Kylian.
Pourquoi continuer a etre seul, ?
Tu es bel homme tu devrais te trouver une fiancée
Veux tu que je t'aide, je connais des dames de très bonne famille
Un mariage serait bien, j'ai envie de voir mon fils heureux,
Tu es un bon parti, tu ne devrais pas hesiter **
Voilà en substance le discours qui decoulait en long et en large de sa Mère qu'il venait a peine de revoir après de longs mois loin d'elle, loin d'eux tous. Et surtout quelques semaines loin de sa beauté rousse. Ce discours marital se deroula au cours du repas de retrouvailles dans cette petite auberge de Bourgogne ou elle l'avait rejoins avec Arthan , Vera et surtout.. surtout SA Marie.. qu'il dévorait du regard tout en tentant de faire abstraction de l'envie maritale maternelle. Dieu que sa belle etait .. belle.. Dieu que ce regard émeraude lui avait manqué. Dieu que sa vie avait changé depuis Angers.
Car il fallait bien l'avouer, fut quelques semaines plus tot ce genre de discours ce serait conclu par un" 'oui" trouve moi un bon parti et qu'on en finisse avec cette utopie qu'est- l'amour,". Mariage d'interet il y avait pensé un long moment, après tout l'Amour n'existait pas . Du moins jusqu'a Angers. Angers, ville dont il se souviendrait et non pas à cause de la guerre qui faisait rage. Angers etait la ville ou il avait retrouvé vie. Marie et Lui s'etaient abandonnés l'un a l'autre et vivaient une passion peu commune faite de desirs, amour, tendresse et altruisme . Et tout les jolis discours de sa Mère ne changerait pas son idée. Marie serait sa femme ou il resterait seul.
Il voulait dire cela à la terrible matriarche de son coeur, lui dire "mais Mère regarde, je l'ai trouvé, quelle plus belle femme peut-il y avoir dans ma vie? " Cependant il n'avait pu voir Marie seul a seul afin de .. "peaufiner les details" comme il se plaisait a le dire. Enfin detail etait un mot un peu faible.. Comment faire accepter à sa Mère qu'il aimait Marie comme Homme peut aimer une Femme? . La meme Marie qu'elle appelait ma fille, la meme Marie qu'elle avait elevée comme son propre sang.. Seulement voilà de sang familial il n'y avait pas, de nom non plus, rien de rien.. mais allez faire comprendre cela a sa Mère. Ca serait sans doute le combat le plus dur qui soit, mais coute que coute, le jeune homme gagnerait car Marie valait toutes les guerres à mener. Quelque soit la personne a defier, il le ferait sans la moindre hesitation, quitte a ce que ce soit sa propre Mère.
Long soupir ponctuait les phrases d'Aldraien, regards incessant vers Marie qui semblait ne pas savoir quoi faire non plus, Un dernier soupir, il avait fnit par se lever, posant deux bises à la rousse modèle adulte, une accolade et un decoiffage de cheveux au cadet de la famille venu aussi guerroyer, et une bise sur les joues albâtre de la belle.. puis une autre qui s'attarda sur sa joue et un "rejoins moi tout a l'heure" lui fut discrètement glissé au creux de l'oreille, doux murmure a la plus belle . Il espérait qu'elle vienne oui... de Une pour l'embrasser car sérieusement quelques semaines sans Elle c'est comme un air sans oxygène , un ciel sans Etoile, Le Neant absolu. Il lui fallait reprendre des forces que diantre! Et seule la belle pouvait lui octroyer cela. Il voulait aussi la voir pour arranger avec elle la facon de dire "Maman.. surpriiiise c'est Marie que j'aime ! " Car non, il etait decidé, La famille serait au courant ce soir ou le lendemain. Il en avait assez de cacher ce qu'il ressentait. Car il n'y avait pire que d'avoir sa belle devant lui en feignant de ne ressentir pur elle qu'un vague sentiment d'amitié alors qu'il se consumait d'amour
Retour dans sa chambre, sa veste jetée négligemment sur le lit, il s'assit a son bureau et commença la l'attente. De celle dont on sait qu'elle va déterminer le reste de la vie. Au dehors, l'obscurité naissante d'une future nuit...
...
... Longtemps très longtemps après, la Lune etait dejà haut dans le ciel. Les yeux du Vicomte se fermaient doucement mais surement, le corps etait endolori , un leger ronflement naissant. Puis un bruit dehors le réveilla un peu. Quelques voyageurs arrivants. Un regard un peu attristé vers cette porte qui etait restée fermée.. Elle ne viendrait pas ce soir.. Soupir et resoupir.. Il retira sa chemise, ses bottes et se jeta d'une masse sur le lit grinçant et qui ne manquerait pas de se casser si l'Escuyer recommençait son cirque. Allongé sur le ventre, il plongea sa tete sous l'oreiller comme a son habitude qaund il voulait s'endormir sans entendre bruit exterieur.. Doucement le sommeil le prit, doucement le corps se détendit. La nuit passerait trop vite.. ou pas assez selon les points de vue
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Tu es bel homme tu devrais te trouver une fiancée
Veux tu que je t'aide, je connais des dames de très bonne famille
Un mariage serait bien, j'ai envie de voir mon fils heureux,
Tu es un bon parti, tu ne devrais pas hesiter **
Voilà en substance le discours qui decoulait en long et en large de sa Mère qu'il venait a peine de revoir après de longs mois loin d'elle, loin d'eux tous. Et surtout quelques semaines loin de sa beauté rousse. Ce discours marital se deroula au cours du repas de retrouvailles dans cette petite auberge de Bourgogne ou elle l'avait rejoins avec Arthan , Vera et surtout.. surtout SA Marie.. qu'il dévorait du regard tout en tentant de faire abstraction de l'envie maritale maternelle. Dieu que sa belle etait .. belle.. Dieu que ce regard émeraude lui avait manqué. Dieu que sa vie avait changé depuis Angers.
Car il fallait bien l'avouer, fut quelques semaines plus tot ce genre de discours ce serait conclu par un" 'oui" trouve moi un bon parti et qu'on en finisse avec cette utopie qu'est- l'amour,". Mariage d'interet il y avait pensé un long moment, après tout l'Amour n'existait pas . Du moins jusqu'a Angers. Angers, ville dont il se souviendrait et non pas à cause de la guerre qui faisait rage. Angers etait la ville ou il avait retrouvé vie. Marie et Lui s'etaient abandonnés l'un a l'autre et vivaient une passion peu commune faite de desirs, amour, tendresse et altruisme . Et tout les jolis discours de sa Mère ne changerait pas son idée. Marie serait sa femme ou il resterait seul.
Il voulait dire cela à la terrible matriarche de son coeur, lui dire "mais Mère regarde, je l'ai trouvé, quelle plus belle femme peut-il y avoir dans ma vie? " Cependant il n'avait pu voir Marie seul a seul afin de .. "peaufiner les details" comme il se plaisait a le dire. Enfin detail etait un mot un peu faible.. Comment faire accepter à sa Mère qu'il aimait Marie comme Homme peut aimer une Femme? . La meme Marie qu'elle appelait ma fille, la meme Marie qu'elle avait elevée comme son propre sang.. Seulement voilà de sang familial il n'y avait pas, de nom non plus, rien de rien.. mais allez faire comprendre cela a sa Mère. Ca serait sans doute le combat le plus dur qui soit, mais coute que coute, le jeune homme gagnerait car Marie valait toutes les guerres à mener. Quelque soit la personne a defier, il le ferait sans la moindre hesitation, quitte a ce que ce soit sa propre Mère.
Long soupir ponctuait les phrases d'Aldraien, regards incessant vers Marie qui semblait ne pas savoir quoi faire non plus, Un dernier soupir, il avait fnit par se lever, posant deux bises à la rousse modèle adulte, une accolade et un decoiffage de cheveux au cadet de la famille venu aussi guerroyer, et une bise sur les joues albâtre de la belle.. puis une autre qui s'attarda sur sa joue et un "rejoins moi tout a l'heure" lui fut discrètement glissé au creux de l'oreille, doux murmure a la plus belle . Il espérait qu'elle vienne oui... de Une pour l'embrasser car sérieusement quelques semaines sans Elle c'est comme un air sans oxygène , un ciel sans Etoile, Le Neant absolu. Il lui fallait reprendre des forces que diantre! Et seule la belle pouvait lui octroyer cela. Il voulait aussi la voir pour arranger avec elle la facon de dire "Maman.. surpriiiise c'est Marie que j'aime ! " Car non, il etait decidé, La famille serait au courant ce soir ou le lendemain. Il en avait assez de cacher ce qu'il ressentait. Car il n'y avait pire que d'avoir sa belle devant lui en feignant de ne ressentir pur elle qu'un vague sentiment d'amitié alors qu'il se consumait d'amour
Retour dans sa chambre, sa veste jetée négligemment sur le lit, il s'assit a son bureau et commença la l'attente. De celle dont on sait qu'elle va déterminer le reste de la vie. Au dehors, l'obscurité naissante d'une future nuit...
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... Longtemps très longtemps après, la Lune etait dejà haut dans le ciel. Les yeux du Vicomte se fermaient doucement mais surement, le corps etait endolori , un leger ronflement naissant. Puis un bruit dehors le réveilla un peu. Quelques voyageurs arrivants. Un regard un peu attristé vers cette porte qui etait restée fermée.. Elle ne viendrait pas ce soir.. Soupir et resoupir.. Il retira sa chemise, ses bottes et se jeta d'une masse sur le lit grinçant et qui ne manquerait pas de se casser si l'Escuyer recommençait son cirque. Allongé sur le ventre, il plongea sa tete sous l'oreiller comme a son habitude qaund il voulait s'endormir sans entendre bruit exterieur.. Doucement le sommeil le prit, doucement le corps se détendit. La nuit passerait trop vite.. ou pas assez selon les points de vue
* phrase aldraien faites avec son accord
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