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[RP] Cathédrale d'Orléans (annonces, messes etc...)

Elisel
Les cloches sonnaient...
Essayant de tenir la bonne résolution qu'elle s'était faite en début d'année, Elisel passant par là monta les marches menant à l'édifice, entra, se signa, puis remonta l'allée pour s'installer sur un banc dans la cathédrale.

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D.E.C.O. ? C'est par ici hrp ou par là rp. Une question héraldique ? C'est par ici.
David064


L'évêque s'installa dans le choeur. Frère Roland était installé à ses côtés. Il savait qu'il célébrait sa dernière messe dans cette cathédrale. Il commença donc la célébration.



Mes chers amis,

Bienvenue pour cette messe dominicale. Cette messe est particulière car elle est dédiée à la mémoire de mon prédécesseur le cardinal Dariush qui nous a quitté il y a un an. Ce sera aussi ma dernière messe parmi vous, le Très-Haut m'appelant à une autre mission. Mais tout de suite prions tous ensemble. Demandons pardon pour nos fautes.


Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

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David064



Maintenant réaffirmons notre foy en récitant le credo de tous les aristotéliciens.



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Thimote



Lui: Thimoté, le nouveau Père Thimoté vous avez déjà entendu parlé de lui?

Elle: non jamais, mais d'où vient-il?

Lui: il parait qu'il était habitant de Montargis jadis, mais...il y a longtemps, il nous est arrivé il y a peu

Elle: il a l'air bien jeune pour un curé!

Lui: il est vicaire diocésain...

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Les discussions étaient répétitives, l'on parlait d'un nouveau mais personne ne l'avait encore vu, il avait été nommé à la paroisse de Gien, et au Diocése...de bonne réputation, calme et réfléchi, quelqu'un d'honnête et respectueux...et en plus il aimait bien la bibine!


Thimoté suivait la messe avec beaucoup d'attention, il faut dire que Monseigneur David était pour lui un Evêque de référence, il n'était pas seulement son supérieur mais aussi une personne qu'il respecte beaucoup de par la nature des choses, c'était David qui l'avait initié à de nombreuses choses, et il était motivé à intégrer l'église grace à lui...

Une vocation de foi ne vient pas souvent sans un bon maître en la matière...



Tous en choeur ils répétèrent le Crédo de la sainte mère l'église.


Je crois en Dieu, ..., Amen....

Elisel
Décidément, depuis la mort de feu Son Eminence Dariush, les hommes d'Eglise ne restaient plus en Orléans. Serait-ce le peu de foi des Orléanais qui leur faisait baisser les bras ? Elle avait vu peu de gens aussi motivés depuis, mais elle se disait que Monseigneur David pourrait être de ceux-ci. Un coup de fouet pour le Duché.
Elle fut bien peinée d'entendre son prochain départ, la date semblait symbolique, et elle soupira en récitant le pardon et le crédo à sa suite. Ce n'est pas comme ça que les Orléanais allaient retrouver le chemin des églises...

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D.E.C.O. ? C'est par ici hrp ou par là rp. Une question héraldique ? C'est par ici.
David064


Frère David vint alors lire un passage du Livre des Vertus.

Livre des Vertus - Vita d'Aristote - Dialogues XIII : La réception chez Polyphilos a écrit:
Aristote avait été invité à une réception chez un riche marchand athénien exerçant également les fonctions d'archonte. Il s'appelait Polyphilos. C'était un homme riche et puissant, passionné par la philosophie. Il venait souvent écouter Aristote, aussi souvent que ses charges et son statut le lui permettaient. Sa maison était pleine à craquer, et les tables regorgeaient de victuailles.

Aristote tenait une coupe de vin qu'il venait de remplir au cratère. Il prit une feuille de vigne farcie quand Polyphilos s'approcha de lui.

Polyphilos : Aristote, cher maître. Comment trouvez-vous cette réception ?

Aristote : Je vous avoue que je préfère les plus petits comités, on ne s'entend pas, ici. Mais votre maison est splendide et le banquet est digne des plus grands rois.

Polyphilos : Merci pour ces compliments. Mais rien n'est trop beau pour mes amis et j'aime à les avoir tous autour de moi.

Aristote : Tous ces gens ici, sont donc vos amis ?

Polyphilos : Bien entendu. Nul n'entre ici qui ne soit mon ami.

Aristote : Je vois pourtant des gens de toutes extractions sociales et occupant diverses fonctions pour la Cité.

Polyphilos : Et alors ? Je ne suis pas hautain. Je laisse ça au nouveaux riches.

Aristote : Certes, c'est tout à votre honneur. Mais il ne peut s'agir d'amitié véritable. Un vrai ami est un égal car l'amitié doit être parfaitement réciproque et équitable. Si elle ne l'est pas, ce n'est plus de l'amitié mais de l'intéressement. Un roi ne peut rien attendre d'un mendiant, ce dernier est incapable de l'aider en cas de besoin, or l'entraide est la base de l'amitié. Donc il n'y a pas d'amitié possible entre personnes par trop inégales.

Le jeune fils de Polyphilos s'était approché.

Eumónos : Je le répète sans cesse à mon père. Ces gens ne sont pas ses amis et il doit prendre ses distances.

Aristote : Ce serait tomber dans l'excès inverse, jeune homme. L'amitié est le plus grand bien de l'homme. Elle noue les liens des communautés. Et les communautés forment à leur tour la Cité. L'amitié permet les relations sociale et l'Humain peut alors prendre part dans les affaires de la Cité. Et comme la vertu cardinale de l'homme est la participation à la cité, l'amitié est une chose essentielle.

Eumónos : Mais comment trouver un parfait égal ?

Aristote : Ce n'est pas nécessaire. Il faut surtout que l'intéressement ne soit pas trop prononcé dans le chef d'un des prétendus amis. Le juste milieu, celui de la vertu, c'est de savoir s'entourer d'amis véritables, de gens qui peuvent compter sur vous et sur qui vous pouvez compter.

Polyphilos et Eumónos hochèrent la tête pour marquer leur accord. Aristote s'éloigna de quelques pas avant de se retourner.

Aristote : Ces feuilles de vigne sont délicieuses, aussi délicieuses que le conseil d'un ami, vous ne trouvez pas ?

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David064


Frère David s'avança au milieu de la nef et il commença à prêcher.

Mes amis. Oui je vous appelle mes amis, car le lien qui nous unit tous ici est un lien d'amitié. Ce lien est plus ou moins fort, plus ou moins véritable. C'est ce que nous enseigne ce texte, cette démonstration du prophète Aristote. On ne peut avoir beaucoup d'amis véritables. Aussi vous inviterai-je à cultiver ce lien, à vivre ensemble pour qu'il devienne plus fort. Vous ne pourrez jamais être amis avec tous les habitants du duché mais vous pourrez construire un lien d'amitié avec beaucoup d'entre eux. Je vous y invite car le sens de la Vie c'est l'Amour, cet Amour qui fait grandir l'Amitié.

L'Amitié, nous la partageons, nous l'avons partagé. Avec moi et avec mes prédécesseurs pour qui nous prions aujourd'hui, tout particulièrement le cardinal Dariush, évêque exemplaire, proche des fidèles. Beaucoup d'entre vous avaient noués des liens d'amitié forts avec lui. Nous le prions tous aujourd'hui du fond de notre coeur.


Il se mit en prière, silencieusement.



Puis il reprit.

Aujourd'hui, nous vivons des temps troublés. Je vous invite donc à la plus grande prudence et à rester fidèle au Livre des Vertus. Une nouvelle mission m'est confiée et je vais devoir vous quitter pour l'accomplir. Je ne vous abandonne pas pour autant. Je vous porte chacun et chacune dans mes prières. Je vous confie au Père Thimoté, nouveau vicaire épiscopal, en attendant l'élection d'un nouvel évêque, ce qui ne tardera pas, j'en suis convaincu. J'ai passé des moments formidables avec vous tous et je tiens à vous adresser un message d'amitié et de profond respect.

Que le Très-Haut vous bénisse. Qu'Il bénisse Orléans et tous les fidèles de ce duché. Qu'Il vous accorde à tous sa Très Sainte Protection.

Amen.


Sur ces mots, il laissa le Père Thimoté célébrer le partage de l'amitié et clore l'office.

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Thimote


Monseigneur David, merci! Merci avant tout pour le travail que vous avez fourni pour le Diocèse d'Orléans, la Province de Sens et ses ouailles! Je pense pouvoir le dire au nom de chacun et votre départ doit certainement en attristé plus d'un! Néanmoins notre carrière religieuse n'est pas des plus simples, nous nous attachons à plusieurs villes, plusieurs duchés et les fidèles de notre diocèses et province, nous avons cette chance de rencontrer un maximum de personne, nous ne sommes pas seulement des guides spirituelle, des amis, mais d'une même famille, une fraternité aristotélicienne. Cette fraternité forte qui nous lie pour le meilleur et pour le pire, sans jugement, sans affrontement, une aide sans rendu...

Merci Monseigneur David, car vous avez pu montrer par votre passage en Orléans que nombreux sont les évêques qui donnent encore de leurs personnes pour le bien d'un diocèse, il n'est pas de même partout et je souhaite à ce diocèse de retrouver quelqu'un comme vous! Votre présence, votre persévérance à maintenir un équilibre de la Foy, voilà un beau programme que je me réserve pour mon futur! Vous êtes un exemple parmi les hauts prélats et grâce à vous, l'image de l'église reprend forme!

Mes chers amis, je tiens à vous le dire. Tantôt l'église peut vous décevoir par sa lenteur, par son manque de dynamisme, par son absence..., tantôt elle peut être source de grand bonheur! Et n'oubliez jamais ces grands hommes qui marque de leur emprunte l'église tel que l'a pu faire Feu Son Éminence Monseigneur Dariush..., je pense à lui mais à de nombreuses autres personnalités, Feu Son Éminence Monseigneur Bigornéa, Jeandalf, Zeuxp, Gédéon, Lovian, ...et j'en passe!


Aujourd'hui, je vais vous parler du jugement: Le but d'un jugement est l'établissement de la vérité..Et le but de la pénitence est le rachat de l'âme par celui qui à fauté. Je vous invite donc à venir sans hésitation vous confesser.

Ceci n'est pas décision humaine, mais bien doctrine Divine...Lisons ensemble un extrait de la pré-histoire, chapitre VI-la punition


Citation:
Sept humains avaient cependant compris quelle erreur ils avaient commis. Leur noms étaient Gabriel, Georges, Michel, Miguaël, Galadrielle, Sylphaël et Raphaëlle. Ils prêchèrent l’humilité, affirmant qu’il fallait accepter la punition pour se laver de ses péchés. Le discours de chacun témoignait des vertus qu’ils s’étaient mis à incarner. Gabriel faisait montre de tempérance, Georges d’amitié, Michel de justice, Miguaël de don de soi, Galadrielle de conservation, Sylphaël de plaisir et Raphaëlle de conviction. Seule une poignée d’humains était sensible à leurs paroles, mais la pureté de la foi de chacun d’entre eux valait le vice de cent pécheurs.

Les six jours furent terribles, les éclairs déchirant le ciel et le tonnerre ébranlant la volonté des plus faibles. Nombre d’humains fuirent alors la ville. Seuls restaient les plus vils, qui écoutaient les prêches des sept incarnations du péché, et les plus vertueux, qui, à l’instar des sept incarnations de la vertu, acceptaient la punition de Dieu. Même la Créature Sans Nom eut la prudence de prendre la fuite, laissant les sept corrompus s’aveugler dans leur folie.

Le septième jour vint conclure la sentence divine dans un titanesque cataclysme. Dans un tremblement assourdissant, le sol s’ouvrit sous les pieds des rares à être restés en ville. Des flammes hautes comme une cathédrale vinrent les dévorer. Les bâtiments furent mis à bas, les pierres s’effondrant sur leurs habitants, et les flammes dévastaient tout. Bientôt, toute la cité fut engloutie dans les entrailles de la terre, ne laissant plus aucune trace de son existence.

Les sept incarnations du péchés furent punies par Dieu. Elles furent jetées dans la lune, vivant depuis une éternité de souffrances sous le titre de Princes-démons. Ceux qui les avaient écoutés subirent le même terrible sort, portant depuis le titre de démons. Leur amour du vice et
leur haine de Dieu ne faisant que s’accroître au cour des siècles, ils prirent de plus en plus de malsain plaisir à pratiquer leur office. Et leur corps refléta peu à peu la noirceur et la bestialité de leur âme.

Mais Dieu vit que les sept purs, ainsi que leurs disciples, avaient prouvé que les humains étaient capables de repentance et d’humilité. Il les éleva dans le soleil et furent bénis par une éternité de bonheur au Paradis. Les sept purs furent appelés archanges et leurs disciples anges. Ils devaient seconder le Très Haut en aidant les humains, chaque fois que ce serait nécessaire, à combattre la tentation de la créature qu’Il n’avait pas nommée.


Ainsi, mes enfants.. voyez comme nul péché ne peut être pardonné, quand sincère repentance est dite...Une fois confession entendue, l'âme se trouve à nouveau plus légère, et peut reprendre le chemin de la vertu. D'ou l'importance de la confession, et de la repentance...

Tout comme les Archanges, vivez une vie de vertu, pour la Gloire du Seigneur, mais ne soyez pas trop orgueilleux, et sachez reconnaitre quand vous avez commis un péché... Repentez vous, et continuer à mener votre vie, une fois absout..

A présent, joignons nos mains dans le sacre de la communion. En cet instant, les quartes éléments sont réunis, ainsi que le cinquième: la présence des âmes qui se joignent à nous pour prier ensemble.





Je souhaiterai profiter de ce moment, mes très cher paroissiens, concitoyens, et amis, pour remercier publiquement le clergé d'Orléans pour l'accueil qu'ils m'ont conféré...j'espère croisé rapidement les membres du Conseil Municipal de Gien, et du Duché d'Orléans.

Je vous remercie de votre attention, mes enfants, que Dieu vous garde..
Dominus vobiscum














Ladyemeraude


Sarah était présente , les mots amitiés et le départ de frère David et la mort de Dariush un ami très cher elle découvrait un autre clerc qui prêchait Thimote.

Elle méditait sur le lien d'amitié et la perte d'un ami...

Elle ne pouvait parler pas un son ne sortait de sa bouche.

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Sacristain et chanoinesse au sein du conseil diocésain!
professeur du séminaire.
Mclegrand
Le gouverneur avait reçu une annonce à afficher, qu'il avait lu, à laquelle il avait souri, répondu, et qu'il alla s'empresser d'afficher à la cathédrale.

Citation:

A mes soeurs, à mes frères, mes enfants,
A l'ensemble des fidèles,
Aux habitants des villes de Patay, de Blois, d'Orléans, de Gien, de Montargis, de Conflans les Sens, de Troyes, de Tonnerre, de Cosne et de Nevers.

Mes très chers amis,

En ce jour, l'organisation religieuse de nos villes va se voir réorganisée, car en effet, me reviens la lourde, mais si passionnante tâche de devenir l'archevêque
de cette belle province de Conflans les Sens.

Plus qu'un changement d'homme, c'est toute la façon de concevoir l'organisation qui va être modifiée, améliorée.
Mes chers amis, je ne reviendrai pas sur la façon dont Rome statuait, dont Rome appliquait, dont Rome jugeait, dont Rome détruisait, dont Rome faisait preuve de manque
d'ouverture,de sagesse, de discernement, et de neutralité.
Je ne reviendrai pas sur tout ces aspects que trop d'entre vous connaissent, que trop d'entre vous regrettent, que d'entre vous condamnent.
Je ne reviendrai pas sur ces évènements qui nous ont déçus, mais plutôt sur ce que nous allons construire ensemble.
Désormais, l'Eglise Aristotélicienne se détourne d'une Rome trop souvent plus préoccupée par ses privilèges que par la volonté de nommer des prêtres pour prodiguer
messes et sacrements à ses fidèles.
Tel est mon engagement devant vous aujourd'hui.
J'invite les membres de l'Eglise de la Province de Conflans les Sens à prendre contact avec moi afin de pouvoir discuter de leurs attentes, de leurs espérances,
de leurs volontés de changement afin de pouvoir, demain, construire une Eglise proche de ses fidèles, proche du quotidien.
Car la réalité ne se construit pas dans le marbre Romain, mais sur la pierre de nos églises.
Ici et maintenant, l'amitié Aristotélicienne retrouvera la place qui lui revient, nous donnerons la possibilité aux prêtres d'acccomplir la mission qu'ils ont accepté
lors de leur ordination.
Guider les fidèles sur la route du Paradis Solaire, accomplissant la volonté et les commandements du Tout Puissant et des deux prophètes, Christos et Aristote.
Telle est ma seule vocation, ma seule envie, ma seule ambition, à moi, et aux clercs qui m'accompagnent.

Mes chers enfants, amis Aristotéliciens de la province de conflans les Sens, je vous invite aujourd'hui pour un nouveau voyage.
J'invite également les fidèles désireux d'apporter une pierre à ce bel édifice que nous construirons ensemble dans votre belle Province. Toute personne, marié,
ou non, aura la possibilité d'oeuvrer pour la foy, et d'apporter ses idées, et suggestions, mais aussi inspiration, et j'en serai infiniment heureux et honoré.

Puisse le Tout Puissant, les prophètes Christos et Aristote nous donner la force de parvenir à nos rêves, et ainsi nous mener sur le Paradis solaire.

A très bientôt,
Aristotéliciennes Salutations

Monseigneur Orcus DiCésarini

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Le_vieux_dunor


Le vieux entra dans la cathédrale, ouvrant grand ses yeux.

Bin ça alors, depuis que j'suis né, c'est bin la première fois que je rentre ici. Ça change de l'église de Montargis.

Traversant la grande nef, admirant les vitraux, se recueillant devant les statues, il cherchait quelqu'un à qui s'adresser. Finalement, il vit une personne qu'avait pas l'air d'un simple paroissien.

Excusez-moi, jeune homme. Pouvez-vous me dire comment contacter notre évêque ? A moins que vous puissiez lui dire que quelqu'un le mande pour une affaire de la plus haute importance.
Le_vieux_dunor


Le vieil homme se retrouva seul dans le grand édifice. Il avait une mission, il attendrait le temps qu'il faudrait. Pas bête, il avait rempli sa besace pour tenir longtemps. A son age, on avait peu d’appétit et beaucoup de patience.

Il commença à compter les bancs, une fois, deux fois,... jusqu'à ce qu'il s'endormisse.
Le_vieux_dunor


Quoi ? Que fais-je ? Où suis-je ?


Le vieux mit quelques minutes à réaliser où il se trouvait. Son sommeil profond avait été rompu par un bruit.

Il regarda alentour, se demandant quelle pouvait en être l'origine.
Thimote


L'origine du bruit...l'évêque d'Orléans était entré dans la cathédrale afin de préparer une grande cérémonie, prochainement aurait lieu la bénédiction du conseil ducale. Il n'avait pas vu l'homme qui dormait sur le banc. Il prépara l'autel avec attention, récolta les quelques écus des cierges afin de les remplacer.
Le_vieux_dunor


Tiens, v'la du monde. Pi ça a l'air d'être un religieux.

Le vieux se leva, se disant qu'il avait un peu faim.


Bin, aux bruits de mon ventre, je dois avoir dormi longtemps.

Il s'approcha de Thimote, agacé par son dos en compote tout en s'appuyant su sa canne.

Bonjour jeune homme. J'suis le vieux Dunor, de Montargis. j'm'en suis venu à la capitale à la demande de mon fils. Savez-vous , euh...

Il s’arrêta une seconde puis reprit.

Bin deux choses. Quel jour sommes nous et si vous savez où trouver un responsable de cette cathédrale ? Siou plait !
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