veux cependant que tous sache qu'il est maintenant mon fils. Je fais le serment de le protéger et l'aimer du mieux qu'il me sera possible de le faire. Que le Très-Haut m'aide et me guide afin qu'il en soit toujours ainsi.

Puis elle mit la lettre sous son armure près de son coeur pour l,avoir toujours près d'elle....

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Hobb


[ Il ne faut pas prendre les enfants du Très Haut pour des canards sauvages ]

Miguael_enguerrand a écrit:
Citation:
    Aux bourguignons et à tous ceux qui demeureraient fidèles aux idéaux de notre Duché et aux Enseignements de l'Eglise et de nos Prophètes.

    Attendu que des séditieux illégitimes se maintiennent au pouvoir au sein du château de Dijon, qu'ils ont pris par les armes au mépris de la volonté du peuple de Bourgogne ;
    Attendu que le conseil illégitime s'enhardit de recevoir le soutien de réformés et brigands patentés ;
    Attendu qu'il est nécessaire que le pouvoir revienne entre les mains de ceux que la Bourgogne a élu afin qu'ils ramènent l'ordre et cessent la saignée que pratique ce conseil illégitime envers les bourguignons ;


    Nous invitons tous ceux qui voudraient faire mouvement vers Dijon ou qui souhaiteraient en sortir à contacter Istar, chef de l'armée "Deus Manum Ducit", avant de prévoir tout mouvement. A compter de cet instant et jusqu'à nouvel ordre, toute personne entrant ou sortant de Dijon sera sévèrement contrôlée.
    Toute personne ne s'étant pas au préalable déclarée et n'ayant pas reçue de réponse positive de la part d'Istar prendrait des risques inconsidérés.

    C'est le cœur lourd de voir que la duplicité et l'envie de garder un pouvoir qu'ils ont usurpé m'oblige à vous faire une telle annonce.
    Faîtes passer le message à ceux auxquels vous tenez.
    Nous vaincrons les brigands, les réformés et les séditieux.

    Que le Très-Haut vous garde et que le courage et l'envie d'aller vers une Bourgogne plus juste et plus pieuse vous étreignent, mes frères et sœurs bourguignons.

    Miguaël Enguerrand de la Louveterie,
    Vicomte d'Avallon et de Sombernon
    Capitaine légitime des armées bourguignonnes.
Citation:




















Hobb fit immédiatement appliquer les règles pour cet état. Personne ne passe !

La décision était difficile, mais la situation était intenable. L'armée des brigands du Fatum s'est rallié à Eusaias et donc la Régence illégitime de Bourgogne.
Plusieurs sicaires du Lion de Juda sont dans les alentours et dans Dijon même !
Ainsi par ces faits la Régence a montré ses intentions hérétiques et malveillantes, malgré les simagrées d'enfumage des donzelles.


Le Teutonique, Gouverneur du Camp, fit hisser au plus haut le Fanion de la croisade :



Puis le fanion des Armes Saintes : Le fanion Teutonique à coté :
Il demande aux Ordres religieux présents de faire de même.

Il hisse lui même le fanion de feu la Noblesse Noire Helvète,
en hommage au passé glorieux :

Le clairon sonna le doublement de la garde du camp et l'envoi des Lanzereiter en patrouille.




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