[RP]Une nouvelle vie au chateau du Cambrésis

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Une fois revenue avec des draps et de l eau chaude .... Malignia posa les draps sous les fesses de Bique et lui ordonna de pousser .
Elle vit la tête du bébé sortir ....avec l'aide de Chany elle dégagea les épaules ; et à la dernière contraction le bébé sortie accueillit par les mains de Malignia .....
C'était une fille ... Le P'tit Bouchon déjà blanche par les événements ( se jurant tout bas qu'elle n'aurais jamais mais alors jamais d'enfant ... enfin dans l'immédiat ..) devint carrément livide . La petite était magnifique , bien formée et commençait à hurler ( tient comme sa mère !! ) ... Mais Malignia se souvenait des mots de Bique

Elle avala sa salive ... ils allaient devoir ruser elle espérait pouvoir compter sur Bayard et Chany ... Discrètement pendant qu elle se préparait à couper le cordon , et à tremper ses ciseaux dans la flasque de Cognac que Chany lui tendait elle lui murmura , rapidement

" Attrape la buche de bois la bas s'il te plait ... c est une fille Bique va d'abord la refuser et vouloir la mettre dans le puits on va détourner son attention ... je mettrais la buche dans les linges à la place de la petite et après avoir montrer l enfant à sa mère , je garderait la bûche avec moi et Bayard et moi on jettera la bûche dans le puits si elle le demande pendant que tu amèneras la petite à l'intérieur après se sera à Groland de se débrouiller avec sa femme et sa fille "

Elle coupa le cordon et annonça parlant beaucoup pour détourner l attention de Bique de Chany et de se qu elle faisait

" Tout va bien Bique ..... dans quelques minutes tu auras ton bébé dans les bras , un magnifique bébé bien comme il faut avec le nombre de doigts qu'il faut , et tout et tout ...
Quand elle vit Chany prête et qui lui fit un signe de tête elle annonça
en mettant le petite paquet dans les bras de sa mère

" Regarde tu as une adorable petite fille ... "
elle attendit la réponse de Bique priant à Aristote de s'être trompée
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hein..heu ..oh oui bien sur !

La brune fila vers les cuisines et attrapa l une des bonniches présente

crénon didjou , spèce de fainéante tu sais donc pas que la comtesse est en train d avoir son bébé, bouge toi les fesses avant que je ne te les bottes et apporte de l eau chaude et des draps propres près du puit!

Elle lança un regard noir a la servante

et magnes toi hein , que je doive pas revenir!

La brune regagna ensuite les autres..n en avait du monde quand même pour cet évènement, quelle idée aussi d accoucher près d'un puit ? La biquette voulait noyer l'enfant si il lui convenait pas ? mmmmm la brune surveillerait ca de plus près!

si tu veux un coup de main Malignia je suis la

oui enfin elle était là , elle gardait le souvenir d un accouchement et se souvenait que cela pouvait tacher quelque peu

Tu peux aussi désinfecter avec du calva

mmmm calva , quant à faire autant qu on boive pendant que Bique pousse ^^
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Malignia cru un instant que l'arrivée de son parrain allez peut être un peu arranger les choses .... oui enfin dans ses rêves les fous hein !!!!!!
Entre la biquette qui hurlait , le nain qui faisait n'importe quoi ( Non d un petit bonhomme déjà qu'elle appréciait moyennement les nains là elle allait faire une allergie c'était sur ) et le Bayard qui avait l'air aussi perdu qu'elle
la situation dégénérée encore plus

Pendant que Bique serrait la main du chevalier , avec une force étonnante et surement décuplée par la peur , Malignia en profita

1 pour mettre une claque au nain en lui disant
" Ferme ta boite à camembert toi ou je te réduis en charpie et je t offre à manger à la Mouillette et au flamanDT Rose du Braillard !! J'ai déjà cramé un nain je peux en faire exploser un autre !!!!! "

2 pour regarder sous les jupes de Bique et essayer de voir ou en était le travail
" Bique s'il te pait ... se serait bien si tu me laissais regarder hein ..... desserres les cuisses s 'il te plait ....

lève la tête livide

" Heuu parrain je crois que on va pas pouvoir lui ordonner de rester là ou il est à ce petit ... je vois déjà le haut de sa tête ..... Quand à Doudou j ai déjà envoyé une boniche le chercher mais vu qu'elles ont pas l air bien malines je sens qu on va devoir faire sans ... Allez haut les coeurs va falloir le sortir ce bout de chou ... "


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Le soleil continuait de briller, on pouvait apercevoir les têtes des boniches qui depassaient des haies, ont ls entendaient également chuchoter. Les oiseaux chantaient, les feuilles des arbres bruissaient sous le vents. Bayard agenouiller auprès de Bique lui tenant la main et parlant a son ventre, Malignia sous la jupe a examiner si bébé arrivait. On aurait pu trouver le cadre idyllique si Bique arrêtait d'hurler.

Pendant que Bique continuait a Hurler a tout va, Chany fit son entrée.

Faite taire le nain cadeau sinon je le mords a chaque contractions AAAAAAAAAAAAAAH ....Soufflements... Chanyy tu es de retour soit la bienvenue..AAAAAAAAAAAAH...écrasement de main...Soufflements..... mais là je suis un peu occupé pour te faire la conversation....AAAAAAAAAAAAH...écrasement de main...Soufflements....Je vais faire payé l'entrée pour assistée a l'accouchements moi ....AAAAAAAAAAAAH...écrasement de main...Soufflements....10 écus pour rester debout et 20 écus pour s'assoire....AAAAAAAAAAAAH...écrasement de main...Soufflements....

Malignia sorti de sous la jupe de Bique pour annoncer

AAAAAAAAAAAAAH ....écrasement de main...Soufflements... mon dieu je veux pas pousser ...AAAAAAAAAAAAH....écrasement de main...Soufflements...Doudou est pas la AAAAAAAAAAAAAH...je veux pas pousser, sa pousse nan .AAAAAAAAAAAAh....écrasement de main...

Bique de toute évidence devait pousser , après tout même si doudou chéri n'était pas là , elle n'était pas seule et puis fallait vraiment y aller. Bique respira profondément , puis attrapa ses genoux tandis que Bayou soutenait sa tête , Bique poussa tant qu'elle pu. Elle poussa encore et encore suivant les conseils de Malignia.
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S'installe sur un banc à côté de Bique et discute avec elle en regardant les domestiques faire leur travail

" Bahhhhh Bayard s’échine à tout dépeindre notre merveilleux travail ... je suis passée par chez lui .. il se baladait sans son armure houlalalala c'est agréable à regarder ..
Sinon Cambrai .. c'est Cambrai ... ses pelles ses tartes et tout le reste

en faite je suis venue parce que Dimanche avec les tournées qui s'enchainaient , j ai oublié de te donner ton cadeau d'anniversaire . On la choisit ensemble avec Luzi j'espère que cela te plaira ? "

Lui tend un paquet blanc aux nœuds d'or

" désolée pour le retard de la part de Luzi et de moi même "
elle espérait que le cadeau plairait à la Biquette ... Au début ils ne savaient pas quoi prendre ... à force de réfléchir ils étaient tombés d'accord pour ce cadeau là .... rien de mieux pour la Déesse de Sade que de pouvoir contempler sa beauté non donc ... un énième miroir ne lui ferait pas de mal



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Malignia sourit au plaisir de Bique ... bon ils avaient fait le bon choix avec Lulu ( faut dire à eux deux ils commençaient à bien la connaitre la Déesse de Sade .... )

" Je suis bien contente que notre cadeau te plaise ... luzi voulait venir mais il est occupé je ne sais où avec les bourrins ... enfin il me semble tu sais je m'occupe pas trop de ça ... "

Elle aida Bique à se lever , vit sa grimace et en l aidant à rejoindre le salon d'été , à s'installer confortablement et demanda

" Dis moi tu vas bien ? t'es sure ? Je sais que Groland t'as demandé de te reposer et de ne pas quitter le domaine .... mais tu vas bien ? je te vois grimacer là et te tenir le ventre ... tu as mal ? "
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Malignia discutait avec Bique de fleurs ( qu'est ce qu'elle y connaissait en fleurs le p'tit bouchon ??? rien du tout mais bon si ca faisait plaisir à Bique ) quand tout à coup cette dernière se mit à ..... hurler , brailler , pleurer et donner des ordres tout cela en même temps ... Y a pas à dire elle était très forte pour ça la Biquette . Au milieu des cris de la Bique elle compris quelques mots comme " Bébé , arrive , pas toute seule chercher Doudou chéri son amour "
la Comtesse de Cambrésis était en train d'accoucher .......

Voyant les bonichettes complétement affolées ( apparamant dans cette maison les cris de la Comtesse devaient être prit comme le signal de l affolement et du grand n'importe quoi .... ) elle en attrapa une par le bras et la secoua un peu pour la faire revenir sur terre

" Vous oui vous ... calmez vous un peu La comtesse n'est pas la première à accoucher et ça ne sera surement pas la dernière ..... courrez à Cambrai à la mairie prévenir le Comte Groland .... même si Dame Bique hurle assez fort m'étonne qu'il l entende .... et faites vite .... oui oui la mairie de Cambrai ... oui il est surement la bas si vous ne le trouvez pas ? faites le tour des tavernes si il le faut ... mais ramenez nous le Comte et fissa !!!"

les autre bonichettes restant sur place elle ordonna

" vous vous et vous il va nous falloir de l'eau chaude et des linges propres ... enfin je crois ... enfin c'est ce que disait ma tante elrs on va chercher tout cela et vite !! !! "

Puis se tournant vers Bique elle soupira ... n'ayant jamais eu d'enfant elle même et n'ayant jamais accouché une femme de sa vie le p'tit bouchon tenta d'être pratique dans la débâcle qui s'annonçait ... Bique ayant l'air complétement hystérique elle essaya de garder son calme ... elle attendrait plus tard pour faire une crise de nerf ... son amie avait besoin d'elle

"Heuu Bique arrête de hurler s'il te plait .... j'ai envoyé quelqu'un chercher ton médecin de mari ... je reste avec toi , même si n'ayant aucune connaissance en ce domaine je vais pas t'aider beaucoup .... j'ai envoyé tes gens s'occuper un peu ... tu veux t'assoir ? rester debout ? "

biqueeee s il te plait arrête de hurler tu m'aides pas beaucoup là !!!!! respireeeeeeeeeeee "

la situation tournait au grand n'importe quoi !!! Vivement que Groland arrive il semblait le seul à pouvoir calmer sa femme et accessoirement Malignia qui sentait la panique monter en elle
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C'était po possible z'allait tout boire pendant que j 'aidais ce type. Bon bah quand fallait y aller hein y fallait. Surtout pour Birque la déesse de Sable.
C'etait y vrai qu il avait bon gout le Comte, m'enfin fallait décharger toute ses caisses, humm ..de la crème de framboise, sa devait couler dans le gosier comme du p'tit lait.

Oh non m'sieur jamais je boirais se qui est destiné a Bique la déesse de Sable, elle me ferais couper la tête.

Bon béh je vais courir l'avertir et lui donner la facture, ah un de ses quatre l'ami.

Je courra donc dans tout le château cherchant Dame Birque de sable, aprés avoir couru de bas en haut, la trouva toute en beauté assise a euh .. s'admiré? Qu'elle était belle, enfin on bref.

Dame Birque déesse de Sable votr' cuvée pour la statue en or viens d'arrivé, c'était y combien de caisse qu il m'avait dit le gars? Ah oui 12 caisse de 24 ? ah nan 24 caisse de 12. Et que voici la facture.

Je déposa le parchemin sur la petite tale a ses coté puis apres mainte courbette je suis sorti et retourna a ma bière qui m'attendait.

16 Avril 1461

Par une belle journée Malignia prit le chemin du Château du Cambrésis ... cela faisait quelques jours , en faite depuis la mémorable cuite prise lors de l anniversaire de Bique , qu elle n'avait point vu cette dernière . Bourée et cuitée ( comme les 5 autres pochtrons ) elle en avait oublié de lui donner son cadeau qu'elle même et Luzi avaient choisi ensemble pour leur amie .

Elle se prépara donc tranquillement , confia la boutique aux bons soins de Galdrik , vérifia une énième fois qu'elle n'oubliait pas le présent pour la Biquette, râla après Luzifer absent à trainer dieux sait où avec les bourrins , mais décida qu'elle ne pouvait plus décemment retarder cette visite ... l'anniversaire de Bique c'était quand même le 13 avril et pas le 16

Bref ... s'étant fait toute belle elle monta sur son âne Caedes ( cousin de l’ânesse Tsarinette de tata Niria ) et prit le chemin du château .
Arrivée aux grilles elle se fit annoncer laissa son têtu d’âne aux écuries et suivit le chemin indiqué par les gardes ... le jardin où la Comtesse se reposait .

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Un jour était arrivé un cauchemar. Comme si une M'Dame Bique la Déesse de Sade ne suffisait pas, en voila qu'une deuxième venait d'arriver. Encore plus grande, plus belle, plus dorée. Jusque là tout était parfait, après tout ma patronne était magnifique ca personne ne dirait le contraire. Mais cette statue était devenue notre pire cauchemar. Quand nous n'étions pas en train de servir la blonde Comtesse, nous devions frotter, astiquer celle dorée. Et en plein hiver, l'huile de coude ne suffisait pas à réchauffer.

Pff...Manquait plus que ca, une deuxième M'Dame Bique la Déesse de Sade...

Je soupirais, grommelais, mais a voix basse, pas question que la patronne m'entende sinon je ne donnais pas cher de ma peau.
Enfin pour le moment je frottais, j'astiquais, attendant le jour où tomberait la revanche Comtale.
Un cracha par là, un autre par ici, le tout récupéré par le torchon qui permettait de tout faire briller.
Et sa dernière idée, faire payer pour venir voir son clone en or...tsss comme si les gens allaient venir pour encore la voir....
Grommelant de plus belle je continuait de frotter, les bras engourdis par le froid.

Galdrik ; homme de confiance bougon râleur , de la famille KNB arriva en Cambrésis avec un chargement un peu spécial ... Malignia la nouvelle propriétaire de la distillerie KNB lui avait confié ce chargement afin de remplir une commande que lui avait passé La Comtesse Quonsort pur l'inauguration de sa statut en or

Le vieux bougon en avait vu des trucs bizarres avec ces nobles mais là ... une statut en or ... et pour quoi faire ... enfin bref lui était là pour livrer la marchandise
Il s'arrêta aux grilles et montra le bon de commande aux gardes qui le laissèrent passer . Il prit la direction de la porte de l'office et attendit un petit moment , il pouvait pas laisser les caisses dehors comme cela et puis il avait la facture à donner quand même .

Le bougre, il l’avait abattu sournoisement, c’est clair que si le comte aurait daigné le défiez convenablement il lui aurait bottez le cul, un coup sur la gueule, un dans le ventre et Bam ! Quoiqu’il en quoi, la peur fait agir les hommes en lâche, mais la fin justifiais les moyens. La victoire était celle du comte. Brandon, ah se bon brandon avait la tête qui tourbillonnais, on dira ce qu’on voudra mais le sang qui s’échappais de ses quatre nouvelles espaces libres, lui donnais une apparence de fontaine de luxe. Sans grande éducation le manitou de la révolte eut du mal à tous comprendre le langage et l'utilisation de certain mot du comte, quoi qu'il en soit c'étais trop tard.

Chaque guerre fait des dommages collatérale c’est inévitable, L’empêche que le révolté avait ramené l’alcool en tenant tête à cette folle de sorcière. Il était en quelques sorte un héros obscur, pour la liberté du peuple, il donnait sa propre liberté^^

Les cachots l’attendaient, quel sort on lui réservait? N’importe quoi, pourvu qu’il puisse un jour allez pissez sur la tombe de cette Folle dingue. Alors qu’on l’escortait vers les cachots il pointa la boniche du regard en lui balança difficilement un ‘’Traitresse’’ rempli de sifflement cause de ses temps perdu.'‘J’aurais mieux fait la brulé cette grondasse! La brulé c’est ta faute je me vengerais! Ta vie en sera le prix de mon échec…. Mouahahahah’’

À suivre un jour peut-être

Bique attendait désespérément que Groland l’entend. Le visage rouge, couverte de larmes elle entendit d’un coup la foule se taire, elle releva la tête et vit son prince doudou chéri mon amour qui venait a la rescousse. Elle sourit sa y est tout était fini et les abruti de boniches fuyait c’est qu’il ferait peur son doudou d’amour.

Bique voyait Bonichette qui s’apprêtait à partir elle l’interpella.

Bonichette !! Va me faire préparer un bain tu auras ta punition dans les jours qui viennent. Quand mon bain sera prêt je te conseil d’aller te saouler.

Bique souriait jusqu’à l’oreille, Bonichette allait le regretter et il est clair qu’elle ne recommencerait certainement pas.

Hmmm dis-moi ma déesse, Hulk, ça fait longtemps qu'il n'a pas eu de femme non? ça ne lui dirait pas un petit trou du Q pour son plaisir?

Mais euh... Doudou Hulk a jamais eut de femme pas tant que je serais vivante mon pauvre bébé. Colle le au cachot sa lui apprendra.

Groland détachait soigneusement Bique et la prit dans ses bras pour l’emmener dans la salle de bain là où il la soignerait.
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Oula que n'avais je pas dit? Ou qu'avais je dis au contraire? Je sentis de la fureur dans les yeux de Brandon aussi je me reculais d'instinct, le courage que j'avais eu dissipé presque immédiatement. La tête baissée, je ne disais rien, je priais silencieusement pour qu'il ne commette pas de folies. "Tu as très bien fait Bonichette, il fallait que quelqu'un lui dise!!"
"Pff on va encore louper une occasion de s'amuser...."

A ces mots, moi Bonichette, je relevais la tête et retrouvait le sourire. Je m'empressais de courir vers les cuisines pour en revenir tout aussi vite avec un fut roulant devant moi. Me suivaient, deux autres femmes, cuisinières de leurs espèces qui portaient chacune une bassine.
Sa Grandeur, M'Dame Bique la Déesse de Sade est installée, pas vraiment confortablement, au pilori, et ses jolis petons sont placés dans les bassines. Le fut est mis en perce, les bassines sont remplies, avec un petit prélèvement au passage. Hum....

Mais déjà je m'éloigne, rejoignant le camp des lanceurs."Un navet, prends un navet!!! Celui qui est bien violet là, ouiii ouiiii luiiiiiiii!!!!!"

J'écoutais la petite voix dans ma tête, la deuxième semblait se taire. Que pensait elle de tout ca? Mais je ne m'en inquiétais pas longtemps. Déjà le navet était parti en direction de M'Dame Bique la Déesse de Sade.
Heureusement pour elle j'étais pas douée au tir, et le navet vint ricocher contre la planche en bois.

Mince..loupée...

Mais sans me laisser abattre je recommençais, m'appliquant au lancer et cette fois!! Bingo! Une autre fois je me loupais, problème surement d'équilibre et la pomme fit un grand "splatsh" dans l'une des bassines venant atterrir sur l'une des petons.

Tandis que Brandon brandissait fièrement l'étendard de la "révolution", un encapuchonné, visiblement vieux, boitant bien que visiblement massif s'approchait péniblement aidé de sa cane de ce "chef" autoproclamé.

Arrivé à porté, il envoya un "coup de pied figure" d'une violence inouie, nommé aussi "mawachi geri", 4 dents volèrent ici et là, et Brandon tomba inconscient devant la foule stupéfait... ne sachant comment réagir.

L'encapuchoné enleva sa capuche, laissant apparaitre un Groland un peu decker, comme un lendemain de fête... il avait d'ailleurs fait la fête hier.

Il se gratta la tête perplexe.... et déclara

Mais c'est qui ce phylécastrope?
J'ai le réveil assez mauvais, surtout les lendemains de fête.

Grolandais, Grolandaise!

Ceci est une révolution montrant une bouteille
La nouvelle Tastevine!!! Encore plus fraiche, encore meilleure, encore plus festive!

La foule hurla de joie et tout ce beau monde courra vers les nombreux bistrot, troquet laissant Groland avec sa bière, Bique un peu ébété et "Bonichette".

Groland s'étira, bailla.... les yeux encore "fatigué", attrapa une corde et empaqueta le "Brandon" tout en bougonnant.

Mais qu'est ce qui arrive à notre bon peuple? On dirait qu'ils sont en manque d'alcool....

Hmmm dis moi ma déesse, Hulk, ça fait longtemps qu'il n'a pas eu de femme non? ça ne lui dirait pas un petit trou du Q pour son plaisir?
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C’est qu’il lui aurait mis une baffe à cette bonichette pour lui apprendre à le contredire, mais il n’en fit rien, le bucher trop facile? Il n’en n’était pas certai. Lle pilori semblais une bonne idée également ceci dit pour que la sorcière passe le reste de son existence dans la peur et la crainte. Et si elle avait raison, et que s’il s’acharnais à vouloir la cramé, et qu’il était lui même sous l’influence du sans nom, que sa colère et sa haine l’avait aveuglé au grand plaisir de se dernier. Tous ceci dans le simple but, qu’il commettre le sombre dessein de renversé les choses. Il est dit, que le fort ne dois pas dominer le faible, mais si le faible renverse le fort devient t’il le fort? Donc le mal? En quel mesure l’opprimé peut’il se défendre sans devenir lui-même le tyran?. Il fit attendre les gens en possant sa main sur son menton puis reflechis.

Va pour le pilori, mais je veux qu’on lui plonge les pieds dans une bassine rempli de bière tous le long de son sévice, pour qu’elle comprenne que le Cambrésis c’est la sueur des fronts, du sang versé et de la bière ingurgité. Je veux qu’on lui balance seulement de la nourriture fraiche, des mais des pommes et tous ce qui est potentiellement dur, enfin qu’elle comprenne que les terres du Cambrésis sont fertiles, qu’elle peut essayez de se vengez en nous tuant, mais que cette terre lui donnera de par elle-même de nouveau adversaire à combattre.

Le Cantinois lui offrit sont plus beau sourire, avant de pointé le pilori sous les quelques déception de la foule qui semblais quand même un peu enthousiame à se vengez, c’est qu’on leur avais promis un buché et que sa allais se terminé en salade. Il fallais bien les comprendre. C’est bien que rapidement la comtesse se retrouva en plein millieu de la cour au pilori, au dépend de son propre peuple.

À défaut de t’offrir la purification de ton âme et le repos éternelle, je te condamne à la sentances du pilori jusqu’à la nuit tombé, le départ du soleil, sera pour nous notre pardon à ton attitude, ta libération en la noirceur sera le signe ultime que nous fermont tous ici les yeux devant tes infamerie passé, pour les reouvrir dans une ère de paix.

De sa main droite il lui lança le tous premier item, une belle pomme qu’il fit ‘’Toc’’ sur la tête de la comtesse!

Un mariage de pacotille, des galipettes entre un homme et une femme, la conception d’un batard ne fait pas de vous une digne héritière. Mon cœur gronde de peine connaissant le triste destin de votre enfant, condamné a payé pour votre propre ambition démesuré, condamné a payé pour vos erreurs et votre côté satanique. Votre enfant, dois être sans doute le prix a payé pour votre purification.

Vous ne me connaissez point! Cela n’est guère anormal avez-vous déjà vu un simple laquais être célèbre pour son coup de revers avec le balais? Le comte n’étant pas disposé à complété cette mission nous l’accomplissons ensemble pour lui et le bien-être du Cambrésis. Vous qui est ‘’comtesse’’ vous devriez pourtant savoir que sans peuple il n’y a pas de domaine. Laissez le comte mené cette assaut serais immoral puisque nous le savons sous votre sort de bas étage!

Puis lassé de ses insultes et de ses menaces il pointa la pointe de son épée sous la tête de la comtesse, en souriant avec aise.

Je ne crains que vous ne soyez pas en mesure de négocié notre renvoi pour le moment, allons plutôt prendre un peu d’air à l’extérieur vous me semblez ‘’tendu’’

Contournant avec talent la comtesse pour ensuite posé la pointe de son épée en plein milieu de son dos pour la piquez très légèrement pour l’incité à traverser la foule pour ainsi se rendre dehors dans la cour.

Chere comtesse merveilleuse comtesse, n’oubliez point de sourire devant votre bon peuple.

Un rire presque satanique, ‘’MOUAHAHAHA’’ qui aurais pu laisser croire que s’il avait démon c’était lui et non la comtesse.

J'étais en train de boire un coup avec d'autre gens de mon espèce, quand on nous dérangea.

C'est t'y po vrai de voir des gens nous dérange quand on boit not' coup.

Je me deplacais lentement sur mes vieilles quilles qui chancellaient surement la faute à la Tastevine, jusqu'à la porte d'office. J'ouvris la porte et vit un hommes inconnu, je le regardait d'un oeil vitreux avant de lui dire un mot.

Qu'est ce ce t'y que tu veux ?

Fier de Bonichette il entrepris de libéré un cracha énorme et bien visqueux presque vert s’échappa de la bouche de Brandon pour allez atterrir tous droit sur un des pieds frais lavé de la comtesse de Sade. Son torse bombé rempli de fierté et d’orgueil lui permis de répondre sans le moindre doute.

Qui je suis? Brandom de Cantaing, fidèle lacquais du seul et unique fils de Groland, feu Nathaniel I de Sade. Comme on dit, ce qui est au père revient au fils, et ce qui est au fils appartient au père, c’est en cette raison que maintenant je suis serviteur de sa grandeur le comte, libérateur suprême de la suprématie du sans nom sur les terres du Cambrésis. Et c’est pour cela que je viens réclamer votre infâme vie de sorcière pour l’offrir au buché et d’ainsi purifiez votre âme damné.

Puis sans pressentir il lui infligea une furieuse gifle,

N’est-ce pas la même sensation que le refus de la soumission de ma nouvelle amie vous inflige?

Souriant de plus belle le jeune Cantinois la fixa pour attendre de sa réponse.

L’épée en main, les battements de cœur qui résonne jusqu’ à rompre les oreilles d’un sourd, tous cela sous la cadence des pas qui s’accélère. Les première gouttes de sueurs sur le front et longeais le long de sa colonne vertébrale qui lui procurais des frisions. C’est aveuglement qu’il avait écoutez les indications de Bonichette, après tous qui d’autre pouvais connaitre exactement l’horaire et les habitudes de la comtesse démoniaque. C’est devant la porte des bains que tous s’arrêtais nets! Quelques coups de pied dans le bas de la porte, quelques coups de poing, coup d’épaule.

Usurpatrice de la couronne du comté du Cambresis, ouvrez cette porte! Je vous l’ordonne. Je suis la voix du peuple, la voix de la raison et de la libre justice, Venez venez un nouveau trone vous attends. (C’est qu’il y croit^^)

Puis le révolté insista a nouveau sur la porte de quelques coups, sans meme tenté de tourné la poignez, aveuglez par la colère sans doute. Cette poigné vérouillé ou ouverte? Qui vivra qui verra,

Groland avait préparé un bain pour que son bien aimé arrive à se détendre après la nouvelle qu'on lui avait annoncée à l'hôpital.

Elle se dévêtit donc, devant le baquet fumant puis plongea le pied à l'intérieur avec méfiance. La température était tout aussi parfaite qu’elle et elle plongea délicatement sa première jambe a l'intérieur puis passa sa deuxième jambe toute en douceur puis se plongea dedans ayant de l'eau jusqu'au cou.

Elle s'installa confortablement dans son bain puis ferma les yeux essayant de se détendre. Elle aurait pu presque s'endormir mais du bruit la fit levé un sourcil. Encore ses fichus poivreaux , pensa-t-elle.

Bique soupira et essaya de se détendre à nouveau, et fini par se perdre dans un demi-sommeil.
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Je l'avais dit. C'était sorti de ma bouche, ma propre bouche...
Mais bizarrement j'étais encore comme pétrifiée, je sentais tous les regards posés sur moi, comme si...comme si j'étais un déclencheur. En fait ce n'était pas moi, mais lui. Cet homme qui se trouvait face à moi, et qui quelque part me faisait peur. Il parlait bien, il savait utiliser les mots, mais ses yeux... Tant de haine était contenue dedans.

Sur sa demande la panière est déposée par terre, doucement. Les draps ne seront pas salis. Je n'allais pas salir les draps que je venais de m'efforcer à laver..."Fais les voler, déchire les!!! Qu'ils soient aussi souillés que les chausses du vieil Octave!! Mouahahaa".
J'hésitais, mon poids se transféra sur un pied, comme si j'allais shooter dans la panière. "Non Bonichette, ne fais pas ca. C'est toi qui les a lavé ces draps, c'est ton travail. Vas tu fouler au pied tous tes efforts??"

Alors que je regardais le linge par terre, je le vis me tendre la main.

Je n'hésitais pas, et je pris sa main, oubliant le linge. Etait ca pour sentir son contact? Par véritable volonté? Je ne le savais moi même, mais voila que je me faisais embarquer dans cette aventure.
"Yihaa!! Que la fête commence!!""Que le Très Haut nous vienne en aide..."
Nous voila parti...que Dieu ai pitié de mon âme.

Un sourire suffisant sur ses lèvres apparu puis repris,

Les hommes et femmes derrière moi gonfle mon cœur de courage, ta réponse gonfle mon cœur d’espoir, et la perception de la juste cause que nous accompliront aujourd’hui me remplit d’une vision d’avenir plus douce. Mais, je sais une chose, c’est que le sage ne ce contente jamais de demander à son voisin quel cause il sert, puisque il sait que seul les actes en apporte une réponse loyale.

Cette femme n’était pas une révolté ordinaire, elle était en soit une flèche qui toucherais Bique en plein cœur, sa propre servante qui s’élève contre elle. Le simple fait d’imaginé la comtesse meurtri par la pensé de se sentir seule entre ses murs étais pour lui une sensation douce. Il faut diviser pour régnez.

Alors je te le demande, laisse tombez cette panière au sol avec toute ta soumission qu’elle y contient, laisse les draps qu’elle y contient malgré leur douceur touchez le sol et s’enduire de crasse. Laisse tombez tous ce qui te retient a la sorcière de cœur, d’esprit et de corps, puisque à présent tu es des nôtres.

Puis le gueux lui tendit la main.

Fait et prend ma main, et rejoint moi, marchons tous ensemble sur ses appartements, le pouvoir appartient au peuple alors prenons le et faisons entendre la justice, notre justice.

Alors que j'étais toujours là, hésitante, pensant passer complètement inaperçue, une voix me tira de ma réflexion Oh combien intense, si si...

Mon premier réflexe : sourire. Bah oui on reconnaissait mon travail, acharné mais loyal. "Cesse de sourire bécasse, crois pas qu'il va te jeter des fleurs alors que tu bosse bien pour la "M'Dame Bique Déesse de Sade..." Du coup j'ai arrêté de sourire. La petite voix nasillarde avait raison. Mais plus Brandon parlait, plus je me rendais compte qu'il voyait mon doute, mon hésitation. Que faire? "Vas prévenir M'Dame Bique la Déesse de Sade, vas lui dire ce qu'il se prépare."

Mais impossible de faire quoique ce soit, il était là devant moi, ses yeux dans les miens a me demander de dire pleins de trucs. Alors je hochais la tête, le visage grave, le sourire disparu. Ainsi j'acquiesçais ses dires. La voix démoniaque ricanait dans un coin, pendant que l'autre soupirait.

Mes yeux se baissèrent sur les draps quand il en parla. Il était vrai que ces draps étaient doux, et il était vrai que j'avais rêvé plus d'une fois de dormir dans ce grand lit, avec ces draps si doux. "Bientôt ton rêve va se réaliser ma Bonichette, bientôt!!!""Non Bonichette!!! Ce ne sont que des draps!".
Mais bien vite la deuxième voix est mise de côté. Je relève la tête, mes yeux ont quelque chose de changé. Ils ont cet éclair de conviction qu'ils n'avaient pas encore y'a une minute.

A voix haute, remarquant soudainement les gens autour qui n'avaient pas bougé et qui attendaient leur chef, je déclara enfin : Je suis avec vous!!

"..."

Moi, Bonichette, j'allais apporter des draps propres pour M'dame Bique la Déesse de Sade. Mais en route quelque chose me fit changer mes plans. J'avait été abordé dans un couloir, on m'avait donné rendez vous dans les quartiers des domestiques. Curieuse, j'avais suivit le mouvement, retrouvant là bas bon nombre de mes collègues. La M'dame Bique la Déesse de Sade attendrait.

Voulant pouvoir entendre à mon aise, je jouais un peu des coudes pour m'avancer. J'avise un tabouret vide, mais le temps que j'y arrive, quelqu'un d'autre venait d'y poser ses fesses... grrr..
Tant pis je restais debout à écouter. J'étais comme habitée, les paroles de cet homme résonnaient en moi comme une révélation. Mais d'un autre côté, j'avais peur. Que voulait il faire à M'dame Bique la Déesse de Sade?

Je hochais la tête, tout a fait d'accord, et souriant intérieurement. "Comment j'aimerais pouvoir lui mettre une tarte!!" Désir caché, mais peut être que bientôt je pourrais...Quoique... Elle était quand même gentille avec moi....parfois...de temps en temps...
Deux voix se faisaient entendre dans ma tête, une qui avait une tête de diable, et une autre toute douce plutôt angélique. Elles allaient me faire tourner bourrique.

"Sorcière!! Voila un mot qui lui colle bien, surtout quand elle est malade, les cheveux en bataille, les traits tirés." Je rigolait toute seule, excitée par cette idée de révolte qui se fomentait.
"Mais souviens toi Bonichette quand elle t'a permit d'emporter une paire de chausses un peu usée. Tu crois qu'elle te les aurait donné si c'était une sorcière?"

Quand le discours prit fin, une partie de moi se sentait remontée, l'autre avait peur. Les yeux fermés, ca se battait fort dans ma tête, comme si je ne maitrisais ni l'une, ni l'autre de ces voix. Le manque d'alcool surement.
Je récupérais ma panière de draps et sortais dans la cour extérieure, comme mue par une volonté autre que la mienne. "Du linge frais, du beau drap en plus, ca serait peut etre l'idéal pour démarrer le feu? Non?"
"Non!! Pas les draps, ils sentent si bon, et que va dire M'dame Bique la Déesse de Sade quand elle ne verra pas ses draps? Tu vas la laisser dormir comme ca? Dans un lit même pas fait?"

Je restais là, hagarde, ma panière dans les bras ne sachant que faire.

Groland entendit du bruit... se promenant à poil dans son château, se grattant.... les cheveux aussi... sorti de son bain et alla voir sa femme.... une bouteille de vin à la main.

Il vit une servante un peu affolée... regarda Groland... Il lui dit

Oulà, t'as l'air stressée toi... tiens, finit la bouteille, elle est à moitié vide.

La servante ravie la bu, rassurée, rassasié... Groland continua et entra dans la chambre

Salut ma belle, aujourd'hui, cours particulier de gynécologie, je vais t'osculter... sans les mains
Faut bien que je m'entraine
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Bique ne c’était pas sentie très bien toute la nuit, le matin elle avait fait demander à se faire apporter le petit déjeuné au lit. Mais Bique avait à peine avalé un morceau de pain qu’elle du courir dégobiller.
Elle s’admira un instant dans un des miroirs, elle avait les cheveux en batailles et la mine décomposé, elle tira sur ses cernes et soupira.
Groland avait envie d’enfants mais Bique n’en avait pas spécialement envie plus que sa elle voulait profiter de son mari et de son mariage et de la vie de château.
Elle se tient le ventre, puis chassa cette idée de sa tête et retourna s’allonger.

BONNICHETTEEEEEEEEEEEEE RAMENE TOI Hurla-t-elle.

Cette dernière arriva en vitesse d’un air de chien battu.

Voui m’dame Bique la déesse de Sade, que désirez-vous m’dame Bique la déesse de Sade ?

Je ne pourrais vous surveillez à vos corvées à tous donc vous devez faire comme d’habitude NETTOYE, FROTTER, FAIRE BRILLER et surtout NE PAS VOUS ALCOOLISER. Je suis bien assez nauséeuse comme sa je n’ai pas envie de devoir supporté vos haleines fétides d’alcoolique. Et arrêtez avec vos Bique la déesse de Sade voyons Bique suffit.

Pas que Bique n’aimait pas bien au contraire, elle A-DO-RAIT mais bon Peter plus haut que son cul n’était pas du tout son genre.

Voui m’dame Bique la déesse de Sade ! A vot’ ordre m’dame Bique la déesse de Sade.

Bique leva les yeux au ciel, décidément ils sont désespèrent les gens d’ici. Elle tira la couverture sur elle et cria.

Et appelez-moi un docteur !

Voui m’dame Bique la déesse de Sade, Je cours chercher m’sir Groland.

Bique retira un chouilla sa couverture pour regarder Bonichette. Elle était idiote ma parole celle-là ?

J’ai dit Docteur pas Groland, l’est po docteur lui c’est mon mari. Pff je vous jure.

La pauvre Bonichette ne savait pas trop quoi faire, elle courra donc dans tous les sens en oubliant les ordres.
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Mais... doudou mon cheri voyons, ils seront plus performant, et arrêteront de sentir l'alcool en guise de parfum. Cette odeur me donne envie de vomir .

C'est comme quand vous avez trop bu et que vous avez envie de .... enfin vous voyé hein ? Et que je vous repousse en vous disant que j'ai pas envie bah c'est po que j'ai po envie hein vous me connaissez mais votre odeur et votre haleine me file la nausée .

Et un peu de fraicheur sans odeur d'alcool dans ce château le rendront plus beau et moins puant .

Bique battait des cils pour que sont mari confirme ses paroles.
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