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[RP] Cathédrale d'Orléans (annonces, messes etc...)

David064


La célébration terminée, l'évêque annonça les nouvelles nominations.

Mes amis, afin de permettre la meilleure organisation possible de notre diocèse, j'ai besoin d'être bien entouré. Ainsi, je souhaite faire de Soeur Sarah dicte Ladyemeraude, en qui j'ai toute confiance, ma conseillère particulière. La charge d'archidiacre revient ainsi à Frère Milandor de l'ordre cistercien.

Il afficha ensuite les nominations.

Citation:



Nomination d'une nouvelle conseillère particulière auprès de l'évêque d'Orléans
Ladyemeraude est nommée à la charge de conseillère particulière dite teckel à poil ras de l'évêque du diocèse d'Orléans


    Nous, Monseigneur David Grégoire Aristote de Sent-Bertran de Nivellus, Évêque d'Orléans, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote, faisons annonce de :


    La nomination officielle de Soeur Sarah, dicte Ladyemeraude, à la charge de conseillère particulière auprès de l'évêque. Qu'après avoir apprécié le travail de grande qualité qu'elle a effectué en tant qu'archidiaconnesse, il nous est apparu que cette soeur avait toutes les qualités requises pour nous assister de plus près dans la gestion du diocèse.

    Puisse Soeur Sarah, en tant que Soeur Aristotélicienne, diffuser la foi, mener ses ouailles vers le Salut, et demeurer un modèle pour ceux qui l'écoutent.

    Nous lui accordons, par la présente, notre confiance épiscopale pour son office, et l'invitons à nous rejoindre au conseil diocésain.

    Puisse Aristote la guider,


Fait à Orléans, le premier jour du mois de Janvier, de l’an de grâce 1461.




Citation:



Nomination d'un nouvel archidiacre
Milandor est nommé à la charge d'archidiacre du diocèse d'Orléans


    Nous, Monseigneur David Grégoire Aristote de Sent-Bertran de Nivellus, Évêque d'Orléans, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote, faisons annonce de :


    La nomination officielle de Frère Caesar Milandor de Castel Vilar de la Duranxie, dict Milandor, à la charge d'archidiacre. Qu'après un entretien en notre bureau, il nous est apparu que ce frère avait toutes les qualités requises pour nous assister dans la gestion du diocèse.

    Puisse Milandor, en tant que Frère Aristotélicien, diffuser la foi, mener ses ouailles vers le Salut, et demeurer un modèle pour ceux qui l'écoutent.

    Nous lui accordons, par la présente, notre confiance épiscopale pour son office, et l'invitons à nous rejoindre au conseil diocésain.

    Puisse Aristote le guider,


Fait à Orléans, le premier jour du mois de Janvier, de l’an de grâce 1461.



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Milandor
Milandor écouta les lectures puis les paroles de l'évêque.
Il admira les crèches qui avaient été disposées.
Ensuite, il partagea le pain et le vin de l'amitié aristotélicienne et reçut le cierge transmis par le prélât en guise d'envoi en mission.
Ce fut une belle messe de la saint Noel.
La cérémonie se termina par des nominations au sein du diocèse. Milandor remercia l'évêque pour le poste qu'il lui confiait et souhaita une bonne année aux aristotéliciens qui étaient venus assister à l'office.

Bengouin
Ce jour la Bengouin arrive un peu avant la messe et en profite pour faire une prière a tous les saints :

Citation:
saint Urbain aide moi à boire tout ce vin
Saint Cécile aide moi à garder le rithme.
les tavernes, où il n'y a ni Cécile, ni Urbain.
Je prendrai ma plume pour écrire a saint anselme.

Saint Christophe aide moi a prendre la route.
Je retourne en taverne, je prie a la Sainte Boulasse.
Sur cette route il ne m'arrivera aucune crasse.
Peut étre que je suis fort et que les brigands me redoute.


Puis il s'installe, pres de la sainte boulasse, comme a son habitude, en attendant le début de la messe
David064


Citation:


1461, année de la foy

A tous les fidèles du diocèse d'Orléans
A tous les élus du duché d'Orléans
A tous les membres du clergé orléanais
A ceux qui liront

Nous adressons nos meilleurs vœux pour la nouvelle année qui commence. Nous espérons que 1461 soit riche en évènements positifs pour notre diocèse et notre duché.

Au cours de cette année la foy se développera ainsi nous formulons de pieux vœux de conversion, de vocation et de propagation de la vraie foy. Depuis ses fondements même, la foy aristotélicienne est au cœur de notre diocèse et de notre duché, elle fait partie intégrante de chacun d'entre nous. Ainsi, les cures seront à nouveau toutes pourvues et les messes reprendront à un rythme régulier très rapidement dans tout le diocèse.

Cette année, nous souhaitons également voir fleurir les prêches dans tous les villages et nous lançons un appel à tous les théologiens de l'église pour ces prêches s'organisent dans un seul but : la propagation de la vraie foy dans l'ensemble du diocèse et du duché.

Nous adressons également nos meilleurs vœux à l'ensemble des élus et des fonctionnaires du duché. Que 1461 s'inscrive dans le prolongement des années précédentes et que leur action politique soit toujours guider par la foy et la vertu.

Nous adressons au clergé orléanais, dévoué à sa mission nos meilleurs vœux. Que 1461 soit une année riche en vocations, en sacrements et en moments festifs dédiés à l'affirmation de la foy de tous. Qu'elle soit une année de stabilité épiscopale après les remous de 1460, si Dieu me prête vie une année encore. Nous prions tout particulièrement pour Monseigneur Navigius, primat de France et actuellement emprisonné. La mission épiscopale est une mission de chaque jour. Les actions de certains prélats ont jeté le doute et le discrédit sur tous. Aujourd'hui, seule la prière compte et je veux faire mienne celle de St Grégoire. La seule mission de l'Église est la propagation de la vraie foy, c'est là ce que je m'applique à faire.

Enfin, nous adressons nos vœux de santé à tous. A l'heure où les rumeurs de maladies se propagent, nous prions pour que toute épidémie reste loin de notre duché.

Fait à Orléans, le 6 janvier 1461





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--Frere_gregoire


Citation:



Nomination d'un nouveau vicaire paroissial de Gien
Frère Roland Cartier est nommé à la charge de vicaire de la paroisse de Gien


    Nous, Monseigneur David Grégoire Aristote de Sent-Bertran de Nivellus, Évêque d'Orléans, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote, faisons annonce de :


    La nomination officielle de Frère Roland Cartier, à la charge de vicaire paroissial de Gien. Qu'après un entretien en notre bureau, il nous est apparu que ce frère était capable de gérer une paroisse sous notre regard bienveillant.

    Puisse Frère Roland, en tant que frère Aristotélicien, diffuser la foi, mener ses ouailles vers le Salut, et demeurer un modèle pour ceux qui l'écoutent.

    Nous lui accordons, par la présente, notre confiance épiscopale pour son office, et l'invitons à nous rejoindre au conseil diocésain.

    Puisse Aristote le guider,


Fait à Orléans, le sixième jour du mois de janvier, de l’an de grâce 1461.




Lepinailleur
Citation:


Très chers soeurs et frères et princes et chers ministres de la Sainte Eglise, la Curie Romaine,

Comme il appert que je dois garder le chaud ainsi que me le prescrivent mes médicastres en raison d'horribles vomissements qui m'empêchent de paraître dignement par devant vous, je vous adresse ces lettres comme mes dernières décisions et réponses suite aux récentes sollicitations de divers princes et ministres de l'Eglise.

Concernant les affaires du Royaume de France, il ne saurait être question que soit remis en question le gouvernement du Cosmos voulu par Dieu qui, comme Aristote lui-même a pu le dire, est bien le règne des Rois-Prêtres et donc des Clercs à qui sont subordonnés les souverains temporels qui ne bénéficient que d'une délégation dont la plus prestigieuse est le sacre. Si le Roi de France prétend décider seul ce qu'il lui plaît de respecter ou de rejeter dans le Saint Droit Canonique, qu'il n'abjure pas définitivement tous ses écarts et errements, alors il restera à jamais ce qu'il est actuellement sans le sacre : un Anti-Roi, Sicaire Démoniaque à la solde du Chaos, de la Créature Sans Nom, et il conviendra par tous les moyens nécessaire de l'écraser et l'empêcher de mettre en péril les âmes de ceux qu'il prétend gouverner comme ses sujets. Idem la présence comme dauphin officiel d'un hérésiarque de la Religion Prétendue Réformée, ledit Sancte, reste comme une injure au Ciel qui ne saurait rester sans que lui soit administrée une saine et sainte médecine. La Sainte Eglise ne manque pas de fidèles souverains prêts à défendre la Vérité et il est grand temps de mettre en branle les fidèles aristotéliciens, guidés par le clergé, afin de faire triompher la Vérité et le Cosmos. Que ceci soit proclamé et annoncé avec force sceaux et hérauts afin qu'aucun fidèle n'ignore le péril menaçant son âme.

Concernant spécifiquement le clergé de Gaule et de Bretagne, nous avons reçu de nombreuses missives témoignant de l'incompréhension suscutée par les affaires de l'écartement du gouvernement de l'Eglise de Clodeweck et Verty. S'il appert s'il ont si gravement fauté qu'ils doivent rendre leur chapeau de cardinal et leur mitre d'évêque, alors tel est ce qui adviendra, mais le temps bien long de l'éclaircissement de toutes ces affaires et la situation politique critique du royaume de France engendrent le risque grave d'un schisme : lesdits prélats, et d'autres, pourraient se trouver tentés d'accompagner l'anti-roi Eusaias dans la constition d'une Eglise séparée. Si tel prélat que Clodeweck venait à sacrer Eusaias en Reims ou autre lieu consacré, l'Eglise de France pourrait s'en trouver si fortement ébranlée que bien des fidèles ne sauraient plus quelle est la voix de Dieu. Les Princes de l'Eglise que sont les cardinaux seraient des proies faciles d'une manoeuvre aussi abjecte, et des évêques pourraient rejoindre ledit schisme. Aussi prends-je la décision suivante que pour le règlement du statut et du cas de Clodeweck et de Verty, la Curie romaine doit incontinent, sous dix jours, réunir un tribunal collégial exceptionnel ; les juges devront être issus de l'épiscopat breton et de l'épiscopat français et de l'éspicopat impérial francophone, la procure sera le fait des cardinaux qui connaissent le mieux le cas et la sentence sera ratifiée par vote conjoint des évêques bretons, français et impériaux francophones.
Enfin, tout le procès devra être public en une tribune sur la place d'Aristote afin que tous fidèles sachent que même les Princes de l'Eglise, contrairement aux assersions iniques de l'anti-Roi Eusaias, sont tenus de respecter la Loi de Dieu, que les évêques sont la plus belle émanation qui puisse être du prêtre-Roi défini par Aristote, et que l'Eglise est Unie et Forte et Vraie et Juste.

Concernant les affaires du royaume d'Albanie, je ne saurais que trop vous conseiller de faire preuve de diplomatie en usant du Patriarche grec, qui vint nous visiter à Rome lors de la recherche des tablettes perdues de pseudo-Aristote, iol semblait être un homme de paix cherchant le dialogue et non la guerre. Le Roi d'Albanie s'est montré fidèle guerrier prompt à mettre ses armées au service de l'Eglise. Sauvez-le et vous gagnerez des armées pour la cause romaine.

Concernant l'Empire, Sa Majesté et Eminence Adala fit également montre d'une grande fidélité à l'égard de Rome et on successeur semble de même vouloir soulager l'Eglise par une médiation. Qu'il lui soit bien dit que la seule diplomatie ne saurait suffire face à la Créature sans nom et vous devez vous assurer qu'il est prêt à faire tonner les trompes de guerre si l'anti-roi Eusaias devait refuser d'abjurer. Enfin, qu'une messe soit donnée à la fin de janvier en Saint Titus en mémoire de l'Impératrice Adala, cérémonie lors de laquelle sera l'occasion de sublimer la figure du souverain juste et saint, fidèle et obéissant bras de l'Eglise.

Concernant l'Eglise d'Irlande, celle-ci se trouve à ce que certaines lettres disent, dans une folle crise et que des évêques et des prêtres prêteraient allégeance aux Eglises de rite grec et souhaiteraient quitter le giron romain. Là encore, une réaction doit avoir lieu, et pour ces lointains territoires, je ne saurais que préconiser l'envoi de missionnaires et d'un légat afin que ces îles ne deviennent pas des forteresses schismatiques, y porter la guerre y serait décidément extrêmement difficile.

Concernant l'organisation ONE qui corrompt bien des pays et spécialement le royaume de Valachie, j'ai appris quel danger ils pouvaient être. Là encore, vous devez apporter aide et soutien au clergé roumain pour les soutenir. Ces brigands possèdent de nombreuses armées mais ils fabriquent une grande haine dans la population. Des missionnaires et un légat pourraient y faire de véritables miracles et y gagner un royaume tout entier dévoué à Rome comme celui d'Albanie.

Concernant les territoires scandinaves, ceux-ci sont des terres de mission également, encore vierges, et le clergé y est très certainement laissé à l'abandon, les religieux directement choisis par le peuple, sans doute ne disposent-ils même pas du Livre des Vertus dans leur langue. Des missionnaires doivent également y être menés, et un clergé y est à forme, depuis le Danemark jusqu'à la République de Novgorod.

Que cette lettre soit baillée également aux évêques du monde entier pour leur faire connaitre qu'en cette nouvelle année, les combats de l'Eglise sont nombreux mais que nul n'est isolé en sa paroisse et que l'Eglise Aristotélicienne ne saurait être qu'universelle et collégiale.

In Majorem Dei Gloriam,

Innocent, Pontifex Maximum




Citation:

          REMPART DE LA FOI FRANÇAISE

                Manifeste de Janvier


    Nous sommes Serviteurs de la France Éternelle.

    Officiers Royaux, membres besogneux de la Connétablie, de la Maison royale, du Secrétariat d'État et des autres institutions qui régissent notre Royaume millénaire, nous avons vu passer cent Régnants en chaque Province, vécu l'abdication de Lévan le Troisième, conseillé Feux Béatrice de Castelmaure, Nébisa de Malemort et Vonafred de Salmo Salar du mieux que nous le pouvions. À chaque transition entre ces règnes que le Très-Haut a voulu si courts, nous avons répondu présents sur tout sujet porté à notre connaissance. Notre bras et notre esprit n'ont jamais failli à défendre la Royauté contre qui voulait s'en faire un ennemi.

    Aristotéliciens fidèles, nous avons toujours servi par amour d'une Couronne bénie par Rome, auprès de Roys et de Reynes tirant leur force et leur légitimité du Sacre de Reims, célébration du divin dont l'importance se rappelle aux plus anciens depuis Feu Caedes et la première Fronde du nom. Nous avons pour intime conviction que l'unité française ne peut être réalisée hors de la Foi aristotélicienne et de ses représentants. Nous considérons toute tentative de s'en écarter comme l'acte d'ignorants à la vue courte ou pire, de malfaisants...

    Nous croyons à la valeur du pardon et nous avons cru, un temps, qu'Eusaias de Blanc-Combaz avait abjuré ses erreurs passées, son refus de reconnaître le sacre de Feu Vonafred, son engagement frénétique dans la violence ainsi que ses amitiés et ses convictions réformées. Nous avons cru à sa sincérité lorsqu'il affirmait encore à la veille de l'élection royale qu'il demandait pardon à l'Église, "puisqu'elle est la seule représentante de l'Etat Divin" selon ses dires. Nous ne voulions pas voir d'autres signes que les bons, ni entacher un début de règne par une suspicion déplacée.

    Anonymes par nécessité mais non moins libres d'exposer la sainte flamme qui nous anime, nous nous devons de faire un terrible et douloureux constat : nous avions tort.

    Par la Réforme, le Lys est flétri.

    Ainsi, il serait royal d'ordonner de sang froid l'assassinat d'un primat et d'un cardinal.
    Ainsi, il serait pieux de s'attribuer tous les pouvoirs des légitimes représentants de Dieu.
    Ainsi, il serait digne d'embrasser un jour l'Église pour mieux, le lendemain, la poignarder...

    Six semaines seulement pour faire une abomination des préliminaires d'un règne qui, en l'absence de sacre, n'a même pas commencé. De déclaration en déclaration, l'horreur nous a saisis, redoublée au quotidien par la calomnie anticléricale et les mensonges servis aux vassaux les plus faciles à berner. Nous voyons là l'œuvre du Malin, qui ne s'est pas contenté d'Eusaias pour détruire tout ce qu'Aristote nous enseigne et diviser ce que nous nous échinons à unifier depuis des années. Car ses démons ont d'autres noms, jusqu'au sommet de l'État.

    Reyne, d'après elle. Agnès de Saint Just, dicte Gnia. De sainte, elle n'a que le nom tant elle a collectionné les excommunications. De la justice, elle ne connaît que la corruption. Plusieurs d'entre nous ont subi ses assauts et ses promesses avant l'élection royale : ici, un titre, là, une fonction. Cette politique s'est curieusement inversée depuis peu : ici, une menace de destitution, là, l'annonce d'une révocation.

    Dauphin. Sancte, l'homme qui tenta de faire tomber Montauban la Belle dans les affres de la Réforme avant de s'en faire chasser sous la clameur des Guyennois protégeant leur Église. La prétendue victoire d'Eusaias dans les urnes est d'abord la sienne, tant il acheta de voix en puisant dans un butin fabuleux constitué par ses rapines et celles du Lion de Juda.

    Homme de main. Falco de Cartel, brigand et meurtrier, nommé "Mignon royal", sa troupe déclarée compagnie royale et autorisée à massacrer les pèlerins errants sur toutes les terres de France.

    Tous appliquent un plan méticuleusement défini par les ennemis de la Foi, véritables ennemis de la Couronne. Ce plan consiste à utiliser tous les instruments permis par le pouvoir pour détourner les Fidèles de leur Dieu et, s'il le faut, les faire combattre entre eux. Écarté de plus en plus clairement du droit féodal et du droit romain, le Royaume court à la ruine, à la division et à sa propre fin.

    Mais ce n'est pas encore la fin.

    Français, bats-toi pour ta Foi !

    Sa Sainteté le Pape a parlé.

    Tu ne le sais pas, nous t'en informons : celle qui se dit Reyne a ordonné l'occupation militaire de toutes les capitales épiscopales de France afin d'y installer la Mort et l'Hérésie par le fer de ses soldats. Tu le sais peut-être déjà, nous te le confirmons : les Saintes Armées sont en route pour terrasser la Bête immonde et on dénombre déjà plusieurs provinces qui, comme la Bourgogne, ont décidé de se mobiliser contre l'Impie. Il ne nous appartient certes pas d'organiser cette Sainte Croisade, car nous ne prétendons pas imiter ce que nous dénonçons en nous substituant à Rome dans l'accomplissement de la Volonté Divine.

    Cependant :

    - Qu'il soit su que nous nous tenons prêts à lui apporter toute l'aide qu'elle nécessitera et à coordonner l'effort temporel que chacun peut faire sien pour en finir avec le Corrupteur. Rome peut compter sur nous pour préparer dans l'ombre de Paris ce qui jaillira bientôt sur son pavé, enfin débarrassé de la lie réformée.

    - Nous nous tenons à disposition du peuple français afin d'éclaircir les mensonges qui ne cessent d'être propagés contre la Foi et ses représentants. Nous répondrons à leurs interrogations quant au soulèvement des Fidèles en France et dans l'Europe entière, et les mettrons en relation avec les personnes compétentes pour ordonner leur participation. Nos colleurs d'affiche feront office d'intermédiaires.

    - Nous appelons l'ensemble des Ducs et des Comtes du Royaume à tout mettre en oeuvre pour faciliter la purification du pays et à organiser collectivement la succession de l'Imposteur sur le Trône. Le Royaume ne sera pas sauvé de l'Enfer par quelques sourcils inquiets entre deux jeux de salon. Nous avons aujourd'hui pour devoir de communier si nous voulons retrouver notre unité...

    Car nous sommes le Rempart de la Foi contre l'Impie, le dernier lien entre Rome et Paris.

    Pour Dieu, l'Église et la France !


Aegidia
Dame Aegidia ,après la bataille de la nuit , avait pris le chemin de sa cathédrale . Elle était venue prier Aristote en la cathédrale .
Elle vit encore des parchemins affichés , elle n'en avait que faire des parchemins .Ce n'était pas le lieu pour cela, c'était un lieu de paix et de recueillement .

La Cathédrale était un lieu pour prier par pour la politique . Elle se demandait où était leur nouvel évêque .

Elle se signât se mit à genoux près de l'autel .
Elle priât pour ses soldats qui avaient été blessés en défendant leur Duché .

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--Frere_georges


Frère Georges était arrivé en la cathédrale pour y accomplir la tâche qu'il effectuait avec la même précision : il sonnait les cloches de la cathédrale.

--Frere_david


L'évêque arriva pour la première messe de l'année 1461 en la cathédrale. La célébration s'annonçait avec deux baptêmes au programme. Il entra dans la sacristie et alla se préparer.
Aegidia
Dame Aegidia venait chaque jour après la ronde de la nuit aux portes de Orléans avec son armée . Elle était épuisée par toutes ses guerres . Elle avait peu de temps pour aller voir ses enfants , les jumeaux qui étaient dans le domaine de sa suzeraine .

Elle attendait aussi avec impatience le baptême de sa fille aînée Orléane .
Elle s'agenouillât et priât pour les soldats blessés .

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Milandor


L'évêque avait convoqué le clergé orléanais à la première messe de l'année en la cathédrale. L'archidiacre Milandor ne manquerait pas l'occasion.
En passant, il salua dame Aegidia qui priait. Il se rendit ensuite à la sacristie où il croisa son supérieur. Enfin, il alla prendre place dans les stalles réservées au clergé du diocèse, pour attendre le début de l'office.
Valeria053
Val entra dans la cathédrale, en ce moment elle avait besoin de prier Aristote, et de lui demander de raisonner les pontes de l'église.

Ils avaient du tous abuser du vin de messe, l'église qui divisait ses brebis, l'église qui allait mener croisade contre ses fidèles, une honte, un péché oui.

Elle se signa et alla s'agenouiller pour prier

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Mclegrand
Une messe à la cathédrale ?
Bon, ben le diacre de Patay y va aussi. Et à l'heure, même. Et même pas bourré.

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Aegidia
Dame Aegidia qui priait pour les soldats étaient surprise de voir du monde en cathédrale , cela était rare .
Elle était déçu de voir le comportement de certains membres de l'église . Elle avait lu les parchemins affichées et était dégoûtée .
Elle attendait aussi sa fille Orléane , celle-ci allait-elle vouloir se baptiser maintenant , depuis plus de six mois que sa pastorale était faite . Il faut dire que l'église manquait de membres pour assurer les cérémonies .

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--Frere_georges


Frère Georges vint sonner les cloches à la demande de l'évêque. La première cérémonie de l'an allait avoir lieu en la cathédrale.

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