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[RP] Campement teutonique

Mateo
Un rictus mauvais barra le visage de Mateo.
La femelle tombée à ses pieds continuait à jacasser comme une pie.
Mateo plaça sa lame sous la gorge de l'envoyée du sans nom, attendant que le Ritter arrive pour la faire prisonnière.


La ferme !

Appuyant un peu le bout de son épée sur la peau du cou.

Garde-le ton message !
Evidence
T'as raison..Vaut mieux parler au coq qu'à ses poules, hein?

Ya cents façons de réussir une mission.
Nettement moin pour en sortir vivante.
C'est le job comme dirait le Cartel.

Mais la il pousse.
Elle les sent à cran les fanatiques imperiaux.
Rien à voir avec le joyeux bazar plus ou moins fraternel ayant émaillé la campagne angevine.

Ceux la ils sont du style à se mettre du persil dans les oreilles si Rome le dit en Droit Canon.


Ritter...C'est quoi chez vous? Lieutenant? Capitaine? Caporal dédié aux latrines? J'entrave rien à vos grades espèce de saucisse.
Mateo
Une goutte de sang perla juste à côté de la lame.

T'as pas compris le message ? Tais-toi !

Qu'est-ce que tu t'occupes de ce que c'est un Ritter ?


Les espions, il n'aimait pas ça, Mateo. C'était une façon de mauviette de se battre, rien à voir avec un vrai combat.

T'es à la solde de qui ? De celle du Charolais ? De l'anti-roi ? A qui on doit envoyer tes restes ?

La lippe de Mateo remua et sa main serra plus encore la poignée de son épée.
Envoyer une femme en éclaireur, bien des airs de vilains, ça.
Evidence
Elle tapote du doigt, en levant les yeux au ciel(et comme il flotte, pan dans l'oeil, bien fait)pour désigner ses armoiries.

Celles de Cartel
De Cravant.

Sans doute de l'arabe pour un suédois, que de montrer ceci, mais on sait jamais.

Dans le secteur de la Loire et ici en Bourgogne, elles sont relativement connues.




T'as rien d'un héraut de toute façon.....


On a l'humour qu'on peut....
Hagden
Hagden arriva, car il avait remarqué la disparition du Moche. Il le retrouva plus loin, avec Mateo. Mateo étant aux prises avec quelqu'un. Le Moche restant impassible, il devait penser que c'était un jeu. Mais c'en avait pas l'air.

Hola, Mateo. Que se passe t-il donc par ici ? Retire ton épée, je m'en occupe.

Voyant que c'était une femme, n'en reste pas moins sérieux, sa main sur le pommeau de son épée rangée au fourreau.

Toi là, que fais tu ici ? Parles. Je te laisserai peut-être la vie sauve.
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Montbazon-Navaille, Ritter de l'Ordre Teutonique
Teo.
[ Du départ de La Moutarde en Croisade à l'arrivée au camp Teutonique ]

Rendue à l'évidence qu'Il ne reviendrait pas cette fois-ci, La Plume s'était fait violence... Elle ne deviendrait pas Sa princesse en allant à Paris, à Milan ... Conneries que sont les idéaux...
Le seul moyen de sortir de cet étau qu'était Son ombre, c'était de foncer. Tête baissée, mais de façon convaincue.

Un dernier coup de chiffon à la Moutarde, timbales et autres chopes lavées, essuyées et rangées, elle écrivit à Trisken avant de souffler les bougies. Toutes, sauf une. Celle qui trônait sur le comptoir, faite en une de ces cires se consumant lentement.
C'était la bougie qui devait éclairer Son Eldric, si le Très Haut lui rendait finalement, une fois pour toute.

La porte fut refermée à clé, clé qu'elle glissa au fond de sa poche, capuche cachant son minois, elle filait vers le campement. Pour la première fois.

Le vent fouettait ses joues mais le chemin était court et elle se hâta d'arriver prête à héler la première personne qu'elle croiserait.
Distraite par nature, elle ne prit pas la peine d'observer ce qui se passait à à peine deux pas... La réaction fut immédiate.


Rhaa m... euh... hola.....

Là elle vit une femme, à priori, pas en position de force... Boarf, c'est qu'elle le méritait hein, y'avait pas de raison sinon...
S'approcher ? Bonne idée, pour quiconque aurait eu envie de prendre un coup de lame perdu.
Rester là sans rien faire ? Bonne idée, pour n'importe qui ne savait pas cogner.
Savait-elle cogner ? Nan. Empoisonner, oui. Mais là ça semblait inutile. Cependant les faits ne trahissaient rien et elle eut vite vu de voir -bin tiens- qui était qui...
Bon celui qui a le dessus est un homme du campement, donc la vieille pouvait en prendre plein la gueule puisqu'elle n'en était vraisemblablement pas issue.

La situation était parfaitement maitrisée en tout cas. Alors elle opta pour ne rien interrompre au final... Restant spectatrice.. après tout, elle débutait hein ...

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07/02/1461 :Vous avez frappé Effelissianor. Ce coup l'a probablement tué. Encore 3 !
Mateo
Le Ritter Hagden arriva et Mateo obéit immédiatement à sa demande, non sans avoir lancé un regard noir à la bonne femme.

Cette femme est déjà venue hier soir, Ritter ! Elle rôdait et aujourd'hui, elle a franchi l'entrée sans autorisation.

Mateo ne rangea pas son épée, on n'était jamais assez prudent, et il se plaça aux côtés du Ritter, le chien près d'eux. S'il fallait intervenir à nouveau, il n'hésiterait pas une seconde à embrocher la femelle qui ne lui inspirait aucune confiance.

Du coin de l'oeil cependant, il vit approcher une autre femme. Bien plus...jolie et avec un genre bien différent.

Prudent toujours, il s'adressa à elle, sans manquer de regarder ce que faisaient le Ritter et l'espionne.


Bonjour. Qui êtes-vous et où voulez-vous aller, dame ?

Bien que plus plaisante à regarder, peut-être celle-ci aussi était-elle une espionne ou une éclaireuse, chargée de repérer les lieux.
Point de sourire donc mais un regard inquisiteur.
Evidence
Un camp teuton, c'est pas mignon.

Je la refais..Vos us semblent barbares. Quand une personne présente armoiries on décline ses titres et maisons puis on cause. Et tuer les messager cause parfois de funestes...Quiproquo.

Elle s'est un peu accoudée dans la boue, ça soulage son bras en ruine fendue.Ayant parlé en retapotant ses armoiries.
Faire vite.
Elle a perdue pas mal de sang.
Et encore tant à faire.


Je suis Evidence, de la Maisnie du Seigneur de Cartel, Vicomte de Cravant, et même Mignon du Roy pour parachever.
Le Joker sur ce jeu de carte que vous distribuez à vos hommes d'ailleur...


Elle tousse au lieu de rire.
Les méches détrempées de terre, le gambison dépenaillé pâr les chocs, le visage d'une paleur qu'une morte envierait.
Pas une beauté, c'est clair.

Mon Seigneur arrive.
Il revient de la guerre Angevine.
Il est l'auteur des Prêches qui semblent tant agiter vos si disciplinés soldats.
Il veut vous voir.
Enfin....Vous rencontrer...Car il est aveugle à présent.

Et il vous aura face à lui.
N'en doutez pas.

Sa Foi vaut au moins la votre.

Mort, vif, ou gisant comme je le suis.
Cela sera.
Car il a un message à donner, Messer l'Imperial.


Il ignore la teneur du message.
Mais connaissant la diplomatie de Falco et le fait qu'il ne s'autorise qu'une haine, c'est celle des fanatiques...Fort à parier que le message sera explicite.
Teo.
Jamais le regard porté sur l'interlocuteur, juste un regard fuyant, comme souvent. La Plume se vit questionnée par l'homme qui tenait en respect la femme qui à présent, était proie d'un second homme, balafré celui-ci.

Bonjour. Qui êtes-vous et où voulez-vous aller, dame ?

L'Empoisonneuse était toujours surprise de s'entendre appelée Dame.... elle était pas noble, habillée deux à trois tailles de trop.... ça finissait par la faire sourire, elle qui, si souvent, on avait appelée "Monsieur", avant de voir le fin minois qui la trahissait.


B'jour.... j'suis Téo. J'ai...ouvert la ptite taverne là tout près... j'suis conseillère ducale, de nom. J'suis dans l'armée d'Istar... Je passais....
Enfin... j'pensais être assez malconnue mais qu'on me reconnaissait de par mes interventions.... Boarf.... c'pas grave, j'vais rester là bas.. Pardonnez de débarquer, comme ça... J'aurais dû écrire.

La phrase était à peine achevée qu'elle s'apprêta à faire demi-tour. Elle n'était pas des leurs, fatalement, c'était logique. Pis au moins, avec sa Solitude, on la contredisait pas.
Au fond, sa place était-elle plus ici qu'ailleurs ?

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07/02/1461 :Vous avez frappé Effelissianor. Ce coup l'a probablement tué. Encore 3 !
Hagden
Hagden commençait à perdre patience, mais il avait pris de la bouteille. Il était révolu le temps où il aurait éjecté tout imbécile impudent de cette espèce. C'était pas ça d'ailleurs qu'on enseignait au Séminaire ? : la patience.... maitresse de toutes les Vertus.

Si nos us vous semblent barbares sachez que vos mots ne le sonnent pas moins à nos oreilles. Vous dites être la dame amie d'un grand monseigneur. Soit, vous ne semblez point y avoir gagnée en tempérance, en politesse... Qui donc se ferait l'insigne déshonneur de se pointer en un lieu sans rien dire à personne, ni le bonjour, ni l'au revoir, à déposer ça et là des torchons, d'après ce que je comprend. Des torchons qui disent tout et surtout rien et n'importe quoi. Si ce n'est qu'ils portent en eux la discorde, le doute. Tout ceci n'est que l'oeuvre de la Sans Nom : parler pour ne rien dire, insinuer, faire croire, prendre des grands airs, se la jouer martyr, ou amie de...

Je me nomme Hagden, Ritter de l'Ordre Teutonique.

La toisant de haut en bas et de large en travers.

Vous êtes peut-être la mignonne du roy, sachez que devant le Très-Haut vous n'êtes rien qu'une femme parmi d'autres. Les titres que l'on s'octroie, qu'on nous donne en pâture ne sont que futilités. Ils ne sont rien devant Lui... Et c'est à une femme que je m'adresse. A une femme blessée en l'occurence.

Il n'avait pas remarqué la blessure, trop occupé à surveiller les mains de l'impudente qui pouvaient sortir une lame cachée.

Ainsi, acceptez-vous donc qu'on vous soigne ? Ou attendrez vous les calendes grecques que votre maitre arrive... D'ici là, vous aurez rejoins l'Enfer Lunaire je le crains.

Il lui tendit la main...

Vous dites que "sa" foi vaut la mienne ? Quelle foi est donc plus grande que celle aristotélicienne qui m'anime et qui vous tend la main, alors même que vous y crachez dessus votre venin ?

Hagden savait ce qu'il faisait, et exactement où il voulait en venir.

C'est votre chance... Saisissez-là. Sinon, je ne peux plus rien pour vous. Vous aurez choisi vous même votre mort, et votre damnation éternelle.

Jette un oeil vers le ciel.

Il vous regarde, allez ! Qu'allez-vous faire ? Lui cracher au visage ?
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Montbazon-Navaille, Ritter de l'Ordre Teutonique
Evidence


Vous ne lisez donc point.
Anonner le Dogme de Rome demande déjà tant d'efforts pour vous autres..
Mon Seignur est aussi Aristitelicien que vous.
Mais sur un chemin autrement plus perilleux que le votre...Ritter.
Celui qui ne marche qu'avec des certitudes perd son âme en route.

Baste...Gardez votre main.
La boue me va bien.

Demain il sera en Bourgogne.

Elle tate son entaille profonde au bras, fait la lippe.
Entre finir dans un calmp de Teutons qui vont se faire hacher menus ou risquer une épée définitive..Elle préfére voir si son cheval voudra bien la reconduire à Dijon.

Waleran...Elle doit voir Waleran.

Elle regarde une dernière fois le Ritter.
D'un regard ou le calcul le dispute à la lassitude.

Ils sont toujours pareils.
SI imbus.
Si obtus.

Et pourtant il arrive à modifier le destin ou l'âme de certains. Quelle force anime son Seigneur? Qui est avec lui, en lui, quand il va au devant des impossibles ?
Elle regarde le Rittter en songeant à Cartel.
Si différents.


Votre pardon n'est pas gratuit.
Votre Amour jaloux.
Laissez moi me....Reposer...

Et lisez le...Mieux.
A Dieu Vat.


Ses yeux se closent.
Son corps semble s'aplatir dans la boue.
Elle respire encore.
Le sang suinte aussi encore.

Mateo
Toujours gardant un oeil sur la femme dans la boue et le Ritter, Mateo retint la visiteuse.

Oui, je connais cette taverne, j'y passe quand j'suis pas de garde ! Mais je ne vous y ai jamais vue. J'm'appelle Mateo. J'suis avec les Teutoniques, comme vous voyez. Y a pas de mal, dame Teo, pouvez rester. J'vous inviterai bien à boire un coup dans vot'taverne, mais j'suis d'garde, là. Plus tard, peut-être.

Mateo tenta un timide sourire qui eut cet effet bénéfique de lui faire perdre un peu de cette lassitude qui marquait son visage.

Vous la connaissez, vous, cette...dinde ? Du menton, Mateo montra celle qui se disait venir de Falco l'hérétique.

On d'vrait tous les pendre, ces suppôts du sans nom ! Et puis les brûler aussi !

Mateo était croyant parce qu'on devait l'être, comme on le lui avait appris et tout ce qui n'était pas aristotélicien était figure de satan, pour lui. Cette hérétique, là, par terre, il l'aurait bien embrochée ! Un mot du Ritter et ce serait fait !
Teo.
Le visage de la demi androgyne par raison, se décrispa un peu avant qu'elle ne remette un pied devant l'autre.
Finalement on lui disait qu'elle pouvait rester...
Un léger haussement d'épaules, d'incompréhension...

Soit, Téo était différente, même si chacun "faisait comme si" ou le niait. Certains arrivaient à distinguer qu'en effet, sous les épaisseurs d'étoffes, y'avait bien une donzelle. Mais nul ne s'arrêtait à ça.
Il était, en ce sens, bien plus simple pour chacun, de ne connaitre Téo qu'en surface.
Peu importe après tout, sans doute n'était-elle pas la seule sur terre à ne pas être née avec le corps qui lui convenait.
Elle, elle faisait avec ce corps qu'elle mutilait, discrètement. Personne ne le savait, personne ne le voyait. Et personne ne saurait, personne ne verrait.

Elle restait alors. Celui se présentant comme Matéo l'y incitant.

Puis sur le demi-tour de la Plume, Matéo enchaina au sujet de la vieille, visiblement pas décidée à fermer son calque merde.


Vous la connaissez, vous, cette...dinde ?

On d'vrait tous les pendre, ces suppôts du sans nom ! Et puis les brûler aussi !


Les prunelles grises azurées se détournent alors pour se poser sur la bonne femme qui répond, encore et encore par provocation ? Sans doute.
et le regard de la Plume s'élève à nouveau vers le visage balafré de l'homme qui la tenait en joug.
Oh bien sûr elle ne détaille pas et rapidement, reporte son attention sur Matéo.


Nan j'la connais pas...J'devrais ? C't'une espionne des harpies ? Faut y faire bouffer un peu d'boue nan ? C'est bon pour le teint y parait. Pis au pire bah...ça l'étouffera.
Mais savez, faut s'méfier de presque tout le monde en ce moment.
En plus, déjà l'autre fois y'a l'autre là... la Cul doré, elle doute de rien elle, elle s'est pointée dans la taverne .... la mienne hein !
Alors j'ai pris un muet portier. Elle causait de tunnel mais c'pas vrai, y'a pas de tunnel qui vient jusque là. J'vous jure plus ça va, plus leur hérésie s'confirme.

hemm.... Et alors la bonne femme là.... c't'une taupe ? savez, les vieux, c'est comme les lapins qu'on dit... un bon coup de bâton sec et claquant, juste derrière la tête... et paf ! Tuée qu'c'est.


Bin quoi ? Non c'est pas une barbare.... M'enfin y'a bien fallu qu'elle survive pendant ses dix années loin des villes...
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07/02/1461 :Vous avez frappé Effelissianor. Ce coup l'a probablement tué. Encore 3 !
Hagden
[ Alerte dans le Camp ]

Hagden entendit qu'on sonnait du cor et d'autres sonneries d'alarme. Le camp était attaqué. Il reagara la gueuse avec mépris.

Il semblerait que l'aristotélisme soit attaqué par un qui s'en revendique, en attaquant les premiers. Si c'est ça l'arsitotélicienne personne qu'est votre maître, je préfère m'en torcher le dèrche. Fout le camp, manante. Avant que ne te coupe en deux. Va rejoindre ton maître et dis lui bien que si c'est lui qui arrive, je le couperai moi-même en petits cubes, lui et son soi disant honneur, qui nous frappe dans le dos...

Le Ritter demanda aux autres de la laisser partir. De toute façon elle ne pourrait rien sur un champs de bataille, blessée telle qu'elle était.

Ce n'était qu'un leurre, une sorte de diversion, mes frères mes soeurs.

Allons ! J'entends qu'on sonne dans tout le camp, l'ennemi nous attaque, alors même qu'il se targuait de dire que nous étions les assaillants. La Vérité se dévoile ! En avant, frères et soeurs d'armes ! Pour le Très-Haut et la Sainte et Unique Eglise, allons leur montrer comment on se bat, comment on se bat pour l'honneur, le vrai, pour la foi, la vraie, pour nos enfants, mais aussi pour ceux qu'ils ont en face, et dont ils piétinent l'avenir, en venant nous piétiner. Mais nous ne nous laisserons pas piétiné, car notre cause est juste, c'est la plus juste d'entre les justes, car elle est guidée par l'Amour, le vrai !

Avec moi Teutoniques ! Avec moi Bourguignons ! Avec moi Templiers, Santiagos !

Sus à ces vers, ces engeances, envoyons-les tous en Enfer rejoindre leur maitresse, la Sans Nom qui les assoiffe de sang, qui leur fait faire ce qu'elle veut, surtout le pire...
!


Il attrapa son heaume que venait lui porter un Neuling, un Novice, qui semblait avoir peur.

N'aie pas peur petit, si nous devons mourrir aujourd'hui, ce sera avec dignité, et nous aurons le Paradis. Mais je compte bien en envoyer une bonne vingtaine d'en face sur la Lune, pour faire bonne impression. C'est que je dois me faire tant pardonner par Lui, aussi... Des erreurs de jeunesse, de vieillesse venant.

Il siffla le Moche, et monta en selle...

Brandissant son épée et le drapeau Teutonique....

Deus Manum Ducit ! Deus Manum Ducit !

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Montbazon-Navaille, Ritter de l'Ordre Teutonique
Mateo
Mateo n'eut guère le temps de répondre à Teo. Il aurait bien continuer la conversation avec elle, ça l'aurait changé un peu de celles des soldats, grivoises le plus souvent. Mais le cor sonna l'alerte !

Mateo jeta un regard méprisant à la femme toujours à terre, espérant en son for intérieur qu'elle pisse le sang jusqu'à la mort.
Se tournant vers Teo, il tenta un sourire.


Désolé, dame Teo, faut que j'y aille !

Il lui fit un signe de la main et courut jusqu'à la tente où il s'équipa pour la bataille qui allait avoir lieu, priant le ciel de lui accorder de trancher quelques hérétiques.

Deus Manum Ducit ! Deus Manum Ducit !
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