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[RP] Cathédrale d'Orléans (annonces, messes etc...)

Lexhor
En ce froid dimanche de février, Lexhor avait quitté les bureaux de la Chambre des élus pour se rendre, à pieds, à la cathédrale Saint-Croix pour assister à la bénédiction des élus par le cardinal-Evêque d'Orléans.
Le froid était mordant et le vent glacial. Heureusement, Lexhor avait un fort beau manteau.
A mesure qu'il approchait du saint édifice, il percevait déjà une grande agitation. Fronçant les yeux, il avança, perplexe, avant de découvrir qu'une bande de paysans crottés profanaient la sacro-sainte cathédrale. Le duc de Beaugency étant déjà bien rouge. Le froid et la colère en étaient sûrement les responsables. Lexhor le laissa donc gérer la situation, restant tout de même à proximité.
Il salua donc Dariush et Sindbad.


Dieu vous garde éminence, excellence.

Sourire. Puis il se retourne vers le gentil joufflu qu'il avait déjà rencontré quelques temps avant. Il sourit en écoutant sa remarque puis répondit.

Elle est bien cachée. Et d'ajouter. Si tu la trouves, je te l'échange contre un chien.

Regard vers l'intérieur du bâtiment saint et hochement de tête. Le respect se perdait, même pour les lieux saints.
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La_jacasse
La Jacasse venait parfois le dimanche matin assister à l'office. Elle venait pas parce que c'était une fervente d'Aristote et de Christos, elle venait pour regarder et écouter tout ce que les gens pouvaient dire de mal sur le dos des autres. La Jacasse prenait ensuite un malin plaisir à colporter des ragots. Elle avait en ce dimanche une bonne source car un gros paysan appelait à la révolte. La vieille se rapproché et écouta les reproches de l'homme. Pas encore révolutionnaire tout ça.

T'es drôle toi ! t'a pas d'écus pour t'acheter un champ et tu braille com' une mule qu'tu travaille la terre de quelqu'un d'aute. Mais heureus'ment, sinon comment qu'te ferais pour te payer la vinasse que tu bois chaque jour ? t'a pas encor' compris qu'ta vie s'ra toujour misérabe et que tu s'ra toujour un paysan tout crotté quand y'aura plu ? Au lieu d'brailler, entre dans l'église et prie pour avoir un avenir meilleur mais j'te rassure, y'aura toujour des riches et y'aura toujour des pauvres, mais tout le monde veut être riches, alors Aristote il sait pu où donner d'la tete.
--Sara_la_feline
Attablée a la taverne, non loin de la place de la cathédrale, du boulanger bref en gros du village .La Sarah attendait le client .Le corset bien serrée sur sa poitrine débordante et ses jupes et jupons relever sur lez coté le tout coincé dans la taille de jupe pour laisser apparaitre sa cuisse et deviner le reste .Mais entre les carillons ,les hurlement inhabituel ,elle crue que le feu avait pris non loin .Elle se mit sur la pas de la porte avançant en direction de la cathédrale .Un attroupement et des gueux ,voila des écus à se faire avançant plus encore elle reconnu quelques têtes qui l’avaient déjà troussée pour quelques écus .Et parmi elle vit le meneur ,une espèce de gros plein de soupe .
La elle parti d’un fou rire et s’avança encore plus prés

HIHIHIHiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Alors la tu me fais rire toi en meneur d’homme .J’espère que tu es plus fort qu’en tombeur de femme .Car la dernière fois que je t’ai vu .On peut dire que tu n’étais pas très en forme et même que c’était tout mou.

Dites donc braves paysans vous allez le suivre ce bourses molle?
Bourguignon
Le Gouverneur sortit de la Cathédrale avec les indignés, bizarrement aucun d'eux ne prit la parole à part celui qui semblait être le meneur pour ne rien dire d'interesant. Quelle misère de voir le Duché d'Orléans devenir ainsi, ou n'importe qui peut se permettre n'importe quoi, le Boeuf laissa l'Eveque gerer la situation pour que le calme revienne, pendant ce temps il alla saluer les élus et personnes qui se présentaient sur le parvis.
Lorsqu'il vit le Duc d'Alluyes arriver, le Beaugency alla le rejoindre...


Je savais que tu trouverais les mots justes pour ce jeune homme

Petit sourire

Dariush nous invite à entrer, la situation semble s'être légèrement calmée, esperons que cela dure pour le reste de la messe
Mais c'est navrant de voir le Duché devenir ainsi ...

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Ninouchka
Orléans le dimanche ... un rêve, un régal ... le calme, la sérénité, une atmosphère de ville endormie dans la froidure de l'hiver ...

A peine avait-elle pensé ces choses, pelotonnée au fond de la voiture de location, qu'elle fut sortie de la torpeur qui l'avait envahie.

Au bruit des cloches se mêlaient des cris, des appels. Très vite elle se rendit compte que ce n'étaient pas des cris de joie ou d'encouragement pour les élus, mais bien des cris de rage, de colère, des appels à la révolte. Elle sentit son coeur qui se mettait à battre plus fort et elle se crispa.

Ce genre de bruits faisaient toujours renaître chez elle des images difficiles, ils faisaient resurgir sa peur de la violence aveugle, la vision de l'assassinat de son père.

Mais déjà la voiture s'arrêtait devant la cathédrale. Dans un geste gentil, le cocher vint l'aider à descendre, mais l'instant d'après elle était seule pour affronter la bande d'énergumènes qui avait pris possession des escaliers menant au lieu saint.

La dame de Talcy hésitait quant à la conduite à tenir lorsque le Cardinal, le duc de Beaugency, la duchesse Kalimalice intervinrent sans compter une femme du peuple qui vint se moquer ouvertement d'un des meneurs.

Ninouchka, en profita pour se faufiler rapidement dans la cathédrale. Son coeur battait la chamade, ses tempes s'étaient couvertes d'une très fine sueur froide, elle était pâle et éprouva le besoin de s'asseoir rapidement.

Elle était consciente qu'il y avait du monde dans l'église mais les salutations seraient pour plus tard, dès qu'elle aurait surmonté ce léger malaise. Elle tenta de respirer lentement, de reprendre son calme.

Se parlant à elle-même, elle se dit


Mais combien de temps me faudra-t-il encore pour oublier ?
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--Paysan_d_orleans
Bourguignon a écrit:
Le Gouverneur sortit de la Cathédrale avec les indignés, bizarrement aucun d'eux ne prit la parole à part celui qui semblait être le meneur pour ne rien dire d'interesant. Quelle misère de voir le Duché d'Orléans devenir ainsi, ou n'importe qui peut se permettre n'importe quoi, le Boeuf laissa l'Eveque gerer la situation pour que le calme revienne, pendant ce temps il alla saluer les élus et personnes qui se présentaient sur le parvis.
Lorsqu'il vit le Duc d'Alluyes arriver, le Beaugency alla le rejoindre...


Je savais que tu trouverais les mots justes pour ce jeune homme

Petit sourire

Dariush nous invite à entrer, la situation semble s'être légèrement calmée, esperons que cela dure pour le reste de la messe
Mais c'est navrant de voir le Duché devenir ainsi ...



L'assemblée d'aristocrates ne semblait pas comprendre la situation. Pétris dans leurs certitudes ou sciemment ancrés dans leurs préoccupations politicardes, ils ne remarquaient pas que malgré moultes annonces et affichages, aucun des citoyens d’Orléans n'était présent.

Il fallait être plus explicite.

Guéthenoc se leva du premier rang ou les paysans avaient pris place après avoir déposé leur fourche. Il s'adressa au gouverneur

Votre excellence monseigneuriale tout plein de magnificence de la houpette et tout ça...
Il semble qu'vous sentez pas bien l'truc là ! Y sont où les habitants d'Orléans ? A part la grenouille persifleuse là et la catin dehors, Ya personne. Vous avez fait sonner les trompettes et afficher un tas d'trucs ça a servi a rin. Sont pas v'nu les orléanais ! pour vous consacrer !
P't'ete que vous allez ouvrir les yeux maintenant ! Y vous en veulent pace que vous et toute vot' clique vous v'nez jamais les voir en gargote ou en halle ou en taverne ! Vous les snobez comme qui dirait !

Hein ! Où qui sont les orléanais ? j'parle pas d'la catin ou d'la vielle bique; elles comptent pas elles, c'est du menu fretin à la solde du pognon ou des aristos!

Où qui sont les orléanais ?


Les paysans des deux premiers rangs se levèrent alors comme un seul homme.

OUI ! ON EN A GROS !
Henriivdenavarre
Henri se rendit à la Cathédrale
Il rentra et se signa
Il salua ses collègues de la CDE et s'assit
Il récita le Credo


Feodor
... terminé ....
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Alienor28
Alienor arriva à la cathédrale en retard. Ces derniers temps, elle vivait à la prévôté ne sortant plus guère.

Arrivant sur le parvis avec Mathilde et Edouard qu'elle tenait fermement par la main, elle entendit les cris à l'intérieur et les tentatives pour calmer les personnes qui semblaient en colère. Elle laissa le Gouverneur répondre ainsi que Monseigneur Dariush. Pour elle, la maison de Dieu devait être ouverte à tous, et elle n'avait pas l'intention de crier aujourd'hui. Elle criait ces derniers temps bien trop souvent. Elle avait besoin de repos pour son âme tourmentée par des mois d'efforts, de luttes. Elle avait été présente pendant la présence du Ponant dans leurs terres et la fatigue commençait à se faire sentir.

Elle entra et se signa puis apercevant sa marraine qui ne semblait pas si bien que cela, elle la rejoignit pour se recueillir.

Arrivant à sa hauteur, elle s'installa et déposa sa main sur son bras doucement ..........

Bonjour marraine

Elle déposa une bise douce sur sa joue et lui sourit

Elle demanda le pardon du très Haut pour toutes les pensés sombres qu'elle avait pu avoir puis se mit à réciter le Credo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

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--Lahardie
Vas y la bourrique avance dont !
Z’attend que nous à la cathédrale. Un bon coup d’fouet sur la couenne, y a qu’ ça pour te faire aller plus vite la bourrique ; allez y a plus grand-chose à avancer.
Regarde dont voilà la cathédrale, fais un effort. Faut que je le déverse ce crottin devant la porte de cette cathédrale.


Lahardie braillait, fouettait sa bourrique, c’est dire qu’elle avait hâte d’arriver à cette cathédrale. Pleine de crottin que sa bourrique tirait une charrette.
C’est que depuis ces derniers temps, tout allait pour le pire et Lahardie commençait à éclater de colère.
Arrivée devant la cathédrale, voilà t-y pas qu’elle les voit tous sur le parvis ; les nobliaux, les élusailles dans leurs beaux vêtements, à se ricaner de ceux qui crèvent comme elle la faim et qui n'osent et ne peuvent plus sortir de chez eux, tant ils sont acculés pas la misère, priant chaque matin pour que quignon de pain sur table il y ait, pour que récoltes n'aient à brader pour satisfaire des élusailles et nobliaux toujours plus gourmands.


Cré vin diou ! Pour qui qui se prennent ces élusailles, ces nobliaux ! les Paradeurs du Dimanche que veulent leur bénédiction pour mieux nous affamer !!

Lâchant sa bourrique elle s’approcha

Voyez bien qu’y vous ignorent ! Allez restez pas là cré vin diou !
Laissez les prendre leur bénédiction de mieux nous affamer !
On a bin mieux à faire !
Y a ma bourrique et sa charrette pleine de crottin ! Suivez moi !
On va les affamer en prenant leur mairie, leur piller tout ce qu'ils ont et redonner à ceux qui s'épuisent dans leurs champs et qui crèvent la faim à cause de ces élusailles, ces nobliaux !
Après en souvenir on leur déposera le crottin devant la porte ! qu’ils se salissent un peu leurs belles loques ! ca leur fera pas de mal à ces paradeurs qui pensent qu’à s’enrichir sur notre dos !


Et elle se retourna, levant le bras, partit d’un bon pas, en scandant !

REVOLTE ! REVOLTE ! REVOLTE ! TOUS A LA MAIRIE !
Bourguignon
Oh mais qu'ils étaient fort ces paysans, Bourguignon, qui était pourtant sorti de la Cathédrale avec les indignés, et qui s'était éloigné du parvis pour discuter avec le Duc d'Alluyes réalisa que les paysans avaient l'ouïe plus fine qu'il n'y paraissait. En effet leur chef avait réussi à entendre toute la conversation entre les deux Ducs alors même qu'ils étaient à plusieurs metres, et que bien entendu ils avaient réussi à retourner s'asseoir, cherchez les incohérences ...
Il prit néanmoins la peine de lui répondre


Quelle surprenante oreille vous avez, m'entendre d'aussi loin releverait de l'exploit, ou de la sorcelerie, mais soit ...

Si les pieux orléanais ne sont pas la et bien c'est qu'ils sont dans d'autres églises de la paroisse, s'ils ne voulaient pas venir ici c'est leur choix, nous n'allons pas remettre une messe alors que d'autres se sont déplacés.
Néanmois je remarque que vous et votre groupe étes ici, c'est donc que certains orléanais on prit le temps de venir, même si leur intention ne sont pas des louables et des plus aristotélicienne et que donc notre affichage a fonctionné.

Ensuite vous dites en avoir gros, mais gros de quoi ? Quelles sont vos revendication ? Que voulez vous defendre ou exprimer ?
Car à dire vrai votre discours est bien pauvre.

Maintenant je crois que votre numéro a assez duré, et je me permets d'entrée avec toutes les bonnes âmes qui veulent assister à une messe dominicale.


Le Duc entra de nouveau dans la Cathédrale pour assister à la messe et commença à reciter le Crédo sur invitation du Cardinal
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Scoldt
Propre et bien habillé. Le jour du Seigneur était le jour du repos physique pour tous. Mais il ne fallait pas faire impasse sur les obligations aristotéliciennes naturelles.
Et c'était également une bonne occasion pour rencontrer du monde en plus d'assister à la bénédiction du Conseil ducal. C'est tout souriant qu'il se prépara pour cette journée.
C'est donc tôt dans la matinée, que Scoldt accompagné de sa Douce Amandine arrivèrent sur le parvis de la Cathédrale. Fier et riche bâtisse trônant sur la place.
Dès lors, le regard de Scoldt fut néanmoins attiré par un léger mais bruyant attroupement à l'entrée de la maison du Divin.
Pensant tout d'abord à une animation de troubadours, il s'approcha, un large le sourire aux lèvres, et tenant le bras de sa bien-aimé. Quelle déception il eut en s'apercevant qu'il s'agissait au contraire, d'un regroupement d'hommes du peuple, exprimant leur mécontentement ...

Ils s'arrêtèrent quelques instants derrière l'attroupement, écoutant les propos qu'ils tenaient

"Hein ! Où qui sont les orléanais ? j'parle pas d'la pute ou d'la vielle bique; elles comptent pas elles, c'est du menu fretin à la solde du pognon ou des aristos! "
Se tournant vers sa tendre et grimaçant, il murmura
Sympathique comme accueil ...
Car même s'ils n'étaient arrivés à Orléans qu'il y a une petite semaine, ils se considéraient comme Orléanais puisque s'étant fermement installé

Il continua d'écouter quelques instants les échanges entre les différents intervenants.
Scoldt ne put s'empêcher de soupirer voyant que ces hommes ayant soit, des revendications à proclamer, se cacher le visage, n'assumant qu'en partie leurs dires puisque protégeant leur identité derrière des masques.
Cela lui rappela la Touraine et les conflits intestins y régnant, raisons pour lesquelles ils avaient décidés de déménager au sein du fier Duché d'Orléans

Emporté dans ses pensées, le vent glacial commençant à se faire ressentir, il redevint attentif, adressant un doux regard à Amandine.
Cependant, celle-ci commençait à grelotter à cause du froid, et Scoldt tout honteux de ne pas s'en être rendu compte lui réchauffa quelques instants le dos avant de lui adresser quelques mots


Excuse moi mon cœur j'ai été absorbé par leurs échanges ..
Va à l'intérieur et installe toi en me gardant une place, je te suis dans quelques petits instants promis.

Il lui déposa un baiser en lui souriant, et lâcha sa main au fûr et à mesure qu'elle s'avançait dans le monument.

Interloqué par cette situation, c'était plus fort que lui, il voulait dire quelque chose .. mais sans prendre partis .. cela ne servirait à rien et il n'avait aucune raison de le faire.
Il s'adressa à l'un des paysans mécontent armé, mais resté en retrait, derrière ceux qui hurlaient leur mécontentement


Excusez moi mon brave ?
Bonjour. Moi, c'est Scoldt.
Puis-je me permettre de vous donner un conseil ?
D'après ce que je peux voir vous êtes en colère contre le pouvoir .. soit.
Enfin, ne vient-il pas d'être élu ? Cela est plutôt tôt pour crier à l'incompétence ? À moins qu'ils aient fait partis de l'ancienne liste je ne sais pas..
Ce que je veux dire .. c'est que vous êtes devant la maison du Seigneur. Pas le palais Ducal. N'imaginez donc pas pénétrer dans ce lieu saint en hurlant ou en étant armé, cela frôlerait la profanation et les risques encourus pour vos âmes ne valent surement pas le coup d'agir inconsidérément ...
Je peux comprendre que vous ayez des revendications à cause de différents problèmes. Mais plutôt que de menacer à visage caché ceux qui peuvent changer les choses devant une Cathédrale.
Pourquoi ne pas vous rendre simplement en salle de doléances, munis d'une liste de vos revendications qui serait, pourquoi pas, signée par tout ceux étant en accord avec ? Les problèmes ne pourraient être que mieux traiter et le Conseil ne pourrait rester immobile devant la mobilisation.
Mais provoquer un scandale ne ferrait qu'aggraver les choses, et attiser le conflit entre vous .. ranger vos fourches, assistez à la messe, et présentez vos revendications devant le Conseil. Devant la menace je doute qu'ils aient envies de faire quoi que ce soit pour vous aider..


Scoldt adressa un léger sourire à l'homme.
Voilà qu'il se la joué médiateur à présent .. Enfin bon, c'était surement pour éviter que le pitoyable spectacle qu'offre la Touraine ne se reproduise ici. Il a longtemps était parmi ceux qui râlaient plutôt que d'agir intelligemment, jusqu'à ce rendre compte que cela ne fonctionnait guère ...
Il inclina enfin la tête en guise de salutations vers l'homme, lui rétorquant


À présent je vous laisse, je vais assister à la messe. J'espère que vous serez des nôtres

Puis il pénétra dans la bâtisse, cherchant du regard sa Douce Amande.
L'ayant trouvé, il s'assoie près d'elle en lui adressant un nouveau baiser, fin prêt pour le début des offices
Liloute
Un dimanche matin à Orléans… Emmitouflée dans sa cape, La Rozières arriva à pied sur le parvis de la cathédrale, après tout, entre le saint lieu et le château, il n’y avait qu’un pas ou presque… Aujourd’hui, c’était la bénédiction des élus, et bien entendu, elle y assisterait… Par ce froid intense, la jeune femme ne pensait pas croiser grand monde, mais c’était sans compter sur foule de pecnos criant à la révolte… Peut-être était-ce une troupe de serfs, en tout cas ils ne devaient pas bénéficier du droit de vote ou du droit d‘être élus, sinon pourquoi crier ainsi?! Quoiqu’il en soit, et sans dire une seule parole, la jeune femme entra dans l’édifice, se signa, et suivit l’office avec intérêt…
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Chambellan d'Orléans...
--Paysan_d_orleans
Les paysans avaient fait passé leur message, ils décidèrent de quitter les lieux.

Guéthenoc se leva :

Nous vous laissons, nous regrettons le tumulte qui a eu lieu dans cette belle Cathédrale. C'était le seul endroit où nous pouvions dire ce qu'on avait a dire vu que les gens de la CDE on les voit nulle part, sauf le gouverneur qui répond a des questions.

Je ne pense pas qu'il soit utile de nous traiter de PECNOS, hein la dame là bas qui pète plus haut que son cul ! Vous allez donner raison à vos détracteurs en vous conduisant ainsi.

Nous on voudrait bien que vous participiez un peu plus a la vie de la gargote. Voilà !

On s'excuse auprès de son excellence Dariush que nous on aime bien. Il a toujours été très juste et bon avec nous, le peuple.

Allez Zou ! On débarrasse le plancher afin de laisser ces chevaliers et belles dames suivre la bénédiction, on va cultiver la terre et labourer pour qu'ils puissent bien manger !
.


Les paysans se levèrent tous et sortirent en silence.
Valeria053
Val installée dans la maison d'Aristote leva les yeux au ciel et ne dit mot, elle pria de tout son cœur pour son duché sa reine et le peuple, elle récita le credo et pensa au sien qui avait rejoint la maison d'Aristote, le peuple crachait son venin mais aucun n'osait se mouiller pour prendre les rennes.

Donc à quoi bon parler, à quoi bon relever, les gens étaient ainsi et peu importe l'image que l'on avait d'elle, ce qu'elle faisait avec ses amis, c'était pour le bien d'Orléans et tous ici présents faisaient la même chose.
Elle savait faire fit des différences et des rancœurs du passé pour avancer

Elle attendit donc la suite ne faisant cas de ce qui se passait

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