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[RP] Cathédrale d'Orléans (annonces, messes etc...)

Rosemay
Le couronnement de la duchesse d'Orléans, Rose ne pouvait manquer ça, elle se souvenait qu'elle lui avait accordé le droit de s'installer à Orléans il y avait à peine quelques mois de ça et aujourd'hui devenue bailli d'Orleans,elle avait le plaisir de la voir souvent mais c'est en taverne qu'elle aimait le plus la rencontrer, là Rose pouvait encore plus apprécier sa gentillesse et sa simplicité. Assister à ce couronnement ce n'était pas par obligation comme membre du conseil, mais par amitié pour une personne qu'elle admirait.

Elle se prépara rapidement et se rendit en la cathédrale. Elle ne fut pas surprise en arrivant, beaucoup de monde était déjà présent. Elle salua poliment les personnes qu'elle croisait puis apercevant sa marraine elle s'installa près d'elle sur le banc.

Bonjour marraine je vois que tu as un p'tit creux... Hum! si je peux dire ! dit elle en riant doucement, posant les yeux sur son ventre arrondi. Tu partages ?


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Hector..
Quand Hector apprit de la bouche de son maître que Ninouchka devait être couronnée, il ouvrit de grands yeux et resta bouche bée. La surprise passée, il submergea ensuite le Duc de milles questions : où, quand, comment, qui, quoi, et bien sûr s'il pouvait se rendre à la cérémonie.

Le Duc de Chateaurenard connaissait depuis longtemps l'amitié particulière qui unissait son domestique à Ninouchka et il ne pouvait donc lui refuser cette faveur. Le domestique de la maison Valois, sauta de joie et faillit embrasser le Duc.

Le jour du grand jour, Hector se leva à l'aube et courut dans tout le domaine pour se préparer. Toilette, parfum lavande, petit costume, brossage et petit noeud autour du cou. Ursus lui confia un sac qui pesait bien lourd et Hector se demanda si c'était un cadeau pour la Duchesse. Il n'obtint aucune réponse et comme les cloches sonnaient déjà, il grimpa dans la charrette avec Marrion et Isabelle.

Devant la cathédrale, quelques personnes attendaient déjà. Il les salua, comme le faisait Ursus, et s'installa à ses cotés sur un banc.


Islington
Ce jour était enfin venu ! Le Blésois s’était levé très tôt. Le sommeil ne l’avait guère trouvé et il convenait d’arriver rapidement sur les lieux de la cérémonie de couronnement.

Abandonnant au petit matin, femme et enfants, il prit le chemin de la cathédrale empruntant les rues étroites d’Orléans où les commerçants s’affairaient déjà derrière leur étal qu’ils agençaient d’une main sûre.

Alienor, son épouse, viendrait plus tard le retrouver.

Il rejoignit rapidement le parvis de la cathédrale où il se mit à attendre la future couronnée. Ninou lui avait fait l’immense honneur de lui demander de l’accueillir et de remonter à son bras, la grande nef. Il fut sensible à cette attention qui témoignait de leur longue et profonde amitié.

De temps en temps, il levait la tête pour scruter le ciel. Vieux réflexe de normand. Mais les nuages semblaient survoler Orléans pour seulement assister chacun son tour, au couronnement de son amie.

Le Chancelier salua les têtes connues qui tour à tour, pénétraient dans l’édifice. Les tenues étaient soignées. Les coiffes impeccables.

Enfin, la voiture de Ninouchka arriva près du parvis. Il descendit les quelques marches pour venir sur les pavés de la chaussée. Il laissa le temps au cocher d’immobiliser complètement l’attelage puis s’avança lentement. Il attendit que l’autre proposé ouvrît la porte pour s’approcher du petit marchepied.

Dès qu’il la vit, le Chancelier la salua puis lui tendit la main pour l’aider à descendre de la voiture. Une petite pression de la main pour lui faire comprendre qu’il était là, que tous ceux qui l’appréciaient, étaient présents pour l’entourer lors de ce moment exceptionnel…… !

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Alonzo
Viendra ? Viendra pas ? Après moult réflexion, se souvenant qu'il était en représentation, il prit la décision d'assister à la messe de couronnement de sa grâce Ninouchka. .Il poserait ainsi ses fesses sur un banc de la cathédrale, le secrétaire d'état dict la tête de mule , et suivrait la cérémonie , attentif certainement à ce que la cérémonie soit millimétrée sinon à quoi bon ? La grandeur , la démesure , le prestige mais par pitié , point d'ennui !

les cloches sonnent, sonnent , sonnent ... didiou qui a dit que les curés ne mettaient pas de l’énergie à rameuter tous les fidèles sujets du roi.
En longeant les quais, observant la ville , l'italien remarque à l'agitation des quais que l'année est bien avancée désormais.
L'automne est bien là , les feuilles qui jongent le sol, le vent qui mugit entre les arbres, toute cette atmosphère propices à la mélancolie . Arfff, Finie la pêche au bord de l'eau, finies les promenades sur les bancs de sable ou sur les berges , puis il faudrait penser à rajouter du bois dans la cheminée de sa demeure, dès que la duchesse serait couronnée, tiens. A envoyer les cochons en forêt. Au prix du bois et à sa rareté , sur qu'il se gèlerait les fesses surtout depuis qu'il s'était fait voler sa bourse entre Orléans et Gien, comme un grand C qu" il était !
Le parvis de la cathédrale en approche , l'italien presse le pas, franchit le porche , se signe à l'entrée , à l'envers, il s'est toujours planté depuis sa pastorale, ce n'est point grave, tout le monde s'en fout .
Alienor28
Aliénor arriva à son tour à la cathedrale pour la couronnement de sa marraine et Duchesse d'Orléans Ninouchka. Elle avait revêtue pour la circonstance une jolie robe, chose assez inhabituelle pour être remarqué même par son époux qui lui en avait fait la réflexion juste avant son départ un peu avant elle pour préparer la cérémonie.

Elle salua son époux à l'entrée avec un petit clin d'œil. Elle entra puis se signa et se mit à prier pour Orléans en ce magnifique jour de septembre...........




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Tomrone
Le jour était déjà levé, et Rose n'était déjà plus là, à ces côtés à la cabane. Pourtant matinale à ces habitudes, cette fois-ci, cela fut Rose qui fut bien plus matinale que lui. Mais quelle mouche avait bien pu la piquer ?

C'est en découvrant sur la table de la cuisine, un morceau de vélin, lui notifiant que sa Rose était partie au couronnement de la Duchesse Ninouchka, que la question de la mouche fut enfin résolue.

Sacré non de non ! Le sacre de la Duchesse d'Orléans ! Ni une ni deux, il fit rapidement sa toilette pour foncer ensuite en vitesse vers la cathédrale. Le son des cloches était encore là, et un ouf de soulagement sorti de sa bouche.

Pénétrant dans la cathédrale, il se signa, face à l'Autel, jeta un oeil à gauche et un oeil à droite, tout en saluant d'un signe de la tête les personnes déjà présente et tout en respectant le silence religieux qui avait pris place.

Mais son oeil, gauche d'ailleurs, avait bien reconnu sa Rose et sa marraine assise l'une à côté de l'autre. S'en approchant, il finit par s'installer prés des deux jeunes femmes en leur souriant.

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Aemilia
[Alluyes la Riche, chez papa, direction la cathédrale]


Quelques jours avant son départ définitif de l'Orléanais. Il avait été convenu qu'elle quitterait les jup... les chausses de son père pour aller terminer son éducation auprès de sa nouvelle maman. Son précepteur lui avait appris tout ce qu'il pouvait, lecture, enluminure, calcul, vie politique, culture... Tout ce qu'une jeune fille, adoptée par un grand homme, devait connaître, hormis le savoir-vivre en société. L'éducation féminine, que seule une femme pouvait lui dispenser. Aussi, l'on avait préparé ses malles, les Lames avaient organisé le convoi pour la mener en sûreté jusqu'à la capitale tourangelle, et la gamine boudait. Pas qu'elle n'aimait pas la jeune princesse, car elle apprenait depuis peu à la connaître, et était à présent rassurée sur le fait qu'elle ne veuille pas se débarrasser d'elle. Mais bien parce qu'elle ne voyait déjà guère le patriarche, et qu'on la tienne davantage éloignée de son protecteur la mettait en rogne. Ajoutez à cela la puberté qui pointait le bout de son nez depuis quelques temps, et vous avez là une vraie bombe à retardement.

Toujours têtue, elle avait réussi à négocier d'aller assister au couronnement de sa future marraine avant le voyage. Une fois passée sa cotte de lin azur, accessoirisée d'une ceinture tissée galonnée d'or, dernier vestige de cet été ensoleillé, elle se fit déposer à la cathédrale Sainte-Croix. Ce lieu saint... Un des premiers endroits qu'elle avait visités. Première rencontre avec celui qui était à présent son aîné, cet être tant détesté qui la jalousait d'avoir soit-disant pris sa place dans la famille. Serait-il présent en ce jour? Chamailleries et piques acerbes seraient de la partie en ce cas.

L'adolescente s'installa rapidement sur un banc, sur le devant, bien placée pour voir la duchesse Ninouchka du Val Ancien. Devant, pour l'une des premières fois de sa vie. Fini le temps où elle devait se tenir debout tout derrière, avec la populace, car la plus jeune des Amahir avait à présent à tenir le rang qu'on lui avait offert. Prem's, pour voir m'dame gentille devenir la première dame de ce duché.

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Manoir des Artistes, Comptoir Parisien
William_wallace_ecos
Alors qu'il était en longue retraite, William reçu une invitation pour le couronnement de la Duchesse, il n'aurrai voulu pour rien au monde manqué cela!

Il salua ses amis qu'il croisa dans la cathédrale.
Voyant Rosemay il alla s'assoir a ses côtés.


Bonjour Rosemay, comment va tu depuis tout se temps?
Xalta
Elle releva la tête sortant de ses prières silencieuses. ses mains gantées restèrent entrecroisées. D'une inclinaison de la tête ou d'un sourire, elle salua. Puis, il fit son entrée, elle lui sourit quand elle le vit s'approcher, ravie de le voir ici. Elle devinait aisément que cette démarche ne devait pas être simple pour lui. Et puis un doute, enfin plus une question lui vint en tête savait il que c'est en ce lieu que son père fut foudroyé... Elle n'allait pas s'en enquérir maintenant, elle le ferait plus tard. De toute façon ils étaient amenés à se croiser pour de multiples raisons. Elle lui fit signe de s'approcher encore, une invitation muette mais elle était persuadée qu'il comprendrait. Une certaine connivence s'était installée entre eux.

Elle ne put s’empêcher de songer à son propre sacre qui avait eu lieu un an auparavant à quelques jours près. Un sacre que beaucoup avaient boudé volontairement. Leur en tenait elle rigueur? En ressentait-elle encore une amertume ? Non, pourquoi faire ? Ils étaient ainsi. Oh elle savait que certains la trouvaient dure, mais sa façon de montrer à elle qu'elle avait de l'estime pour la personne. Dans la logique "xaltanienne" quand on estime quelqu'un on peut lui parler ouvertement, sans ambages, sans flagornerie, s'opposer sans que cela soit pris pour manque de respect ou sentiment méprisant voire haineux. D'ailleurs plus elle estimait quelqu'un plus elle était ainsi, d'ailleurs elle en connaissait un qui en avait fait les frais. Alors que quand elle n’éprouve qu'indifférence ou désintérêt, elle laisse couler sans pour autant entrer dans un silence benoît. Faut pas pousser quand même !

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Durant le Grand deuil , dont la durée est de six jours, soit jusqu'au premier novembre 1463 inclus :

- Leurs Altesses les fils et filles des Souverains royaux porteront du pourpre.
- Les hommes porteront des tenues modestes de noir ou de blanc.
- Les femmes porteront des tenues modestes de noir ou de blanc & seront voilées.
- Les épées seront portées avec un ruban de deuil.
- Les blasons nobles seront portés en noir & blanc.
Ninouchka
Le paysage défilait sous ses yeux et en même temps que lui, les souvenirs.

Elle se revit à peine élue, un peu dépassée par des événements qu'elle n'avait jamais cherché.

Elle avait bien souvent ri au nez de ceux qui lui prédisaient un avenir de duchesse régnante. Elle ne se voyait pas du tout occupant ce poste et puis à quelques jours de sa démission, il y avait eu une petite phrase prononcée par la duchesse Xalta en taverne.

Elle lui avait demandé ce qu'elle dirait si son nom était avancé par la noblesse. Là encore elle avait ri, trouvant ça impossible. De plus, elle ne le souhaitait pas. Ça n'avait jamais fait partie de ses buts, elle la travailleuse solitaire, l'amoureuse des chiffres et des vieux papiers.

Puis Xalta avait mis un terme à son règne, le processus de choix d'un nouveau régnant avait été entamé et son nom à elle, Ninouchka, était cité, encore et encore et encore et encore.

Comment refuser un poste alors qu'on est plébiscité à ce point ? Elle avait réfléchi car elle restait pareille à elle-même ... la peur de ne pas être à la hauteur la paralysait et elle avait été sur le point de refuser.

Puis il y avait eu le sentiment du devoir à accomplir vis-à-vis de son duché et surtout quelques mots de Lexhor. Des mots qui avaient fait basculer sa décision, des mots qui lui avaient redonné courage les jours de mauvais temps, des mots qui l'avaient tenue debout lors des jours les plus noirs de son règne.

Elle avait aussi un suzerain, le duc de Beaugency, pour lequel elle avait grande estime et respect et elle avait eu envie qu'il soit fier d'elle. De tout coeur, elle espérait qu'il l'était.

Les débuts avaient été difficiles, mais elle avait eu la chance d'avoir à ses côtés la duchesse Xalta qui lui avait consacré tout le temps nécessaire à sa formation. Parfois, quand elle y repensait, elle se demandait ce qu'elle aurait fait sans elle. Pourtant, il n'est pas aisé de former quelqu'un qui est très différent de soi-même et qui n'a donc pas les mêmes façons de réagir, la même conception des choses.

A ce point de ses pensées, le bruit des cloches d'Orléans parvint à ses oreilles et elle se pencha à la fenêtre du coche. Déjà on voyait les tours de la cathédrale dépassant les toits des maisons.

Très vite ils furent aux portes de la ville où la milice, reconnaissant les armes ducales sur la voiture, fit s'écarter les badauds pour lui faciliter le passage sous les remparts.

Un dimanche à Orléans il fallait un peu de patience pour arriver au coeur de la ville. Le marché matinal, les flâneurs, les curieux attirés par l'événement encombraient les rues.

Pourtant, ils furent assez vite rendus sur place. Elle attendit prudemment assise, que les chevaux soient bien arrêtés et que le valet vienne lui ouvrir. Un peu de decorum ne ferait pas de mal pour une fois. Les gens ne venaient pas voir Ninouchka, ils venaient voir la duchesse d'Orléans. Il ne fallait pas les décevoir. C'était d'ailleurs pourquoi elle avait choisi une robe qui sortait de ses habitudes vestimentaires assez simples.






Elle se leva, descendit avec précaution le marche-pied, trouvant très vite la main secourable d'Islington. Elle lui sourit et lui sut gré de cette petite pression de la main qui appartenait à l'ami plus qu'au personnage officiel.

Elle avait voulu que ce soit le Chancelier qui la mène devant l'évêque d'Orléans. Il avait été son bras droit durant ce règne et il l'avait servie avec dévouement et loyauté. Il avait été son appui et elle avait trouvé normal que ce soit lui qui l'accompagne pour cette étape.

Elle salua les personnes présentes au pied des marches et sur le parvis puis elle posa sa main sur le bras d'Isly, lui sourit


Bonjour Isly ... allons-y ...
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Arthur.d.amahir
Toujours devant les portes de la cathédrale, petite discussion rapide avec Mélina, que déjà, il vit arriver sa soeur qui avait dû venir directement d'Alluyes le matin même. Cette dernière ne l'avait point encore et Arthur s'en amusait déjà, imaginant quelques stratégies farfelues pour s'approcher discrètement et lui faire peur... Mais pour le moment, elle rentrait s'installer et Arthur continuait à saluer les personnes montant les escaliers, tout en continuant de faire causette avec la Mélina.

Bien d'autres avait franchi les portes de la cathédrale : le Prévost, le Sergent, William, la Gouverneur, le Bailli, le Juge ; apercevant même Hector qui manquait bien à Arthur avec son tambourin a réveiller les morts. Il les salua tous à tour de rôle, bien que certains furent bien trop pressé de rentrer pour ne serait-ce que voir le salut du ptiot d'Amahir, le laissant seul avec le vent soufflant de travers. Mais, il faut dire que cela le faisait plutôt sourire de voir comment les convives rentraient dans la cathédrale telle des moutons dans une bergerie.

Voyant le cortège de la Duchesse en devenir, par le sacrement, il gratifia Mélina d'un léger sourire, l'informant qu'il allait à son tour rentré, et pénétra à son tour dans le majestueux édifice.

Regard lointain puis plus proche pour essayer de repérer sa soeur. Par déduction, il compris qu'elle devait se trouver sur le devant. Il se signa donc rapidement et contourna l'allée centrale par le passage de gauche, espérant que sa soeur ne serait point sur la droite. Avec la chance qu'il avait, pour sûr qu'il se pointerait du mauvais côté.

Avançant tranquillement, saluant de nouveau certains, même si parmi eux, certains pensaient, à tord, d'être salué pour la première foi, il cherchait de regard la gamine qui devait déjà se tortiller à devoir rester un place.

Yeux brillant de malice, il repéra la crinière jaune de la future victime sur un des banc du devant, côté droit....

"Scrogneugneu", pensa-t-il. Deux choix possibles : arrêter de faire le mariole et s'installer à son tour, ou bien, essayer de passer sur le côté droit discrètement, avant le début de la cérémonie... Se conduire en Amahir digne de ce nom ou en gamin ? Quoique de fait, l'un était parfois proche de l'autre...

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Maywenn
Mirabelle... fraise....cerise... oh m'en reste un melon !

Disait elle tout bas tout en plongeant ses petits doigts dans son petit sachet. Elle attrapa entre son pouce et son index la délicieuse petite tranche de melon confit et l'apporta jusqu'à sa bouche avec une gourmandise...proche de l’idolâtrie.

Elle faisait tranquillement fondre sa friandise quand une voix bien connue l'interpella.


Bonjour marraine je vois que tu as un p'tit creux... Hum! si je peux dire !
Tu partages ?


Elle esquissa un sourire et mit un peu de temps avant de lui répondre... bah oui quoi, elle était entrain de savourer la succulente chair de ce melon si sucré, dans la vie, il y a des priorités !
Elle se décala pour lui faire place et avala.


Oh ma Rosy ! Heureuse de te voir.
Et non je n'ai pas un petit creux... c'est lui qui en à un, nuance.

Disait elle en souriant tout en jetant un oeil sur son ventre comme pour désigner le coupable.
Puis elle lui tendit son petit sachet et vi, même si quelque part çà lui coûter, bah oui quoi ces p'tits fruit-fruits ! Mais bon.... c'était sa filleule et elle l'aimait bien, sur ses quatre filleuls elle était à la... *interférence* ...place !

Et bien sur.... qui dit gourmandise.... dit Tomrone ! Et çà n'avait pas manqué, le nougat sur patte fit son entré, et comme toujours dans la plus grande discrétion avant de s'installer comme peut s'installer le mystère lors des histoires qu'on peut raconter aux mioches pour leur foutre la pétoche.
Et sans même dire un mot, ah lala...


Bah alors... on ne salue plus sa soeurette ?

Disait elle avec un faux air sévère.
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Islington
Bonjour Isly ... allons-y ...

Le Chancelier regarda la Duchesse et lui rendit un sourire . Il donna la petite impulsion pour qu’ils montent les marches et pénètrent dans la Cathédrale.

La lourde porte franchie, leurs pas se mirent à résonner sur la pierre de la nef silencieuse. Isly adopta le pas le plus lent pour que Ninou profite le plus longtemps possible de tous ces regards tournés vers elle, les amis et les anonymes, les nobles et les roturiers, les nantis et les pauvres et de la lumière d’un soleil de septembre empruntant au passage les tons tranchés des vitraux de la cathédrale.

Isly percevait le murmure de l’étoffe de la robe de la Duchesse traînant sur le marbre.

Quelques toises les séparaient encore du chœur et de Monseigneur Thimoté. Le Blésois aurait voulu glisser à l’oreille de Ninou, deux ou trois mots mais …le protocole.

Le Chancelier conduisit la Duchesse près du luxueux fauteuil qui lui était réservé et abandonna son bras. Il s’inclina plus longuement qu’à l’accoutumée puis doucement rejoignit sa place.

La cérémonie du couronnement pouvait commencer !

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Melina_de_valverde
Melina attendait l'arrivée de la duchesse, quand Arthur vint la trouver avec un Dame Melina, qui lui fit quelque peu redresser les cheveux sur la tête. Quant au cérémonial qu'il lui admonesta, pour un peu, elle l'aurait bien mis à une quelconque corvée
voui voui, pour moi c't'est comme une réprimande qu'on me fasse ça... tssss tu vas voir Arthur comment que j' vais t' mettre à une corvée.. Hummm d'patates ? d' vaisselle ? à voir bientôt....

Elle ne fit guère de commentaire là dessus mais n'en pensa pas moins.
Après une petite discussion avec lui , elle vit s'approcher le carrosse aux couleurs du duché. Puis le chancelier s'en rapprocha et Melina admira sans réserve la grâce de Ninouchka.

Un petit geste de la main en sa direction puis ne voulant pas se faire remarquer davantage, elle les laissa gravir les marches jusqu'à la cathédrale, attendit quelques instants avant d'en faire autant, pénétra à l'intérieur de la cathédrale puis se dirigea vers un coin où elle pourrait assister à la cérémonie.
Hector..
C'était un moment solennel. Les murmures s’estompèrent devant les pas de la Duchesse et le silence ne fut troublé que par le bruissement de l'étoffe de la robe de Ninouchka.

Pressentant l'arrivée de son amie, Hector tourna le regard vers la porte de la cathédrale. Malheureusement quelques personnes qui n'avaient pas trouvé de place, l’empêchaient de suivre les événements. Il se déplaça alors sur la droite, puis à gauche, se mit sur la pointe des pieds, et finit par sautiller sur place. Enfin, il l'a vit. Oh quelle était belle sa Ninou !

Il agita alors les bras en tout sens pour qu'elle le voit. Mais avec toute cette foule cela semblait bien improbable. Il ne restait plus qu'à...



Niiiiiinouuuuuuuuuuuu. Ninoooooooooooooouuuuuuuuu

Pour être discret c'était raté ! Ursus, rouge de confusion, lui donna un coup de coude dans les cotes et lui lança un regard assassin. Comment pouvait on troubler de la sorte une telle cérémonie donnée dans un lieu saint ?

Hector réalisant sa bévue, baissa les yeux tel un enfant pris en faute la main dans la confiture. Ninouchka pourrait elle lui pardonner de se conduire d'une telle façon ?
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