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[RP]Balade en Gascogne

Simone_de_beauvoir
Noire et blanche, la mise est de bon augure. Si ce n’est certes pas un seigneur, c’est bien au moins un bourgeois bien gras qui s’achemine ingénument vers les douaniers improvisés. Simone s’en frotte les mains, au sens figuré puisqu’en réalité celles-ci se crispent sur le manche de l’épée.

Spérons que la prise soit meilleure que la précédente… Il a l’air mieux vêtu, à tout le moins. Mais à ce qu’on dit, les plus riches sont les moins prêteurs. Gageons qu’il s’y cramponnera, à son pécule.

Illustration. La pauvre victime, décidément des plus naïves, tente en effet de résister. Sans parler de la supériorité numérique, elle n’a jamais dû avoir affaire à des filles. Leur sournoiserie est pourtant bien connue. Un homme, ça cogne, éventuellement ça vous plonge une épée dans le cœur, et encore, seulement de face pour la plupart. Les filles, ça pince, ça griffe, ça mord, ça tire les oreilles et les cheveux, ça dégoupille les gonades à coups de genoux. Et surtout, ça n’hésite pas à attaquer par derrière, comme Ardath l’avait gentiment appris à Simone et Eilith, au cours de précédentes parties de péage en plein air.

Et alors que ses acolytes brandissent leurs armes, Simone en profite tranquillement et sans vergogne aucune pour se placer dans le dos du voyageur, dégainant à son tour son épée. La lame est toute neuve, inutile de la déjà souiller. Le pommeau fait largement l’affaire, lorsqu’il s’abat sur le crâne étonné.


Valà.

Ah ben non, ne crions pas trop vite « Valà », il bouge encore, et râle, même.

Pff, c’est rien, c’est la faute à son foutu foulard qui a amorti l’choc, c’est tout. J’maîtrise parfaitement la situation. Suffit de l’virer et puis…

Le nœud du foulard en question s’avère particulièrement serré. En tirant nerveusement dessus, Simone arrache au passage une belle poignée de cheveux, dont elle se débarrasse en secouant la main avec un petit cri dégoûté. Ça va bien, elle ne cherche à défigurer personne, seulement à l’endormir le temps de lui escamoter sa bourse (j’ai bien dit sa bourse, pour ceux qui s’imaginerait qu’il est encore question des gonades sus-citées, qu’ils en soient rassurés ou déçus).

Zouuuzzz… Tu me filerais un coup de main ?

Elle ne va tout de même pas demander à Pumae. Elle a sa fierté.
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Zouz83
Bivouac trop'arrosé

C'était sa première nuit sur les routes depuis longtemps. Il n'avait pu y retourné pour cause de travail à la mairie alors que c'est ça sa vie.

Un chemin,
Des gens qui se croisent,
Des bourses qui changent de mains,
Le dur labeur de toute une vie dans les champs pris en une nuit par un honnête homme tout ça c'était beau.

Enfin bon fallait fêté ça alors il sortie le jambon d'bayonne qu'on lui avait rapporter. Et une bonne bouteille de vin, presser sous les pieds, grâce aux raisins ramener par les filles est débouchoné. Hop Zouz fête en même temps des retrouvailles avec une amie de longue date Ysen petit souvenir échanger près d'un feux rire et tout ça...

Plus tard dans la soirée ils se décident se bouger. Un bruit sur le pont les 4 se dépêchent de le bloquer le petit papier écrit par l' commandant poivreau et changer par la Pumae est donné les biens sont réquisitionné pour une expertise plus approfondi tout ça...

Hop ils traversent le pont à la recherche des gaillards qu'ils ont vue dans l'après midi. Pas un chat comme dirai l'autre des traces de pied oui ils s'étaient enfuis.
Trop rit?
Trop bu?
On ne l'y reprendrai plus!

L'homme sur le pont y est toujours. Zouz lui sert la main un regard échanger la confiance lui est donné.

Citation:

25-05-2009 04:09 : Vous avez racketté XXXX qui possédait 40,03 écus et des objets.


Le lendemain.

Nuit douce et chaude réchauffant les coeurs triste d'avoir loupé un tas d'argent.
Ysengrine fait ses adieux, Bisoutage, mamourage euh non... en fait rien de tout ça juste un clein d'oeuil et un petit aurevoir à la prochaine.

Hop un nouveau qui passe sur le pont lui Zouz la déjà vue. Il zieute la marchandise. Du bois! sûrement piquer sur le marché de Labrit hop! aussi tôt dit aussi tôt fait les 3 membres restant l'assaille il résiste le bougre pif paf boum l'vlà a terre comme une tite crotte pas malin de ce défendre contre plus nombreux que soit. La simone lui demande son aide. Zouz ne se gène pas et balance un coup dans l'entre jambe du zigoto voilà qu'il perd connaissance.

Paraît que quand on à les boules celà ce situe au niveau du cou à la vitesse du coup de pied sa n'étonnerai pas Zouz que cette phrase prenne tout son sens aujourd'hui et plus simplement au sens figuré.

Il prennent les 4 malheureux sous qu'à le pauvre type et se partage Zouziennement la marchandise. Comment ça le partage est pas équitable?
Mais si mais si vous inquietez pas...


Citation:

26-05-2009 04:09 : Vous avez racketté YYYYYY qui possédait 4,15 écus et des objets.
26-05-2009 04:09 : Vous vous êtes battu avec YYYYYYY (coefficient de combat 5), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.


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Pumae
Journée morte perdue...
C'est bien joli un pont, un bivouac très temporaire, de l'eau courante et de l'herbe verte.
Mais quand le client n'y vient pas ?! qu'est ce qu'on s'ennuie !!

C'est ainsi que Simone, Zouz et Pumae ont perdu une journée... à trainasser, dormir, jouer aux cartes et boire.

Bin voui, sont pas poivrots, mais Pumae a pensé un ptit truc.

Au soir donc, désespérant de voir apparaître quelqu'un elle sort de sa poche un breuvage bien connu... Là haut du moins !

Rameutez vous que j'vous fasse goûter un truc !

Bonne idée ? Mauvaise idée ? L'avenir le dira ! La pumae sait très bien qu'elle le tient pas ce truc mais bon. Ce serait tout de même dommage de pas proposer !
Elle rempli fissa les chopes qui s'amènent sous le goulot de sa bouteille et trinque avec eux. Elle en avale une lampée et les regarde... Comment vont-ils réagir ? C'est pas tous les jours qu'on goûte de la pruneàvampi.

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Zophia
Zophia perchée sur un arbre, regarde et fixe au loin, son coeur est mort, plus rien ne la retient, elle ne cherche que l'occasion de mourrir tranquille, où pas?..(lol). Mais mourir..ça oui! Déjà la rousse a donné son héritage lui reste sa haine, sa revanche contre la pire des traitres, ouii..Celle quelle appellait sa soeur.

On lui a dit que sa fausse soeur se promennait. Comme elle aimerait lui tranchée la gorge d'un coup sec! brusque, sans remord. La rousse sourit en coin en soufflant sur une mêche rebelle, repense à son passé, puis sourit de plus belle, la p'tite peste du sud a pas fini, enfin oui! mais...

Elle la regarde,l'espionne, elle frappera bientôt? Qui sait? Mais elle frappera...Son regard se fait noir, sa peau frissonne, elle en rigole d'avance, elle se marre la rousse.

Un oeil toujours sur sa fausse soeur, celle qui lui a mentie, celle qui se fait plein de scénario, ouiiii sa fausse soeur, la judas. L'avoir maintenant? nonnnn! Sont trop tricheurs pour être vrais, et avouez que trois contre un c'est pas rêglo.

La rousse laisse le vent porté sa voix....Simmmmonnnnneeeeeeeeeeeeee...Simmmonnnnneeeeeeeeeeeeee....Chiche!!!!

Simonneeeee accorde moi un duel..Toi et moi...Moi et toi...Un chêne, deux épées, ton sang et le mien fausse soeur...

La rouquine sent son coeur battre, elle attend se moment et puis pourquoi mourrir sans rien faire?...


Zophia s'acroupie l'air rêveuse, rêvant d'un duel juste avec l'emerderesse...Bzzzzzzzzzz, la rousse sommeille rêveuse sourire aux lèvres. Et non faux! Les yeux imaculés de larmes seraient beaucoup plus juste pour décrire son visage, mélage de haine et d'amour fraternelle.. Rage..Profonde détresse et sentiment de trahison durcissent les traits d'une rouquine en mal de vivre.

Pumae
Tranquille fin de soirée légèrement arrosée.

Le lendemain s'avère tout aussi vide.
La petite clique se décide à plier bagage. Pumae en ayant marre de camper et surtout en manque de vivres, remballe rapidement tout sur son cheval.

Un cri se fait entendre, au loin... Un autre groupe de brigands ?
Elle ne reconnaît pas la voix, féminine, et hausse les épaules. Si c'est adressé à quelqu'un le pigeon est mille fois plus pratique !

Elle disparaît derrières les fourrés, un temps interminable, et apparaît bien mieux vêtue.
D'une main malhabile, elle essaye de redresser sa schtr*** de coiffe qui a décidé de se barrer sur le côté... Redressement vain puisqu'une branche d'arbre vient l'aider.

Pestant, elle se présente à ses compagnons de route et fait une révérence.


Me parler même pas de cette coiffe. C'est horrible, je sais.


Elle regarde son cheval et tire sur sa houppelande, l'air mauvais...
Comment va-t-elle se débrouiller pour monter sur ce crétin de cheval sans se ramasser la tronche à terre ?

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Zouz83
Le noeud maudit

Un jour après la rencontre du pilleur de Labrit le chemin était bien lugubre pas un bruit, pas une seule personne rien... Que font les gens? restent-ils enfermé chez eux? On dirait bien... M'enfin un bruit derrière un buisson Zouz sort son baton taillé en pointe par l'ennuie, Il le jette dedans pas de pitié marre d'attendre puis les gens qui se cachent lui il aime pas ça.

Un cri se fait entendre apparemment il l'a eut éhéh. Hop il va voir si la bourse est pleine ou si il y à une charrette dans le coin quand.... Surprise ce n'est pas un bonhomme c'est petit marcassin abandonné par sa mère et empalé par la panse au par terre. La bête souffre Zouz l'entend gémir. Il n'a pas son épée... Comment mettre fin à la souffrance d'un bête sans qu'elle prenne la poudre d'escampette?

Pas vraiment de choix Zouz assure son bâton en enfonçant plus profond dans le sol la bête geins plus fort encore puis en prenant appuie sur le manche de la main gauche il envoie des coups de pied dans le museau du malheureux. Le sang gicle tout au tour de l'animal le bois de bois rougit à l'endroit de la blessure. Tout n'est que souffrance et peine. Mais la pitié n'est pas là le pied viens s'abattre encore sous le menton de la bête qui laisse tombé sa tête sur le côté en suffoquant il voie son heure arrivé sans aucun doute. Le Zouz à passer une mauvaise journée pas un blaireau à dépouillé alors il n'hésite pas et laisse passer sa rage en achevant l'animal de façon à lui faire mal.

Deux doigt de chaque main la ou se trouve le pieu, il sent le coeur de l'animal battre encore dans sa poitrine. Il tire fort, la peau s'écarte l'animal à un sursaut on peu y voir une douce larme qui coule au bord de son oeil pour lui c'est terminé... L'ouverture de la peau se fait jusqu'au côtes là Zouz s'arrête le diaphragme de l'animal fait de court et rapide vas et viens. Le brun force un passage de sa main dans la cage thoracique et y cherche le coeur. celui ci bat encore. Il le sert dans sa main fort. L'organe le plus noble de tout les animaux ne se laisse pas ainsi éclaté.

La main serrez sur son but il tire d'un coup sec et puissant l'aorte moins résistante que son donateur en sang se laisse arraché. Après quelques convulsion l'animal ne bouge plus. Un coeur dans la main Zouz sourit il avait pu passer sa colère sur un malheureux marcassin le sang lui avait manquer depuis Bordeaux. Il s'en rendit aujourd'hui compte.

L'ignoble brun attend quelques instant pour reprendre ses esprits puis il se relève prend son pieux, allonge la bête de façon la plus droite possible passe son bâton dans sa bouche et pousse fort afin de traversé l'animal. Le manche ressort pas l'arrière un peut rougit. Il soulève le tout et retourne voir les filles.

Il ronchonne un peu puis dit.


Y avait pas d'argent... m'enfin on à de quoi manger pour deux jours avec se truc là.

L'homme le jette par terre puis les regardes les mains pleines de sang et le visage remplis de goûtes sèches.

Je vais à la rivière me décrotté et je ramène du bois si vous voulez le vidé de tout ce qui se mange pas faite vous plaisir j'ai déjà commencé... un peu

Petit sourire sadique. Puis il se dirige vers la rivière.

Quand il reviens le repas est près le feux déjà fait, le marcassin entrain de tourné... Il à pas l'air c** avec ses bûche dans les bras sur le coup... Enfin bon il les dépose pas loin, Pumae propose une boisson il la regarde sourit et accepte le verre avec plaisir.

Il trempe ses lèvres, ne reconnais pas le goût et la regarde.


C'est quoi?
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Pumae
Pont désert et marcassin grillé

Tout ça pour une pov' bête. Le boucan que ça fait une chasse à la Zouz... Les femmes se regardent et d'un haussement d'épaule, vident la bête . Le bâton proposé par Zouz convient parfaitement pour le griller. Il n'y aura qu'à couper les morceaux cuits au fur et à mesure.

Le temps qu'il revienne, elles l'ont déjà mis sur le feu. Elle ne peut retenir un sourire en le voyant un peu idiot avec ses morceaux de bois dans les bras.

Proposition pour boire, ça ne se refuse pas. Elle attend donc les réactions.


C'est quoi?


Prunàvampi Zouz, prunàvampi. Une spécialité de par chez moi. Et faut s'y faire, ça saoule un homme en peu d'temps !


Et a fortiori une femme. Ce serait bien qu'elle tombe pas morte saoule sinon elle risque de vraiment rater une cible. Elle regarde sa bouteille, presque pleine. Il y a de quoi faire si on s'ennuie encore, mais bon... Faudra pas trop abuser.

Me demande pas comment c'est fait, j'en sais rien du tout. J'ai acheté ça en partant.

Elle regarde Simone. Qu'en dit-elle?
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Zouz83
De l'ennuie,
pas de cours pour lui,
le voilà repartie.
Sur les chemins de la vie.

Cette fois ci moins loin mais toujours en terres gasconne pour faire cesser les transfert illégales de marchandises organisé par certains Labritois.
Son sac est jeter derrière un buisson. Il regarde Simone qui est venue avec lui pour qu'il se sente moins seul.


J'vais me changer tu matte pas hein? je sais que c'est tentant et tout et tout hein mais bon c'est mes fesses à moi alors tu regarde ailleurs.

Un petit sourire dans ses paroles peut être qu'il s'en foutait en fait mais qu'il voulais juste la mettre mal à l'aise peut être qu'il voulais vraiment son intimité.

Regarde si y à pas un blaireau qui viens par la si c'est le cas et que j'ai pas fini de me changer... Tu t'imagine pas que je vais sortir avec l'asticot au garde a vous hein? Donc tu t'en occupe et on partagera....

Il part derrière le buisson et sortie ses habit rouge de chasse discretos le petit papier était toujours le même ils faisaient cela pour la Gascogne.
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Simone_de_beauvoir
Les prunelles levées au ciel. Exagérément, comme elle aime à le faire. Surtout en présence de Zouz.

Te changer ? T'as sorti la tenue d'apparat ? Les habits du dimanche ? Toujours aussi cinglé ma parole. T'as beau être érudit il te manquera toujours du plomb dans la cervelle...

Les yeux s'agrandissent en remarquant ladite "tenue de chasse", qu'elle pointe du doigt, prenant un ton docte.

Rouge ! Mais pourquoi rouge ?! Tu trouves ça discret peut-être. On est censé surprendre les contremachins... bandiers... Pas nous annoncer à des lieues... Sûr qu'avec ça ils nous verront de loin et feront un large détour...

Elle-même a délaissé à regret sa houppelande flambant neuve, d'un vermeil non moins flambant, pour ses vieilles braies élimées et un col poussiéreux, dans lequel elle cache ses cheveux, en cas de rencontre. Le sourire moqueur, elle accentue son ton professoral, puisque Zouz a toujours voulu en faire sa maîtresse, elle va lui en donner, de l'institutrice.

Tu vois ? Ça, c'est de la discrétion. Tu ferais mieux d'en prendre de la graine, si tu ne veux pas qu'on se retrouve le bec dans l'eau comme la dernière fois... Enfin... À ton aise, si tu tiens à t'exhiber en rase campagne... Ne compte pas sur moi pour jouer les voyeuses en tout cas.

Sur ce, elle se planque derrière sa pancarte, le regard résolument tourné vers la route. Du buisson émergent quelques paroles confuses.

Heing ? Un blaireau ? Le marcassin de l'autre fois n't'a pas suffit ? J'aimerais mieux un riche marchand bien gras, tiens... Pas pour le bouffer, hein, pour ça je préfère les bébés. C'est que j'ai l'estomac fragile. Un asticot ?? Stu racontes ? M'enfin mais tu perds la tête, décidément. Tu ne t'imagines tout de même pas qu'on va se partager un asticot. Ça vaudrait pas le coup, y a pas assez à grailler pour deux là-dessus.

Avec un soupir las, secouant la tête, elle redresse la pancarte, afin qu'elle soit bien en vue.

Citation:
Avis officiel

Vous,
Êtes soupçonné de vol à la tire,
Êtes soupçonné d'avoir obtenus vos marchandises de vile façon.

Nous,
Ayant remarqué que vos marchandises, que ce soit en quantité ou en qualité, semblent avoir été prises de façon illégale,
Attendu que bien mal acquis ne profite jamais,
Réquisitionnons tout ce que vous avez sur vous afin de l'examiner et si besoin s'en fait sentir, porterons ces preuves à la justice même.

_________________
Zouz83
Tout les chemins mènent à Mont de Marsan

Tranquilement changer il ressort de derrière son buisson son casque sur la caboche un ti foulard rouge lui cachant le reste du museau.

J'suis mignon comme sa hein?

Il la regarde la tête dans son col et la montre du doigt en se marrant.

On dirai le guerrier sans tête t'es trop belle.

Un petit bruit sur les chemins. Zouz à l'affût pose sa tête contre la terre et essaye de voir si c'est un gros poisson ou pas. L'oreil par terre il entend que dal car ou la terre c'est pas comme les rails de train c'est pas du tout conducteur!! Et puis d'abord les trains sa existe pas encore... donc bon tout ça pour dire qu'il entend que dal mais que sa fait classe d'avoir mis sa tête sur la terre.

Il la relève fait un signe genre sa c'est ce qu'il nous faut un bon gros char avec plein de denrée. Puis il murmure à la Simone:


Tu sais quoi je crois que c'est le bon ça on va ce le choper il arrive par là.

Le brun indique une direction et un morceau de boue coller à son casque tombe à terre. Petit sourire à la Simone qui elle aussi à l'air de se marré mais il comprend pas pourquoi elle le regarde, le fixe! Ça y est elle va lui avoué qu'elle est amoureuse de lui et qu'elle veux plein de mini Zouz et de mini Simone!!

Bim fin du rêve elle lève un peu la tête pour qu'il regarde derrière lui à l'opposé même de la direction qu'il venais d'indiquer. Un marchand arrive avec des gros sa de farine, des stères de bois et une bourse remplis ou l'on entend les écus sonné et trébuché.

Il se reretourne vers la Simone qu'à l'air pas du tout de se foutre de sa gueule non non... Il ronchonne un peu et lui marmonne:


Pfff t'sais très bien que ça peut arriver à tout le monde des truc comme ça... ça doit être une racine tordu sous la terre qui a dévier le signal sonore et qui a perturber mon pronostique pour l'arriver du type là derrière....

Il se retourne sort son épée et regarde le gaillard.

Messire contrôle des papier s'il vous plais es que vous avez les preuves que cette marchandise vous appartiens?

Bien entendu qu'il ne les à pas qui es assez suspicieux pour se prommener avec des certificats d'achat de tout ce qu'il à sur lui?

Je voie que votre silence en dit long sur votre innocence...

Nous réquisitionnons tout et votre bourse aussi!


Le bonhomme n'à pas l'air de vouloir ce laisser faire la simone va lui botter les fesse le Zouz aussi mais doucement hein il y a pas le feu.... Hop le bonhomme est laisser inanimmé sur le bord de la route. Un petit papier sur le poitrail.

Citation:
Avis officiel

Vous,
Êtes soupçonné de vol à la tire,
Êtes soupçonné d'avoir obtenus vos marchandises de vile façon.

Nous,
Ayant remarqué que vos marchandises, que ce soit en quantité ou en qualité, semblent avoir été prises de façon illégale,
Attendu que bien mal acquis ne profite jamais,
Réquisitionnons tout ce que vous avez sur vous afin de l'examiner et si besoin s'en fait sentir, porterons ces preuves à la justice même.



Citation:

10-06-2009 04:10 : Vous avez racketté XXXX qui possédait plein d'écus et des objets.
10-06-2009 04:10 : Vous vous êtes battu avec XXXX (coefficient de combat 1), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.


Sur le chemin en changeant de coin il s'amuse avec une piècette piquer sur le malheureux.

Pour une fois on en à eut du bol ma petite secrétaire lieutenante.

Il lui sourit et pas le temps de lui faire le clein d'oeuil craquant qu'un autre convoie se fait entendre d'ailleurs celui ci n'est pas discret du tout trois personnes à cheval leurs fonçant dessus.

Eux sont la toujours enmitouflé dans leurs habils ceux la ils ne les ratraperaient pas....
Ils leurs foncent dessus!!!
Sauve qui peut!
Zouz attrape la Simone et saute dans un buisson avec elle le poids des deux corps fait remonté un gros morceau de bois qui coupe la route des cavaliers en leurs arrachant leurs marchandises les malheureux ne s'en rendent même pas compte et continue à tracer leurs chemins.

Zouz sent comme un petit poid sur son torse et regarde la Simone en lui faisant un grand sourire.


Je te jure que c'était pas voulu que tu te retrouve comme ça sur moi...

Il la regarde lui pelote les fesses un peux discretos hein il va pas faire ça comme ça!!!

Euh pardon c'est à toi ça? je cherchais un morceau de bois pour me ressoulever... quoi que je suis pas si mal que ça moi là...

Citation:

11-06-2009 04:11 : Vous avez racketté un groupe composé de XYde XX et de XY2 qui possédait des écus et des objets.
11-06-2009 04:11 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de XYde XX et de XY2 (coefficient de combat !), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.


L'argent était près d'eux mais Zouz était si bien qu'il ne tenta plus de se relevé.
_________________
Fallgor
Suite à mon "baptême" d'agression et aux récent événements survenue en Gascogne, je n'avais pas daigner faire de RP. Pas le temps IRL, pas le cœur RP. Je m'en excuse, voici donc ma version. Désolé pour le retard, et bonne lecture




A la suite de l'appel au regroupement lancé par son Etat-Major, Fallgor avait préparer son paquetage en hâte. Sur le pas de la porte, sa douce Miniflouse l'y rejoignit.
- Hep la, attend-moi ! Tu veux me semer ou quoi, lui dit elle en riant ?
- Pourquoi, te semer ? T'a pas l'intention de me suivre quand même, dans ton état ... Ça va être dangereux.
Miniflouse rit et montre du doigt le paquetage dans le dos de son compagnon.
- T'a pas remarquer qu'il était un peu trop lourd ?
Fallgor, intrigué, pose le sac a terre et l'ouvre. Il lève un sourcil en voyant la toilette de sa compagne entre ses uniformes de rechange, puis se met a rire de bon cœur.
- Bon d'accord tu viens, mais au moindre danger, on s'arrache en vitesse !
Miniflouse fait la moue puis hoche la tête en signe de bonne volonté. Fallgor l'embrasse passionnément et lui dit.
- Bon, un petit tour en taverne et en route ! Tu m'accompagne ?
Miniflouse hoche la tête encore une fois et passe son bras dans celui de Fallgor, qui repassais le paquetage sur son épaule.

Après une heure passé en taverne a parler et a boire de la tisane, il en ressortis avec Oslo, qui voulais aussi faire le voyage vers Mont-de-Marsant afin de se battre.
- Aller les amis, dépêchons d'aller aux portes de la ville, j'ai des recrues qui m'attendent.
La troupe pressa le pas, mais pour pas grand chose. En effet, il n'y avais personnes aux portes, exceptés les gardes et des citoyens allant vers la capitale pour se joindre aussi au combat. Fallgor ronchonna.
- Bon, 'sont où encore ceux-la ? Si ils arrivent pas dans 30 minutes, on part. On est déjà en retard.

L'ultimatum passé, la petite troupe pris le chemin de Mont-de-Marsant.

Le trajet se passais bien, les chemins était tranquilles.
C'est alors qu'ils virent un homme, allongé sur le bas-coté, visiblement inanimé. Miniflouse étant infirmière, elle s'empressa de mettre pied a terre et d'aller voir le sieur. Fallgor fit de même, et vis le papier sur son torse. Miniflouse le lui donna. Il le lut et ne puis s'empêcher un léger frisson. Après quelques soins, l'homme reprit connaissance.
- Mon bon sieur, vous vous seriez pas fait agresser par hasard ? Cette lettre me parais bien suspecte, vu vos sévisses.
Le sieur hocha la tête lentement et demanda un peu d'eau, ce que Miniflouse s'empressa de lui donner.
- Merci donà. Oui, j'ai bien été agressé. Et j'ai cru reconnaitre l'ancien maire de Labrit. Je sais plus son nom. Bref, ils était deux, lui et une femme. Ils ont prétendu vouloir faire une fouille en règle, mais j'ai protester et ils m'ont battu.
Fallgor était près a croire que Zouz avait commis le méfait, c'était bien son genre de faire passer les choses pour d'autres, y compris lui-même.
- Il faisais nuit quand vous vous êtes fait agressé ? Ils se dirigeais vers la capitale ?
L'homme hocha la tête aux deux questions, puis posa sa main sur son front et s'allongea.
- Bon, c'est une affaire importante. Vous devez m'excuser, mais nous devons rejoindre Mont-de-Marsant au plus vite. Les révélations que vous m'avez faites doivent être donner en haut lieux rapidement.
Fallgor laissa quelques vivres et un bâton a côté de l'homme, puis resserra les sangles de ses bagages sur les flanc de son cheval.
- Voila, avec ça vous devriez pouvoir tenir quelques jours si vous ne pouvez pas vous déplacer, et éloigner les gens qui vous ennuieront.
Après une bonne poignée de main, Miniflouse fini ses soins, et les voila repartis avec ses compagnons.

- Mes amis, j'ai bien peur qu'il ne fasse nous activer. Ce bandit dois encore être dans le coin, si vous voyez une silhouette d'homme et une de femme, ne vous arrêtez pas et dépassez-les. On gagnera en temps et ça m'évitera de vouloir mettre mon épée en travers de la gorge de l'autre.
Les deux compagnons sourirent, hochèrent la tête ensemble et ils partirent au pas.
En effet, l'attente ne se fit pas longue. Plus bas dans la vallée étaient deux silhouette, assises sur le bord du chemin. En tête de la troupe, Fallgor fit signe a ses compagnons de s'arrêter et de se regrouper.
- Je crois que ce sont eux, vous vous souvenez ce que j'ai dit ?
Les deux leur répondis pas l'affirmative. Aussi ils vérifièrent les sangles et continuèrent leur route, cette fois au galop.

Après les avoir dépassé, Fallgor avait acquis la certitude de l'identité des deux badauds, bien qu'ils se soient jeter dans les buissons. La démarche de l'homme n'était que trop reconnaissable. Mais Fallgor eu l'impression que son cheval reprenais de la vigueur, ce qui était d'autant plus étrange que cela faisais un quart d'heure que le cheval était mis a rude épreuve. Aussi, il intima l'ordre a la troupe de s'arrêter. Il découvrit que toutes les provisions avaient été arraché, vu l'état du cuir.
- Allons bon, je me souviens pas avoir rasé de près la foret ou la roche ... Et vous ?
Les deux dirent non de la tête, lui expliquant qu'ils l'avait suivit en ligne, l'un derrière l'autre.
- Hm, je vois qu'une solution, c'est que Zouz a trouver un moyen d'arracher les sacs en pleine course, on a vérifier les sangles avant le galop. Ça m'étonne pas, même pas besoin de se montrer, c'est bien son genre ... Bon, aller on fini le trajet vite fait, Kassie nous paiera bien un coup a boire et une pitance demain pour nous remettre.
Fallgor soupire puis remonte en selle.

Ils finissaient leur chemin sans embuches, puis arrivèrent a Mont de Marsant très tard.
Un garde les arrêta.
- Hep vous là, v'nez voir par ici ! Il est bien tard pour trainer dans les rues ...
L'homme avait le regard méfiant de celui qui a trop fait de gardes dans un pays en guerre.
- On viens d'arriver de Labrit, et nous sommes complètement vannés. Vous savez où on peu dormir pour pas un écu ? Genre un dispensaire ou quelque chose dans le genre ?
Au moment ou Fallgor dit qu'ils n'avaient plus d'argent, les gardes désarçonna la troupe, et l'envoya en prison sans plus d'explication.
- Heho, vous allez pas laisser une femme enceinte en prison pour rien quand même ? HEHO ! ... Bon bah ma chérie, c'est pas génial, mais au moins on est ensemble !
Fallgor rit de bon cœur et enlaça sa douce, qui ne prenait pas cette situation aussi bien que lui.
- Écoute, on sortira demain matin et on ira régler ça avec Kassie, d'accord ? Je vais pas laisser ce brigand continuer ses truandages. Aller, bonne nuit Oslo, lui dit-il alors qu'il étais dans la cellule d'en face.
Fallgor s'endormis rapidement, le voyage avais été éprouvant, pour les nerfs et pour le corps.

Si vous voulez des balises de locations, je les rajouterais

_________________
Romane.
(Gascogne quelque part)

Ben c'était plus un voyage c'était carrément du rebondissement! Romane qui voulait aller à Montauban avait dû oublier le passage par l'Armagnac. Pourtant c'était plus court mais cause de la Loi Martiale, le détour long s'imposait. Elle avait point trop envie de se retrouver au tribunal en présentant ses papiers au poste douanier de la frontière!

Donc la Gascogne. Ce fameux comté toujours agité, si troublé rapport au Béarn qui semblait jamais s'inquiéter, paisible. Le monde autour pouvoir se trucider papi Béarn s'en fichait, coulait des jours sereins et c'était point plus mal.
Romane avait entendu les gens dire que les Gascons étaient un peuple fort turbulent, qui passaient leur temps à se niaquer avec les voisins du nord.
Parcequ'au fond ça les occupait et que quelquepart soit ils étaient maso soit ils s'adoraient en secret.
Elle avait quitté Orthez, oublié ses projets de révolte au chateau de Pau, ce qui avait laissé le capitaine imperturbable d'ailleurs. Il avait dû même rigoler, toute seule qu'elle était avec ses bras maigres et son bâton.

Le périple allait son train. Lent. Très lent car Romane très méfiante et soucieuse de conserver son baluchon plein avançait en mode souris.

Tic tic tic!

Dix lieues à la fois! Pour faire une reconnaissance attentive.
Parce qu'en plus d'être un Duché foufou, la Gascogne avait la réputation d'abriter des légions de brigands assoiffés de sang, d'écus. Ils se planquaient entre les villes et paf! Ils vous tombaient sur la tête en vous laissant inanimé dans un champs!!
Donc Romane illettrée mais maline évitait les villes et appliquait une stratégie d'avancée qui jusqu'à présent avait fonctionné!

Ce matin là, planquée entre deux villes gasconnes elle regardait de loin celle qu'il fallait passer à la nuit tombée.
Du fond de son buisson les environs étaient calmes, un ponot de croisé qui avait eu la bonne idée de pas vouloir lui piquer ses affaires!
Le brave voyageur!
Ce qui l'inquiétait outre la faim dévorante, car on marche plus vite l'estomac vide et plus qu'on est maigre au plus on a des chances de pas être vue!Suffit de se camoufler derrière un tronc d'arbre! L'ennui, c'était ces armées féroces dont tout le Sud parlait!! Des qui s'acharnaient à s'entretuer pour des raisons qu'elle avait pas trop comprises. En tout état de cause c'était leurs affaires, mais le dommage collatéral existait, le coup qui se perd tout ça...
Elle avait pas trop envie d'être rapatriée à Orthez découpée en lamelles par une horde d'épées.

Donc Romane qui jusque là s'en sortait bien, décida de continuer son chemin en faisant la seule chose réalisable :

Et toute seule dans son coin puisque là où elle était fallait point compter trouver une église pour entendre la messe!

Prier pour être en vie demain.

Ben vi, savait point ni lire, ni écrire, encore moins à qui pour s'informer, puis demander des informations de toute façon c'est attirer l'attention sur soi!
Donc silence, motus, elle reprit son bâton, le baluchon pendouillant au bout, en esperant que ses gargouillements tonitruants ne la trahisse pas à l'arrivée!!


Voyager, voyager qu'ils disaient!!
Romane ma petite t'es pas rendue à ce rythme!
Ce monde est fou complètement.

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J'ai trouvé sa place: tamago powa: J-4
Jeu bridé par la connerie des joueurs.
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