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[RP] Cathédrale d'Orléans (annonces, messes etc...)

Leanore


Pour rien au monde elle n'aurait manqué cet évènement tant il était empli de symboles. Godefroy, l'homme libre avait par amour accepté le baptème.
Léanore savait tout ce que cela voulait dire. Bientôt ils reviendront tous les deux entourés de leurs amis dans cette superbe bâtisse pour leur union.
Il faisait froid mais son coeur était léger et plein de soleil.
Lorsqu'elle arriva, elle vit Godefroy qui était déjà là. Elle sourit en le voyant de loin puis elle s'approcha de lui, puis afin de respecter le lieu sacré, lui fit un baiser léger sur la joue

Bonsoir Mon Ami....Je suis là à vos côtés..... Aujourd'hui comme demain.....

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Mumbly
Mumbly,de passage à Orléans,venait d'apprendre que le baptême de Godefroy aurait lieu ce jour.C'est avec une joir certaine qu'il décida de s'y rendre.Il traversa le parvis et entra dans l'édifice.
Peu de monde était arrivé.Il décida de prendre place dans les premiers rangs pour profiter de la cérémonie.
Mamolu


Georgio et Marie se rendirent à la cathédrale dés que leur labeur fût fini , Marie était très honorée d"être la marraine de messire Godefroy qui bientôt serait l'époux de leur chère Léanore.

Peu de monde était présent pour le moment ,ils s'inclinèrent devant Monseigneur Dariush.

Ils se faufilèrent aux côtés de leurs amis, les saluèrent en souriant attendant que la cérémonie débute.

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Messire_godefroy




Godefroy éclaira son visage d'un large sourire lorsqu'il aperçu Léanore. il avait envie de la prendre dans ses bras mais la solennité de la cathédrale l’empêcha de se livrer a trop d’épanchements. Il reçu sagement un petit baiser sur la joue. Il lui rendit, à son tour, une sage bise sur le front.

Il aperçut ensuite Mum, le baroudeur avait trouvé le temps de venir. Lui, le preux Mum lui faisait cet honneur. Il alla le saluer chaleureusement en une accolade virile et souriante.

Sa marraine Marie accompagnée de Georgio venaient de pénétrer dans la cathédrale. Il accourut vers eux, vraiment heureux de les voir, il serra longuement la main de Georgio et s'inclina respectueusement devant Marie, une dame de qualité qu'il admirait.

Ils discutèrent longtemps. riant doucement de temps a autre. Léanore se joignit au groupe, ainsi que Mum, attendant que la cérémonie commence.

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Godefroy
Tout un monde galant, vif, brave, exquis et fou, une lourde épée en garde, et surtout ce mépris de la mort, comme une fleur aux lèvres...

Feodor
Dariush salua Godefroy puis les autres paroissiens.
Il entra ensuite au choeur de la cathédrale et s'installa face à l'assemblée.


Paix à vous tous. Bonjour à vous tous.

En ce jour, nous sommes rassemblés afin d’ouvrir grands les bras a un nouveau frère. Par le baptême, de ce sacrement, nous accueillerons notre ami en la grande famille.

Avant de débuter, confessons nos péchés, admettons nos tords, demandons pardon.


Et le silence se fit permettant ainsi à tous de demander le pardon. Puis Dariush reprit la parole.

Qui sera la personne chargée de guider Messire Godefroy lui assurant ainsi que le droit chemin lui sera maintenu tout au long de sa vie ? Qui sera chargé de lui assurer une amitié Aristotélicienne sans faille ? Que cette personne s'avance et récite le crédo. Que tous écitons ensuite à l'unissons ce symbole de fidélité à notre Très Haut et à notre confiance vis à vis des écrits de nos prophètes.
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Mamolu


Quelques instants plus tard Monseigneur Dariush ouvrit la cérémonie demandant à chacun de se recueillir,ainsi qu'à la personne désignée afin d'épauler messire Godefroy de bien vouloir le rejoindre au chœur de la cathédrale.

Ce fût donc Marie qui se levât ,se dirigeât vers l'autel" plus émue qu'elle ne le laissait paraître" et, qui d'une voix claire récitât le Crédo.






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Messire_godefroy


Godefroy récita à son tour le credo.
Très intimidé, la gorge sèche, il s’éclaircit la voix pour pour débuter sa récitation.

hum hum HUM !

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

Amen

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Godefroy
Tout un monde galant, vif, brave, exquis et fou, une lourde épée en garde, et surtout ce mépris de la mort, comme une fleur aux lèvres...

Leanore
A l'invite de Dariush et comme ses amis ici présents, Léanore récita son credo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

Amen
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Mumbly
Mumbly était installé ,quand il vit arriver Marie et Georgio.
Il les salua d'un large sourire,il les verrait après la cérémonie.
A peine pour certains le temps de s'asseoir qu'ils devaient se relever pour réciter le credo.
Mumbly ne se fit pas prier et récita de sa voix grave.


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

Amen
Feodor
Chers fidèles, chers amis, je vais vous lire tout d'abord le dixième dialogue de la vita d'Aristote. Dans ce dialogue, Aristote tente d'explique à un de ses élèves la distinction du bien et du mal. Il lui explique alors que l'homme bien est celui qui s'implique au sein de sa cité et qui travaille pour un monde juste. J'ai choisi ce premier extrait puisqu'il illustre bien la voie de tout fidèle.

Citation:

La Vita d'Aristote, dialogue X

Par un rude jour d’hiver, un disciple, qui avait atteint le terme de son enseignement, vint trouver Aristote, avant de quitter le lycée.

Le disciple : "Cher maître, maintenant que je vais être livré à moi-même, il y a une chose que j’aimerais savoir."

Aristote : "Je t’écoute, brillant disciple."

Le disciple : "Vous m’avez remarquablement formé à l’art de la logique et à la science métaphysique, mais vous ne m’avez rien dit quant à la morale."

Aristote : "Tu dis vrai, mon ami. C’est en effet une lacune de mon enseignement. Que veux-tu savoir au juste ?"

Le disciple : "Il est important pour un homme, je le crois, de savoir identifier le bien du mal, afin de se conformer aux règles qui conduisent au premier, et qui permettent d’éviter le second."

Aristote : "Certes."

Le disciple : "Ce qui m’amène à cette question simple, maître, qu’est-ce que le bien ?"

Aristote : "C’est un problème tout à la fois vaste et d’une simplicité limpide comme le cristal. Le bien, dans son principe, c’est la perfection de la nature de l’objet, de sa substance."

Le disciple : "Mais pourquoi donc, cher maître ?"

Aristote : "Parce que le bien ultime réside dans le divin, sans nul doute. Et pour identifier le bien, il suffit donc de s’attacher à l’analyse de l’essence du divin. La substance du tout puissant étant intelligibilité pure et parfaite, le bien ne peut être que perfection de la substance, et donc de la nature d’une chose. Comprends-tu ?"

Le disciple : "Oui, cher maître, je comprends."

Aristote : "Je t’ai enseigné, cher disciple, que la nature d’une chose réside dans sa destination, puisque le mouvement révèle la substance de l’objet. Tu sais donc quelle est la nature de l’homme n’est-ce pas ?"

Le disciple : "Certes, maître, la nature de l’homme est de vivre en collectivité, et cette collectivité prend le nom de cité."

Aristote : "Tout à fait. Le bien de l’homme, c’est à dire ce qui tend à réaliser la perfection de sa propre nature, est donc une vie vouée à assurer les conditions de l’harmonie au sein de la cité. Or, le bien de la cité, est tout ce qui participe à son équilibre, puisque la nature de la collectivité est de se perpétuer. Ainsi donc, tu peux le constater, le bien de l’homme conduit au bien de la cité."

Le disciple : "C’est remarquable !"

Aristote : "En effet, ça l’est. Vois-tu, l’homme ne fait le bien qu’en s’intégrant pleinement à la cité, en participant à la politéïa, et en faisant tout son possible pour en maintenir l’harmonie."

Le disciple : "Alors, cher maître, l’homme de bien est donc le citoyen ?"

Aristote : "Je n’ai pas dit cela, cher disciple. Un esclave peut être un homme de bien, s’il a conscience de sa propre nature d’homme, et qu’il sait se satisfaire de sa condition, car ainsi il œuvre au maintien de l’équilibre de la cité. La politéïa n’est pas que la participation aux assemblées."

Le disciple : "Et bien, cher maître, voilà des réponses qui me satisfont."

Aristote : "J’en suis heureux, mon ami."

Et sur ce, Aristote ne revit jamais son disciple qui, selon la légende, vécut une existence exemplaire, inspirée par les principes de la vertu.


Il arrêta sa lecture, jeta un coup d'oeil, le silence de l'église était imposant et il se tut.

Par le sacrement du baptême, tu renonces au péché, tu choisis de vivre selon les règles de notre Sainte Eglise, tu choisis de t'abstenir de tout mal, et de te rapprocher de Dieu par la voie de l'amitié aristotélicienne.

Godefroy acceptes-tu cela ?
Acceptes-tu de prendre le chemin difficile des Vertus ?
Si oui, récite le serment des baptisés.

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Messire_godefroy
Godefroy s’avança doucement.

Il récita lentement le serment des baptisés :


Je reconnais en Dieu le moteur du monde,la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur Terre de l'Etre Divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu Tout Puissant.

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Godefroy
Tout un monde galant, vif, brave, exquis et fou, une lourde épée en garde, et surtout ce mépris de la mort, comme une fleur aux lèvres...

Feodor
Dariush prit alors de l'eau bénite puis s'approcha de Messire Godefroy et débute l'acte final.

Avec cette eau, je vous lave de vos précédents péchés, et vous fais entrer dans notre communauté. Je vous baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité ! Dieu pardonne vos péchés et vous reconnaît comme son enfant, mais vous devez alors commencer une existence méritoire suivant nos préceptes.

Puis Dariush alla prendre une médaille et la donna au baptisé.

Portez cette médaille, qui vous distinguera des autres et permettra de montrer votre foi et votre appartenance à la communauté des croyants.


Vous pourrez désormais porter un cierge, qui illumine nos âmes. Il est le symbole de votre compréhension du message divin, et de la lumière qu'il apporte sur votre vision du monde. Vous devez aussi faire jaillir de vous la lumière de la vertu pour vivre dans notre communauté et aider les égarés qui se fourvoient dans l'obscurité impie.



A présent, Mon Fils, retournez-vous, et comptemplez la communauté des fidèles, et qu'ils voient en retour l'un des leurs.

Enfin, pour conclure la cérémonie, l'évêque s'adressa à l'audience.

Chers fidèles, je vous invite à venir acceuillir et féliciter votre nouveau frère.

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Messire_godefroy
...Je vous baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut,...

Godefroy sourit à Dariush.

...Portez cette médaille, qui vous distinguera des autres et permettra de montrer votre foi et votre appartenance à la communauté des croyants...

Il prit très précautionneusement la médaille précieuse dans ses mains. Il souhaitais que sa marraine Marie lui mette autour du cou.

...Vous pourrez désormais porter un cierge, qui illumine nos âmes....

Godefroy saisit religieusement le cierge, souriant, il était heureux.
Il se retourna face à l'assistance, chercha Marie, Leanore et ses amis, un peu rouge d'émotion. Il regarda devant puis baissa la tête doucement en signe d'humilité.
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Godefroy
Tout un monde galant, vif, brave, exquis et fou, une lourde épée en garde, et surtout ce mépris de la mort, comme une fleur aux lèvres...

Leanore


Dariush avait lu un passage du livre saint, Godefroy récita le serment des baptisés puis il reçut les différents objets symboliques du baptisé. Il s'inclina puis les chercha du regard. Il avait l'air comme un enfant qui avait reçu le plus beau des cadeaux. Il avait été exemplaire.
Léanore lui sourit et pensa que bientôt ils franchiraient tous les deux une autre étape de leur vie terrestre.

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Manulechti
Citation:
A Son Eminence Dariush de Talleyrand
Cardinal-Eveque d'Orléans,

Eminence, pour ce mandat, nous souhaiterions réinstaurer une ancienne pratique, à savoir la Bénédiction des Elus.

Par cet acte nous voudrions montrer à tous les orléanais que leurs élus sont aussi pieux qu'eux.
Ceci accompagne notre volonté et notre conviction d'exemplarité car en effet, les élus se doivent d'être pour l'ensemble des Orléanais un exemple.
De plus nous pensons que pour assurer un bon mandat, nous devons avoir la bénédiction d'Aristote.

Nous voudrions donc savoir si un telle cérémonie pouvait être organisée en la Cathédrale d'Orléans et en présence du peuple orléanais. Et si oui à quelle date.

Qu'Aristote veille sur vous et sur notre mandat.

Orléanaisement

Faict à Orléans, le 08 Février de l'an de grasce 1460

Bourguignon de Sorel
Gouverneur d'Orléans

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