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Pendant ce temps, au bal des vendanges...

--Orthria



Les premières notes de l’Estampie s’envolèrent dans la salle de Bal, un air doux comme une complainte langoureuse s’égrenait, les pas se devaient d’être mesurés et légers. La jeune femme fit face à son cavalier et le fixa du regard, avant de baisser les yeux ne voulant laisser un trouble apparaître ne serais ce que dans son regard, car même si certains détails lui avait prêté à penser qu’il lui était connu, en était-elle vraiment certaine et puis par ailleurs savait il qui elle était elle-même. Une véritable confusion s’installa et elle fut un peu désorientée.

Elle releva son menton, se concentra sur ses pas et se déplaça sur le côté comme la danse le voulait, tournant avec élégance, avant de revenir vers lui, et entendit sa voix – Tiens ! Mais il parlait tout de même – Et d’afficher un sourire et de lui glisser avant de repartir comme la danse le voulait.


Bonsoir Sieur Loup !

Mouvement en arrière, de suivre la musique, un demi-tour, revenir sur ses pas, laisser ses plumes virevoltées sur son passage, tout en laissant un parfum particulier derrière elle. Un loup n’était-elle pas trop ambitieuse, de se défier ainsi. Si ses plumes étaient noires, elles auraient pu être blanches ce soir. Elle laissa perdre son regard vers ses deux ex-cavaliers de farandoles avant de revenir plus à lui dans le mouvement que la danse offrait. Un léger rire étouffé de ses lèvres pulpeuses en entendant sa présentation.

Me voilà donc ravie de danser avec le Prince de Galles en personne, nous sommes ce soir ce que nous voulons bien avouer.. Pour ma part je ne suis qu’un simple oiseau de nuit qui aime voir naître les lueurs de l’aube naissante

Elle écouta sa dernière réflexion lors d’un autre passage, lorgna ses pieds et se mit à rire et avec malice lui confia lors d’un rapprochement fait par la danse.

Auriez-vous peur que je ne maîtrise point assez la danse et que je vous martyrise malencontreusement un de vos orteils, ou cela est-il une simple envie de votre part de voir une paire de petons se mettre à nue.


Satyre


Satyre avait répondu dans le vague et alors qu'il tournait de nouveau pour reprendre la main de Cisné, attendant la seconde question, celle-ci quitta la danse, laissant Satyre tout penaud sur la piste. Il regarda où elle se dirigeait.
Vers le buffet, voilà une bonne idée, la danse avait donné chaud et soif à Satyre mais d'un autre coté, elle l'avait laissé sur place...
Satyre resta quelques seconde sans bouger puis emboîta le pas à Cisné.

au buffet, elle lui posa la seconde question, alors qu'elle se servait à boire, il retira la capuche de sa cape laissant paraître une chevelure noire assez courte.
- Cela répond-t-il à votre question ma Dame ?
dit-il en prenant le verre que Cisné venait de se servir

- et merci pour cette boisson...
Satyre passe en mode rustre mais que voulez-vous c'était plus fort que lui et puis les femelles aimaient savoir l'homme fort et dominant.
--Cisne.
Il semblait … furieux ?

Découvrant ses cheveux noir, il avait parlé d’un ton sec et pris le verre de mes mains, prenant un air bourru sous son loup noir, car même sans en voir le visage je l’avais bien comprit, l’avais-je vexé en l’abandonnant sur la piste ? Non, ou si peu. je ne sais comment aurais réagis la jeune femme caché sous les plumes, mais Cisne, elle, se mis a rire doucement, pas un rire moqueur, non, le rire d’une demoiselle qui s’amusais bien, rien ne plaisais plus a une dame que de voir un homme la suivre.

Un sourire de malice aux lèvres, je laisse de part ma timidité habituel, et pris un malin plaisir a le provoquer encore un peux, ce beau rustre me plaisais bien, mais pauvre de lui d’avoir été choisis pour endurer les caprices d’une femme. . .

Toujours avec ce sourire, je pris quelques grains de raisins et fit mine de vouloir les mangé, pour changer d’itinéraire et les lui tendre.

— Tenez, vous semblez apprécier d’avantage ce qui ne vous ai pas destiné, que ce qui vous ai servis, un peu de fromage avec votre vin ?

Alors comme ça il avait les cheveux noirs, je fis donc une liste des bruns de ma connaissance, qui sait ?

— Si vous êtes toujours de la partie, ma dernière question est : noble ou pas ?

Je tentais donc ma chance, allais-t-il partir se chercher cavalière plus calme ou rester encore un peu pour jouer ?

--Lycan
- Réponse numéro deux chère oiseau de proie!

Il ne reste plus qu'à déterminer dans ce couple de danseurs qui est la proie et qui est le prédateur. A priori, la réponse semble être évidente, mais dans le domaine de la courtisanerie, je suis d'un naturel plutôt prudent. Elle a beau être frêle, fragile. J'ai beau être costumé sous les traits d'un prédateur, la réalité peut être tout autre! En attendant, il me faut avoir une certitude. La voix me donne certes des indices, mais il m'en faut plus!

- ...Voir une paire de petons se mettre à nue! Oui! Parce que les masques nous permettent toutes les impertinences, toutes les fantaisies. Parce que je veux m'assurer que vous êtes bien un être fantasque. Parce qu'il...

La proximité d'un dernier demi-tour permet bien des complicités, même si j'ai l'impression que des dizaines de paires d'yeux sont rivés sur moi en cet instant précis.

- ...serait dommage de brider son comportement ce soir! Et parce que, qui sait? Peut-être initierez-vous une nouvelle mode ce soir? Je connais quelqu'un dans le Périgord qui rêve de boire son vin dans une chausse. Je pourrais peut-être vous le présenter? Et puis, soyez heureuse que mon impertinence ne vous ait pas proposé de vous costumer...

La tête se penche légèrement sur le côté, un sourire nait à la commissure de mes lèvre. Sous le masque, les yeux se plissent, une once de taquinerie apparaissant à la surface de mes prunelles.

- ...en louve!
--Maitre_ceremonie
Il y avait foule à ce bal. Les couples s'étaient formés. Les danseurs étaient bons, la musique entrainante. Tout se passait comme prévu. Tout? Vraiment? Oui! Enfin..presque! Alors que la danse tirait à sa fin, que les dernières notes étaient joués, une bourrasque de vent ouvrit brutalement la plupart des fenêtres de la salle de bal. Le vent s'engouffra dans la pièce faisant lever les frous-frous des dames, décoiffant les cheveux bien placés, envoyant au sol quelques plats, godets et autre bouteilles de vin. Les chandelles, les lampes, tout fut soufflé d'un coup, plongeant la salle dans l'obscurité la plus totale. Un cri de surprise se fit entendre dans la salle, s'ajoutant aux sifflements du vent au travers des fenêtres.

Je me suis précipité vers les fenêtres en compagnie d'autres serviteurs pour essayer de refermer les fenêtres. Quelques fenêtres avaient été cassés sous l'impact. Il fallait songer à calfeutrer tout cela, et surtout à rallumer les chandelles! J'aboyai rapidement mes ordres. Même dans la pénombre, je savais que ça s'activait dans la bâtisse pour tout remettre en ordre...
The.end
Quand la salle de réception se retrouve dans le noir, The End se dit qu'elle a déjà vécu cela une fois et que les conséquences donnaient lieu, encore régulièrement à une sorte de chantage voilé.

N'ayant pas l'intention de se mêler à toute cette mascarade et ayant eu sa dose de roucouleries, charmes en tous genres ou encore flatteries, notre sinistre déguisée, s'arrange pour longer le mur qu'elle n'avait toujours pas quitté. Le feu dans l'âtre, lui permettant de se guider vers la sortie, le tout était d'espérer ne marcher sur les pieds de personne et de se défiler discrètement.
--Orthria


Ce soir n’était-elle pas qu’une simple jeune femme libre de tout, n’était-elle pas qu’un simple petit oiseau pouvant s’envoler et se laisser porter par les courants d’air chaud ou froid des vents légers de la soirée. Face à ce loup fantasque la défiant d’une simple action, elle laissa apparaître un léger sourire sous la moitié de son visage emplumée.

D’un geste gracieux, elle plia son genou en arrière, le relevant pour que sa main puisse laisser glisser ses fines chaussures pour les ôter avec délicatesse, l’opération fut renouveler. Deux petons retrouvèrent ainsi leur liberté première, instinctivement sa tête se pencha pour les regarder, tandis qu’elle apprécia la sensation du bois ciré en les laissant se mouvoir. Tenant sa paire d’escarpin par leurs brides d’une main, elle continua ainsi la danse. Elle tourna sur la pointe de ses pieds et revint se placer au moment où la danse l’indiquait guère loin d’homme Loup et lui murmura.


Cela serait dommage d’abimer par le vin une aussi belle paire de chausses…

Quelques pas en avant, se laisser porter par la musique, tourner, revenir se pencher.
Entre la plume et le poil il faut choisir..

A peine avait-elle fini sa phrase qu’une rafale de vent, vint ouvrir les fenêtres soufflée les bougies, Elle sentit le vent glisser sur sa peau et remonter le long de ses jambes fuselées, laissant sa robe se soulever légèrement. La surprise lui fit lâcher ses escarpins, et ses pupilles se dilatèrent pour s’habituer à l’obscurité soudaine.

Ploc ! Plac !

Sur le sol gisait une paire de chaussure,elle laissa sa main se serrer sur le bras de son cavalier.

Tenebris


Lorsque la salle fut plongée dans la pénombre, le vent la fit frissonner. Elle posa sa main sur la table pour ne pas s'égarer dans cette trop grande salle.
Elle cligna des yeux plusieurs fois pour s'habituer a l'obscurité, écoutant l'agitation qui régnait dans la pièce, calmement.
Marcelin


Satyre refuse le raison proposé par Cisné
- Je préfère quand il est écrasé et dans un verre...

Puis Cisné lui pose la troisième question. Est-que Satyre était noble ?
Satyre lui sourit
- Je crois que vous n'avez pas chance, ma Dame ! Effectivement je suis noble même si c'est récent, et même si je suis habitat du Périgord et Angoumois, mon fief se trouve dans le Domain Royal.
Cisné ne put voir le large sourire de Satyre car le vent venait d'ouvrir les fenêtres et souffler les bougies. La salle était plongée dans le noir.

Par réflexes, surement dû à la guerre, Satyre oublia quelques secondes le jeu et prit Cisné dans ses bras comme pour la protéger.
--Le_danois
Quel rustre! Quel impertinent! Quel fat! Le danois en est tout retourné! On lui a enlevé sa conquête! Il lui a enlevé sa conquête! Celle qui lui promettait monts et merveilles jusqu'à l'aube! Quel manque d'éducation de la part de ce rustre de loup! Pfff...Il sent mauvais, c'est un va-nu-pieds et il traine avec lui une sacré couche de crasse! Bon sang, mais que lui trouve t-elle donc pour l'avoir laissé choir, lui, pour un détritus pareil? Ah ça, c'est promis! Il ne l'emportera pas au paradis! Le danois suit le nouveau couple d'un regard noir. Le pire, c'est qu'ELLE était entrée dans son jeu, qu'ELLE avait cédé au loup, qu'ELLE dansait avec lui sans aucune retenue! Et lui alors? Il est quoi? Un cavalier qu'on jette quand bon lui semble? Mais qu'est-ce qui n'allait pas dans sa tenue? Son mantel rouge? Trop aggressif? Ca canne? Trop...noble? Sa "cicatrice"? Flex avait la même et toutes les femmes lui couraient après! Alors quoi?

Le danois alla passer sa rage au buffet, avalant coup sur coup deux godets de vin! Puis il s'adressa d'une voix forte à l'assemblée.


-Y a t-il une dame ici qui cherche un bon partenaire de danse?

S'avançant parmi les inconnues qui n'avaient pas encore place au milieu de la pièce, il proposait de ci de là, un verre de Bergerac lorsqu'une rafale de vent eut raison en un instant de toutes les sources de lumière, plongeant la pièce dans l'obscurité la plus totale...
--Umbro


Les mouvements qui me rapprochent, à chaque mesure, de ma partenaire, me laisse agréablement surpris par ses réponses qui se veulent du même ton que cette nuit en Périgord : légère. Nuit ou mon instinct de séducteur plus souvent chassé que chasseur peut ressortir librement sans prêter engagement. Sous mon masque elle ne peut voir mon sourire carnassier, mais mes yeux se fixent dans les siens, je lui offre des yeux bleus acier, mais pour ce soir amusés de la situation.
La jeune femme est belle et à de l’esprit, elle semble en avoir conscience ou bien si elle ne le mesure pas encore, nulle doute qu’elle fera quelques ravages dans les cœurs d’ici peu.

Un tour approche, je lui murmure à l’oreille.

Douce folie que de danser avec vous : En douteriez-vous ?

Une deuxième tour, j’offre mes yeux rieurs.
Les brasiers sont difficiles à éteindre, pour certain je n’en vois qu’une seule manière.

Troisième passage et en plus d’avoir de l’esprit, d’être belle serait-elle perspicace, décidément je vais de surprise en surprise.
Damoiselle, en effet on me donne souvent de « l’homme de l’ombre », nature, choix, habitude au final, mais c’est en effet ma personnalité et mes atours vont de paires.

Une bourrasque s’enfile dans la salle, la nuit rendre avec et soufflent les lumières. Dans la salle, la musique s’arrête et je ne perçois que des cris de stupeur, des paroles qui s’échangent, quelque bruit de verres cassés qui s’échappent de mains surprises.
Instinctivement un de mes bras encercle la taille de ma cavalière, je souhaite la rassurer et surtout ne pas avoir à la perdre immédiatement. Nos corps sont l’un contre l’autre, ma haute taille me permet de sentir son parfum, que j’hume avec délicatesse. Je serre sa main avec plus d’insistance, profitant de ce moment où les gestes sont cachés.

La nature décide de certaine chose, et sans vouloir atteindre à votre honneur…

Je me penche vers elle et effleure son cou de mes lèvres.
N’y voyez là rien d’un homme pervers ou profiteur simplement le plaisir d’avoir effleuré votre peau si délicate et si tentante, en hommage à ce que vous êtes, une princesse d’un soir… totalement envoûtante.

--Pecora


Pouvait-il se douter qu’un mouton ferait tourner une tête ?
Non, il n’avait pas prévu cette éventualité. Les femmes étaient décidément imprévisibles, il pensait pourtant les connaitre assez bien, savait leur complexité mais ce soir, il fallait se rendre à l’évidence, chaque femelle était différente.


De la révérence, il s’amusa, pensant que cette demoiselle ne devait pas souvent s’exécuter devant une bête. Une rire léger était expulsé à l’utilisation de « bel », son costume à son avis était plus ridicule que beau mais soit, chacun ses gouts et de répondre :

Mais bien volontier, prenez donc ma patte.

Une main bouclée est tendue l’autre se pose à sa taille, mais au lieu de jouer à saute mouton c’est tourne mouton qui se met en place tout ça au milieu des loups, quel étrange événement. La voix et les yeux sont peut être familiers mais les accoutrements biaisent vraiment les conclusions qu’il ne s’aventurera pas à émettre à l’instant.

Le flot les emporte sur les vagues musicales, le couple est balancé par les rythmes cadencés, une bourrasque les plonge dans l’inconnu, les sens se mettent à l’affut, ceux qui ne sont pas privés de leurs perceptions, il maintient sa cavalière, tend l’oreille vers les serviteurs qui s’affairent, l’obscurité ne sera chassée que par l’allumage progressif des bougies dans leurs chandeliers.
Pour le moment, rien que du noir…Il ose lancer un :


Bouh !
La_tiote
Son "cavalier" attribué d'office par le grand méchant loup n'avait pas bougé d'un pouce, pas même répondu. Quel malotru que celui-là ! La Tiote n'était pas connue par chez elle pour sa patience et elle commençait franchement à s'ennuyer ferme. Ni une, ni deux, elle plongea son regard noisette dans les yeux du guignol masqué et soupire.

Ma compagnie semble vous importuner au point que vous ne daigniez même pas répondre. Je m'en vais donc reprendre ma main ...

Aussitôt dit , aussitôt fait, elle arrache sa main que le loup a posé dans les siennes.

Et m'en aller voir si d'autres compagnies ne seraient pas moins plongées dans le mutisme le plus exacerbé !

Elle tourne les talons, furieuses à la fois contre le guignol aux bigoudis et le loup qui lui a fait ce coup-là, avec la folle envie de mettre son point sur le museau de ce dernier, vide son verre de vin pour le reposer sur la table et s'éloigne à grands pas en direction de l'homme à la canne qui cherche à s'amuser un peu semble-t-il, lorsque le vent s'engouffre dans les lieux pour souffler toutes les bougies. Elle n'a pas le temps de s'arrêter qu'elle rentre en collision avec quelqu'un et se retrouve en moins de deux le cul par terre, grognant de douleur et contre sa maladresse et sentant un liquide froid s'écouler dans son cou, le contenu d'un verre probablement...

'Tention où vous marchez j'vous prie !

Tant bien que mal, et pas vraiment aidée par son ventre franchement rond, bien que caché du mieux qu'elle peut dans son costume, elle tente de se remettre debout ...
--Bulle
[Collision]

Bulle gonflée en piste s’éclate
Elle tournoie et volette au milieu des capes
Jamais ses délicats pieds nus ne dérapent
Dans sa danse, élégante, nulle hâte

Légère et court vêtue, Bulle ondule
Entre les couples, d’un mouvement gracieux
Qui fait lever les yeux de ces messieurs
Un air fripon chiffonne son tulle

De cette folle transe en danse esseulée
Bulle ne sort que lorsque une voix tonne :

-Y a t-il une dame ici qui cherche un bon partenaire de danse?

Statut éphémère, ses océans balayent l’assemblée
Bulle cherche d’où vient cette voix qui soudain l’arraisonne

Bulle repère près du buffet un mantel couleur de sang
Une canne et une cicatrice, un capitaine pirate?
Bulle se lance et vise le bras de l’aristocrate
Puis, soudain c’est le NOIR, l’aspiration par le néant

BOUH

Bulle a décollé, envolée quelques pas de cotés
Car des corps ce fut la confusion, une collision ?
Dans son fort intérieur, son cœur bat la déraison
Bulle a le souffle coupé, une fois la lumière retrouvée,

Qui découvrira-t-elle ?
En sa main, un bras gît
Au toucher c’est de la dentelle
Dans son dos, l’on frémit

--Cisne.
Ecrasé dans un verre ?
Gourmandise sucrée que les autres ne voyaient qu’en future vin.

Je l’écoutais en souriant, sourcils levé sous mon masque, il avait dit quoi ?, un fief au Domain Royal ? Ça ne me disais rien, Sur qui étais je tombé ?

Ma question à peine pensée, qu’un grand vacarme se fit entendre, fenêtre grande ouverte, certaines cassé, cris de surprise, verres brisé, un vent de glace qui s’engouffre et éteins toute source de lumière, puis les ténèbres …
Dans le brouhaha et l’agitation, des bras protecteur m’agrippèrent, des Bras d’homme, Styre ? Je me laissais faire, Trop surprise par son geste je n’avais même pas pensé à le repousser.
Un Grand « BOUH ! » se fit entendre, brisant le silence qui devenait pesant.

Les bougies se rallumaient petit à petit, les esprits se calmaient, et je tentais de me libéré, en vain et à contre cœur, des bras de mon cavalier, sa force étais réconfortante, je sentais mes joues rosir sous mon masque, les ténèbres aidant j’espérais qu’il n’e remarque rien, j’attendis donc sagement qu’il daigne me lâcher et lui souriais en parlais d’une voix timide.

— Vous êtes plus serviable que vous semblez l’être.

La fraicheur extérieure s’était introduite, frappant ma peau nue, je frissonnais, ou étais donc ma cape ?

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