--Xalta_par_xalta
Un coursier parti depuis quelques jours déjà , arrivait enfin en Orléans. Il y avait de l'animation, les rues étaient bigarrées, il flottait une forme d'effervescence ce qui soulagea l'homme qui avait reçu pour consigne de ne point s'arrêter quasiment afin d'arriver au jour du sacre. C'est qu'elle n'avait pas l'air commode la duchesse quand elle lui avait donné ses consignes. Heureusement elle payait grassement.
Mais comment donner le courrier. Il se présenta donc devant une grande bâtisse on lui avait dit que c'était là que demeurait le duc d'Orléans. Il se présenta devant les gardes.
Bien le Bonjour,
Je suis Jacques, j'ai un pli pour le duc d'Orléans venant de la duchesse de Châteauneuf
Pourriez vous le lui remettre et me faire un petit reçu que je puisse toucher la fin de mes gages ?
Mais comment donner le courrier. Il se présenta donc devant une grande bâtisse on lui avait dit que c'était là que demeurait le duc d'Orléans. Il se présenta devant les gardes.
Bien le Bonjour,
Je suis Jacques, j'ai un pli pour le duc d'Orléans venant de la duchesse de Châteauneuf
Pourriez vous le lui remettre et me faire un petit reçu que je puisse toucher la fin de mes gages ?
Citation:
A vous Arthur d'Amahir, Duc d'Orléans
De nous Exaltation Lablanche, duchesse de Châteauneuf-sur-Loire, de Sedan, baronne de Chaumont et dame de Tronchay
Sincères salutations,
Vous recevrez , je l'espère , ce courrier , le jour de votre sacre et qu'il vous trouvera en bonne santé bien que peut-être fébrile, inquiet et impatient pour ce jour particulier. Bien qu'éloignée d'Orléans et me trouvant actuellement sur les routes languedociennes, mes pensées vont vers vous jeune homme qui allait prêter serment devant Dieu et les Hommes d'être un duc éclairé, avisé et juste.
Qualités dont vous avez fait montre depuis votre élection par la Grande Chambre. Malgré votre jeunesse vous avez su montrer que la valeur n'attend pas le nombre de vos années. C'est une charge bien lourde qui pèse sur vos épaules mais vous avez le soutien de bon nombre de vos proches et amis, je ne me soucies donc pas pour les mois à venir.
Si nous nous souvenons toujours du jour où nous apprenons que les votes des électeurs de la Grande Chambre nous ont désigné comme Duc régnant, vous n'oublierez jamais votre sacre, quand vous vous retrouvez face au peuple constitué de sa noblesse, de ses bourgeois, de ses paysans avec les insignes du pouvoir qui sont vôtres. C'est une émotion immense, terrible qui nous submerge, du moins c'est ainsi que je m'en souviens. C'est le moment où nous ressentons le poids des attentes de chacun. Je ne veux pas vous effrayer, ce n'est point l'objectif de ce courrier mais seulement de vous dire que par cette cérémonie vous allez former une alliance sacrée avec Orléans.
Que le Très Haut vous guide et vous inspire! Agissez toujours selon votre conscience, Laissez vous guider par le Bien de tous et fermez vos oreilles aux mauvais conseillers, à vos détracteurs.
De façon moins formelle et impersonnelle, je voulais simplement vous dire que j'éprouve une fierté toute maternelle à vous voir ainsi. J'ai encore souvenir de nos discussions, même si elles se sont espacées depuis que vous avez été élu duc. Le pouvoir éloigne toujours mais sachez que vous ne serez jamais seul et si vous avez pu compter sur moi par le passé, dans le futur vous le pourrez toujours.
Que le Très Haut vous garde!
X. L. d'A. d'I.
De nous Exaltation Lablanche, duchesse de Châteauneuf-sur-Loire, de Sedan, baronne de Chaumont et dame de Tronchay
Sincères salutations,
Vous recevrez , je l'espère , ce courrier , le jour de votre sacre et qu'il vous trouvera en bonne santé bien que peut-être fébrile, inquiet et impatient pour ce jour particulier. Bien qu'éloignée d'Orléans et me trouvant actuellement sur les routes languedociennes, mes pensées vont vers vous jeune homme qui allait prêter serment devant Dieu et les Hommes d'être un duc éclairé, avisé et juste.
Qualités dont vous avez fait montre depuis votre élection par la Grande Chambre. Malgré votre jeunesse vous avez su montrer que la valeur n'attend pas le nombre de vos années. C'est une charge bien lourde qui pèse sur vos épaules mais vous avez le soutien de bon nombre de vos proches et amis, je ne me soucies donc pas pour les mois à venir.
Si nous nous souvenons toujours du jour où nous apprenons que les votes des électeurs de la Grande Chambre nous ont désigné comme Duc régnant, vous n'oublierez jamais votre sacre, quand vous vous retrouvez face au peuple constitué de sa noblesse, de ses bourgeois, de ses paysans avec les insignes du pouvoir qui sont vôtres. C'est une émotion immense, terrible qui nous submerge, du moins c'est ainsi que je m'en souviens. C'est le moment où nous ressentons le poids des attentes de chacun. Je ne veux pas vous effrayer, ce n'est point l'objectif de ce courrier mais seulement de vous dire que par cette cérémonie vous allez former une alliance sacrée avec Orléans.
Que le Très Haut vous guide et vous inspire! Agissez toujours selon votre conscience, Laissez vous guider par le Bien de tous et fermez vos oreilles aux mauvais conseillers, à vos détracteurs.
De façon moins formelle et impersonnelle, je voulais simplement vous dire que j'éprouve une fierté toute maternelle à vous voir ainsi. J'ai encore souvenir de nos discussions, même si elles se sont espacées depuis que vous avez été élu duc. Le pouvoir éloigne toujours mais sachez que vous ne serez jamais seul et si vous avez pu compter sur moi par le passé, dans le futur vous le pourrez toujours.
Que le Très Haut vous garde!
X. L. d'A. d'I.