Caled
Situé au bord de mer, le domaine n'avait pas bouger. Pas depuis qu'il avait quitté Tréguier quelques mois plus tôt. Tant de chose avait changé.
Mais cette demeure était symbole de l'immuable. Enfin presque. Quelques mauvaise herbe de ca et de la dans la cours,que l'hiver continuait de maltraité. Par endroit des trous se creusait, due à la fonte de la neige ou aux rigoles venant des toits. Mais les pierres etaient toujours là. L'écurie sur sa droite, laissant appercevoir le jardin dans l'espace la séparant de la batisse. Les deux etages allignés de leur fenetre pour la plupart aux volets ouvert, par Myssy. Ainsi que le rez de chaussé, ou il pu appercevoir un feu bruler dans la salle principale.
Il sourit a l'évocation de cette saison. Mit pied à terre, manqua de s'etaller dans une flaque de boue .II devrait mettre un terme a ces trous qui devenaient dangereux... mais pas encore, le printemps n'était pas la. Pas encore. Et il avait apprécié ce détour sur les falaises avoisinantes , laissant Avel, en connaisseuse des lieux, guider leur pas si bien , qu'il ne voulait pus travailler aujourd'hui.
Il était partis tot a matin. Ses champs et son moulin le réclamait. Il avait donc déposé son offre ce matin pour son second champs. Il avait besoin de réserve de vivre en prévision de futur voyage... et de renflouer sa bourse. Et les rêves n'attendaient pas. Il aurait pourtant bien passé quelques heures de plus dans les édredons, a guetter le réveil de sa bien aimée.
Passé à la mairie, ou il avait chercher Patate de loin, sans le voir il sétait rendu chez le premier forgerons venus. Il avait besoin d'outils. L'arrivé du bébé lui donnant des idées d'agrandissement. Il serait vite ici, et les aller retour a Sant brieg dans les prochaines semaines lui laissait peu de temps de s'occuper de ceux ci.
Laissant Avel vagabonder prêt du moulin, il avait passé la journée entre ses meules, a porter sac après sac pour produire la précieuse poudre blanche, vitale à tous...
Le soleil décrue lentement. Les ombres à lextérieure grandissaient de plus en plus. Et c'est Avel qui le rappela a l'ordre alors qu'il rangeait les derniers sacs. Le retour au domaine se faisait pressentir.
Il n'emprunta néanmoins pas la route du village. Préférant emprunter un petit détour. il avait envie de prendre la route de la cote. Sentir l'embrun des vagues. l'odeur du seul et le vent sur sa peau.
Avel alla jusquà tremper ses sabots dans l'eau, sur un cours galop. Ils rentraient donc de leur journées.
Apres l'avoir laissé à l'écurie, brosser son poil qui se collaient déjà sous l'effet du sel et nourris. Il alla donner une accolade à létalon qu'il avait laissé la veille chez son grand père. L'un de ses cadets devaient être par ici.
Le nez en l'air c'est vers la demeure qu'il se dirigea. Croisa sa sur qui lisait, les yeux plissés, sur un divan. Il devait y avoir trop de bruit chez grand père.Sans doute un Tristan, dans l'une de ses crises. A moins qu'elle ait fuit grand pere qui tentait de lui apprendre à faire les comptes. En vain. Léenn lisait beaucoup ces derniers temps. Découvertes plaisante selon Max, qui se plaignait encore de la période ou sa demi soeur voulait chanter,et passait son temps a ségosiller. Il la déchaussa néanmoins au passage. Pinçant son nez.
- Tu vas salir les tapis.
Il n'obtint qu'une réponse muette. Toujours plongée dans son livre.
Il monta à l'étage et se changea. Pas de Myssy, sans doute à la taverne. Il redescendit donc. Constatant la disparition cette fois d'Avel, que sa sur préférait au capricieux étalon, il partit a vive allure la rejoindre.