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[RP] Anciennes annonces officielles du duché de Guyenne

Evanescence
Citation:

Moi Betoval, par la grâce de Dieu et des urnes, Duc de Guyenne

Décrétons:

- Qu'il y a eu erreur commise en salle de justice en passant au silence le réquisitoire de l'accusation dans l'affaire Debrinska contre Marmande.

- En tant que garant du rendu d'une bonne et équitable justice en notre Duché qu'il ne saurait être que ce procès ne soit pas conduit en bonne et due forme.

- En vertu du quatrième article de l'opus premier du chapitre deux du livre un du coutumier Guyennois
Citation:
Le Duc dispose du droit de veto sur toute décision du Conseil, ainsi que sur toute décision d'un Conseiller prise dans l'exercice de ses fonctions.


* Apposons notre veto a la décision prise par le juge de passer outre le réquisitoire de l'accusation dans ce procès.

*Faisons reprendre cour normal du procès en publiant le réquisitoire de l'accusation rédigé par le procureur de Guyenne tel qu'il devra être inclut dans les minutes du procès.
Citation:

Votre Honneur,

Les faits et les preuves sont là, de manière incontestable. Ainsi que messire Seigneurrahl et messire Ben42 sont venus nous l’expliquer et que les documents présentés sous vous yeux l’ont démontrés, la dict Debrinska a bien fomenté une révolte et une prise par la force de la mairie de Marmande dans la nuit du 10 au 11 septembre 1458, dérobant avec ses complices des sommes et des biens qui ont failli plonger cette belle cité guyennoise dans le chaos le plus total. Plus de 2000 écus en or et en marchandises!
Ces faits sont bien passibles d’une accusation et d’une condamnation pour Troubles à l’Ordre Public, selon le Grand Coutulier de Guyenne ; j’ai presque envie de dire : Hélas, seulement…

« LIVRE II - DE LA JUSTICE Chapitre IV - Des chefs d'inculpation - Article 3 :
Le Trouble à l’Ordre Public, de manière générale, correspond à tout comportement portant préjudice à autrui voire à l'ensemble de la communauté .
Plus précisément, et de manière non exhaustive, cela comprend : (…)
- Toute tentative de révolte, révolte et l’incitation à la révolte, non autorisées par le Conseil Ducal, par un non Guyennois. (…) »


Or, les caisses de la mairie ainsi que le marché ont été vidés, laissant Marmande exsangue et qui n’a du qu’à ses voisins et à l’aide bienveillante du Duché de ne pas se retrouver complètement ruinée pour plusieurs mois même si la situation de cette commune est aujourd’hui toujours précaire. La mise en danger d’une cité de Guyenne met en danger l’ensemble du Duché. Il ne saurait être question que la Justice de Guyenne se montre clémente envers un tel crime commis par l’accusée.

Celle-ci ayant sans doute trouvé le moyen de mettre à l’abris ses richesses acquise de façons aussi vile que malhonnête, nous ne pourrons pas demander que soit payée une amende à hauteur de sons forfait. Chose que je regrette sincèrement. Néanmoins, une peine exemplaire doit être prononcée. Voilà pourquoi, Votre Grâce, Madame le Juge, je demande que soit infligée à l’accusée une peine de 6 jours de prison, une amende de 140 écus soit le prix de l’arme qu’elle porte sur elle et qui fut instrument de son crime et que cette personne soit déclarée Personna Non Gratta et bannie de Guyenne pour une durée maximale après qu’elle aura effectuée sa peine en sus des quarante huit heures nécessaires pour quitter notre province qu’elle a salie et blessée (soit trois mois).



Demandons que cette décision soit portée personnellement a la connaissance de toutes les partis de ce procès par le porte parole du Duché de Guyenne dans les plus brefs délais



Scellé du sceau ducal le premier jour d'octobre de l'an de grâce 1458















Evanescence
Citation:
A Sa Majesté Levan III, Roy de France,
Aux feudataires du Royaume de France,

L'Alliance du Ponant et le Berry en ce jour déclarent :

N'avoir absolument aucune intention belliqueuse envers quiconque. Les provinces françaises de l'Alliance nient toute volonté de sécession avec le royaume de France et la Bretagne dément toute volonté d'affrontement avec Paris. Notre seul et unique but, découlant de la vocation initiale de notre alliance, est d'assurer la paix à l'ouest, de protéger les populations de nos territoires et de maintenir l'ordre. Les armées du Ponant présente actuellement en Anjou ne servent pas d'autre dessein.

N'avoir absolument pas décidé ni souhaité l'attaque de Chinon par une armée. Cette dernière a agit de son propre chef et le Ponant désire qu'elle réponde de ses actes. Cet incident est regrettable et nous le condamnons fermement. Cependant il n'est pas acceptable que cet accident provoqué par un esprit belliqueux isolé serve de prétexte à certains pour y voir une attaque de l'Alliance du Ponant. Une telle interprétation de la vérité est néfaste. Si l'Alliance du Ponant avait vraiment voulu attaquer la Touraine, ce sont toutes ses armées qui auraient attaqué, non pas une armée qui ne lui appartient pas. De plus notre alliance respecte le code d'honneur de la guerre et aurait assorti toute entame d'un conflit par une déclaration préalable.

N'avoir aucune envie que la situation empire, dégénère, ni même ne se maintienne en l'état. Des personnes malveillantes ont profité des troubles causés par la croisade contre l'angevinisme, que l'Alliance du Ponant a estimé légitime sur son principe, pour échauffer les esprits, attiser les peurs et instiller l'idée d'une guerre imminente. Une telle guerre n'aurait pourtant aucun sens. L'Alliance du Ponant n'aurait absolument rien à gagner dans un conflit contre le Roi de France, Sa Majesté Levan III, et ses vassaux. De même, ces derniers ne tireraient aucun avantage à choisir pour ennemis des provinces et un Etat qui aspirent simplement à vivre tranquillement.

L'Alliance du Ponant propose par conséquent de s'accorder sur un retrait progressif des troupes en présence et sur le démantèlement des armées qui ne sont pas nécessaires à la sécurité ordinaire. Un tel accord pourrait être, si les autorités royales l'acceptent, envisagé sous les auspices de l'Eglise.

L'Alliance du Ponant rappelle par ailleurs au Roi de France, Sa Majesté Levan III, que contrairement à ce que peuvent lui souffler à l'oreille certains conseillers, qu'elle n'a commis aucun mensonge, n'a jamais cherché la sédition et qu'aucune de ses provinces n'a été parjure. Bien qu'infiniment blessé, révolté et choqué par de tels propos, le Ponant n'en tient pas rigueur au bon Roi de France, qui fut certainement mal informé sur la situation. L'Alliance du Ponant prévient également le Roi que si elle n'a pas l'ambition d'apporter la ruine au sein de son royaume, elle n'a pas non plus l'intention de disparaître sous la menace, ni de se déshonorer pour faire plaisir à une poignée de détracteurs.

Le Royaume de France doit accepter de vivre avec l'Alliance du Ponant en son sein, à respecter celle-ci et à ne plus nourrir à son égard des craintes infondées.

Pour la paix,
Le deux octobre mille quatre cent cinquante huit,

Sa Grandeur Cyphus Garion
Comte du Poitou


Sa Majesté Myrlin
Grand Duc de Bretagne


Sa grace le Duc d'Anjou


Sa grâce Betoval Duc de Guyenne


Luzifer II de Ponthieu
Comte d'Artois


Sa Grasce Gilberg de Bretagne, Duc de Berry

Evanescence
Annonce du Périgord Angoumois , pour laquelle il faut lire 2 Octobre 1458

Citation:


Nous, Louis Vonafred de Dublith,
Baron de Segonzac, Seigneur de Prigonrieux et Commandeur de Saint Astier,
Chancelier du Périgord Angoumois.
A, Sa Grâce Betoval,
Duc de Guyenne
A, l'estimé Conseil Ducal de Guyenne.



Paix et amitié Aristotélicienne.


Une fois de plus, le Périgord Angoumois a subit invasions et pillages de bandes incontrôlées.

Nostre Bonne ville d'Angouleme, pillée et dévastée a de nouveau payé lourd tribut.
Ces pilleurs sans Foy ni Loy, Hydres patentés, membres du Jargor et autres malfaisants venaient pour la plupart de votre estimé Duché.

Cette situation n'est point nouvelle et nostre Comté pâtit depuis des mois d'un manque de rigueur allié sans doute à une tolérance abusive d'individus aux manières pour le moins contéstables.

Ceci vous regarde et relève de votre droit le plus strict à gouverner comme vous l'entendez.
Mais nous ne pouvons sans cesse en subir les conséquences et vous demandons ce jour engagements.

Aussi, le Périgord Angoumois faict ce jour demande officielle et ferme au Duché de Guyenne pour,
prendre mesures concrètes et immédiates et sécuriser ses frontières communes avec nostre Comté.
neutraliser définitivement le repaire avéré de cette clique malfaisante, la ville de Montauban.

Si la Guyenne manquait de ressources militaires, le Périgord Angoumois est tout prêt à mettre à sa disposition Force Armées, stratèges et Renseignement et ce sans délai.

Il serait fort dommageable pour nos deux provinces que le Périgord Angoumois prenne seul les mesures préventives qui s'imposent à nos exigences de sécurité.

Vostre Grâce, estimés Conseillers de Guyenne, le Périgord Angoumois vous adresse cette ferme requête
et entend qu'elle soit considérée à sa juste valeur, dans les délais les plus brefs.


Faict et scellé en nostre Chancellerie le deuxième jour du mois de novembre de l’an de grasce MCCCCLVIII.






Citation:
Moi, Betoval, Duc de Guyenne par la grâce de dieux et le résultat des urnes.

A sa grandeur le Comte du Périgord Angoumois
Aux sujets de ce Comté
Aux sujets de Guyenne

Déclarons:

Avoir bien reçu votre ultimatum daté par erreur du 2 novembre de cette année.

-Rappelle qu'il existe un traité de coopération judiciaire entre nos deux provinces et que toute plainte accompagnée de preuves sera traité selon les modalités de ce traité.

-La Guyenne vous a à plusieurs reprises contactée par voie diplomatique ces dernières semaines pour une collaboration plus étroite, que l'ambassadeur en Guyenne, le Comte actuel n'a pas daigné donner suite à nos demandes.

-Au vu de l'ignorance dont vous semblez faire preuve vous informe que la ville de Marmande a été prise il y a une quinzaine par l'un des groupes que vous citez et que poursuites ont été engagées.
Qu'il ne nous est pas venu à l'idée d'accuser la province qui avait été précédemment attaquée par ce groupe pour fuir nos responsabilités.

-Qu'en pleine période électorale en votre province trouvons qu'il est aisé de faire porter l'inconséquence de vos élus incapables de défendre leur propre terres sur un bouc émissaire extérieur.

- Que nous préférerions que vous gardiez vos conflits électoraux dans vos frontières.

-Que si d'aventure les troupes de votre Province posaient le pied en Guyenne elles s'apercevraient très rapidement que la Guyenne a bien changée depuis la dernière fois et qu'il ne serait pas aussi simple de s'en tirer a bon compte.

-Réaffirmons que la Guyenne ne veut pas de conflit avec ses voisins, mais qu'elle ne se laissera pas dicter sa politique par quiconque ni ne prendra des accusations farfelus pour argent comptant.

Scellé en le palais de l'Ombrière le troisième jour du mois d'octobre de l'an de grâce 1458




Evanescence
Citation:
Moi Betoval, Duc de Guyenne par la grâce de dieu et le choix des urnes

Déclare.

Prendre acte de la démission de Dame Maylis d'O Urden conseillère ducale.
Nommer la nouvelle conseillère Demoiselle Niwiel ,légitimement élue, au poste de Procureur du Duché de Guyenne avec toutes les charges y afférant.

Scellé a l'Ombrière le huitième jour du mois d'Octobre de l'an de grâce 1458.
Evanescence
Citation:
Guyennoises, Guyennois,

Dans deux jours le gros œuvre du port de Blaye sera achevé.
Afin de continuer la construction, un appel est lancé aux charpentiers voulant s’investir dans cette seconde partie.
Le travail de 30 charpentiers sera nécessaire.
Si vous souhaitez aider à ce chantier, n’hésitez pas à vous rendre à Blaye.

Le Conseil Ducal
Evanescence
Citation:


Du conseil ducal, réunis autour de sa grâce Betoval pour la plus grande gloire de la Guyenne et de Dieu,
Au bienveillant peuple guyennois, en particulier ceux qui œuvrent dans les mines pour le salut de la Guyenne,

Soyez bénit,


En récompense de l'engagement pris par de nombreux guyennois pour le développement du minage, qui reste le point fort de notre économie.
Parce que nous sommes persuadés qu'il faut encourager cette activité et que c'est par l'effort des guyennois que viendra la grandeur de la Guyenne,

Sa grâce Betoval, en accord avec ses conseillers, a décidé l'augmentation du salaire des mines d'un écu, le passant à 16 écus mercredi 13 octobre et jeudi 14 octobre.


Que le Tout Puissant vous bénisse,

Par ordre,
Frère Bardieu

Evanescence
Citation:
Guyennois, Guyennoise,

Ce matin, Messire Bardieu, Bailli de Guyenne et moi-meme, nous sommes rendus à la Cour des Comptes voir nos experts bouliers afin de modifier le salaire des Mines à 16 écus comme affiché pour Aujourd'hui et demain.

Tout c'est bien passé sauf au moment où notre interlocuteur nous a dit qu'il fallait compter un délai de 6 à 8 semaines pour que la modification soit prise en compte. Bien sur, nous avons trouvé celà inacceptable et après moults négociations, nous avons reussi à réduire ce délai à une journée.

Malheureusement, celà veut dire que le salaire de Mercredi sera de 15 écus et non 16 comme annoncé. Nous décalons donc les journées à 16 écus à Jeudi et Vendredi.

Merci de votre compréhension.

Valornel, Commissaire aux Mines de Guyenne.

(HRP: Ne maitrisant pas encore toutes les subtilités de nos postes, nous avons fais l'erreur de croire que la modification de salaire était instantannée. Et vu l'importance économique de ce salaire minier, nous ne pouvions nous permettre de jouer avec sans connaitre les conséquences.)
Evanescence
Citation:



A ceux qui liront et qui ferons lire, Addishatz.

Afin de faire savoir par delà les frontières de notre province , que toute personne entrant en nos terres se doit de respecter les lois ;
Au vue des actions commises en le Royaume de sa majesté Levan le troisième et au delà par les organisations brigandes de l'Hydre, de l'Eldorado et du Jargor ;


Par la présente ordonnance, nous Bétoval , Duc de Guyenne par la grâce d'Aristote et la volonté du peuple guyennois, déclarons les dites organisations ennemies de notre province, pour ce qu'elles sont connues de part moults actes passés de brigandages, de prises de château ou de mairie.

Item de leurs membres , pour leur appartenance publique aux dits groupes, ayant pratiqué de manière constante de tels actes, bafouant les vœux de sureté des institutions et souveraineté des villes, gouvernements et couronnes.

De fait, qu'il soit su que toute incursion sur notre territoire de membres clairement identifiés de ces organisations ayant échappé au bras de la Justice se verra sanctionnée par la force sans sommation.

Que toute province appelant à notre justice en coopération judiciaire sache qu'elle sera entendue.


Scellé au palais de l'ombrière, dans l'enceinte de la ville de Bordeaux , le douzième jour du dixième mois de l'an de grâce MCDLVIII

Cette ordonnance sera applicable dès sa promulgation.




Bétoval, Duc de Guyenne.
Evanescence
Citation:
De Betoval, Duc de Guyenne
Au Connétable de France Bess Saincte Merveille
Aux membres du Conseil des grands Feudataires
Aux sujets de Guyenne et d'ailleurs.



Avons constaté que l'armée Memento Mori avait pénétrée en Guyenne contre notre volonté.
Rappelons que son Capitaine Namaycush est personna non grata en notre Duché comme signalé à plusieurs reprises au conseil des grands Feudataires et personnellement au Grand Maitre de France.
Que si la curia regis a décidé de lui faire confiance, la Guyenne a à maintes reprises pu constater douloureusement que la parole de cet homme n'avait aucune valeur.
Que la Guyenne n'est pas candidate pour tester la valeur de sa parole envers la couronne.

Dans ces conditions, et par respect pour le statut de cette armée, demandons que cette armée fasse demi tour et quitte aujourd'hui même notre territoire par là ou elle est venue.
Que dans le cas contraire le sieur Namaycush ayant une fois de plus violé toutes les lois du Royaume de France en pénétrant indument en Guyenne sera poursuivi comme ennemi de nos armées.
Rappelons que tout soldat au service du connétable de France qui désirerait traverser notre Duché en obtiendra autorisation s'il ne s'appelle pas Namaycush.

Le dix septième jour du mois d'Octobre de l'an de grâce 1458.

Betoval, Duc de Guyenne.

Evanescence
Citation:
Nous Betoval, Duc de Guyenne

Au vu des propos tenus par le sieur Paco, valet du vicomte Kadfael
Propos portant atteinte à l'honneur du Duché à travers son représentant légitime.
Demandons au procureur l'ouverture d'une procédure à l'encontre de ce sieur dans les plus brefs délais.

De plus, sommons le vicomte Kadfael à s'expliquer des propos tenus par ses gens en public.
Cette explication devra être faite dans les cinq jours suivant la promulgation de ce décret.
Ceci au bureau du Porte parole, par le verbe ou la plume.
Si le silence venait à répondre à cette sommation nous ne pourrons que constater que silence vaut acceptation de la trahison évidente accomplie par ceux qui sont à son service.
Acceptation avec toutes les conséquences que cela implique.


Le dix septième jour du mois d'Octobre de l'an de grâce 1458.
Betoval, Duc de Guyenne



Citation:
Au nom du conseil de Guyenne

Le Duché de Guyenne par la voie de son conseil, a décidé de porter plainte à l'encontre de l'ancien Duc régnant Trunks 59e du nom au vu des terribles conséquences de son inconséquence lors de son règne.
Le Procureur Niwiel est chargée de rassembler les témoignages et autres preuves sur ce sujet.
Nous invitons donc toute personne qui détiendrait des informations à ce sujet à contacter le procureur de Guyenne.

Au nom du conseil

Le dix septième jour du mois d'Octobre de l'an de grâce 1458.
Betoval, Duc de Guyenne.
Evanescence
Citation:
Nous Betoval, Duc de Guyenne par la grâce du Très haut et la volonté des urnes.

Vu la Charte de la Guilde ducale des marchands ambulants de Guyenne.
Vu l'absence inexpliquée du chef de guilde Dame Clytie
Vu l'assiduité et la motivation évidente de son second le sieur Fitzchevalerie.
Vu les avis du conseil.

Nommons le sieur Fiztchevalerie Chef de la Guilde ducale des marchands de Guyenne.

Que le souvenir de son action à cette charge puisse perdurer pour des décennies dans les heureux souvenirs de nos descendants.

Scellé à Bordeaux, le dix huitième jour d'octobre de l'an de grâce 1458



Citation:
Nous Betoval, Duc de Guyenne par la grâce du Très haut et la volonté des urnes.

Au vu des dangers signalés par notre prévôté.
Dangers visant la ville de Bordeaux.
Déclarons cette ville fermée aux non Guyennois.
Tout non Guyennois a 24h à partir de la promulgation de ce décret pour quitter la ville.
Passé ce délai,tout contrevenant s'expose a un procès pour trouble public ou la mise en ennemi des armées du Duché suivant la gravité de la situation.

Scellé a Bordeaux le dix-neuvième jour d'Octobre de l'an de Grâce 1458.
Evanescence
Citation:
Nous Betoval, Duc de Guyenne

Au vu des menaces se précisant pour la sécurités du Duché.
De mouvements armées suspects.
De troupes de brigands et de mercenaires étrangers en nos terres et de la menace qu'elles font peser sur notre capitale.
Levons le ban de la noblesse Guyennoise.
La noblesse de Guyenne non mobilisée actuellement dans les armées au service du Duché se doit de rejoindre au plus vite Bordeaux.

Nous déclarons la loi martiale en Guyenne, invitons tout étranger a quitter le territoire immédiatement et de se signaler a la prévôté pour sa propre sécurité dans les plus brefs délais.
Nous invitons tous les hommes valides de Guyenne a participer a l'effort de défense de notre capitale Bordeaux et a s'y rendre le plus rapidement possible

Que la grâce du Très Haut veille sur ses valeureux enfants de Guyenne.


Scellé a Bordeaux le vingtième jour d'octobre de l'an de grâce 1458.
Evanescence
Citation:
A partir de ce jour, et au vu de la loi martiale:
les ressortissants des terres de l'alliance du Ponant sont autorisés à séjourner en Guyenne.
Notre prévôt se réserve le droit d'expulser toute personne suspecte.

Scellé a Bordeaux le vingt deuxième jour d'Octobre de l'an de grâce 1458

Betoval, Duc de Guyenne.
Evanescence
Citation:
De Betoval, Duc de Guyenne par la grâce de Dieu et la volonté des urnes.
Aux courageux sujets de Guyenne

L'armée Memento Mori a attaqué cette nuit notre armée qui stationnait à Agen.

Cette armée sous étendard royal avait pénétré en Guyenne sans notre autorisation.

Au vue des traîtrises qu'a connues la Guyenne par le passé de la part de ce capitaine, nous ne voulions pas que les Guyennois puissent souffrir une nouvelle fois de cet homme. Nous avons donc, comme il en est notre droit, refusé son passage.

Il pouvait tout à fait passer par d'autres voies, terrestres ou maritimes. Son armée est pourtant restée six semaines à nos frontières, nous obligeant à mobiliser des hommes contre cette potentielle menace.

Le Connétable de France et le Grand Maître de France m'avait assuré que Memento Mori ne pénétrerait pas en Guyenne.

D'après le Connétable de France, cette entrée était due à une erreur d'ordre. Elle a donc immédiatement ordonné à son capitaine de faire demi-tour.

Il n'a pas obéi à cet ordre.

Ne voulant pas laisser Agen sans protection avec une armée incontrôlée à proximité, nous avons décidé de positionner une armée sur Agen.

Si le capitaine Namay avait obéi aux ordres, il serait sorti de Guyenne avant son arrivée.

Depuis quelques jours, il se trouvait donc entre Marmande et Agen entre les armées que la mesnie Hyrglas-Blanquefort avait mis à disposition du Duché.
Nous rendons hommage au Vicomte de Blanquefort et la Baronne de Luzech qui ont fourni leurs armées et leurs gens pour la protection de notre Duché.
Ces armées étaient renforcées de trés nombreux soldats et volontaires de toute la Guyenne.

Au vue des provocations multiples dont a fait preuve le capitaine Namaycush, nous avons demandé Justice à notre souverain.
Alors que les négociations étaient en cours, le capitaine Namaycush a pris l'initiative d'attaquer Agen.
Il a été grièvement blessé dans la bataille ainsi que la plupart de ses hommes.
Son armée sans doute détruite.
Nous regrettons que les choses en soient arrivées là, mais la Guyenne ne laisse pas des armées sans contrôle errer en ses terres.

Nous félicitons personnellement tous les volontaires et soldats qui ont valeureusement mis leur vie en péril pour la Guyenne.
Nous prendrons toutes les mesures pour leur montrer que la Guyenne ne les oubliera pas.


Advienne que pourra, la Guyenne brillera.

Scellé à Bordeaux le vingt deuxième jour d'Octobre de l'an de grâce 1458.
Asophie
Citation:

A tous et à toutes,

Suite à l'assaut conduit par le sieur Namaycush, commandant d'une armée royale, à l'encontre de la ville d'Agen, sise sur le duché de Guyenne, sans déclaration préalable, après avoir violé l'interdiction de séjour qui lui était faite en raison de ses multiples menaces, de son passif chargé et de la dangerosité représentée, l'Alliance du Ponant déclare :

Que cette agression armée, menée sous le voile de la tromperie, de la fourberie et de la surprise, constitue en elle-même un acte de guerre, dans la mesure où la Guyenne pacifique est victime d'un geste de conquête, animé d'un intention meurtrière et destructrice.

Que s'il serait loisible de faire porter la responsabilité de cet acte au pouvoir royal qui revendique son autorité sur cette armée, ou encore à la Gascogne où cette armée s'est constituée, nous voulons croire, en vertu de l'attachement de l'Alliance du Ponant à la paix, qu'il n'en est rien, que le pouvoir royal et le pouvoir gascon ont été trahis par le sieur Namaycush et ses hommes, qu'ils n'auraient jamais eu la folie d'essayer d'envahir sans aucun motif la Guyenne en cette période tendue.

Que nous attendons la dénonciation de cette agression scandaleuse, la désolidarisation entre la pouvoir royal et son armée, qui doit naturellement se traduire par une châtiment sévère à l'encontre du sieur Namycush et de ses hommes qui ont trahi la confiance de leur roi, menacé gravement l'équilibre de la paix par leur entreprise inconsidérée et salit l'honneur des armées royales en s'en prenant à un vassal fidèle à son roi.

Que cet incident aurait pu être évité si le grand maître de France avait écouté les réticences de la Guyenne à laisser passer une armée menée par un homme ayant proféré à maintes reprises des menaces contre la Guyenne et l'Alliance du Ponant, ayant par le passé commis de nombreux crimes en Guyenne et ayant moins de moralité qu'un pou, s'il avait été pris en considération, comme l'Alliance du Ponant l'avait déjà souligné il y a peu à propos des armées en Anjou, qu'une bannière immaculée, comme celle du roi, ne peut hélas pas toujours garantir la vertu de celui qui se place en dessous, qu'il sera donc utile aux autorités royales de tirer une leçon de cette mésaventure et d'être plus prudentes à l'avenir dans le choix des commandants de ses armées.

Que faute de savoir si le sieur Namaycush s'est plu à agir seul ou s'il s'inscrit dans une offensive plus vaste visant la Guyenne, l'ensemble de l'Alliance du Ponant se tient prête à mobiliser pour venir soutenir son allié et l'aider à repousser toute menace, qu'elle aura la même détermination à défendre la Guyenne qu'elle en a eu à défendre l'Anjou.

Que tous ceux, appartenant à des armées vagabondes ou à des armées officielles, qui s'en prendront aux membres de l'Alliance du Ponant, quelque soit la bannière sous laquelle ils se dissimulent, auront à subir notre courroux et notre juste violence.

Que nous espérons que le pouvoir royal s'associera à nous pour lutter contre l'embrasement des esprits et empêcher que ce sinistre incident n'ait de fâcheuses complications en ces temps où les épées sont encore chaudes dans les fourreaux.


Pour la Bretagne :

Myrlin de Pontcallec, Grand Duc de Bretagne



Pour l'Anjou

Finam de Montmorency



Pour le Poitou:

Sa Grandeur Cyphus Garion, Lumière de son Peuple



Pour l'Artois:

Luzifer II Comte de Ponthieu et Comte d'Artois



Pour la Guyenne :

Betoval, Duc de Guyenne





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