--Le_prince_des_marais
Il était un jour de Mars 1456,j'arrivais à Chinon les yeux bleus écarquillés comme des grenouilles en rut...
Mes pas étaient chancelants mais je me dirigeais comme un aimant à la Chignonaise où je fus accueillis comme un Prince.
Humeurs,bonne humeur,rires et blagues m'accrochèrent comme une moule à un essaim.
J'ai grandi entouré de personnes d'une bienveillance naturelle,sans fioriture,ni manigance.
Elles sont dans mon coeur à tout jamais.
Je ne les nommerais pas par pudeur .
Si! D'un je parlerais car à cet instant,je suis mal,très mal car j'ai perdu un ami,un ami très cher!
Vous voyez de qui je veux parler,du gros sac!
* excusez,les larmes me viennent*
ça va être dur,très dur de continuer...
J'ai ce formidable don que Dieu m'a insufflé de trancender les personnes et je viens vous dire ici que l'amitié pure existe de par les mots.
J'en suis maintenant convaincu.
Je vais rester sobre avec une pointe d'humour comme il aurait aimé.
Quand il écrivait,vous pouviez deviner son sourire et son rire gras...
Juju,tu vas nous manquer
Juju, ta bonne humeur,ta sempiternelle histoire d'odeur
ça va nous manquer
Tu as dis "que l'on pouvait s'attacher"
OUI je le confirme,on peut s'attacher à toi
ce fût facile pour moi et ce ne fut que PLAISIR
Les longs discours tuent alors je voudrais pas te tuer une deuxième fois;
Où que tu ailles,je te souhaite le meilleur
J'honorerais toujours ta mémoire et surtout je la ferais respecter.
De part les pouvoirs qui me sont conférés ici bas,je te fais un bisou avec mes lèvres ,je le pose sur ma main droite et je souffle dessus pour te l'envoyer là-haut ...
*ça recoule les yeux*
Fusionné par la momie à la demande de l'auteur.