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[RP] Intronisation GMF

Aemilia
Hiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Frisson dans le dos... Horrifiée, la gamine regarda son père, enserrant sa main dans la sienne... Malheureusement, la force de ses onze ans ne pouvait pas lutter contre celle des biiiiiiiiiip ans de son père. Elle fut rapidement refilée au méchant frangin. Pas de bisou, horreur et damnation. La fillette n'aimait déjà pas beaucoup les câlins, les bisous, c'était pire. Un berk ne tarderait pas à sortir... Entre ses dents, gardant un sourire pas du tout naturel pour faire croire à papa que tout allait bien, elle chuchota à l'éclopé...

Il a dit pas de coup de pied... Mais j'te jure, si tu m'fais un bisou, jte marche sans faire exprès sur le pied.

Puis, se rappelant le cadeau qu'il lui avait offert pour se faire pardonner...

Mais merci pour le cadeau, promis je la porterai quand j'aurai grandi, elle est trop grande pour le moment. Elle est bien ta couturière.

Un peu seule dans ce monde nouveau, la gamine eut tôt fait de piquer la main d'Arthur pour se rassurer. Un petit clin d'oeil à son frérot, l'air de dire, allez on y va ensemble, on écoute, on est sage puis après, on ira jouer si t'as pas encore plein de travail à faire en rentrant.

Déjà, on allait annoncer le roy et la reyne. Ce premier porterait-il ces fameux hauts de chausse à la mode, qu'un précédent roy avait refusé de porter, prétextant qu'il ressemblait à un gros bébé en couche-culottes? Curiosité maladive oblige, Aemilia se pencherait pour regarder...

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Ingeburge
Cette fois, Ingeburge ne pouvait jouer les sourdes, les huissiers de France se distinguant tous par leur bel organe... vocal, elle ne pouvait qu'entendre. Et elle avait bien entendu le « Newcastle-under-Lyme » comme elle avait capté le « Stafford » qui avait suivi; comme elle avait pu apprendre que Lexhor était toujours duc d'Orléans et seigneur de Saint-Denis-le-Pont; qu'Akane n'était pas baronne du Chêne-Doré et dame d'Epieds-en-Beauce et que Vernon n'avait jamais été élevé au rang de duché; qu'Enguerrand de Lazare n'avait pas un seul titre. On voulait sa mort avec des titulatures plus erronées les unes que les autres, comme s'il ne suffisait pas que certains arborassent juste sous son nez des blasons faux ou incorrects. Elle avait bien vu que le duc de Souvigny, Premier Huissier de France, par ailleurs héraut, était venu aux côtés de ses huissiers, certainement pour rectifier ce qui devait l'être mais là, c'était trop.

Alors, elle quitta sa position pour glisser jusqu'à l'entrée, il fallait qu'elle comprenne comment avait été faite la liste des invités côté titres de noblesse. Elle marcha droit devant elle, ne faisant attention aux autres que pour ne rentrer dedans, il serait temps après la cérémonie de saluer les connaissances plus ou moins poussées et d'aller voir aussi les membres de cette Garde Royale avec lesquels elle avait toujours travaillé en bonne intelligence par le passé. Mais voilà, la translation demeurerait sans effet, il y avait ces murmures, ces mouvements, ce frisson qui étaient caractéristiques de l'imminence de l'arrivée d'un monarque. Bon, elle verrait après, c'était certain. D'abord, place au roi et à madame et après massacre montjoyesque.

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Heimdal
Le secretaire d'Etat avait quelques obligation avant de partir pour le Louvre. Son
épouse avait déjà prit de l'avance. Elle ne voulait pas trop être pressé par le temps
pour éviter des situations de stress au futur enfant. Son carrosse arriva sur les lieux
de la cérémonie. Le Duc Consort d'Alençon traversa les couloirs du vaste palais
pour finir dans celui où la fête devait avoir lieux. Heimdal scruta les alentours
afin de trouver son épouse et de voir les personnes présentes. Courtomer n'arrivait
difficilement à si faire dans ce genre d'événement. Il avait toujours été un peu en
retrait dans un petit coin. La seule fois où il avait été entreprenant, il avait gagné
le jackpot. Il avait rencontré la plus belle perle du royaume de France, son épouse.

Il reconnut alors la silhouette de son épouse et esquissa un sourire. Il remarqua que
la blonde a coté d'elle n'était pas une inconnue non plus. Anya, son amie…sa tante
aussi par sa demi-sœur. Mais avant d'entrée, il fallait donner patte blanche à la personne
qui veillait devant l'entrée.


Bonjour, Vous pouvez annoncé , Heimdal von Strass, Duc Consort d'Alençon.
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Luaine
La vindicte avait fait du chemin en femme d'armes du Royaume et la voilà presque à la plus haute place. Elle avait de quoi être fière elle.

Bonjour Luaine, tu m'as pourtant toujours vue en soldat depuis que nous nous connaissons, seul l'uniforme et les responsabilités changent... Je dois avoir bien vieilli...

Non, juste le temps que je te remette, hors contexte du PA, j'avoue que c'est plutôt la surprise qui m'a laissé coi. Je ne pensais pas te voir. Mais non, je te rassure tu n'as pas changé. Le temps n'a pas de prise sur les femmes du PA non?

Elle lui sourit.

Toi en tout cas, tu es resplendissante !

Luaine sourit un peu plus en inclinant légèrement la tête en gage de remerciements.

Je te remercie. Ca doit être dû à mon époux surement qui y est pour quelque chose....et à notre futur enfant.

Elle lui sourit du genre "et vi je suis enceinte".

Et toi alors, mariée?

Soudain, quelque chose d'important se préparait et Pattricia fut sollicitée. Elle n'était pas là en tant que spectateur mais d'acteur. Le travail avant tout.

Excuse-moi... Nos souverains approchent, je dois prendre mon poste au plus vite...

Oui je comprend. Bon courage. Peut être auront nous le temps de parler à un autre moment.

Luaine la salua et s'éloigna, comprenant que l'arrivée des époux royaux suscitait l'agitation dans les rangs.
Toujours non loin de la blonde normande, elle vit son mari à la porte. Un large sourire pour l'accueillir alors qu'il attendait de pouvoir pénétrer.

Anya, voilà votre tout petit neveu qui arrive. Préparez vous chère Tantine à le recevoir comme il se doit.

La brune se mordit la lèvre pour ne pas rire imaginant la tante et le neveu. C'était toujours assez amusant quand ils en parlaient.

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Akane
Le Premier Huissier vint comme un sauveur assister son chef et elle lui en était reconnaissante. Par contre, au sujet de la liste, le dit chef n’était pas d’accord et lui fit savoir. C’était le genre de choses dont ils auraient pu discuter en privé et non pas devant l’assemblée présente :

- En tous cas, la liste en mon bureau ne faisait point mention d’un duc d’Orléans…


Les bourdes entendues lors des annonces raisonnèrent en sa tête, et cela continuait avec l’ancien Grand Maistre de France. Elle ne comprenait pas d’où venait justement ces erreurs, et son nez se retroussa.
De plus, elle voyait Montjoye se rapprocher. Elle lui expliquerait donc que ses listes ne comportaient pas d’erreur mais que visiblement oui il y’avait un souci qu’elle réglerait avec les principaux concernés lors d’une réunion pour remettre les choses « à plat ».


En tous cas, elle rêvait d’être ailleurs… Elle qui aimait la perfection, le sens du petit détail bien fait, elle cauchemardait.
Elle avait été à bonne école justement avec Ingeburge comme chef. La tempête était belle et bien réveillée et son regard trahissait son agacement. Il ne fallait pas trop la titiller en l'état actuel des choses...


Un salut au frère de sa nièce qu’elle ne connaissait pas trop. Anya serait certainement contente de le voir. La pauvre, elle n’avait pas eu le temps avec tout ce charivari d’aller lui parler un peu. Elle espérait rattraper cela durant le buffet.

Elle n’eut pas eu le temps de réfléchir davantage que la Reyne arrivait… Surveillance rapprochée, la garde royale s’activait comme prévu, un regard aux huissiers appuyé, surtout au Premier Huissier en fait pour annoncer.

La brune fit une révérence à la Reyne tant bien que mal et ajouta un :


- Vostre Majesté…
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[ Blason de deuil en cours ]
Eusaias
Ils avaient passé l’huissier sans attendre. L’artésienne semblait ne pas vouloir laisser le temps au bourguignon de lui répondre. Il accéléra aussi le pas, car il était évidant qu’il ne se laisserais pas marché dessus. Et donc après deux sourires et un salut de la tête il put s’adresser à elle :

Et bien vous voyez, je vais vous remercier ma Reine ! Je me suis toujours posée la question « Pourquoi j’aime autan les quilles ? » et bien vous venez de me donner la réponse : Elles ne parlent pas, elles ne râlent pas, elles ne sont pas de mauvaises humeurs un jour sur deux, elles ne sont pas jalouses, elles me menacent pas…

Puis il lança un regard de défi à son épouse.

Par contre... Touchez un cheveu de mes quilles et je fais changer toutes votre garde robes par des trucs à froufous d’un rose hideux. Prenez-le pour dit !

Il passa ses deux mains sur son faciès de rapace afin comme pour le décrisper, car oui il était tendu après avoir entendu les menaces sur ses quilles.

Oui on pouvait le menacer, on pouvait l'attaquer, il ripostait. Mais attaquer ses quilles c'était réveiller la bête, c'était accepter de voir bâtir le mausolée l'horreur, c'était entrer dans le temple de la douleur... C'était l'apocalypse.

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Lanfeust86
Voyant que son vassal semblait ne plus trop savoir quoi faire et que l'autre liste fournie à Davy n'était pas bonne non plus, le rouquin se décida à les remplacer, décidément il fallait vraiment revoir les choses.
Il commença donc par les premiers erronés.


Sa Seigneurie Lexhor d'Amahir, Pair de France, Duc d'Alluyes, Baron d'Auneau, Château-Landon et Yèvre-le-Chastel, Seigneur de Pléaux.
Messire Feodor de Tayllerand.
Sa Grandeur Enguerrand de Lazare Jagellon, Grand Ecuyer de France, Comte de Laroche Aymond, Baron de Mirambel et du Bazaneix, Seigneur d'Yssandon et de Saint Juien le Pélerin,Chevalier de la Licorne.
Messire Bel.Garath d'Oulvenne, Seigneur d'Aunay-sous-Auneau
Dame Davia Corsu de Volvent


Voilà cela s'est fait, à présent il faut rectifier pour Dotch, aussi :

Sa Seigneurie Dotch de Cassel, Princesse de Valois & Pair de France, Duchesse de Saint-Florentin, Comtesse d'Armentières, Vicomtesse de Cassel et Baronne de Château-Thierry.

Et ensuite il fallait accueillir les autres arrivant en commençant par le surintendant.

Votre Grâce, bien le bonjour. Je vous annonce de suite.

Sa Grace Leda, Duc de Vire et Surintendant des Finances.

Une dame vint également se présenter.
Il luia dressa alors un sourire avant de l'accueillir.


Le Bonjour Dame, bienvenue au Louvre.

Zelenka de la Tau'Ri, Dame d'Adonville

Puis vint un Von Strass, mais des murmures s'agitèrent et le regard de Akane bascula de lui vers Mointjoie puis vers lui et ceux qui semblaient arrivés...le couple royal.

Votre Grâce, la bienvenue au Louvre, je vous annonce.

Sa Grâce Heimdal von Strass, Duc Consort d'Alençon.

Et les Lys entrèrent sans attendre dans les lieux, aussi le rouquin entonna d'une voix forte et claire à l'attention de tous.

Oyez ! Oyez !
Leurs Majestés Eusaias de Blanc Combaz et Agnès de Saint Just, Roy et Reyne de France.


Bon tout semblait sauvé...Pfiouuuuuu
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Heimdal
Il semblait que les choses s'accélairaient. Heimdal remercia l'hussier en lui
faisant signe de la tête. Mais il n'avait pas eu le temps de dire plus que le
couple Royal passa à son coté. Le Duc de Courtomer fit le révérence
comme il devait le faire pour le roy et la reyne du Royaume.

Heimdal s'empressa ensuite d'aller auprès de son épouse. Il l'embrassa
tendrement et avec amour. Puis un regard et sourire vers sa tante.


Bonjour ma chère et tendre et épouse. tu n'as pas eu de soucis durant le voyage.

Guten Tag, meine Liebe Tante. (Bonjour ma chère Tante)

Anya et lui-même avait appris à se parler en Germain lorsqu'ils se rencontraient.
Cela remontait à l'Hostel dieu au moment où ils devaient se parler entre eux et
que les autres élèves ne devaient pas comprendre ce qu'ils disaient.


Je vois que vous n'êtes pas du tout accompagné, les hommes ne sont plus
ce qu'ils étaient.

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L.i.a._de_denere
On lui avait dit qu'il fallait qu'elle suive le Roy et la Reyne parce qu'ils allaient à un truc officiel et qu'il vaudrait mieux que les enfants de France soient là aussi. Bon, Laetitia et sa méchante jumelle étaient pas des enfants de France mais plutôt de Dame Agnès de St-Just, mais il semblait que ce détail était pas important.

La manchote trottait donc derrière le couple royal dans sa petite houppelande toute neuve qui était bleue comme ses yeux et si jolie avec de la fourrure grise autour du col. Tellement chic! Elle était si contente d'être à ce point élégante qu'elle se rendit pas tout de suite compte qu'ils étaient rendus, alors elle sursauta quand un grand messire roux se mit à crier très fort les noms des gens.

Pourquoi il criait comme ça? Sourcils froncés, Laetitia jeta un oeil nerveux à sa mère pour voir si elle allait se fâcher qu'on fasse autant de vacarme au Louvre. La fillette savait bien qu'il fallait pas crier, c'était pas poli.

Et puis là elle vit tout plein de gens qu'elle connaissait pas et se mit à regretter de n'avoir eu qu'une seule leçon de protocole avant de venir. Qu'allait-elle faire si jamais quelqu'un se rendait compte de sa présence?

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Anya_de_puycharic
    Alors qu'elle était avec Luaine et que toujours pas de Etienne à l'horizon, ni personne d'ailleurs, une Dame qu'elle ne connaissait pas approcha et s'adressa à la Duchesse d'Alençon. Anya se mit alors un peu en retrait, les laissant parler. Mais pas assez en retrait pour manquer une certaine annonce. Ainsi il allait y avoir un membre de plus dans la famille.
    Anya ne put que sourire à cette nouvelle qui la réjouissait, même si cela lui rappelait la perte de sa fille, quelques mois plus tôt.
    D'ailleurs elle ne savait même pas si elle pourrait enfanter à nouveau, suite à cet accident. En même temps, pour enfanter, il fallait un époux, et le Roy n'avait pas encore transmis sa liste des "heureux prétendants".
    Et quand on parlait du "loup"... ce dernier arriva avec la Reyne.

    Révérence de rigueur à l'arrivée du couple Royal, puis se relevant, elle entendit Luaine, un large sourire aux lèvres :

    Anya, voilà votre tout petit neveu qui arrive. Préparez vous chère Tantine à le recevoir comme il se doit.

    Son nev... ?? aaahhhh ouiiii ! pfiou.... décidément, elle avait bien du mal. C'est qu'il était biiiiiiiiien plus vieux qu'elle !!
    Sourire amusé elle aussi, quand Heim arriva.

    Guten Tag mein Neffe. Wie gehst du? *

    Et autre sourire plus large, accompagné d'un clin d'oeil :

    Kleiner Heimlichtuer**

    Par contre, gros yeux quand il la vouvoya... Tssss....

    Elle ajouta, toujours sourire mutin

    Et les hommes ne sont pas indispensables...



* Bonjour mon neveu. Comment vas-tu ?
** Petit cachottier.

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Fred
La cérémonie d'intronisation devait sans doute bientôt débuter. Le Castelviray avait encore tellement de chose à faire qu'il se voyait mal partir maintenant de son bureau. Bien que de toute manière tout le monde sera à cette cérémonie donc au final rien n'avancera. Et puis se sera surtout l'occasion de pouvoir la revoir.

Il prit donc la route afin de se joindre à la cérémonie. il arriva devant la porte gardée par deux hommes.


Bien le bonjour Messieurs, J'espère que tout se passe bien?

léger sourire.

Vous pouvez annoncer Fred de Castelviray, Connétable de France je vous prie
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Lionel.parfait
Tout comme sa demi-soeur, on avait calmement expliqué à Lionel qu'il se devait d’être présent du fait de ses responsabilité. Le pourquoi du comment, on avait tenté de le lui faire comprendre, mais à six ans, on avait du mal à plonger dans le bain de la "nomination du Grand Maître de France". Savoir que quelqu'un aidait son royal père à gouverner le Royaume avait fait bouder le Petit Prince. Il y avait deux raisons à cela. La première, c'est que son héros n'avait nul besoin d’être 'épauler. Père était parfaitement capable de parfaire sa mission divine seul. Nul besoin de personne.
Puis surtout, cela voulait dire "pas de poney aujourd'hui". Rester bloqué entre quatre murs étaient épuisant. De plus, comme il était le plus jeune, ces demies-soeurs n'hésiteraient pas à lui faire la leçon s'il faisait quelconque bêtise.

Il était important, certes, mais c'était plus embêtant qu'autre chose. Pourtant il apprenait ses leçons convenablement. Il était moins turbulent. Juste curieux de nature. Après tout, il se devait de faire la fierté de son père. Il était son sang. Même à six ans, quand on grandit dans un milieu pareil, avec un tel père aimant, on comprenait ce genre de choses. Il avait donc suivit la troupe, son regard se posait partout et sur tout le monde. Mais comme à son habitude, il restait légèrement en retrait, derrière sa soeur préférée -pour le moment-. Surement son handicap qui touchait Lionel. Défendre les faibles certains lui avaient dit. Bref, il sursauta légèrement, comme Laetitia, quand on annonça ses parents. Une certaine fierté l'envahit. Son Père arrivait ! Par contre, pas un mot pour ses soeurs ou lui. Etrange. Peut-être n'étaient-ils pas assez important ? Pourtant, son Père, c'était le Roy ! Il chercha du regard son parrain Sancte. Il lui poserait la question tout à l'heure. Pour le moment il se rapprocha de sa soeur. Il la défendrait si quelqu'un s'approchait d'elle. A moins que ce ne soit elle qui le défende.
Akane
Et voilà que les enfants du couple royal, Ses Altesses donc arrivèrent.

Eux aussi devaient être annoncés avec tous les égards qui leur étaient dus. Un nouveau regard à Lanfeust vu qu'il était bien parti, autant continuer dans la lancée !

De son côté, la brune esquissa une révérence face aux enfants :


- Vos Altesses... La bienvenue...
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[ Blason de deuil en cours ]
Heimdal
Au fait, Heimdal avait sorti la question pour Luaine et Anya. Pour dire
qu'il n'était pas parfait non plus puisqu'il avait laissé son épouse aller
seul sans lui. Elle dit qu'il était un petit cachotier. Le duc de Courtomer
n'avait pas compris cela tout de suite et lorsque son regard croise le
petit ventre de son épouse une petite torche s'alluma dans la lanterne
d'Heimdal.


Danke, es mir Gut,,,ich hoffe dass es geht auf gut. (merci je vais bien, J'espère que
tu vas également bien.)

Ce jeu entre les deux par la langue Germaine amusait beaucoup le Duc. Il imaginait
son épouse entrain d'écouter.

Ma douce épouse, j'espère que le voyage ne t'a pas trop fatigué.
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Luaine
Le Roy et la Reyne furent annoncés. Soudain le bruit des tissus soyeux se froissants et les têtes descendants d'un cran...C'était le flot de révérences gracieuses. Luaine ne dérogea pas à la règle et plia le genoux en tenant les pans de sa robe.
Un court instant, tout bruit fut suspendu. Puis peu à peu les chuchotements reprirent.

Son mari entrainait Anya dans un moment folklorique purement germain.


Ah le voilà qui recommence. T'as bouffé un germain?

Elle lui sourit tendrement. Il savait qu'elle ne comprenait pas cette langue, mise à part deux ou trois mots.
Un léger baiser chaste pour venir le rassurer sur son voyage.

Je vais bien, ne sois pas inquiet.
Et je vais te dire une bonne nouvelle. Ta chère "meine Liebe Tante" va venir nous voir sur Alençon.

N'est ce pas une grande nouvelle.



*Ma chère tante
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